Cette carte de visite au fond de ma poche, m’a brulé les doigts durant plusieurs jours et à force de la regarder je la connais même par cœur.
Plusieurs fois j’ai été tentée de composer le numéro, mais je me suis toujours dégonflée.
L’homme qui me la donné ce jour-là dans le métro ne connait même pas mon prénom, ni rien de moi après tout, et puis à quoi bon le rencontrer. Quel intérêt ?
Si je veux me faire sauter, je suis bien assez grande pour me trouver un mec.
De plus il est vieux et laid. Mais en fin de compte, intérieurement, je sais que je me mens. Son regard et son assurance quand il m’a laisser cet après-midi là me hante encore.
En fait, je connais le numéro de téléphone comme si c’était le mien et je crève d’envie de le taper sur mon portable. Mais je refuse de me l’avouer.
J’ai tellement honte de ce que j’ai fait dans le métro cet après midi là.
Je ne compte plus les fois où je me suis masturbée en me remémorant cette aventure.
Mais comment pourrais-je me présenter devant cet homme, sans passer pour une fille facile, voir … une pute ?
Allez, j’avoue …
J’ai repris le métro. Plusieurs fois. Souvent. Très souvent. Trop souvent peut être.
J’ai remis la même robe, le même parfum et j’ai trainé de rames en rames, jours après jours, espérant trouver un homme qui me ferait vibrer de nouveau.
Mais rien. Je rentrais déçue, frustrée. A croire qu’il ne c’était jamais rien passé. Que j’avais rêvé ce moment-là, juste fantasmée.
J’avais l’impression que personne ne prêtait attention à moi. A chaque fois que je croisais un regard qui se posait sur moi, je me glissais jusqu’à celui qui me l’avait gratifié. Mais rien. Pas même le frôlement d’une main sur ma cuisse.
Mais le plus étrange, c’est que plus je me désespérais et plus j’en avais envie. Sûrement à cause de la frustration de ne pas obtenir ce que je voulais, je m’énervais de plus en plus.
Voilà pourquoi je me retrouve une fois de plus dans le métro parisien.
L’hiver nous a quitté, le printemps est là, mais une petite bruine à fait son apparition aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle j’ai troqué ma jolie robe pour un petit imperméable, léger et court et rien de plus. Je l’adore. Je trouve que sa ceinture accentue mes courbes. Ma gorge est dégagée par son grand col qui plonge en V, dessinant un beau décolleté, coquin, mais pas provocateur.
Je me retrouve une fois de plus dans le métro parisien. Me voilà donc encore entièrement nue, ou presque. Hummm ! Quelle délicieuse sensation. Je ne m’en lasse pas.
C’est le milieu de la semaine. Les heures de pointe sont passées et une fois de plus je fais chou blanc.
Je vais quand même m’asseoir sur une banquette, plonge mes mains dans mes poches, me cale et pose le bord de mon front sur la vitre. Le train qui roule fait vibrer mon cerveau. Ca a pour effet de me bercer et de m’endormir. Combien de temps, je l’ignore.
C’est un frôlement qui me réveille. Léger, presque imperceptible.
Laissez-moi-vous raconter une anecdote. Lorsque j’étais petite, je dormais dans la même chambre que ma sœur.
Ah ! J’oubliais. Nous sommes jumelles.
Notre mère venait nous voir quand elle allait se coucher, pour s’assurer que nous dormions.
C’est à cette époque qu’avec Caro, nous avons appris à plisser les yeux pour voir discrètement sans que ça se sache. Nous avions acquis la faculté de ne pas faire vibrer nos cils ou rouler nos yeux et cela très longtemps.
Nous avons ainsi bernée notre pauvre maman plus d’une fois et nous nous relevions aussitôt qu’elle était couchée. Voilà pour la petite histoire.
Je disais donc que c’était un léger frottement qui me réveillait. Bien sûr je pourrais tout simplement ouvrir les yeux, mais c’est mon genou que l’on touche et de façons étranges. Tout mes sens se réveillent d’un coup.
J’utilise donc la méthode des ‘jumelles infernales’, pour voir sans être vue.
C’est un homme assit en face de moi, mais côté centre. Il doit avoir entre quarante cinq et cinquante ans. Il a les cheveux poivre et sel, présente bien et est plutôt pas mal.
La rame semble presque vide. Personne près de nous, juste un couple à l’autre bout du wagon.
Lentement, je penche la tête en avant, comme le ferait une personne endormie. Je peux ainsi voir mes genoux.
Dans mon sommeil, je me suis détendue et mes jambes se sont légèrement écartées. Si je veux continuer à faire croire que je dors, je ne dois pas les refermer.
