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Chroniques d’un parc public – partie 1

Chroniques d’un parc public – partie 1



C’est une rubrique dénichée sur un forum Internet qui me mit la puce à l’oreille, il y a deux années de ça. Il y était question d’une liste de rendez-vous fixés dans un immense parc public qui se trouvait non loin de chez moi, à la sortie de la ville. J’étais marié, à l’époque, ce qui ne m’a pas empêché d’aller vérifier ce qui se passait là-bas, par simple curiosité.
Je n’ai pas été déçu.

Les usagers les plus nombreux du parc étaient des retraités et des familles en promenade, mais il existait d’autres sortes de publics qu’on ne rencontrait pas dans les allées aménagées. On les croisait plutôt dans les sous-bois, dans des clairières. Mais d’autres préféraient les bordures des parkings. D’autres encore affectionnaient les abords du lac ou les sanitaires publics à l’abandon. Pour ma part, j’ai goûté à tout.

La toute première fois, à mon arrivée, en début de soirée, j’ai trouvé six ou sept voitures groupées à l’extrémité d’un des quatre parkings qui donnent accès au parc. Je me suis garé et me suis approché d’un attroupement formé près d’une voiture en particulier. Le membre du forum où j’avais cueilli l’information n’avait pas menti : par la vitre passagère, une femme suçait des bites. Elle avait la trentaine, les cheveux bruns mi-longs et des lunettes. Elle était complètement à poil. Côté conducteur, un homme se branlait en la regardant et en lui caressant une cuisse. Lui était habillé. J’allais apprendre rapidement que ce n’était pas son compagnon, mais un collègue à elle. Ils se prénommaient Lucie et Xavier.
En décidant de venir sur ce parking, je m’étais dit que je me contenterais d’observer en simple spectateur. Mais en fin de compte, je me suis laissé tenter. Après cinq minutes passées à l’écart, j’ai sorti ma queue et me suis branlé en regardant cette femme masturber des hommes, passer sa langue autour de leurs glands, sucer leurs bites en se faisant tripoter par la vitre.
Quand ce fut mon tour, ça ne dura pas bien longtemps, car le spectacle m’avait terriblement excité. Ma queue était raide et mon gland gonflé à bloc quand Lucie l’enfourna dans sa bouche. J’ai néanmoins pris le temps de malaxer ses nichons pendant qu’elle me suçait délicatement. Ils étaient lourds et tendres comme de beaux ballons remplis d’eau, contrairement à ceux de ma compagne qui étaient petits et pointus. Je n’avais plus tripoté de gros seins depuis la fac. Quant à la chatte de Lucie, elle était lisse, mais je ne l’ai pas touchée cette fois-là. Je n’ai pas eu le temps, car j’ai éjaculé dans sa bouche et le sperme à coulé abondamment sur son menton.
Je me souviens que juste après moi, un homme a enfoncé sa bite dans la bouche de Lucie, sans se soucier de mon sperme qui n’avait pas tout à fait fini de dégouliner.

D’autres couples venaient sur ce parking-là, mais aussi sur un deuxième situé à l’opposé du parc, d’autres jours de la semaine et du week-end, à des heures différentes. J’appris qu’il arrivait que plusieurs couples soient présents aux mêmes endroits et aux mêmes heures, et qu’il était très plaisant de passer d’une bouche à une autre. J’appris rapidement également que certaines femmes ne s’en tenaient pas à des fellations.

