Aujourd’hui je nettoie mes massifs dans ma cour donnant sur la rue. Je viens d’avoir mes 68 ans et cela me fais plutôt chier de vieillir. La peau se ratatine chaque année un peut plus, mon ventre s’arrondi aussi, mais j’aime bien bouffer… je cuisine plutôt bien. Quand je suis en shorts au jardin, j’aime bien ne pas mettre de sous-vêtements, sentir mes couilles libre m’excite. De plus, j’aime tendre mon cul, cela aussi m’excite, de penser qu’une bite pourrait me prendre malgré mon age avancé. Je sui bi et pas sauvage, mais j’adore aussi les femmes…
Mon short est assez descendu, et on peut voir le début de ma raie, quand j’entends du bruit dans la cour à coté. Je me retourne et aperçois une jeune femme arrivant avec un arrosoir.
– Bonjour Monsieur, il fait bien chaud aujourd’hui.
– Voui, bonjour, faut arroser.
Elle vient vers moi, avec un joli sourire, pas très grande, à peine trente ans, brune aux cheveux courts, en short blanc et débardeur rose. Je ne la connais pas. Pourtant je connais les propriétaires, ils ont la soixantaine et on est entre bons voisins. Elle s’approche du grillage de clôture d’un mètre. Je remarque ses tétons qui pointent sous le débardeur. Mes yeux se portent un instant sur son entrejambe.
– Je suis Amélie, une amie d’Armel, la fille de vos voisins…
– Ah bon, dit je en m’approchant du grillage. C’est vous qui êtes de corvées d’arrosoirs ? Les Dupont sont encore en voyage ?
– Oui, Armel devait venir quand ses parents partent, mais elle ne pouvait venir arroser aujourd’hui. Je lui ai proposé mon aide.
– Tout le plaisir est pour moi, heureux de vous connaître. Vous êtes du coin ?
– J’habite avec mon mari dans le haut de la ville. On à juste un appartement, alors cette cour fleurie, c’est agréable.
– Bon arrosage alors.
Je retourne à mon sarclage. Lui tournant le dos, mon cul de nouveau tendu vers le ciel, le short un peut plus descendu sur mes fesses. Je jette un coup d’œil sur la fille, qui semble me regarder les fesses, je me tends un peut plus en écartant bien les jambes pour la surveiller. Cette fille, je lui montrerais bien ma bite me dis je, avec cette chaleur, on serais mieux a poil.
Elle continue d’arroser en me jetant des petits regards et autres sourires. J’essaie un :
– Fait trop chaud, je vous offre un verre d’eau ? Sans trop y croire.
– Oui c’est gentil, je veux bien, j’ai encore trois jardinières et je suis à vous.
– A moi, comme c’est gentil… Venez dès que vous avez fini, la porte est ouverte, le temps de me changer et je suis a vous… aussi.
Elle rigole, Je pose mes outils et rentre dans le garage laissant la porte entrouverte. Je retire mon maillot, baisse mon short, je tends la main pour att****r une seviette quand j’entends derrière moi :
– excusez moi, j’aurais dut frapper.
Elle est la sur la porte avec un grand sourire, les mains sur les hanches. Moi, je me retourne à poil, la bite molle, les couilles pendantes sentant la sueur. J’essaie d’att****r la serviette pour me cacher.
– Vous savez je sais ce qu’ai un homme, j’ai 29 ans et je suis mariée, alors pas besoin de vous précipiter pour vous cacher.
J’éclate de rire,
– ben alors vous… vous êtes pas une sauvage. Vous savez quand même que je n’ai plus vingt ans ?
– Moi non plus ! Je vous avoue que mon mari est aussi plus âgé que moi, il à 38 ans…
– Et moi 68, c’est un peut plus âgé que lui.
– J’aime bien regarder les hommes murs, les grands pères comme vous ont l’air gentil, ils donnent confiance.
– Et vous en voyiez beaucoup des grands-pères à poil dans leur garage.
– Non, vous êtes le premier, j’avoue que je vais sur Internet et regarde quelques fois certains sites senior ou sur des chatroulettes, il y en à pas mal qui se montre.
– Oui je connais moi aussi, cela m’arrive d’y aller. Pas déçue du vieux monsieur en short dans sa cour ?
