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Le commencement

Le commencement



Texte écris lors de mes voyages professionnels hebdomadaires si cela vous plait j’ai une autre histoire a vous compter./. je vous laisse donc me mettre en commentaire ce que vous en pensez.. bien a vous…

Il marchait seul, comme souvent, au milieu d’une foule de passant. Léonard était comme ça, depuis qu’il était arrivé dans cette ville, seul. Il avait laissé derrière lui quelques amis qui ne se déplaceraient pas pour lui. Des écouteurs sur les oreilles, il ne s’intéressait que peu au gens qui passaient autour de lui, ça ne l’intéressait pas. Lorsqu’il regardait autour de lui, ce n’était que pour essayer de croiser le regard de certaines femmes qui attirait ses yeux. 4 ans qu’il était arrivé à Nantes, il lui avait fallu 2 semaines pour trouver un boulot, mais après une relation de 2ans, il n’avait jamais eu de nouvelles conquêtes, et pour lui ce manque se faisait sentir. Il avait besoin de tendresse, de caresses. Il arrivait dans son magasin, comme tous les jours il portait un pantalon foncé, un pull col v beige qui laissait dépasser le col de sa chemise. C’était l’uniforme qui lui était imposé, mais cela ne le dérangeait pas, il préférait les jeans, mais ce style ne lui allait pas si mal, pensait-il. Léo comme il se surnommait depuis des années arriva dans sa petite boutique, il y faisait des impressions, pour les professionnels et les particuliers, les dossiers les rapports de stage, les thèses, les manuscrits… c’était son domaine, son boulot. Depuis quelques mois, il traversait une période très creuse, après avoir rencontré une fille, il s’était fait avoir et avait beaucoup souffert, depuis, il avait du mal à être très heureux au travail, cette précédente histoire avait commencé là, dans son échoppe, il ne voyait plus le magasin de la même façon, et les gens dedans non plus. Il savait qu’après une histoire comme celle-ci, il lui faudrait du temps pour s’en remettre, mais ce fut bien plus long que pour celle qu’il l’avait fait souffrir.

LA CLIENTE

Ses journées, Léo les passait à aider les clients, une heure avant la fermeture il devenait toujours très irritable, surtout pour les clients qui avaient des travaux spéciaux… Une jeune femme entra, un jour, dans son magasin, il était 18h04, Léo était presque sur le point de s’énerver, quand elle demanda à son collègue, “j’ai 2dossiers de 70 pages à imprimer et à relier…”elle avait beau être charmante, il poussa un long soupir pour exprimer son mécontentement. Il devait bosser, il lança alors les impressions. Son collège était toujours en formation, alors Léo lui expliqua comment préparer la fermeture du magasin “alors tu vois, Francis, a cet heure si tu arrêtes tes travaux, et tu commences à fermer le magasin” son regard s’arrêta sur sa jeune cliente, elle était très charmante songea t’il. “Le mieux c’est e commencer par faire un tour de magasin et de tout ranger” dit fil en s’approchant de sa cliente. Elle triait ses feuilles… “Tout se passe comme vous le voulez mademoiselle ?” demanda-t-il. “Heu, pas vraiment en fait, la machine n’a pas trié les feuilles donc je les trie” répondu la jeune femme en se tournant vers lui. De plus elle le pencha la tête sur le côté, comme si elle cherchait un autre angle de vu, avant de se remettre à faire ses 2 paquets de feuilles distingue, mais elle s’embrouilla rapidement, et Léo s’était senti obligé de venir à son aide. Il se mit en face d’elle, derrière la table sur laquelle les 2 tas de feuilles se formaient et prit les feuilles des mains de la demoiselle, une à une, pour les mettre dans le bon sens sur le bon tas. “Je suis désolée, je suis complètement pommé, je sais plus ce que je fais” lança t’elle en enlevant sa veste, et en se retroussant les manches. Leo aperçu alors un tatouage sur son avant-bras, un motif celtique qu’il ne put s’empêcher d’admirer un instant. Francis revins alors vers Léo, “c’est bon ça va pas besoin d’aide ici ? on fermera a l’heure? ” lança t’il vers Léo “oui, ça devrait aller, si on ferme en retard, la demoiselle nous paye un verre !!”Lâcha Léo décontracté en fixant la cliente en face de lui avec un grand sourire. “Ça ne me dérangé pas du tout rétorqua l’intéressée en levant la tête. Leo vit alors ses yeux bleu claire que ses longs cheveux bruns lui cachaient jusqu’à présent. Francis renchéri, “heu moi j’ai un truc ce soir, je ne peux Pas rester.

