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Tante Germaine

Tante Germaine



Tante Germaine

(Ceci est une histoire que j’ai écrite il y a plusieurs années et que j’avais affichée sur un site en France sur les catfights, disparu depuis)

Il pleuvait légèrement quand je suis descendue du TGV à la gare de Nancy mais la morosité s’est rapidement dissipée quand j’ai vu la silhouette de tante Germaine sur le quai, sa tête dépassant celles des autres femmes. Vêtue d’un imper vert pâle, ses longs cheveux blonds recouverts en partie par son béret noir, elle s’approcha de moi et me prit dans ses bras. Elle me serra longtemps, les joues mouillées par la pluie et aussi je crois par l’émotion. Je ne l’avais pas revue depuis les funérailles de ma mère l’année dernière. Les deux sœurs ne se voyaient plus beaucoup depuis que tante Germaine avait quitté Paris pour Nancy il y a trois ans, mais il n’était pas question pour elle de laisser filer ce poste de prof de littérature dans un lycée de filles. Comme célibataire elle était assez mobile. Son départ m’avait beaucoup attristée car je me sentais presque aussi près de tante Germaine que de ma mère. À 20 ans maintenant, j’avais encore besoin d’elle et son invitation tombait bien. Élève dans une école privée pour filles en Suisse pendant plusieurs années, j’envisageais aussi une carrière dans l’enseignement et je voulais lui en parler.
Comme deux commères, on continua à discuter durant tout le trajet du retour jusqu’à son appartement. La soirée fut émouvante de souvenirs et se termina par la promesse d’une journée de shopping entre femmes.
Le lendemain matin, nous étions déjà dans le quartier des boutiques dès l’ouverture. Tante Germaine était très grande et mince et je lui arrivais qu’à l’épaule malgré la réputation de ma génération d’être la plus élancée depuis longtemps. Avec une peau lisse, de grands yeux bruns et des pommettes saillantes, tante Germaine est considérée comme une belle femme. Je ne lui avais jamais connu d’amants et lorsque j’interrogeais ma mère à son sujet, elle répondait : « Ah celle-là…elle a suivi son propre chemin ». Je suis un peu plus en chair avec des seins et des fesses dont je suis assez fière. Germaine – car c’est par son prénom seul qu’elle voulait que je l’appelle – Germaine adorait visiter les boutiques de mode même si elle n’achetait pas souvent pour elle. Je lui servais d’excuse et au déjeuner nous avions déjà empilé plusieurs sacs dans le coffre arrière de la voiture. Après le déjeuner, on se dirigea vers une boutique de dessous féminins. À 45 ans, Germaine portait des dessous assez traditionnels et je tentais de la convaincre d’essayer un string. « Mais pauvre Élise, j’aurais l’impression de porter une soie dentaire », me répondit-elle. Occupée à retrouver le style de soutien-gorges que je portais habituellement, je n’avais pas remarqué les autres clientes. En relevant la tête, je vis Germaine et une autre femme de son âge qui se toisaient à quelques mètres de distance. La femme en question était un peu plus courte mais assez en chair avec une poitrine opulente. Elles ne semblaient pas très heureuses de se voir et je sentais la tension qui montait. Elles avaient échangé des paroles que je n’avais pas entendues. Je m’approchai de Germaine et lui demanda : « Alors tout va bien…vous semblez perturbée ? ». « Oui oui ma chère, ça va… », me répondit-elle en prenant mon bras et en m’amenant dans un coin de la boutique. C’est alors que j’entendis l’autre femme lui dire : » Eh bien, je vois que vous n’avez pas changé vos habitudes…toujours des jeunes ». Germaine s’arrêta et, rouge de colère, lui