– Non pas du tout, vous savez votre short montre bien vos fesses quand il descend…
– Petite voyeuse, approche, je vois que tes tétons pointent. Tu es excitée, jolie garce ? Ton mari ne va pas s’inquiéter de ton absence ?
Elle s’approche, je lui prends la main et la pose sur ma bite, qu’elle ensert fort en disant :
– Il est au foot et ne rentrera pas avant 19 heures.
– C’est une invitation a passer un moment ensemble ?
Elle sert plus fort ma bite molle. Elle bredouille en se mettant à genoux.
– Oui j’ai envie de vous sucer. Vous sentez bon la sueur d’homme propre dit elle en passant sa langue sur mon gland, puis sur les couilles et enfin, elle la prend en bouche, la faisant rouler sur sa langue.
Ma bite se durcit doucement. Elle devient plus grosse, s’allonge, mon gland sort de sa peau. Je bande mou, mais je bande. J’aime ce moment ou on peut travailler la bite à moitié raide, la tordre, la mordre. Sa bouche est très agréable, chaude, vivante, j’ai relevé son maillot et attrapé ses tétons, les pinçant fortement, les tirants, je commence à les claquer doucement, ils ballottent, lourds, pesant. Je les secoue, elle sue de plus en plus vite la bite et cette fois raide dans sa bouche. Je claque ses gros nichons, elle grogne. Elle se retire baisse rapidement son short et sa jolie culotte de dentelle. Elle caresse sa chatte, mouille ses doigts dans sa bouche et se doigts le cul.
– J’ai envie que vous sentir dans mon cul, c’est possible ?
Je regarde ma bite dressée encore devant elle.
– Oui je pense qu’elle va entrer. Si tu le fais régulièrement, ma bite est assez dure, sinon, on verra.
– Personne ne ma jamais enculé dit elle, je le fais des fois avec des objets ou des légumes, mon mari n’aime pas.
Elle s’appuie contre l’établi, jambes écartées, elle prend une grosse **** avec un manche en bois, crache dessus et se le présente à l’entrée. Elle pousse un peut, juste ce qu’il faut pour qu’il commence à rentrer, le retire, le lèche et cette fois l’enfonce jusqu’à la garde.
Elle s’accroupi avec la lime toujours dans le cul, le fer pose au sol, comme empalée. Elle me suce de nouveau. Ma bite est gonflée. Je vais me faire cette fille contre l’établi, dans on garage. Elle se relève s’appuie de nouveau, pousse, la **** s’échappe de son fondement, tombe au sol dans un bruit de ferraille.
– Venez, à vous, dit elle en me regardant doucement.
Je me place derrière et présente ma bête. Dès qu’elle a senti le gland commencer à entrez, elle recula sur ma bite, puis c’est elle qui se mit a la manœuvre. Je ne bougeais plus, accroché a ses tétons pendants, les tirant encore vers les cotés. Elle se godais avec ma bite comme elle l’aurait fais sur un concombre ou sur n’importe qu’elle manche d’outils. Je me laissais aller, essayant de retenir mon sperme, le plus longtemps possible. Cela devenait difficile, vu le rythme. Puis ma semence coulant dans son intérieur, elle ralenti.
– C’était bon, j’en avais envie depuis longtemps. Excusez moi si je vous ai surpris, je ne suis pas une salope et je n’ai jamais trompé mon mari avec un homme, juste avec des trucs. Là c’était autre chose, vous avez l’air si gentil, merci pour ce joli moment.
J’étais comme un con dans le garage, a poil devant elle, la bite pendante.
– Je vous offre un verre d’eau, comme promis
– Oui merci dit elle en renfilant son short, elle rabaissa son maillot et glissa sa culotte dans sa poche. J’attrapais la serviette, quand elle me dit :
– Non, restez comme ça pour m’offrir a boire, j’aime voir votre bite et vos couilles a l’air.
Elle but son verre d’eau, ma bite serrée dans sa main, ou ses doigts jouaient sur mon gland tout humide. Elle me prit la bouche, enroula sa langue autour de la mienne.
– Peut être à une prochaine fois,si vos voisins ont besoin d’arroser les fleurs.
Elle se sauva en courant, le temps de renfiler mon short, elle avait disparu.
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