– hé bien tant pis pour toi !! sortit la jeune femme le plus naturellement du monde.
– Je rigolais, hein, dit Léo un peu gêner de voir sa blague prise trop au sérieux. Enfin après je disais pour embêter madame…
– Et bah moi je ne dis pas non, je viens de terminer ce truc, alors je veux bien ire un verre lâcha la dame en question
– D’accord, d’accord. Répondu Léo pendant que Francis lui tapait discrètement sur l’épaule.
Léo commençai les reliures de la cliente pendant que Francis fermait le magasin. Léo pu lire sur la couverture le prénom de Diane, celle dont il reliait les dossiers, et avec qui donc sur un… malentendu allait boire un verre en sortant du boulot. Il ne lui restait plus que 10minutes avant sa fermeture. Diane ayant réglé ses travaux, regarda Léo, et lui lança assez discrètement, “je vais déposer mon dossier, le temps que tu fermes, et je te retrouve ici après, je n’habite pas loin, je reviens.” Puis elle disparut. Francis s’approcha de Léo “la prochaine fois” rigolait-il. Leo ne releva pas. Ils fermèrent ensemble le magasin et partirent chacun de leur côté, Léo n’avançait pas très vite, regard il chercha sa Diane. Quand il lui apparut enfin, il vit au premier coup d’œil quelle s’était fait une beauté. Il sourit comme un idiot lorsqu’ils arrivaient face à face. Q
“- salut, lança-t-il
– Ça faisait longtemps dit donc, repris Diane en se rapprochant un peu plus, tu veux aller où ?
– Je… je ne sais pas, je ne connais pas trop les bars du quartier… il y en a des sympas ?
– Non pas vraiment, il faut retourner dans le centre-ville.
– Et bien allons y alors, conclu Leonard
Ils marchaient côte à côte en discutant, les conversations d’usage lors d’une 1ere sortie. Arrivé devant le 1er bar qu’ils croisent, ils s’arrêtèrent, “celui-ci te convient?” demanda Léo. “Ici, il est sympa et je n’habite pas très loin lui répondit la jeune femme. Ils rentrèrent et pris une table. Ils commandaient deux bières blanches. Ils continuaient à discuter, de tout de rien, de leur vie respective. Leurs conversations étaient ponctuées de rire. Ils s’entendaient vraiment bien. Une deuxième tournée t commandée. Leur discussion repris de plus belle. Leur deux verres terminés, Diane refusa une troisième bière sa tête commençait à tourner et elle ne voulait pas être pompette sachant ce qui pouvait arriver ensuite. Elle dit alors : bon bah je vais rentrer moi,
-je te raccompagne, lança Léo un peu éméché avant de se reprendre, j’ veux dire… si ça te dérange pas, je préfère venir avec toi, je n’aime pas te savoir rentrer toute seule… Diane lui souris en retour :”et tu as que cette idée en tête ?” lui répondit-elle… Leo resta figé comme une proie a découvert. “Oui ça me rassurerais aussi que tu viennes avec moi, finit elle par dire. Ils enfilèrent leur manteaux et partit dans le froid de la rue de novembre. Sur la route Léo faisait frôler sa main contre celle de Diane cela la faisait frissonner. Leo pris les choses en mains.
Elle me paraissait envieuse d’arriver chez elle, mais sans forcément me repousser. Nous prîmes la rue à droite elle dit, voilà ma rue ! C’était un signal, il ne me restait plus beaucoup de temps pour lui montrer que je la désirais. Nos mains se croisaient toujours. J’en profitai pour la prendre par la main. Elle me regarda avec un grand sourire lorsque nos mains furent en contact. Diane s’arrêta alors devant un immeuble, bon bah voilà, j’habite ici… dit-elle, un silence gênant suivi. Ça à l’air sympa lui répondis-je.
– c’est vrai, c’est sympa, tu veux… elle hésita, tu veux monter… boire …. Un verre?
– Je sais pas, je ne veux pas déranger dis-je en regardant part terre
– Tu ne me dérange pas voyons, me dit-elle en secouant sa main qui était dans la mienne.