Un autre secteur du parc m’interpellait aussi : un bloc sanitaire à l’état d’abandon qui se trouvait en lisière d’un sous-bois, non loin de l’université qui jouxtait le parc. Sur le forum, il était dit à mi mots que des étudiants trainaient dans ce coin-là en pleine semaine.
J’y suis allé quelques jours plus tard, dans l’après-midi. Et là encore, le forum n’avait pas raconté de bobard. Une seule fille était sur place cette fois-là, ainsi que deux hommes d’un certain âge. Pour ma part, j’avais eu 40 ans, et l’idée de me taper une étudiante était très loin de me déplaire.
A mon arrivée, je n’ai d’abord vu personne dans le périmètre de ce vieux bâtiment en béton cerné de ronces et de jeunes arbustes. J’ai dû suivre un étroit passage creusé dans la végétation pour atteindre l’entrée. Je m’attendais d’ailleurs à ce que la porte soit condamnée, mais je me trompais. Elle avait dû être forcée à un moment donné, et j’entendis des petits bruits à l’intérieur en m’approchant.
A mon apparition, les trois visages se sont tournés vers moi. Ces deux messieurs qui étaient sans doute à la retraite, puis cette fille d’une vingtaine d’années, typée asiatique, aux cheveux très longs. Debout, dos à un mur, elle ne portait sur elle qu’un chemisier noir moulant, entrouvert sur une minuscule poitrine, et des bottines en daim marron. Un des deux vieux, tout habillé, était accroupi devant elle et lui léchait la chatte. L’autre se tenait debout près d’eux et se branlait en regardant. J’ai levé une main en guise de salutations et, ne constatant aucune hostilité dans les regards qu’on m’adressa, je suis entré.
La fille était très mince et sa chatte épilée. Je me suis mis à bander, mais je n’ai rien fait pendant plusieurs minutes. Le temps que le premier vieux s’arrête de lécher la chatte de la jeune asiatique, puis qu’il se remette debout pour baisser son pantalon et son caleçon. Le temps qu’il ajuste sa bite à hauteur des fines lèvres humides et qu’il l’enfonce, guidée par les doigts de la fille. Le temps que l’autre vieux s’approche d’elle, tripote ses petits seins et se mette à l’embrasser sur la bouche avec la langue. J’ai attendu tout ceci pour sortir ma bite raide et m’approcher à mon tour.
Je n’avais jamais touché de fille asiatique, mais je soupçonnais celle-ci d’avoir du sang européen. Elle était magnifique, et le fait qu’elle se retrouve dans un endroit pareil avec deux hommes âgés était une énigme pour moi, car je pense qu’elle aurait pu s’envoyer n’importe quel homme de son choix sur cette planète.
Et, lorsque ce fut mon tour, la première chose que j’eus envie de faire fut de lui lécher le cul, tandis qu’elle s’était penchée en avant pour sucer le deuxième homme. Le premier n’avait pas encore éjaculé. Il avait seulement reculé pour me laisser la place et nous observer en se masturbant. Et je ne saurais pas dire à quel point je bandais, tout en léchant cet anus. Car je savais qu’ensuite, j’allais être en mesure de pénétrer cette fille. Son cul avait goût de café, mais je pouvais aussi sentir l’arôme de sa chatte au fil des mouvements de ma langue. Je ne pouvais pas m’empêcher de songer qu’il s’agissait d’une étudiante et qu’elle avait sans doute passé des heures à la fac auparavant, le cul posé sur un banc. Elle était asiatique, très mince, très jeune, et j’ai fini par craquer : je me suis relevé pour empoigner ses fesses et faire glisser ma queue dans sa petite moule serrée.
A proximité, j’avais remarqué que le deuxième vieux ne bandait pas beaucoup. Sans doute pas assez pour pénétrer une chatte. Hormis rouler des pelles à cette fille, palper ses tout petits seins et agiter sa queue, il ne fit rien. Je me souviens l’avoir vu éjaculer mollement, un peu plus tard, juste après le premier vieux, sur le carrelage poisseux de cet endroit, tandis que la fille s’apprêtait à recevoir mon propre sperme sur sa langue. Elle me regardait dans les yeux, tout en me branlant. Elle n’avait pas dit un mot depuis que j’étais arrivé. Les deux vieux, pour leur part, s’étaient contentés de petites injures à voix basses.
Elle s’appelait Kim, je l’appris dans les minutes qui suivirent, pendant qu’on fumait une cigarette à l’extérieur du bloc sanitaire. Elle avait 19 ans. Son père était français et sa mère vietnamienne. Elle avait un petit ami qui suivait également des études, mais à 300km de là. Ils se voyaient un week-end sur deux. Elle venait dans ces sanitaires de temps en temps pour « se taper des hommes mûrs », selon ses termes.
Je ne sus jamais quelles étaient les raisons profondes de cette attirance pour les hommes mûrs, mais je ne m’en plaignis pas. En l’espace de deux années, j’ai compté, je me suis tapé cette fille quatorze fois, dont quatre où elle était accompagnée d’une petite blonde un peu rondouillette qui aimait se faire sodomiser.

