Un soir du 14 juillet, en 1988, nous étions plusieurs copains du même lycée à s’être donnés rendez-vous à une esplanade donnant sur les quais d’un port du nord de la France pour assister au traditionnel feu d’artifice.
Vers 23 heures, au moment où les gens s’agglutinaient autour des barrières métalliques, on vit arriver Philippe, un camarade de classe qu’on attendait depuis une bonne heure. A quelques pas derrière lui suivaient une dame très élégante et un homme, tous deux beaucoup plus âgés, qui, il nous l’apprit tout de suite étaient ses parents. L’un de nous éclata de rire et lui fit remarquer qu’il se faisait « accompagner par papa et maman » le soir venu. Son père vint nous serrer la main mais regagna presque aussitôt sa voiture. On comprit, à ce qu’il disait à sa femme, qu’il n’allait pas revenir avant la fin du spectacle. Celle-ci prit place prés du fiston, qui se chargea des présentations. Elle s’appelait Louise. « Philippe nous avait toujours caché l’existence d’une mère aussi belle » dis-je avec un grand sourire. Le compliment sembla la toucher car on la vit rougir. « Arrêtez vos conneries… » lâcha Philippe, qui ne semblait pas apprécier nos remarques. « Venez, par ici… » fit Jérôme, qui avait repéré un endroit plus calme.
On se fraya un chemin au milieu de la foule pour atterrir au bout d’une jetée, face à un navire tout attaqué par la rouille. La mère de Philippe, malgré ses talons aiguilles, nous rejoignait. Sous les faibles lumières qui arrivaient jusqu’à nous on ne la distinguait pas entièrement mais ce qu’on voyait nous renseignait suffisamment sur son physique. Elle portait un tailleur des plus classique d’un blanc immaculé et était chaussée de talons aiguilles de la même couleur. Son corsage avait du mal à retenir une paire de seins dont les tétons pointaient durement dans notre direction. Ces deux globes nous mettaient tous, à l’exception de Philippe bien sur, en appétit.
Déjà, à une centaine de mètres devant nous les premières détonations retentissaient signalant le début du spectacle. « Regardez un peu par ici.. » Fit quelqu’un en sortant d’un sac à dos une bouteille de whisky. « On est une dizaine mon gars » Fit un autre « Ta bouteille c’est une goutte d’eau… » « Vous n’allez pas commencer à vous chamailler… Tenez, voilà qui vous détendra un peu… » Franck, un gars de terminal, venait de sortir de son manteau une sorte de tabatière contenant cinq ou six pétards gros comme un pouce. « Hé les mecs, vous êtes fous… Pas devant maman… » Philippe commençait à flipper quand sa mère prit la parole « Je ne suis pas aussi coincée que vous le pensez. Si ce n’est que ça. Tiens… Toi… Oui, toi… Allume m’en un… N’aie pas peur… Vas-y… » On n’en revenait pas, la mère de Philippe prit le joint que Franck venait d’allumer et commença à tirer. Les toussotements nous firent éclater de rire. Il était évident qu’elle n’avait jamais fumé de sa vie, même des cigarettes. Malgré nos ricanements, elle ne s’arrêta pas de tirer, si bien qu’elle le termina sans que personne ne puisse y goûter. Franck en redistribuait et un nuage de fumée commençait à s’élever au-dessus de nous. Louise, appuyée contre une aussière attachée au quai entamait son deuxième joint avec un sourire de satisfaction au coin des lèvres. Philippe, libéré de toute angoisse participait lui aussi. Le feu d’artifice devait être à son apogée, mais déjà on n’entendait plus grand chose. Et on n’en était bien incapable. Cette herbe était d’une qualité rare. On s’éloigna tous du quai de peur de basculer dans la flotte. Nos haleines respectives exhalaient maintenant, en plus, une forte odeur de mauvais bourbon. Louise, appuyée contre un baril traînant par là, finissait de boire maladroitement le fond de la bouteille. « Alexis… Alexis…Il va… Il va arriver… » « Qu’est-ce qu’elle raconte ta mère, Philippe? » « Elle parle… De mon père » répondit Philippe difficilement.
Elle avait peur qu’il la trouve dans cet état. « Attendez… Madame… Suivez-nous, sur le quai en face, à l’abri des projecteurs… Il ne vous trouvera pas » Franck titubait tout en prononçant ces mots. Lentement, notre petit groupe quitta l’esplanade. Louise, pieds nus, tenaient ses souliers ainsi que sa veste dans ses mains. Deux d’entre nous l’aidaient à se maintenir debout tellement son euphorie était grande. Le bruit des explosions s’estompait au fur et à mesure qu’on atteignait le quai opposé. On traversait un pont-levis quand une voiture apparut. Brusquement, de peur de voir surgir son mari, Louise se mit à courir en direction d’un container laissé à l’abandon. La voiture disparut aussi vite qu’elle arriva et le souffle coupé, exténués on finit par atteindre Louise, haletante, assise par terre, le dos appuyé contre la paroi métallique.