Elle ne me laissait pas indifférent, c’est sûr. Ses longs cheveux bruns et sa peau blanche me faisait penser à une princesse de dessins animés. Elle n’était pas très grande mais cela me convenait j’aime toujours avoir ce contexte de pouvoir me montrer en bonhomme macho devant une jolie fille. Je n’avais pas forcément bien vu le reste de son corps, mais elle me semblait pas très grosse voir même fine, le profil d’une femme anorexique peu de forme. Son tatouage qui lui couvrait l’avant-bras m’excitait c’était rare pour moi devoir une femme tatouée, et je trouvais cela particulièrement érotique. Elle m’avait expliqué le motif celte qu’elle avait elle-même dessiné.
« OK mais je ne traine pas trop alors. » Avais-je fini par dire avec un sourire au coup des lèvres. Les yeux de Diane s’illuminèrent a cette annonce, ses deux mains prirent les miennes, elle s’approcha de moi, je ne pus résister, et lui offrit mes lèvres dans un tendre 1er baisé. J’eu des papillons dans le bas ventre. Ce baisé terminé, elle lâcha un soupir, un soupir de satisfaction, de soulagement, comme si elle avait attendu ce moment toute la soirée. Je lui rendis par un sourire. Elle se tourna, ouvris la porte et me laissa entrer. “Aller 3 étages à monter maintenant !” me lança-t-elle alors que je l’a laissais passer devant pour me montrer le chemin. J’encaissai sans broncher la suivant d’un pas décidé. Dès les 1eres marches, mes yeux se posèrent sur ses fesses que je suivais, elles étaient juste en face de mon visage. Elles n’étaient pas bien grosses mais semblaient bien sportives. Je ne remarquai pas de marque de couture, je me posai donc la question de ce qui pouvait se cacher sous son Jean. Le 1er étage venait de passer. Comme par challenge, je songeai : il ne me restait plus que 2 étages pour deviner sa lingerie… ». C’était dur, aucune trace n’était visible sur ce joli fessier, il ne me restait plus que deux possibilités, ou cela ne se voit pas car c’est trop petit pour être visible, ou, cela est trop grand pour voir les coutures dessiner des sillons sous le pantalon. J’eu un sourire idiot, lorsque je vis le regard de Diane qui me fixai avec le même sourire que le mien « ça te plait visiblement ? » je bafouillai quelque chose, rouge de honte, mais nous continuâmes notre ascension. Arrivé sur son pallier, est fit un tour sur elle-même pour me jeter un coup d’œil et m’att****r part la main. Elle l’a lâcha assez vite pour prendre ses clés et ouvrir la porte de son appartement. Pendant qu’elle cherchait, je ne pus m’empêcher de me coller à elle et poser mes mains sur ses hanches. D’un geste doux, je poussai ses cheveux pour dégager sa nuque et lui déposer un baisé à cet endroit. La surprise de ce baisé la fit sursauter, avant de laisser sa tête en arrière, comme pour me faciliter l’accès à son cou. Je fis glisser mes baisés sous son oreille, elle se mit à trembler est je pouvais sentir la chair de poule naitre aux creux de ses reins. Cela me fit aussi réagir, et une bosse commençait à naitre dans mon pantalon. Elle poussa un long soupir avant de tourner la tête vers moi pour m’embrasser. Nos lèvres collées, j’entendis les gons de la porte grincer, mais je ne relevai pas, elle se tourna pour être face à moi, mes mains la laissa faire. Sa langue se mit à chercher la mienne, j’ouvris alors ma bouche pour que celles-ci se rencontrent. Même si je n’ai jamais aimé les grosses galoches, ce baisé était différent, nos langues se caressait, s’effleurait l’orée de nos lèvres, ils étaient divin ces baisé. Un bruit de serrure d’une porte voisine nous rappela où nous nous trouvions, comme un coup de vent, Diane me tira à l’intérieur de son appartement, j’eu juste le temps de pousser la porte du pied pour la faire claquer. Elle chercha de la main l’interrupteur pour allumer la lumière, tout en essayant d’enlever ma veste, ses lèvres toujours collées au mienne. Je trouvais cela mignon et la laissa essayer un peu. Quand la lumière s’alluma enfin, je ne pus m’empêcher de regarder un peu le lieu où j’avais atterris. La décoration était assez chargée, des posters étaient attachés un peu partout sur les murs de la pièce qui devait être le salon séjour visiblement. Elle ouvrit les yeux à son tour, me fixa droit dans les yeux en enlevant ma veste, elle la jeta sur la table à côté de nous. « Il est chouette ton appart’ » je n’avais rien trouvé de mieux à dire, elle acquiesça en faisant un pas en arrière. « Merci, ça fait 2 ans que je vis ici, je m’y plais, c’est mon chez moi… enfin, bienvenus chez moi » finit-elle par me répondre.