L’homme a collé son genou contre le mien. Je le vois qui se penche pour regarder sous mon imper. Il doit entrevoir mon intimité, libre comme l’air.
Ca m’excite et même si j’ai peur, je me sens m’humidifier malgré moi.
Ne pas bouger.
Il se glisse sur la banquette et se place face à moi.
Mes cuisses n’étant pas suffisamment écartées, il ne peut glisser qu’un genou entre les miens.
Un frisson me parcoure lorsque je le vois se pencher vers moi. Délicatement, il défait le dernier bouton de mon imper. Il fait si doucement, que je ne sens presque rien.
Puis, il se redresse et s’adosse à sa banquette en glissant ses fesses vers le bord de celle-ci. Son genou est maintenant très au dessus du mien, presque à mi-cuisse.
Il ne bouge plus un court instant, sans doute pour voir si je ne me suis pas réveillée.
Rassuré, il entreprend d’écarter mes jambes à l’aide de son genou. Doucement. Un peu à droite. Un peu à gauche. Encore une fois. Encore.
Mes cuisses se décollent l’une de l’autre et ne se touchent plus. Ma chatte est sûrement très visible maintenant.
Il se penche de nouveau et défait un second bouton.
Il m’écarte encore un peu et mon imper s’ouvre, jusqu’à la ceinture.
A chaque station, je tremble de peur que quelqu’un ne monte. Lui, ne semble pas inquiété du tout. Il défait sa braguette et dégage son sexe de son caleçon. Il bande fort et prend son membre à pleine main.
Je le regarde se branler doucement.
Voit-il ma fente couler ? Je l’ignore, mais il se penche et y glisse un doigt de bas en haut. Lorsqu’il frôle mon clito, j’ai toute les peines du monde à rester de marbre.
Puis il le porte à ses narines, le hume un instant et le lèche.
J’entrevois ses yeux. Ils brillent d’excitation. Il respire fort et semble avoir très chaud.
Moi aussi, j’ai chaud, mais en dedans. Je sens mon puits d’amour bouillir d’envie et le feu monte jusqu’à mon ventre.
Il me caresse plus fort et écarte mes grandes lèvres avec précaution.
Mais il arrête d’un coup.
Nous venons d’entrer en station. Quelqu’un serait-il monté ? Je n’ai pas entendu de portes s’ouvrir.
Sans doute a-t-il eu peur de me réveiller en allant trop loin ou trop vite.
Il profite des secousses du départ, pour défaire deux des boutons du haut. Il attend un peu et écarte mon imper. Je sens comme un courant d’air sur mes seins et mes pointes se dressent d’un coup.
Je n’en peux plus.
Lui non plus, semble-t-il.
Il craque et me saisit un sein tendit qu’un doigt de son autre main s’enfonce d’un coup en moi.
Je ne peux plus faire semblant plus longtemps. J’ouvre les yeux en grand et plonge mon regard dans le sien en aspirant une grande bouffée d’air.
Il semble hésitant un instant.
-Oh ! Je…je…
Mais devant mon corps qui se cambre, semblant accepter les caresses, un sourire se dessine sur ses lèvres. Je le sens nerveux, tremblant fébrilement.
Je n’ai plus peur et me laisse emporter dans ce délire. Je défais rapidement ma ceinture et fait sauter les deux derniers boutons. L’imper grand ouvert, mon corps désormais entièrement dénudé et offert, je le laisse me palper, me branler, me pincer mes pointes gonflées. Il se penche et embrasse, lèche mes seins.
Ses doigts qui me fouillent font monter mon plaisir. Je vais jouir.
Emportée par mon orgasme, je ferme les yeux de nouveau.
Mais soudain, une main se pose sur mon épaule et une voix de femme me fait tressaillir.
« Mademoiselle ! Mademoiselle ! »
J’ouvre les yeux et là, durant quelques secondes qui paraissent des heures, je ne sais plus ou je suis. Je ne comprends pas.
Avachie sur mon siège, j’ai toujours les mains dans mes poches. Mon imper est fermé, mais je suis les jambes largement écartées, mon sexe rasé visible aux regards.
C’est une jeune femme qui me secoue doucement. Face à moi, une grand-mère me fait des yeux noirs. Près d’elle, un type bave en contemplant mon entrejambe. Mais le plus terrible, c’est que la rame est bondée et des dizaines d’yeux sont tournés vers moi.
Je me suis endormie et j’ai fait le plus exquis des rêves, mais le retour à la réalité est brutal et violent.
