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Souvenirs… (-1-)

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« L’oreiller qui as tout changé » (Partie I)

Quand j’étais plus jeune, j’ai toujours eu plus de copines que de copains, et c’est toujours vrai aujourd’hui. Une vraie fille quoi ! J’aime cette atmosphère féminine, douce & délicate. Les copines sont très importantes pour moi, vous savez on peut tout se dire, se confier, rire entre filles et c’est primordial à mon sens.

Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours trouvé à mes amies quelque chose d’irrésistible : les cheveux, les yeux, les seins ou simplement un attitude ou même les dents… enfin vous m’avez comprise, pas de jalousie mais toujours un petit rien de charmant ou de beau tout simplement.

J’entends encore mes parents me dire : « Que vous êtes belles toutes ensembles » , « mais qu’elle jolie fille » ou bien encore, une telle ou une autre est : « une si jolie gamine ». De là à dire que j’ai toujours étais attirée par les jolies femmes il n’y as qu’un pas !

A l’heure de ces quelques lignes, je n’ai que peu d’expérience. Un petit copain ça et là, quelques roulages de pelles bien maladroites et baveuses, un pelotage de seins en  »boom »… Ou encore un bisou entre filles lors d’un  »action ou vérités », bref rien qui ne laisse de souvenirs impérissables.

Pour planter le décor de cette histoire Emilie et moi, nous sommes rencontrées pendant les vacances d’été, ambiance estivale, piscine, plage, soleil… Elle avait intégré notre meute avec une aisance déconcertante et avait fait l’unanimité chez les garçons du groupe, un poil plus difficilement chez les filles, mais dans l’ensemble tout le monde l’avais adopté.

Au programme un bel été, parties de ping-pong endiablées, rigolades, bavardages à n’en plus finir & bien entendu quelques histoire de garçons. Je ne me souviens pas du nombre qui lui ont demandé de  »sortir avec elle », j’étais impressionnée moi qui étais plutôt fleur bleue ! Cela dit elle avait toujours décliné préférant s’inventer un petit copain dans sa ville.

Chez Emilie la chose qui étais / est toujours j’imagine, irrésistible était son combo rire/ sourire, des comme les siens ne peuvent laisser personne indifférent. Pour vous la présenter, de long et beau cheveux châtains, de yeux noisettes rieurs, un visage d’ange tombé du ciel et un plastique de rêves pour nos ages : de très beaux seins et des fesses incroyables.

Entre nous le courant est passé instantanément, c’est très rare quand cela arrive, une sorte de  »coup de foudre » amical. Nous étions inséparables et pour ne rien arranger, ses parents avaient pris une location non loin de chez nous, ce qui n’arrangeais rien : mais qu’est ce que nous avons ri !

Par un bel après midi ensoleillé en ce mois d’Août déjà bien entamé, nous étions chez elle, dans sa chambre et seules par une sorte de hasard du calendrier, les  »autres » ayant préféré sans doute faire autre chose. Nous n’avions fait que parler : de vrais moulins à paroles, on jouait, on se taquinait, on mangeait des cochonneries…Une après midi filles parfaite, tant et si bien que nous n’avons pas vu l’heure passer : tant pis pour la plage.

Grand rituel que nous avions instauré, dès que l’un ou l’autre, disait une bêtise ou charriait un peu trop  »fort », l’autre lui donnait une claque sur la cuisse en guise de remontrance, cela nous avait fait l’été entier ! Et un été cela représente beaucoup de bêtises dites ou faites & tout autant de claques, c’était devenu notre truc à nous.

Je ne me souviens pas du contexte, une discussion animée, sans doute un peu trop. Emilie as du bien me chercher, car ma main est partie sur sa cuisse avec une force que je ne me connaissais pas. Je l’ai instantanément regretté, elle as crié, nous nous sommes regardées, moment d’angoisse de ma part, avant de pouffer de rire toutes les deux.