Entre temps, j’étais revenu sur le premier parking, mais je m’étais aussi aventuré sur le deuxième. Mon épouse commençait à se poser des questions au sujet de mes absences de plus en plus fréquentes, mais le plaisir était plus fort que tout, car le parc offrait mille possibilités.
Je me suis fait sucer je ne sais combien de fois par des vitres passagères, par des femmes d’âges divers, mais j’ai également eu l’occasion d’en pénétrer quelques-unes. Certaines ne quittaient pas leur véhicule : elles présentaient leur cul par la vitre, et les queues se succédaient dans leur chatte. Mais d’autres ouvraient leur portière au bout d’un moment, et il était possible de multiplier les positions.
Je me souviens d’une femme qui s’appelait Anne. Elle avait une petite cinquantaine et possédait une énorme paire de nichons et un gros cul. Je l’ai baisée sur le capot de sa voiture, sous les yeux de plusieurs autres hommes, dont son mari qui la baisait aussi dans ces moments. Je l’ai aussi prise par derrière, dans l’herbe, pendant que des bites se succédaient dans sa bouche. Je me souviens aussi avoir giclé sur ses nichons en regardant la bite d’un étudiant s’enfoncer dans sa grosse chatte.
Je me souviens d’une femme beaucoup plus jeune que moi, qui s’appelait Marie, assez grande et mince, qui sortait également de sa voiture pour se faire sauter à proximité, tandis que son mari restait au volant, systématiquement, à la regarder, à attendre qu’elle ait terminé de s’envoyer des inconnus.