répondit : « C’est ma nièce… ». L’autre femme murmura : « Ah…je vois… » avec un sourire qui en disait long. « Viens Élise, allons-nous en », me dit Germaine, et on quitta la boutique en coup de vent. On marcha pendant quelques minutes en silence. Je n’avais jamais vu Germaine dans cet état. Puis elle s’arrêta brusquement et me dit : « Attends-moi ici, je n’en ai que pour quelques minutes » et elle retourna sur ses pas. Je la voyais se diriger vers la boutique et j’ai eu envie de la suivre craignant qu’elle ne se dispute avec cette femme mais je me ravisai et l’attendis sur le trottoir. Dix minutes plus tard, Germaine revint puis, me prenant par le bras, m’amena à la voiture. Une fois à l’intérieur, elle me dit : « Élise, je vais te demander une faveur ». « Bien sur Germaine », lui dis-je. « Je vais te demander de ne pas me poser de questions et de faire ce que je te demande, d’accord ?, » me dit-elle sur un ton qui laissait percer plutôt une grande excitation qu’une colère. « Oui d’accord, je vous le promets », lui répondis-je ne sachant vraiment pas de quoi il s’agissait. Elle mit la voiture en marche et nous nous dirigeâmes sur la route qui menait à Toul. Après une dizaine de minutes, on atteignit une forêt de bouleaux et des terrains sablonneux. Lorsque Germaine aperçut une petite voiture bleue sur l’accotement, elle se stationna derrière. « Tu peux venir avec moi seulement si tu me promets de ne pas intervenir », martela Germaine, « sinon tu peux demeurer dans la voiture ». « Je préfère vous suivre », lui répondis-je.
Maintenant je peux raconter ce qui va suivre avec un certain détachement mais, quand je vécus ces évènements surréalistes, je vous avoue que j’étais très naïve et que je ne savais pas du tout ce qui allait se passer. On quitta la voiture et on s’engagea dans la petite forêt de bouleaux. Il n’y avait personne. Arrivé à une clairière, on aperçut la dame de la boutique qui nous attendait, elle aussi vêtue d’un imper et avec son sac sur l’épaule. Ce n’est qu’à ce moment-là que je compris ce qui se passait. En retournant à la boutique, Germaine voulait crever l’abcès et avait donné rendez-vous à la femme dans la forêt. Les deux femmes allaient se battre. Je n’en croyais pas mes yeux. Tante Germaine, si féminine d’apparence et si douce, allait se crêper le chignon avec cette dame. Les deux femmes mûres allaient se battre comme deux écolières à la sortie des classes. Je vous avoue maintenant que loin de me dégoûter ou de me faire peur, cette situation m’avait excitée. Avant d’approcher sa rivale, Germaine m’avait fait promettre de nouveau de ne pas intervenir.
Les deux femmes posèrent leur sac à main par terre et enlevèrent leur imper. L’autre dame, qui se prénommait Christine, était vêtue d’un chemisier bleu et d’une jupe en laine qui descendait aux genoux. Germaine portait une robe de coton vert. Elle lança son béret sur son imper et ses longs cheveux blonds retombèrent sur ses épaules. Christine avait également les cheveux blonds mais je soupçonnais que le reste ne l’était pas. Ses cheveux étaient moins longs que ceux de Germaine mais plus fournis. Les deux femmes enlevèrent finalement leurs souliers à talons hauts et c’est les pieds recouverts de leur bas de nylon qu’elles commencèrent à se tourner autour. Je m’approchai de la scène timidement et trouvai une souche pour m’asseoir près du combat. J’avais souvent vu des combats de jeunes filles à mon école privée mais je n’avais jamais eu l’occasion de voir des femmes mûres en venir aux mains. Christine, plus grosse mais plus courte, et Germaine, grande et mince, étaient, d’après moi, d’égale force.