Elle m’as dit « mais tu m’as fais mal morue » en riant, puis elle s’est levée d’un bond, pour me faire face, moi j’étais assise sur le lit où nous étions posées & pour être franche je m’attendais à de sévères représailles !

Se tenant là, les mains fermement postées sur ses hanches, je me souviens m’être dit  »mais qu’elle est belle » dans ma tête. Elle portait un top noir, sans soutiens gorges ainsi qu’un jogging en coton gris assez ample mais qui moulais parfaitement son derrière.

Elle as défait le nœud de son jogging et l’as abaissé accompagné d’un petit mouvement de hanches, bien sûr, je l’avais déjà vu en maillot de bains et même sous la douche auparavant, mais là elle était proche de moi, genre très proche. J’avais les yeux à hauteur de son (tout petit) string blanc (mode de l’époque oblige).

Elle as pointé du doigt la marque que je lui avait faite, j’ai été surprise de voir mes doigts imprimés sur sa peau. Je me suis sentie confuse, je voulais m’excuser et disparaître. Son visage sévère a disparut, lorsqu’elle a commencé à caresser sa cuisse laissant place à une moue attendrissante, sans doute pour le faire culpabiliser plus. Elle m’as fixé droit dans les yeux en me disant  »fais bisou » ce as quoi j’ai protesté, mais rien à faire elle était sérieuse. Je me suis exécutée, pour me faire pardonner après ce geste déplacé.

Quand mes lèvres ont touché sa peau, je ne vais pas vous mentir, cela m’as fait un sensation intense, mais gênée j’ai vite tourné cela à la rigolade. Un bisou sur sa cuisse, mon dieu ce qu’elle sentait bon, vite expédié et j’ai levé les yeux vers elle pour bafouiller  » tu n’es pas fâchée hein ?  »

Son sourire est revenu, elle m’as caressé les cheveux (frissons) et m’as répondu  »bien sur que non » son visage trop proche du mien, puis à attrapé mon menton et avec un aplomb déconcertant m’as fait un  »smack » (refrissons) doux, rapide et léger. Puis avec son rire à tomber s’est jetée sur le lit, juste à coté de moi, j’ai levé les mains et ris de surprise, car je pensais qu’elle allais se jeter sur moi pour me le faire payer en chatouilles.

Je suis restée assise comme une idiote, elle as crapahuté sur son lit à quatre pattes, m’offrant ainsi une vue imprenable sur son joli petit cul rebondis et je n’ai pas manqué une miette du spectacle. Elle est partie se saisir avec difficultés, d’un objet imposant situé au coin du lit, une sorte d’oreiller géant violet qui avait l’ai lourd & peu maniable. Puis l’as calé entre ses jambes avec habilité, cela ne devais pas être la première fois… Cette vue, Emilie à quatre pattes, les jambes écartées chevauchant son oreiller !

Je suis restée les bras ballants durant toute la scène, qui m’as paru durer un éternité alors que pas du tout, reluquant le tout d’un œil attentif. Le sang me montait aux joues, j’avais bien senti le changement d’ambiance qui se chargeait d’un tension encore nouvelle. Mon bas ventre commençait a se serrer, tout comme mes cuisses et toute sortes de papillons batifolaient dans un joyeux bordel à l’intérieur de moi. Sans vraiment comprendre ce qui se passait mon cerveau m’envoyais toutes sortes de signaux que j’ai ignorés ne sachant pas comment les interprétés.

Emilie à rejeté ses longs cheveux sur le coté et m’as lancé un regard qui m’as perforé de part en part, sûre que je ne l’oublierais jamais.  »Viens » m’as t’elle lancé. Je suis montée à genoux sur le lit  » mais qu’est ce que tu fais ?  » , quasi inaudible ou bien elle as choisi de royalement m’ignorer. Je me suis approchée d’elle en marchant droite sur mes genoux son cul en ligne de mire. Une fois a sa hauteur, j’ai vu que son corps imprimait un petit mouvement de balancier sur le fameux oreiller, mon souffle s’est coupé net, je venais de percuter ce qu’elle était entrain de faire…

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