– Tu veux boire quelque chose du coup ? continua-t-elle en commençant à se reculer encore plus
– Non c’est bon pas tout de suite, lui dis-je en la tirant vers moi.
Je ne lui laissai pas le temps de me répondre, je posai mes mains de chaque côté de son visage, mes pouces sur ses joues, et posa mes lèvres sur les siennes. Elles étaient douces, velouté, c’était plaisant de les sentir contre les miennes. Je ne voulais pas précipiter les choses, mais des envies de moins en moins correct gagnaient mes pensées. Je sentis alors les mains de Diane se faufiler sous mon pull, et son tee shirt, elle avait les mains gelées, je sursautai en les sentant se poser sur mes hanches. Excuses moi, je suis désolée, me dis-t-elle du bout des lèvres entre deux baisés. Ce n’est pas grave, ça m’a surpris, c’est tout, lui répondis-je entre les baisés suivant. Je fis parcourir mes mains le long de ses bras, pour qu’elles viennent se poser sur ses hanches si fines. Je glissai mes mains sous son pull à mon tour, son corps était chaud, elle était chaude. J’en perdis l’esprit.
C’était une première pour moi, ramener un mec le premier soir chez moi… et le laisser faire ça, mais j’en avais envie, il était charmant, et puis, 2 mois sans personne, je n’en pouvais plus. Lorsque ses mains se posa sur mes hanches, je poussai un petit soupir, j’étais pressée, peut-être trop, et ce mauvais garçon avait dû s’en rendre compte car il prenait bien son temps, j’en devenais folle. Son corps contre le mien, ses lèvres sur les miennes, mon dieu, ses lèvres, ses baisés étaient doux, si doux. Je ne savais pas encore si je reverrais ce gars, mais sa douceur était magique et me marquerais je le savais. Jamais un mec n’avait pris autant de temps pour faire monter mon désir, j’adorai ça. Je remontai mes mains le long de ses côtes pour lever son pull, son tee-shirt venais par la même occasion, tant mieux, je gagne quelque instant ! Il est grand, et même si il m’aide en levant les bras, je ne pourrais pas lui retirer complètement son haut. Mais il m’aida quand même et pris le relais pour l’enlever. Je le regardai faire, regardais le corps qu’il découvrait. Il avait un petit ventre, il était normal, un gars pas super sportif, qui mange bien, pas de bedon, mais un peu de chocolat mou pour protéger ses tablettes, m’avait-il dit au bar, je pensais que c’était pour me faire rire, mais c’était aussi honnête. Il n’était pas très poilu, pour un mec d’une trentaine d’année, il devait s’entretenir, il y avait des poils juste sur son petit chemin du bonheur, et autour de ses tétons qui pointaient déjà. Je revins alors contre lui, avant de poser mes mains sur son corps, je les frottais l’une contre l’autre pour les réchauffer, il me souffla un « merci » avant de prendre ma bouche avec la sienne. C’était à son tour de me déshabiller, et là, il ne prit pas bien longtemps avant de commencer à soulever mon pull, il arriva à prendre en même temps mon débardeur, et alors qu’il levait mes vêtements ses baisés descendit dans mon cou. C’était bon, terriblement bon, je pouvais sentir sa respiration lente, son souffle chaud dans mon cou, il savait que cela me faisait de l’effet, il le voyait mon corps ne pouvais pas le cacher, il se tendait. Une de ses mains passa sur mon soutien-gorge. Je pris soudain conscience que je n’avais pas pris ma belle lingerie, je l’avais taquiné mais je ne portais qu’un de mes vieux boxers en coton, et un soutif assez vieux, j’eu l’espace d’un instant un petit regret. Mais il partit aussi vite qu’il était arrivé, ses caresses me rappelant ce qu’il était en train de faire. Sa mains redescendit jusqu’à mon pantalon, et ses doigts passa sous ma ceinture, venant jouer avec l’élastique de mon boxer, je poussai un soupir, mais sa main n’alla pas plus loin. J’allais finir par être frustrée moi !! D’un coup, il retira enfin mes vêtements, mon pull et mon débardeur firent un bruit sourd en tombant sur le sol. Il glissa alors délicatement des mains sur mon ventre, ma poitrine, enfin mon soutif, s’amusant à l’écarter de mes seins par le haut pour y faire glisser ses doigts. J’avais toujours aimé ces caresses sur les seins, mais trop de mecs avaient joué à les malaxer dans tous les sens, je sentais que cela allait recommencer. Mais non, alors que ses baisés revins sur ma bouche, le pris une des bretelles de mon soutif et la fis glisser doucement sur mon épaule. Et la fit tomber. Il descendit encore sur mon épaule et entrepris de faire la même chose de l’autre côté avec la bouche. Ses dents arrivèrent à prendre la bretelle et à la faire glisser aussi. Il était fort, il était bon, j’en perdis la tête.