Je me redresse et serre les jambes. Mais il est trop tard. Le mal est fait.
La mamie se déchaine.
« Hoooo ! Si ce n’est pas une honte de voir ça ! Petite putain ! Vous vous rendez compte, si c’est pas malheureux de voir ça ! »
La jeune fille qui m’a réveillée est aussi rouge que moi. Gênée, elle me conseille de descendre à la prochaine station.
Je me lève et reçois un coup de canne de la part de la grand-mère. Mais je n’y prête pas attention. Cela n’est rien comparé à l’angoisse de devoir fendre la foule des voyageurs qui me séparent de la porte.
Je me faufile tout en m’excusant mais, une femme qui s’est montrée comme je l’ai fait, ne peut pas espérer être respectée. J’en fais la cruelle expérience.
Des types excités me mettent la main au cul. Visiblement, ils sont toute une bande et se connaissent, pour mon plus grand désespoir.
Mon imper est relevé et des mains tentent de me fouiller, aussi bien devant que derrière.
« S’il vous plait ! Laissez-moi passer ! »
« Une p’tite partouze ! Ca ne t’intéresse pas une p’tite partouze ? »
« Laissez-moi ! »
« Fallait pas nous aguicher, chérie ! »
« Vas y, fais voir tes nibards, salope ! »
« Touche ma queue ! Regarde comme je bande ! »
« Putain ! Mais t’es à poil là dessous, salope ! Merde ! Je le crois pas ! Elle est à poil, la pute ! »
Je suis assaillie de toute part et j’ai toute les peines du monde à atteindre la porte.
Enfin ! Les lumières d’une station, au-dehors de la rame, inondent celle ci.
La porte s’ouvre et je bondis à l’extérieur en parvenant à me libérer de quelques mains encore agrippées à mon imperméable. Je me réajuste rapidement, tout en courant dans un couloir qui se présente face à moi.
Après une course effrénée, je m’engouffre vers une sortie et je me retrouve à l’air libre.
Sans réfléchir, encore choquée par cette curieuse expérience, je me précipite dans une brasserie et je m’installe à la table la plus éloignée de la porte.
Je suis rouge. Je transpire et je tremble.
« Ca va, mademoiselle ? »
C’est le serveur qui s’inquiète.
« Oh ! Heuu. Oui, oui, ça va. Juste un petit souci. Merci. Je prendrais un café, s’il vous plait. Un café, et un cognac. Merci. »
Il me faudra bien ça pour me remettre.
Une minute plus tard, j’ai avalé mon café et je bois mon alcool par petites gorgées.
Soudain un type se dresse devant moi.
Trente ans au plus, trapu et pas bien grand. Son look laisse à désirer et je ne le trouve pas très agréable à regarder. Je dirais même qu’il est moche.
Devant mon inquiétude surement palpable, il tente de me rassurer.
« Ne vous inquiétez pas. J’étais dans le métro. »
« Vous m’avez suivi ? Laissez-moi, s’il vous plait.»
« Ho ! Non, non ! Je ne vous ai pas suivi. Je vous ai aperçu en sortant de l’autre coté de la place et je me suis dis… »
Il semble gêné, voir même intimidé.
« …Non, bien sur. Je suis un idiot. Je rentrais chez moi et je me demandais si vous… Je suis ridicule. Excusez-moi. Je m’en vais. »
Il tourne les talons et sort de la brasserie.
J’oublie très vite cet incident, et sors à mon tour après avoir avalé le reste de mon cognac.
Plus question de reprendre le métro aujourd’hui. Je cherche un taxi, lorsque j’aperçois l’homme de la brasserie attendre qu’un feu tricolore passe au rouge, pour traverser.
Qu’est ce qui me prend. Je commence à le suivre.
Est-ce la curiosité ? L’alcool qui me tourne la tête et me fait faire une nouvelle bêtise ?
Finalement, je cesse de me poser des questions et je poursuis ma filature incognito.
Elle est de courte durée car à un carrefour il se retourne et m’aperçoit. Il semble hésiter un instant, puis il reprend son chemin.
Quelques minutes plus tard, il arrive devant la porte d’un immeuble cossu. Il tape le code d’accès et entre. Je vois sa main retenir la lourde porte pour qu’elle ne se referme pas.
Mon cœur se met à battre la chamade.
Que faire ?
Je peux très bien m’en aller, mais ce type est étrange. Il semble timide mais il a tout de même eu l’audace et, ou, le courage de m’aborder.
Je ne risque rien à discuter avec lui, à essayer de comprendre ce qu’il cherche.