Aux abords du lac, c’était différent. Certaines petites criques n’étaient ni accessibles depuis les allées du parc, ni vraiment visibles depuis la plupart des autres rives. Et, sur le forum, j’avais relevé qu’une de ces criques était fréquentée par des naturistes très ouverts d’esprit. On pouvait y rencontrer des couples, mais aussi des femmes seules qui venaient se mettre à poil au bord de l’eau pour s’allonger et se faire bronzer aux beaux jours. Tous avaient l’esprit très ouvert et partageur, cela va sans dire. Des groupes se formaient ainsi dans cet endroit, tout naturellement, et les choses se déroulaient à peu près comme sur les parkings, mais il m’arriva de m’y retrouver tout seul, un jour, en pleine semaine.
Les choses se passaient de la façon suivante : en arrivant, il était bien vu de se déshabiller complètement et de se choisir un emplacement pour déplier une serviette de bain et s’allonger. C’est ce que je fis ce jour-là, comme d’autres fois auparavant, sauf que j’étais seul. Personne en vue dans la crique. Je me suis déshabillé, puis j’ai bouquiné.
Il s’est écoulé un bon petit moment avant que je perçoive du bruit dans le sous-bois qui protégeait la crique des regards. Et là, je fus stupéfait, car non seulement il s’agissait d’une femme seule, mais en plus de ça, je la connaissais. Elle était caissière dans un petit supermarché où j’allais de temps en temps. Je l’avais remarquée, car elle était charmante, bien constituée, la trentaine. Et j’avais son prénom en tête, puisqu’il était inscrit sur le petit badge épinglé à sa tenue de travail. Elle se prénommait Claire.
Elle vint vers moi, sans vraiment sourire. Elle portait une assez longue robe couleur kaki clair et des nu-pieds blancs, tandis que moi j’étais tout nu sur ma serviette, allongé sur le ventre avec mon bouquin, le cul à l’air. A trois mètres de moi, elle s’est arrêtée et m’a dit :
« Bonjour. »
Je lui ai répondu et elle a ajouté :
« On s’est déjà vu, non ? »
J’ai fermé mon bouquin et j’ai répondu :
« Oui. Je passe à votre caisse de temps en temps. »
« C’est bien ce qui me semblait, a-t-elle dit en souriant cette fois-ci. Je peux m’installer près de vous ? »
J’ai bien sûr accepté. Elle a déplié une immense serviette de bain et l’a étendue au ras de la mienne. Ensuite, elle a ôté ses nu-pieds et jeté un regard vers le lac en disant :
« C’est calme aujourd’hui. Il y a trois semaines de ça, je me suis faite importunée par des gamins qui se baladaient en bateau gonflable. De vrais petits vicieux… »
Puis elle a défait une fermeture dans son dos et sa robe a dévalé son corps pour tomber sur le sol. Dessous, elle ne portait rien. Je ne sais combien de fois je l’avais regardée, tandis qu’elle passait mes articles en caisse, en me disant qu’elle était tout à fait charmante. Je l’avais vu en pantalon sous sa petite blouse, mais aussi en jupe. J’avais eu une idée du volume de ses seins, mais aussi de ses fesses. J’avais remarqué un tatouage à son épaule gauche, qui représentait un papillon, et je m’étais demandé si elle en portait d’autres sur le corps, que seul un veinard avait sans doute l’occasion de voir à certaines occasions. Je m’étais dit tout cela, à mon passage en caisse, et à présent Claire se tenait à poil à un mètre de moi.
Des cheveux châtains, mi-longs et bouclés, qui tiraient sur le blond aux extrémités, la peau assez claire et des seins très fermes au volume moyen. Un petit cul bien rond et une fine toison couleur noisette.
Elle s’est allongée près de moi, sur le ventre également, et je regardais ses tétons toucher sa serviette quand elle m’a dit :
« Vous venez souvent ici ? »
« C’est la cinquième ou sixième fois, et vous ? »
Elle a allumé une cigarette et soufflé sa fumée avant de me répondre :
« Je n’ai pas compté, mais je ne viens que les jeudis, c’est mon seul jour de repos avec le dimanche. Mais le dimanche, il y a trop de monde. »
Je bandais.
J’ai dit :
« Je ne suis jamais venu le dimanche. »
Elle a de nouveau soufflé de la fumée et répondu en souriant :
« J’ai essayé une fois, un week-end où mon conjoint n’était pas là. On était au moins vingt. »
J’ai répondu bêtement :
« Ça fait du monde, en effet. »
Puis elle m’a regardé en disant :
« Jusqu’à dix, ça va. Mais je préfère à quatre ou cinq. Et vous ? »
J’ai réfléchi. Elle se tenait en appui sur ses coudes et j’avais du mal à ne pas regarder ses seins collés à sa serviette. Du mal à me retenir de jeter un regard vers son cul.
J’ai répondu :
« Je n’ai pas vraiment de préférence, mais quatre ou cinq, c’est bien. »
« Ou trois ou quatre, a-t-elle dit avant de tirer sur sa cigarette. »
J’ai hoché la tête en disant :
« Oui, c’est encore mieux. »
Ensuite, elle m’a regardé dans les yeux, l’air très sérieux. Le même air de la petite caissière qu’elle était en temps ordinaire. J’adorais le dessin de sa bouche, mais plus encore ses grands yeux marrons qui brillaient un peu.
Puis, tout aussi sérieusement, elle m’a dit :
« Avez-vous déjà eu envie de me faire des avances en passant à ma caisse ? »
Je me suis raclé la gorge :
« Je ne me serais pas permis. »
Elle a détourné le regard en disant :
« Je me demande combien d’hommes chaque jour se disent des trucs à mon sujet. Il suffit de croiser le regard de certains pour sentir qu’ils ont des choses en tête, mais aucun n’ose jamais les dire. Ce serait tellement amusant de parvenir à lire dans les pensées… Cela dit, ce serait sûrement étourdissant, car je ne sais pas combien d’hommes par jour passent à ma caisse. Dans une année, c’est des milliers. Des milliers d’hommes qui vous déshabillent du regard, vous imaginez ? C’est pour cette raison que les caissières regardent rarement les clients dans les yeux, sauf pour leur tendre leur ticket et leur souhaiter une bonne journée. »
« J’y penserai la prochaine fois, ai-je dit en souriant. »
Elle a souri aussi :
« Mais ce sera différent, pour vous, la prochaine fois. »
Je n’ai pas répondu, j’ai attendu la suite. Nous étions là, tous les deux, à poil sur nos serviettes, et personne ne se décidait à venir dans cette petite crique ensoleillée, en plein mois de juillet.
Je bandais toujours.
Elle a ajouté :
« La prochaine fois que vous passerez à ma caisse, vous saurez comment sont faits mes seins et quelle forme ont mes fesses. Si ça se trouve, d’ici là, vous m’aurez même bouffé la chatte et défoncé le cul.
Elle m’a séché.
Je me suis senti rougir comme un débutant.
Sous prétexte qu’on s’était croisé dans un contexte quotidien, je n’avais ni osé entrer dans le vif du sujet, ni faire un seul geste. Je me sentais assez ridicule, mais ça ne m’empêchait pas pour autant de bander. Simplement, ce fut la première fois que je ressentis de la pudeur dans cet immense parc public où tout était permis dans certains endroits, à certains moments.
Voyant mon embarras, elle a terminé en disant :
« Vous pouvez me demander ce que vous voulez. Tout ce qui vous passe par la tête, y compris des trucs tordus. »