Je ne pensais pas y arrivé ainsi, j’avais essayé plusieurs fois mais sans jamais y arrivé vraiment. Son soutif ne tenait plus que par l’agrafe dans son dos. Mais je voulais profiter, jouer, je sentais son désir monter, je voulais le faire durer. Je fis un pas en arrière pour admirer le corps de déesse que j’avais imaginé, mais elle se tenait les bras croisés sur sa poitrine, comme si elle était gênée, je revins contre elle, posa mes mains sur les siennes, et les entraina sur mon corps, pour libérer le sien de son entrave. Je ne pouvais m’empêcher de penser qu’elle n’aimait pas ses seins, vu la réaction qu’elle avait eu. Je posai mes mains sur ses épaules, posa mes lèvres dans son cou, et mes mains partirent de part et d’autre de son corps, à la découverte de son anatomie, arrivé sur ses seins, je la sentis frissonner et faire un mouvement de recul, je soufflai alors à son oreille : ils sont très doux, et ils ont une forment parfaites, dis-moi si je vais trop vite, mais autrement, détend toi, je suis un anti gros lolo. Je la sentie sourire puis se détendre, un petit peu. Ses mains se mirent à leur tour à explorer mon corps. Elles passèrent sur mes fesses, et les palpa, j’en rigolai. Mes mains sur ses seins commencèrent à les palper aussi tout en douceur, mes doigts vinrent prendre ses tétons, juste les prendre, pas les pincer, et les serrer tendrement. Diane poussa un petit cri, mon sexe fit un bon, et ses mains sur mon jean sentirent la tension du tissu. Elle rigola à son tour, et passa sa main sur cette bosse. J’en rougis, et elle aussi. Mes mains passèrent dans son dos, pour libérer les seins de Diane, elle se sentit encore gênée, mais je l’avais pris de vitesse. Lorsque ses mains voulu venir les cacher, il y avait déjà les miennes, et je descendis mes baisés, pour venir déposer en déposer un sur son tétons. Elle poussa un son entre le cri et le râle, sa main, sur mon jean, cherchais à s’agripper à quelque chose, cela me fit bander encore plus fort. Je commençai alors à prendre son téton entre mes dents, je le serai doucement, pour que ma langue puisse jouer avec lui. Diane laissa sa tête tomber en arrière, je la regardai du coin de l’œil, j’étais ravis de la voir ainsi. Ma main partit sous son pantalon et sans vraiment attendre, je caressai le morceau de coton qui couvrait son sexe. Il était déjà moite, ma respiration s’emballa, sa mon passa elle aussi sous mon pantalon, et a travers mon boxer, elle saisit mon sexe, et le caressa. Ce fut à mon tour de pousser un râle d’excitation. Mon doigt parcourait la fente de Diane, à travers le coton, elle haletait. Elle déboutonna mon pantalon sans que je m’en rende compte et ce n’est que lorsqu’il m’arrive mi-cuisse que je percute. Je fais alors de même, et libère son sexe de mes caresses le temps d’enlever son pantalon, ce n’est pas un leggins, mais il descendait difficilement le long de ses jambes. Ma bouche changea de sein pendant que je me penchais pour accompagner son vêtement. Son boxer en coton gris un peu passé m’excitait, étrangement. Ma main revins se poser dessus, elle poussa un nouveau râle, tout en faisant revenir sa tête en avant, comme pour me regarder faire, comment tu fais ça sérieux ? C’est trop bon !! Lâcha-t-elle, presque à bout de souffle. Je ne sus quoi répondre, mais arrêta quand même ce que ma bouche faisait pour la regarder, je me redressai. Quoi ? Qu’est-ce que je fais ? Lui demandai-je
– C’est divin ce que tu fais à… à mes seins, les joues rouges traduisais son excitation, et son regard sa curiosité, on ne m’a jamais fait ça avant, c’est trop bon !!