Je ne pense pas qu’il me saute dessus et puis il sera toujours temps de partir si ça tourne au vinaigre.
Je pousse la porte à mon tour.
J’espère qu’il a du cognac. Une autre rasade me ferait le plus grand bien, pour que cesse les tremblements de mes jambes.
Sans un regard pour moi, il monte jusqu’au quatrième étage. Il semble m’ignorer totalement.
Arrivé sur le palier, il emprunte un couloir. Je suis plusieurs mètres derrière lui. Je ne le vois plus. J’entends une clef dans une serrure.
Mon courage semble me quitter d’un coup et je bredouille en direction du couloir.
Je vois cinq portes de chaque coté. Une est entrebâillée. C’est surement la sienne. Il doit encore espérer que je change d’avis.
Je pousse la porte doucement pour jeter un œil discret à l’intérieur.
J’aperçois un petit vestibule. Une porte donne dans une minuscule cuisine, une autre sur ce qui semble être une salle de bain, et encore une sur une pièce plongée dans le noir.
Je gratouille la porte avec mes ongles.
En guise de réponse, je perçois une lueur dans la pièce sombre.
« Vous êtes là ? Je peux entrer ? »
Evidemment que je peux. C’est même surement son vœu le plus cher.
Je ferme la porte d’entrée derrière moi et je m’approche de la pièce.
La lumière est en fait une vidéo projeté sur le mur d’en face. Il s’agit d’un film porno, semble t’il très hard.
Une télévision s’allume également dans un coin, sur le même genre de film.
Je fais un pas dans la pièce. Mes yeux s’habituent tout doucement à la pénombre.
Au-delà de la table, derrière le rideau de lumière du projecteur, j’aperçois deux chaises, contre le mur. Il est là, assit sur l’une d’elle…nu. Il est complètement à poil et se masturbe en regardant ses films.
Je crois bien être tombée sur un détraqué.
Des revues pornos jonchent le sol, mêlées à des dvds et des boitiers de films du même genre. Il y en a des dizaines et des dizaines. Impossible de ne pas marcher sur certain.
Un lit d’une place dans un coin, n’est pas épargné, et est lui aussi enseveli par une tonne de magazines. Pas de cadres aux murs, mais des posters de femmes nues un peu partout.
Je crois commencer à cerner le personnage.
Je l’imagine casanier, un peu sauvage. Très certainement ultra timide et pas sûr de lui, sûrement par rapport à son physique. Ca expliquerait qu’il m’ait ignoré, ne pensant certainement pas arriver à m’attirer chez lui. Maintenant que je suis là, il doit être un peu paniqué, alors il vit sa vie sans s’occuper de moi. Il a même peut être peur.
Puceau ? Je n’en serais pas étonnée.
Je dois être folle de rester là, mais je commence à m’attendrir sur cet étrange personnage. J’imagine difficilement une vie sans sexe. Pour un homme ce doit être terrible de ne pas pouvoir tenir une femme dans ses bras.
Finalement, que lui reste t’il comme solution, sinon de se masturber devant des films.
Pauvre homme.
Je m’assieds près de lui. Il me fait un peu pitié. Il reste sans réaction. Il ne tourne même pas la tête.
Je prends sa main libre et la pose sur ma cuisse. Il la laisse ainsi, sans la bouger, tandis qu’il continu à se masturber de l’autre.
Il bande fort. Son gland violacé brille dans la pénombre. Je vois les veines qui courent le long de son membre durci. Certes son visage est assez laid mais j’avoue que sa bite est belle, appétissante.
Je ne résiste pas à l’envie de le branler moi-même. Il me la laisse bien volontiers et lâche sa queue.
Elle est douce et brûlante et j’avoue ne pas en avoir déjà vu ni eu de si grosse entre les doigts. Je n’y tiens plus. Je me jette à ses pieds, et laisse glisser le pieu de chair chaude entre mes lèvres. J’ai bien du mal à l’engloutir entière, tant elle est longue. Je le suce et le masturbe tout à la fois.
Je l’entends respirer fort. Je suis heureuse d’arriver enfin à lui soutirer un semblant d’émotion.
Je fais courir ma langue jusqu’à ses testicules. Je les déguste tour à tour, puis remonte lentement jusqu’à son gland. Les gouttes de liqueur transparente, qui s’en échappent, me laisse à penser qu’il n’est plus très loin de cracher.
Je veux lui porter l’estocade.
Je me relève et me place tout près de lui. Doucement, je déboutonne mon imperméable, puis je défais la ceinture. Je le laisse s’entrouvrir tout seul. La lumière du film éclaire la peau blanche de mon ventre, mes seins et ma fente humide.
