LU SUR LE NET
Quelle chance, quand on fréquente des filles en jeans et minijupe, en chaussettes, baskets, maillot et pull, avec des cheveux qui tombent n’importe comment sur les épaules, de rencontrer ces femmes d’un autre âge, d’un autre style, d’un esprit différent et d’une autre culture.
Je vis chez mes parents, j’ai 20 ans et une petite copine qui a 18 ans avec des petits seins et des petites culottes en coton. Quand nous faisons l’amour, j’ai l’impression qu’il manque quelque chose, et je pense à Madame La…l’institutrice sexy que j’avais en primaire ou à ma tante Colette qui me trouble au point qu’il m’arrive souvent de me masturber en pensant à elle.
C’est en faisant les courses pour une soirée entre potes que j’ai rencontré Yvette. Je scrutai quelques paquets de chips, quand elle est venue près de moi.
– Pardon jeune homme, vous voulez bien m’att****r ce…
Je l’ai regardé, elle avait un beau visage souriant et illuminé par un regard bleu, encadré par quelques mèches blondes qui tombaient de son chignon. Mes yeux suivaient, comme guidés instinctivement, les traits de son visage et les courbes de son corps. Elle portait une jolie robe bleue, à grosses fleurs jaunes, découpée en V sur sa poitrine dont je percevais la tendresse et la douceur. Elle avait des hanches femelles et sa robe descendait jusqu’au dessous des genoux, j’imaginai des cuisses charnues, je rêvai sur ses mollet et ses pieds cambrés dans ses belles chaussures fines. Elle me regardait amusée, pendant que je refaisais le chemin à l’envers, en m’attardant sur son ventre et les plis da sa robe qui soulignait le creux entre ses cuisses.
Il s’était sûrement passé un long moment depuis qu’elle s’était adressée à moi. Quand mes yeux croisaient son regard, elle me fixait d’un air interrogateur, moi j’étais embarrassé, je ne savais quoi dire, j’avais peur de dire une bêtise. C’est elle qui rompait le lourd silence :
– Vous voulez bien m’att****r le paquet de purée là-haut ? Je ne suis pas assez grande, et à mon âge on ne grimpe plus comme à 20 ans, me disait-elle encore amusée.
Quand je lui ai tendu le paquet, elle l’a pris en me fixant dans les yeux, je comprenais qu’elle entretenait quelque chose avec moi, et ma gorge se nouait.
– Vous vous appelez comment ?
– Daniel, Madame…
– Moi c’est Yvette !
Encore le silence. Je suis émerveillé par son charme, les quelques rides discrètes qui marquent la naissance de sa poitrine attirent mon regard qui se fixe dessus.
– Vous êtes mignon, vous savez ! Me dit-elle en regardant autour d’elle pour s’assurer que nous sommes seuls. Je pourrais être votre grand-mère !
– Ce soir je serais sur la terrasse du Régent avec ma meilleure amie et ma cousine, venez à 19h prendre l’apéritif avec nous.
– Vous viendrez ?
– Oui, Madame…Oui !
Je la regardais s’éloigner en poussant son cadi, elle avait une paire de fesses majestueuses que je qualifierai de hautaine, son maintien était droit et fier. Quand elle arrivait au bout de la travée, elle se retournait pour contrôler si je la regarde encore, et elle en fut heureuse, si j’en juge par le sourire éclatant qu’elle m’adressait alors avant de disparaître dans une autre allée. Je suis sûr que son cœur battait autant que le mien.
J’ai laissé tomber mes copains. A 19h, j’étais au Régent, assis entre Yvette et Andréa, et Pauline en face de moi qui ne me lâchait pas du regard. J’ai eu l’impression un court instant d’être l’attraction, que les trois dames avaient bien due se raconter des choses à mon sujet avant mon arrivée.
Pauline était une femme assez mince de taille moyenne, son visage était assez marqué, elle était blonde, mais sous ses bras, des poils bruns la trahissaient. Elle avait une lourde poitrine que sa robe engonçait, comme si elle avait soudain grossie. Si je ne savais pas donner d’âge à Yvette qui m’a troubler quand elle m’a dit qu’elle pourrait être ma grand-mère, je pouvais dire que Pauline avait la soixantaine bien portée. C’est la cousine d’Yvette. Quant à Andréa, La meilleure amie, fièrement installée à ma droite, c’est une femme pulpeuse bien en chair, grande, charpentée, elle doit faire au moins 90kg, avec le principale dans les fesses et les hanches. Elle a un beau visage doux et s’exprime avec beaucoup d’aisance et d’humour. Elle parait être moins âgée que Pauline. C’est une vraie blonde, elle a le type allemand. Je me demande si Yvette se teint les cheveux comme sa cousine, je n’en sais rien parce qu’elle se rase les poils sous les bras. Nous passons tous les quatre un agréable moment. Mes trois amies se sentent parfois obligée de me demander si je travaille bien à l’école et ce que je ferais plus tard, comme des gentilles mamies qui s’inquiètent de mon avenir de jeune dans ce monde difficile dont elle, en tant qu’adultes, connaissent les pièges etc.… mais la conversation se situe le plus souvent autour de la séduction, du sexe et de notre attirance. Yvette m’explique vite à voix basse, qu’elles sont toutes les trois de véritables ogresses et qu’elles vont me manger tout cru si je les suis chez elles. J’ai aussi appris qu’elles sont veuves et retraitées, qu’elles vivent ensemble pour s’aider et se soutenir, mais aussi que se sont des coquines qui aiment jouer entre elles, et que je suis tout à fait à leur goût pour être le jouet.