C’est en silence que les deux femmes engagèrent le combat, timidement d’abord, titubant sur le sol inégal qui leur faisait mal aux pieds, puis elles se griffèrent et s’accrochèrent l’une à l’autre comme pour s’assurer de ne pas tomber. Elles se griffaient le visage et le corsage. Le chemisier de Christine fut le premier à se déchirer laissant paraître un soutien-gorges en demi-lune. La robe de Germaine présenta d’abord un défi à sa rivale et ce n’est qu’après avoir empoigné le haut à deux mains que Christine réussit à faire sauter les bretelles. Les deux femmes s’acharnèrent ensuite sur les soutien-gorges. Tirant de toute leur force, elles en oubliaient de se frapper. Elles se secouèrent l’une l’autre, chacune agrippant le soutien-gorges de l’autre, jusqu’à ce que les deux pièces d’étoffe se déchirent. Christine plongea ses ongles dans les petits seins de Germaine tandis que celle-ci pinça les mamelons de sa rivale avec ses doigts. De temps en temps, elles interrompaient l’attaque des seins pour se griffer le visage. Les deux femmes commençaient à montrer des blessures de combat. Germaine tenta de mordre les grosses mamelles de Christine mais celle-ci avait prévu le coup et l’agrippa par les cheveux. Par pur réflexe Germaine enfouit également les deux mains dans la chevelure de sa rivale. Les deux femmes en vinrent finalement au classique crêpage de chignons. J’étais soulagée de voir que ma tante, qui avait le désavantage d’avoir les cheveux longs, se défendait comme une tigresse. J’entendais le bruit des cuirs chevelus qui se dénudaient et je me demandais comment les deux femmes pouvaient endurer la douleur sans hurler. La bataille était bel et bien engagée et elles s’arrachèrent des poignées de cheveux pendant plusieurs minutes. C’est à ce moment-là que je m’aperçus que je mouillais et j’en rougis maintenant. Haletantes, à bout de souffle, les deux tigresses firent une trêve et reculèrent de quelques pas. Je pensais à tort que le combat était terminé. Germaine, qui saignait des seins et de la tête, en profita pour se délaisser de sa robe qui la gênait. Elle abaissa la fermeture éclair puis repoussa du pied le vêtement qui était tombé au sol. Christine jeta son soutien-gorges qui s’était ramassé autour de sa taille et se débarrassa des lambeaux de son chemisier. Voyant que Germaine n’était qu’en petite culotte et bas de nylon, Christine enleva sa jupe et se présenta également dans la même tenue.
« Ça fait longtemps que je veux te donner une correction », cria Christine, rompant le long silence.
« Alors viens donc…allez viens…que je te défonce, sale gouine », répondit Germaine.
« Ah alors c’est le bouquet…c’est toi qui me traites de « sale gouine » ? Tu as vraiment du toupet…Tu crois que ta soi-disant nièce ne sait pas que tu es gouine ? », hurla Christine.
Ce que je soupçonnais depuis la scène de la boutique était donc vrai ? Tante Germaine était vraiment lesbienne ? Loin de me déplaire, cette nouvelle facette de Germaine m’attirait et j’étais de plus en plus curieuse d’en apprendre davantage. Ces deux femmes étaient donc rivales et étaient venues ici pour régler d’anciennes querelles.
Probablement pour empêcher Christine de dévoiler tout sur elle, Germaine l’attaqua à coups de pieds et de poings. Christine répliqua et les deux femmes se frappèrent avec une hargne et une rapidité qui me surpris pour leur âge. Elles étaient toutes les deux couvertes de sueur et je pouvais voir la silhouette du triangle pubien de chacune à travers leur culotte. Christine était véritablement une brune et sa toison foncée contrastait avec celle plus pâle de Germaine. Les attaques répétées à coups de pieds avaient fait en sorte que les culottes s’étaient ramassées dans la raie des fesses des deux femmes. Les fesses de Germaine étaient lisses et longues tandis que celles bien rondes de Christine commençaient à montrer des signes de cellulite. Les deux rivales se