Philippe s’écroula le premier. Chacun, l’un après l’autre, on prit place aux côtés de sa mère, qui commençait à pleurer. Nos regards se croisèrent. Les jambes écartées, elle essayait de remettre ses talons hauts. Ce faisant, elle nous laissait voir sa culotte, tout en dentelle, qui laissait impudiquement à découvert, appétissante, une partie d’une de ses grandes et magnifiques lèvres. Perdant toute inhibition, elle se caressa même un instant l’entrecuisse, jusqu’à ce qu’on son index frôle le mince ourlet de sa culotte. Louise nous regardait, chacun droit dans les yeux, sans vraiment nous fixer, mais comme pour nous supplier de la laisser quelque peu tranquille, le temps qu’elle recouvre ses esprits et se rende compte à quel point les effets combinés de l’alcool et du cannabis l’avaient rendu aussi chaude et lascive.
Machinalement, elle écarta un peu plus les cuisses tout en basculant sa tête en arrière. Franck, très entreprenant, s’approcha doucement à ses côtés et remonta lentement la culotte. On découvrit petit à petit la présence d’une motte toute rasée, splendide, malgré la faible intensité du réverbère. Un délice. Jérôme, aussitôt, accroupi, se mit à lui lécher goulûment la fente, tandis qu’on lui malaxait les seins. La scène eut pour effet de sortir tout le monde de sa torpeur. Des bruits de pas, tout autour, nous mettaient par instant en alerte, mais l’atmosphère était trop électrique pour que l’on s’arrêtât. Franck avait sorti son sexe et le présentait à Louise qui ne se fit pas prier pour l’avaler, les yeux remplis de malice. Philippe, qui revenait à lui petit à petit n’en croyait pas ses yeux. Sa mère, prude et chaste une heure auparavant se mettait à sucer comme une salope ses copains de lycée. Il reconnut le slip maternel, à quelques mètres de là, traînant sur le bitume. Sa maman, la bouche bien pleine, se trémoussait jusqu’à présenter son cul bien haut à tout le groupe. Il n’en revenait pas. Mais lui-même déjà, commençait à se masturber. Sa mère maintenant, se faisait prendre tour à tour en levrette, la bouche toujours occupée. « Oui… C’est booooonnn….. Par ici aussi… Non… Non … Oui… Ouiii… » La prenant par les cheveux, Franck l’obligeait à s’asseoir sur son sexe. Les yeux de la maman s’écarquillèrent, c’est en plein dans le cul qu’elle venait de recevoir le manche de Franck. Se penchant un peu plus en arrière, elle offrit une vue des plus acceptable de sa chatte restée libre. Plus pour longtemps. Elle venait d’avoir son premier sandwich et elle semblait apprécier.
Un petit groupe de promeneurs à vélo, qui revenait du feu d’artifice, alerté par les cris de plaisir, vinrent à notre rencontre. Les quatre hommes, vraisemblablement des pêcheurs rentrant du port, comprirent au bout d’une minute qu’ils pouvaient participer. Louise, à leur vue, se laissait de plus en plus bourrer, se faisait encore plus chienne. Elle n’était pas au bout de ses surprises. Son fils, à quelques pas, se masturbait comme un beau diable. L’attrapant par les bras, on lui fit signe qu’il pouvait être de la partie. N’en pouvant plus, Philippe la découvrit remplie de foutre. Sa queue, comme dans du beurre, allait et venait accompagnée à chaque fois par des petits « flop » qui en disaient long sur la quantité de sperme déversée dans sa chatte. Las de mouliner dans le vide, il la retourna et la prit par le cul. Le fourreau, de ce côté était aussi lisse mais mieux proportionné à sa bite. Il éclata en même temps qu’un des cyclistes qui se faisait pomper. Soudain, une voix, venue d’un des parking de l’esplanade, se fit entendre: « Louuuiiise…. Philiiiippe… » « Mon dieu… » fit Philippe « C’est papa… » Louise, encore sonnée par la série d’enculades qu’elle venait de recevoir, ne semblait pas sortir de sa semi-inconscience. « Maman, on y va… » fit Philippe, tout en dégageant sa bite du cul maternel.
Il fit descendre sa jupe, ramassa sa culotte, qu’il mit dans une de ses poches et l’aida à rejoindre le parking. Le vent frais, qui s’était levé alors que la petite troupe se dispersait, la ramenait petit à petit à la réalité. « Vite, un mouchoir… » Nous cria Philippe, qui essuyait négligemment les sperme qui dégoulinait de Louise à chaque fois qu’elle avançait. Franck, sortit un mouchoir de sa poche et courut le porter à Philippe. Arrivé à hauteur du couple, il eut encore l’occasion, raconta-t’il plus tard, de rentrer un doigt dans la chatte encore juteuse de Louise, qui déjà, de la voix, rassurait Alexis, son mari, qui les attendait, elle et son fils, l’air visiblement détendu, tranquillement assis au volant de sa voiture. On vit alors disparaître cette dernière dans la brume naissante, emportant avec elle cet objet de plaisir d’un soir. Un soir resté inoubliable pour tous ceux qui vécurent cette folle aventure. Philippe, à la rentrée scolaire de septembre, ne nous adressa plus la parole, ni ne chercha à nous créer des ennuis. Sa mère, aujourd’hui, est toujours restée aussi belle, et c’est avec un pincement au coeur, et parfois, une bonne érection, qu’on la croise en se baladant en ville.
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