Quand nous marchons le long des quais pour rejoindre leur appartement, l’ambiance est surexcitée. Andréa m’att**** le bras et me dit qu’elle n’aime pas les hommes machos et vulgaires, qu’ils la dégoûtent et qu’elle préfère les jeunes qui sont plus doux, reconnaissants et admiratifs de ses belles rondeurs de femme mûre :
Je m’empresse de lui dire, ce qui est vrai, que je la trouve belle et séduisante et que j’ai très envie d’apprécier ses rondeurs matures.
– Toi, tu es mignon, on va t’apprendre à aimer les femmes, les vraies ! On va bien s’occuper de toi, tu vas voir !
Elle m’embrassait tendrement, d’un baiser passionné en me serrant contre sa poitrine maternelle. Et nous continuâmes notre chemin.
Yvette qui se tenait le bras avec Pauline me prenait par l’autre bras :
– Tu n’as pas peur ?
La question me surprenait et je tardais à répondre en riant :
– Non !
– Il va falloir que tu sois à la hauteur pour toutes les trois ! reprenait-elle. Andréa répondait d’une voix suave, ne t’inquiètes pas petit chéri, il y a plein de façon de donner du plaisir aux dames.
Je vais sauter quelques étapes jusqu’au moment ou je me retrouve assis sur le canapé avec Yvette et Pauline, Andréa est partie chercher du champagne et des petits fours. Pauline, l’air de plus en plus amoureuse, me regarde en me disant que je lui plais beaucoup et qu’en tant que grand-mère elle n’aurait pas résistée à la tentation, même si cela était un péché, – Tu as une grand-mère ? Me demandait-elle malicieusement curieuse, je lui répondais « oui », mais en lui précisant que je coucherai bien avec ma tante. Les deux femmes émoustillée par mes dires, font, – Oh ! Le petit coquin polisson, il ferait des vilaines choses avec sa tata !
Pauline me disait que je devrais le faire et que ma tante en serait sûrement très heureuse. Puis elle m’attirait contre elle pour poser ses lèvres sur les miennes et me faire un baiser long et baveux des meilleurs qu’on m’ait fait jusque là. Je caressai sa poitrine et ses bras, puis son ventre et je remontai vers sa poitrine.
Yvette me prenait la bouche à son tour :
– Et si on était tes tantes Hein, petit coquin ! Disait-elle.
Cette phrase nous excitait, et on se suçait la langue tous les trois. Puis Yvette partait un court instant rejoindre Andréa.
Pauline avait ouvert sa robe et dégrafé son soutien-gorge d’un geste charmant. Sa poitrine lourde et imposante fléchissait de façon attendrissante. Les larges auréoles brunes m’invitaient aux caresses. Elle me faisait allonger sous elle, la tête reposée sur l’accoudoir du canapé pour me mettre ses mamelons bruns et granuleux sur la bouche :
– Tiens mon bébé, tu vas téter !
J’aspirais un téton gros comme une phalange que je suçai et tétai, comme si ma vie en dépendait. Pendant qu’elle me tripotait l’entre jambe et ouvrait ma braguette.
– Ils te plaisent, mes gros nichons de grand-mère ? Tu aimes ?
Bien sûr, qu’ils me plaisaient ! Ils me chaviraient, devrai-je dire. Excité, je palpais la chair entre mes doigts. Pauline me souriait, câline et rieuse en me branlant dans mon slip. Yvette nous rejoignait en peu de temps, un verre de champagne à la main. Elle s’approchait de nous et posait un genou sur l’accoudoir près de ma tête ; Pauline lui prenait le verre pour boire une gorgée. J’en profitai pour déposer un baiser sur le genou d’Yvette qui retroussait sa robe pour me montrer ses cuisses charnues à demi gainées de ses bas retenus par un porte-jarretelles assez austère mais très excitant.
Pauline me faisait boire une gorgée de champagne puis me poussait la tête contre les belles cuisses en chair de sa cousine.
– Embrasse la culotte de tata Yvette, là…sois mignon !
Je croyais défaillir d’émotion. Sous la robe, mes narines frémissantes buvaient, enivrées, la senteur piquante qui s’en exhalait. Pauline sortait ma verge raide comme une bougie pour s’en emparer de nouveau et me faire une branlette d’experte, je déplaçai mes mains sur les cuisses chaudes de Yvette, jusqu’à sentir les poils de sa chatte au bout de mes doigts sur les côtés de sa culotte. Elle écartait les jambes, me facilitant l’accès de ce lieu délicat, et d’une ferme pression à travers sa robe, tenant ma tête à deux mains, elle accolait elle-même ma bouche à sa culotte inondée. La senteur qui s’en dégageait m’affolait et je vautrai ma figure extasiée dans ce matelas épais et mou d’où je m’enfonçai et étouffai délicieusement.
Pauline usait d’une main tendre et sûre. J’avais l’impression que ma bite allait exploser. Elle m’astiquait si bien, et Yvette qui se branlait si fiévreusement sur ma figure, je fouillais sa touffe de poils. Pauline me dictait des recommandations.
– Dévergonde-toi, mon petit, me soufflait-elle en se penchant vers moi. Suce sa culotte et ses poils.
Yvette mouillait, elle gémissait et ondulait sur ma bouche. Pauline accentuait ma masturbation. L’émotion et l’excitation étaient trop fortes, je n’en pouvais plus et partais en jouissance.
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