prirent à bras le corps, leurs seins écrasés par la pression de leur poitrine, et chacune tenta de renverser l’autre dans une épreuve de force. J’étais vraiment surprise de voir la grande force de Germaine qui tenait tête à une femme plus lourde qu’elle. Depuis le début, elles s’étaient battues debout mais je savais qu’une fois par terre, le combat prendrait une autre allure. Christine fit finalement trébucher Germaine et les deux femmes se retrouvèrent au sol. Je me mis debout sur ma bûche pour voir le déroulement du combat. Elles se martelèrent de coups tout en se roulant l’une sur l’autre. Tantôt agrippées par les cheveux, tantôt se mordant les seins et le visage, les deux lesbiennes se battaient avec toute la force qui leur restait. Christine avait commencé à abaisser la culotte de Germaine et avait engouffré sa main dans son entre-cuisse. Germaine avait attaqué le pubis de sa rivale à même sa culotte et tentait de lui tirer la toison. Les culottes s’étaient déchirées sous les attaques des combattantes. Le combat devenait sexuel. Je glissai la main sous ma jupe puis dans mon string et je commençai sans m’en apercevoir à me caresser, les yeux rivés sur le combat. Les deux femmes trouvèrent la force de se relever. Elles enlevèrent les restes de leur culotte et leurs bas de nylon en lambeaux. Elles se faisaient face toutes nues. C’était la première fois que je voyais Germaine nue. Leur corps, ruisselant de sueur, était en partie recouvert de boue et d’herbe. Leurs cheveux – ou au moins ce qui en restait- étaient sales et en broussaille. Leur opulente toison était complètement mouillée et aplatie contre leur bas-ventre et le haut de leurs cuisses. Ce n’était plus deux femmes bien mises et sophistiquées qui se battaient mais deux gladiateurs. Regards en feux, elles se fixaient avec un mélange de haine et de désir. Même si elles se battaient l’une contre l’autre, il était évident – et j’étais là pour en être témoin – que leur nudité et le contact d’épiderme à épiderme avaient excité les deux femmes mûres. Je pouvais imaginer pour la première fois à quoi tante Germaine, qui m’avait tenue sur ses genoux, avait l’air quand elle faisait l’amour. Tentant de ratt****r leur souffle, les deux femmes nues continuaient à se toiser, prêtes à parer l’attaque de sa rivale. On aurait dit qu’elles étaient ivres toutes les deux. Je crois qu’à cet instant, Germaine avait oublié ma présence. Ce fut Christine qui fit les premiers gestes qui me laissèrent bouche bée. La brune commença à pétrir ses seins meurtris, puis elle glissa ses mains lentement le long de son corps jusqu’à son pubis. Germaine la regardait, complètement figée. Christine ouvrit sa vulve avec ses doigts et je pouvais entrevoir la chair rose. Je vis un sourire malicieux se dessiner sur le visage de ma tante. Elle redressa le haut du corps, et ses petits seins semblaient durs et ses mamelons étaient retroussés. Elle ouvrit les jambes légèrement et glissa sa main droite sur son ventre et puis dans sa touffe blonde. Elle mit les doigts de sa main gauche dans sa bouche. Les deux femmes se défiaient mais je n’étais pas certaine de leur intention. Elles firent quelques pas l’une vers l’autre et commencèrent à onduler le bassin tout en continuant à se caresser la vulve. Christine rompit le silence :
« Alors tu veux ? Allez …sale traînée…mesurons-nous…tu te souviens de la dernière fois ? », dit-elle dans une voix soudain devenue grave.
« Oui je me souviens très bien… », répondit simplement ma tante.
« Viens…toi et moi….tiens j’ai une idée…la gagnante aura la petite…ta petite poupée », dit Christine en ricanant.
« Chienne ! « , lança Germaine, « c’est ma nièce…ne la mêle pas à nos querelles ».
« Elle a un beau cul ta nièce…tu la suces ou tu la baises ? », continua Christine.
« Je vais t’écraser la moule…salope », cria Germaine.
« Allez viens…vieille gouine…ta moule contre la mienne », défia Christine.