– Bah… je sais pas… j’y retourne !! lui dis-je en passant lui mordiller son cou.
Mes doigts cherchaient à passer sous le coton pendant que mes dents se resserrèrent autour de son téton elle commençait à perdre l’équilibre. Il était vrai que depuis le début elle était debout. Je la fis reculer jusqu’à la table a côté, elle y posa ses fesses. Cela me facilita l’accès à son sexe, en faisant bailler son boxer. Mes doigts longèrent toute la fente déjà bien humide, Diane poussa un râle sans aucune retenu, comme un soulagement. Je commençais à ouvrir son sexe gonflé de désir, enfonçant phalange par phalange, à chaque mouvement le long de son sexe. Sa respiration était devenue très courte, elle haletait comme si elle suppliait d’aller plus vite, d’aller plus loin. J’enfonçai alors un doigt à l’intérieur de ce sexe qui n’attendait que moi. Elle lâcha mon sexe et s’agrippa à la table comme pour se retenir. Je sentais qu’elle venait très vite, un orgasme approchait déjà. Mon doigt entièrement rentrer, je lui fis faire des petits va et vient en forçant vers le haut. Diane calla sa tête contre mon épaule. Cherchant à se calmer, je senti ses dents me mordre, elle semblait vouloir se retenir. J’exaltais, me donnais encore plus, attentif au moindre de ses sons. Je lui murmurai à l’oreille, « laisse toi aller ma belle, laisse toi aller, si ça vient, laisse venir, ne te prive pas, vient !! ». Elle lâcha un son incompréhensible, mon doigt accéléra. Et d’un coup, son corps se tendu de tout son long, ses jambes se serra, emprisonnant ma mains. Les yeux fermés, elle jouissait dans le silence, seul nos respirations s’entendaient. Au bout de quelques dizaine de secondes elle ouvrit les yeux et relâcha tous ses muscles. Je pus retirer ma main, je m’approchai de son visage. Ça va aller ? Lui demandais je inquiet devant son silence. Elle se pencha vers moi et m’embrassa.
Après ce tendre baisé, il y eu un moment de silence, elle avait la gorge sèche, très sèche, qu’un homme la fasse jouir de la sorte était pour elle une nouveauté, elle qui se masturbait régulièrement, venais de découvrir que certains hommes pouvaient savoir utiliser leurs mains à bon escient.
– Tu veux boire quelque chose ? lui demanda-t-elle en cherchant à reprendre son souffle.
– Je veux bien oui. Lui répondit Léonard en se reculant comme pour la laisser descendre de la table.
Elle alla chercher deux verres dans un meuble, pris une bouteille d’eau et les rempli, avant d’en avaler un d’une traite et de le remplir à nouveau, et de revenir vers Léo pour lui en tendre un des deux. Ils s’assirent sur le canapé non loin de la table. En buvant son verre, Léo jeta un coup d’œil autour de lui, pour regarder un peu l’appartement dans lequel il était rentré. La déco était assez sommaire, quelques posters couvraient les murs blanchâtres, et les meubles venant de grande surface, lui rappela que sa partenaire n’était qu’une étudiante. En face du canapé se trouvait une table basse et contre le mur opposé une télé assez petite. Sur la table basse, beaucoup de chose trainais là, du paquet de mouchoir au pc portable, elle devait passer pas mal de temps assise ici songea Léo, avant de retourner sa tête vers la jeune femme assise à côté de lui. Elle était nue, sans montrer la moindre gêne. Il parcouru son corps des yeux. Elle était tellement jolie, sa peau était vraiment pâle, cela faisait vraiment ressortir son tatouage. D’une main il passa main dessus, une caresse du bout des doigts. Elle tourna la tête, elle lui semblait amorphe, épuisée. Ses yeux se plongèrent dans les siens. Il resta figer comme ça un moment. Sans un mot. Léonard fini par détourner le regard un instant.
– Ça va aller ? tu as l’air exténuée…
– Mhm… ah oui oui, ça va, t’inquiète pas, je… je réfléchissais juste à un truc, lanca Diane en secouant la tête comme pour se remettre les idées en place.