Lui, reste imperturbable et continu à se caresser frénétiquement en regardant toujours le film.
Il en devient vexant.
« Regarde-moi ! Je ne te plais pas ? »
Pas de réaction.
J’ai très envie de partir, mais cet idiot m’a excité comme une puce et je ne partirais pas sans jouir.
Je fais glisser mon manteau et je le laisse tomber au sol.
« Regarde-moi ! Touche-moi ! Regarde, je suis nue pour toi ! Je suis à toi ! Caresse ma chatte, elle est trempée ! Humm ! J’ai envie de toi ! »
Mais il ne change rien à son attitude.
En désespoir de cause, je me jette à quatre pattes et plonge ma tête dans mes mains. Mon cul et ma chatte tournés vers lui, je me cambre fort et attend. Je lui laisse cinq minutes et je partirais.
Mais soudain le miracle se produit enfin.
Il se jette sur moi sans aucune tendresse. Il me défonce, me déchire, se plantant avec force dans mon ventre, heurtant mon pauvre utérus à chaque coup de rein.
Je crie. Enfin, je jouis de toutes mes forces, encore et encore. Toute mon énergie semble s’échapper de ma chatte en long jet de liquide bouillant.
« Bouffe-moi la chatte ! Bouffe-moi ! Je t’en supplie, suce moi le clito ! Humm ! Ahhhh »
Il se moque bien de mes envies. Il libère mon vagin et je ressens une violente douleur dans mon cul. Il me l’a prit d’un coup, sans sommation. Heureusement pour moi, mon plaisir est au summum et la jouissance prend le dessus.
« Oh ouiii ! Jouis dans mes fesses ! vide-toi dans mon cul ! Ouiii ! Remplis-moi vite ! »
J’ai comme un gout de victoire dans la bouche lorsque je sens la liqueur bouillante m’envahir enfin. Il me déverse une quantité impressionnante de foutre au fond du ventre. C’est un vrai bonheur de l’entendre mugir derrière moi.
Il s’extirpe comme il est entré, sans tendresse. Il se rassoit sur sa chaise et reprend le cours de son film.
A mon grand étonnement, il bande toujours et recommence à se masturber.
Sans lui demander son avis, je fais un saut dans la salle de bain. Ce n’est pas trop clean, mais je fais avec. Deux trois godes trainent ici et là. Je me demande bien ce qu’il peut en faire.
Je retourne dans la pièce et ramasse mon imper. A mon grand étonnement, il m’adresse la parole.
« Tu t’en vas ? Je te veux encore. »
« Hum ! Tu ne serais pas atteint de priapisme, toi ? J’ai l’impression que tu pourrais me baiser toute la journée, sans jamais débander. »
« Je pourrais pas. Au bout d’un moment, ça fait mal. Tu veux bien rester encore un peu ? »
Son envie de moi surpasse sa timidité.
« Ok ! Mais tu me rends un service. »
« Lequel ? »
« Je vais te donner un numéro de téléphone. Tu diras à l’homme qui décrochera que la fille du métro s’appelle Marion. Il comprendra. »
« Oui, Marion, je le ferais. Promis. »
Je fini par avoir de la tendresse et de la compassion pour cet homme que la vie n’a pas gâté physiquement.
Je l’enjambe et je m’empale sur son membre. J’écrase ma poitrine contre son torse et je monte et descends doucement.
Je lui offre son premier baiser, j’en suis presque certaine. Je l’embrasse dans le cou, lui mordille le lobe de l’oreille. Je caresse sa nuque de mes ongles. Il respire fort.
Ce qu’il connaissait de l’amour, il ne l’a apprit que par les films pornos. Il ne devait sûrement pas se douter que cela pouvait être aussi, très doux et très tendre.
C’est avec des larmes aux yeux qu’il me remplit de nouveau, sans v******e cette fois.
Avant de partir, je lui demande pourquoi il y a des godes dans sa salle de bain. J’en ai même trouvé deux dans les toilettes.
« C’est pour que si les filles elles ont envie. »
Évidemment. Suis-je bête.
Une fois dans le couloir, j’écoute à la porte. Il tient parole et je l’entends téléphoner.
« Allo ? Bonjour je vous appelle de la part de la fille du métro. Oui, oui, je la connais. Elle m’a dit de vous donner son prénom. Elle s’appelle Marion. Moi ? Je l’ai rencontré dans le métro. Elle m’a montré et… »
Je manque d’exploser de rire en l’entendant lui raconter son histoire et je redescends dans la rue, direction… le métro.
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