Ce jour-là, personne d’autre que Claire et moi ne vint se déshabiller au bord de cette petite crique discrète. Et, la minute suivante, j’eus le bonheur de lécher le cul de la jolie caissière, pendant qu’elle me suçait divinement. Je ne la voyais pas faire, mais elle crachait sur mon gland avant de prendre ma queue entière dans sa bouche. C’était glissant et elle gémissait sous mes coups de langues appuyés.
Elle m’avait dit qu’elle avait un conjoint, mais ça ne l’empêcha pas de s’empaler sur la bite, au-dessus de moi, en poussant des petits cris et en disant des mots obscènes par moments. Ça ne l’empêcha pas de me demander de l’enculer en tapant bien profond. Ça ne l’empêcha pas de faire une pause pour pisser à un mètre de moi, ni de me laisser éjaculer dans sa bouche, peu de temps après. Ni de me dire, un quart d’heure plus tard, qu’elle avait encore envie de se faire baiser comme ça au bord de l’eau, dans un lieu public où n’importe qui pouvait venir à tout moment.
Alors nous avons recommencé.

Ce jour-là, je me souviens, à mon retour chez moi, j’ai pris une douche vite fait avant le retour de ma compagne. Elle s’appelait Valérie. Nous avons divorcé depuis, en partie à cause de ma petite caissière. Car ce jour-là, Valérie avait envie de baiser, mais je fus incapable de la satisfaire. Claire m’avait complètement vidé.
Claire et tant d’autres avant elle, dans ce parc public qui a changé ma vie. Mais Claire fut la goutte d’eau de trop, car je me suis rendu compte ce jour-là que je n’avais plus été en mesure de satisfaire Valérie depuis des mois. Je me suis rendu compte que je n’avais plus envie d’elle, tout simplement. Je me suis rendu compte que ma vie sexuelle se résumait à l’immense parc public où d’autres possibilités encore m’attendaient.
Impatiemment.

…/…

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