Je t’emmène dans les Landes faire une petite randonnée. Le sous bois est magnifique et l’odeur des pins enivrante. Au bout de quelques km, nous arrivons dans un petit espace ou subsiste une cabane de gêmeur ou de bûcheron; elle est pittoresque et comme beaucoup, abandonnée mais encore debout. Pour nous reposer et nous protéger du soleil, nous y pénétrons un peu fourbus. Une vieille table rustique est encore là flanquée de ses bancs, un peu comme celles des aires de repos ou de pique nique. Nous nous asseyons quelques instant et goûtons du silence et de notre repos. Nous prenons même chacun un banc et nous y allongeons. Et là, par dessous la table, je vois se dessiner les formes de ta silhouette sur le dos. Tes jambes, un short léger, un tee-shirt ou 2 jolies formes sont moulées, ton cou, ton visage, les yeux fermés; tu somnole. Je me lève, et contourne la table. Tu sens ma présence, mais ne réagis pas. Je pose mes mains sur tes cuisses et entreprend de les caresser. Une mains reste sur les cuisses et l’autre remonte vers ton ventre pour caresser et masser légèrement. Je te propose de te coucher sur la table pour continuer et toujours un peu somnolente, tu t’y installe après que j’y ai mis un drap de bain que j’avais pris dans mon attirail de sac à dos et que je t’ai demandé d’enlever ton tee-shirt et ton short. Tu est là, offerte a mes mains, sur le ventre, les bras le long du corps et la tête tournée sur le coté et dés les premiers mouvements de mes mains, tu tombe dans les bras de Morphée. Pour ne pas être gêné, je dégrafe ton soutien-gorge et entreprend de longues passes à 2 mains du haut des épaules, jusqu’à la naissance des fesses, en poussant un peu la culotte légère que tu porte. J’ai de l’huile de massage sensuelle, parfum d’orient; j’en met suffisamment pour que ça glisse sans problèmes; ta peau est luisante, souple, je remonte de la taille sur les cotés ou des fesses sur le dos, ou à l’inverse, descend vers les fesses ou le coté du bassin, en poussant un peu plus la culotte. J’entreprend de masser les jambes; les mollets vers les cuisses, l’intérieur des cuisses en remontant vers leur naissance. J’insiste un petit peu à cet endroit, une main bien vers les lèvres et l’autre sur la raie des fesses a travers le tissus. Ton bassin se cambre pour s’offrir a ce massage délicieux. Chaque mouvement de main sur la fente ou vers le petit trou, donne en réplique un mouvement du bassin. Des petits sons sortent de ta bouche. Je comprime le tissus en tirant dessus, tu écarte un peu les cuisses et je voit ta vulve comprimée, le tissus tout mouillé qui prend bien sa forme.
En te disant ça, je l’imagine bien sur trés fort et j’en bande; mon gland est même inondé de liquide prostatique (la mouille des mecs).
Alors, ton niveau d’excitation semble élevé, je te sors de ta somnolence heureuse en te demandant de te retourner, ce que tu fait sans sourciller. J’en profite (he he) pour retirer ton soustif et la petite culotte devenue inutile. Tu est là, toute nue, offerte à mes mains, sur cette table. Il fait une chaleur dans cette cabane.
Je commence par te renverser de l’huile un peu partout; même si ça déborde, mon drap de bain aura ton odeur encore longtemps. J’étale cette huile; sur les seins, que je masse en m’arrêtant malicieusement autour des auréoles; on distingue les tétons qui pointent, qui durcissent; alors, je titille encore autour, je passe mes doigts un par un, à les frôler au sommet, aller retour plusieurs fois, ce qui les gonfle encore, ils s’offrent à moi, on sent un désir physique fou, derrière ces petits bouts de chair pointés!!! D’une main, je continue a exciter ces mamelons, pendant que l’autre s’aventure en glissant vers le bas ventre de ma jolie patiente. Ses cuisses ne sont pas ouvertes, simplement allongées et ma main s’allonge sur ce pubis, rencontre une fente naissante et descend ce ruisseau prometteur. Entre les lèvres, un petit renflement me dit que j’ai rencontré le clitoris; alors mon doigt lui prodigue un petit massage circulaire tout doucement. Deux autres doigts enserrent les lèvres sur le précédent et ensemble, titillent par de petits va et vient cette zone sensible, qui petit à petit se lubrifie, devient carrément humide et gluant; ma main bien large passe et repasse sur la vulve brillante, gonflée de désir; le bassin ondule, comme l’autre main titille aussi les seins, c’est tout le corps qui se tord; je vois une jolie jeune femme toute brillante d’huile de massage, les seins pointés, la vulve bien en avant, un corps qui se tord de désir, des sons émis par sa bouche pendant que je la travaille aux zones sensibles. Un doigt s’introduit juste sous le clitoris, vibre à l’entrée, l’autre main pince doucement les tétons; j’insiste, je vibre encore le clitoris, les cuisses s’écartent, le corps est tordu d’ondulation; comme je peut atteindre et la vulve et le petit trou, j’introduis mon pousse dans la fente humide en faisant des aller retours et un doigt libre descend vers le petit trou pour exciter la zone. La patients ondule de plus en plus, je vais plus vite dans mes mouvements, ma main est inondée de mouille, preuve de ton désir; tes cuisses se lèvent, offrant un peu plus ton mont de vénus, tes abdominaux se contractent, se sculptent, ton souffle est court ; quel beau spectacle; soudain, je vois les abdominaux parcourus de spasmes; tu te crispe de partout, des petits cris sortent de ta bouche et tu continue a être parcourue de spasmes, tu te relâche et tu t’abandonne dans un soupir, avec encore quelques spasmes; quelle chienne tu a été; une vraie sorcière.
Je t’aide a te relever et essuie ton corps tout nu, luisant.
Comme cet exercice m’a mis un baton dans le short, tu ne manque pas de le remarquer et met ta main sur la bosse. Tu me dis « alors et toi? » je te répond « tu vois, je bande dur » et mon liquide prostatique a même fait une petite tache humide sur le devant. Alors, tu baisses mon short et des 2 mains, tu entame une masturbation de ma tige, accroupie devant moi, avec l’aide d’un peu d’huile. Une main sur la hampe et l’autre malaxe mes boules ou visite l’entre jambe. Cela met un peu de temps, tellement je suis excité et soudain, je me crispe et me raidit et une crème blanchatre est éjectée vers toi par petits jets et s’offre à ton joli visage et tes seins, tel une crème de beauté; tu m’as soulagé de cette excitation, je te relève et t’embrasse pleine bouche, aprés avoir un peu lèché de ma crème, afin que nous la partagions.
En guise de trophée, je te confisque tes sous vêtements pour les accrocher à la porte de la cabane et tu fait de même avec mon slip, nous repartons nus, avant de remettre un minimum, short et tee-shirt, à l’approche de la civilisation, aprés une marche trés agréable ou l’un et l’autre, jouissons du spectacle de l’autre nu. Deux corps qui n’ont pas fusionné sexuellement mais qui ont pris du plaisir à deux en plus de celui d’être nus sans contraintes dans la nature.
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