Je n’avais jamais entendu ma tante utiliser ces mots et avant que je puisse reprendre mes esprits, les deux femmes nues s’étaient enlacées à quelques mètres de moi. Chacune frappait l’autre de son bas-ventre, les bras noués autour du dos de sa rivale. Elles se crachaient au visage et les deux poitrines se frottaient, les seins s’aplatissaient puis rebondissaient vers l’extérieur à chaque mouvement latéral. Les petits seins de Germaine étaient complètement écrasés par les gros tétons de Christine et ma tante grimaçait de douleur. Germaine glissa son genou entre les grosses cuisses de sa rivale et je vis Christine ouvrir les yeux bien grands quand elle sentit la cuisse de ma tante se frotter contre sa vulve. Christine imita le manège de ma tante et les deux femmes, enfourchant le haut de cuisse de l’autre, se frottèrent debout collées l’une à l’autre comme deux chiennes en chaleur. J’étais couverte de sueur et ma culotte toute mouillée. Ma tante et cette femme se battaient à coups de chatte. Toutes les deux se criaient des insultes et se mordaient le visage. Elles étaient en transe. Puis elles tombèrent au sol, encore soudées l’une à l’autre. Je me remis debout sur la bûche pour tout voir. Le combat qui suivit est difficile à décrire avec précision car les deux bagarreuses bougeaient constamment. Elles se frappaient avec leurs poings un instant puis se caressaient la vulve avec leurs mains. Elles se mordaient les seins puis leurs doigts disparaissent entre les fesses de l’autre. Je sursautai quand elles se retrouvèrent tête-bêche. Elles se léchèrent pendant quelques minutes dans cette position, Germaine sur le dessus puis Christine. Je sentais que les deux lesbiennes donnaient tout ce qu’elles avaient et que le combat allait se terminer bientôt. Je me suis mise à crier et à encourager ma tante. D’un commun accord, elles quittèrent leur position de 69 pour s’étendre l’une sur l’autre. Le couple- car c’était devenu un couple en pleine copulation – roulait sur le sol détrempé. Tantôt Germaine dominait sa rivale, ses hanches entre les cuisses de Christine, tantôt c’était Christine qui l’écrasait sous son poids et ondulait ses hanches contre le bas-ventre de sa rivale. Ce manège dura plusieurs minutes et je voyais que les combattantes étaient complètement épuisées. Germaine reprit le dessus après avoir frappé Christine d’une droite. Cette dernière sembla sonnée un instant. Germaine en profita pour la monter et lui écarta les jambes avec ses coudes. J’avais une vue imprenable du combat, les fesses de ma tante à un mètre de moi. Je la vis plier les jambes de Christine et les coincer sous sa poitrine. Ce manège rendait le pubis de Christine complètement accessible à celui de Germaine. Ma tante écarta les cuisses et je vis sa vulve poilue et bien ouverte commencer à se frotter contre la vulve touffue de sa rivale. Leurs lèvres étaient gonflées et se frottaient ensemble. Je devinais que les deux clitoris étaient engagés dans un combat à finir. Christine poussa un cri puis une longue plainte. Ses jambes bougèrent comme soumises à un choc électrique puis son corps tout entier se mit à trembler. Les deux touffes étaient complètement imprégnées de cyprine. Les cuisses étaient également recouvertes du précieux liquide. Christine venait de jouir. Germaine continua à se frotter contre sa proie encore une minute ou deux. Christine tressaillit encore une autre fois mais avec moins de force. Germaine se releva lentement et regarda sa rivale qui gisait sur le dos, immobile. Celle-ci sanglotait par petits coups et presque en silence. Je vis Germaine s’approcher de la tête de Christine et écarter les cuisses. Je courus à sa rencontre.
« Viens Germaine…viens…rentrons…c’est fini », lui dis-je en la prenant par le bras.
C’était la première fois que je la tutoyais. Je cherchai son imper et couvrit son grand corps meurtri et sali. On suivit le sentier pour retourner à la voiture. À l’orée de la forêt, Germaine perdit pied. Je la pris dans mes bras pour la soutenir. Je la conduisis derrière un bosquet et la fis s’asseoir pour reprendre des forces. Je ne sais pas ce qui m’a prit mais je retirai ma culotte et ouvrit son imper pour me blottir contre le corps chaud de Germaine. On s’enlaça. Ma jupe relevée, je collai mon ventre contre le sien. Combien de temps on passa dans cette forêt, je ne pourrais vous le dire.

FIN

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