– Tu es sûre ? tu as l’air un peu perdue… ?
– Oui, c’est la première fois que… que je fais ce genre de chose le … au premier rendez-vous…
– Ah, pardon, excuse-moi, je… je ne voulais pas te brusquer… je… je… bafouillai Léo
« Mais ne t’excuses pas, c’était très bon !! » lui répondit Diane en venant se coller à lui sur le canapé. Léonard senti alors le corps de la jeune femme contre le siens, il avait presque oublié qu’il était nu lui aussi. Même si il avait bandé comme un âne, son sexe avait repris sa taille au repos, et il était posé sur la bourse juste en dessous, bloqué entre ses cuisses. Diane posa alors sa main sur son bas ventre, juste au-dessus du membre, dans la petite ligne de poils qui partait du nombril jusqu’au membre du garçon. « Et toi alors ? Tu n’es pas venu ! » Murmura-t’elle en fixant l’engin endormit. Elle appréciait sucer le sexe des hommes quand ils étaient au repos, elle aimait surtout le sentir grossir dans sa bouche, au fur et à mesure des coups de langue qu’elle leurs donnait. C’est alors qu’elle le prit dans sa main, se pencha en avant, et sans que Léonard ne puisse réagir, goba son sexe tout entier. Une fois dans cette position elle se mit plus confortablement, à quatre pattes sur le canapé. Elle trouvait ca rigolo, la bite encore molle dans la bouche lui rappelait un gros chamallow. Avec la langue, elle palpait cette chair et la sentait se gorger, se remplir, gonfler. Son autre main chercha la table basse pour poser son verre, dès que cela fut fait, elle prit le sacrum pour le malaxer. Léonard, lui, ne bougeait pas restait sans rien faire, il appréciait juste le moment. Diane s’attendait à ce qu’il lui tire les cheveux, il lui maintienne la tête, voir même lui fasse faire des mouvements pour tout contrôler, et prendre son plaisir. Mais au lieu de ça, Léo posa une main en douceur dans ses cheveux et l’autre sur son dos, et du bout des doigts caressa cette plaine blanchâtre qui s’offrait à sa vue. La respiration du jeune homme se fit bruyante, lorsqu’il expirait, Diane entendait des longs « mmmmmh », elle apprécia, sa main quitta alors le bas ventre de son amant pour rejoindre le sien. Ce que Léonard lui avait fait quelques minutes plus tôt avait été très bon, mais elle voulut vérifier que son sexe n’était pas irrité par la masturbation qu’elle avait subi, elle avait bien mouillé, mais elle préférait en être sûre. Son doigt longea sa fente toujours humide, aucune douleur ne se fit sentir, « ouf ». Sa main se posa alors sur le canapé pour prendre appuie, elle sentait la main dans son dos passer sur ses côtes, et caresser ses seins, ils étaient très sensible après le traitement qu’ils avaient subits, mais Léonard les caressais doucement, tendrement. Il passait ses doigts sur les tétons tout durs, sans les pincer, sans les torturer, c’était agréable, cette douceur. Bientôt le sexe de Léonard ne rentrait plus dans la bouche de Diane, elle s’évertuait quand même à en avaler le plus possible, elle branlait la base, pendant que sa bouche jouait avec le gland rouge vif. Elle changeai de mouvement régulièrement, sa main brassait les couilles juste en dessous, et dès fois, comme par pur folie, elle laissait son doigt glisser un peu plus loin, de l’autre côté. Léonard maintenait la tête de sa partenaire, sans forcer, et par moment maintenant, il poussait de longs soupirs. Sa main glissait de nouveau sur le dos de sa sangsue, glissa jusqu’en bas de ses petites fesses, il les palpa allègrement, l’une puis l’autre. Les écartait, glissai un doigt dans le sillon qui les séparaient, mais il ne pouvait pas aller bien loin, juste au-dessus de son petit trou. Mais déjà au creux de ses reins, la chaleur montait, et elle pouvait sentir son désir revenir. Les hanches de Léo commençaient à se soulever discrètement, à chaque fois que la bouche de Diane s’éloignait de son pénis, cela la faisait rire. Il se fit glisser doucement vers le côté, pour pouvoir plus facilement atteindre la partie sensuelle de sa partenaire.
Maintenant, avachi sur le côté dans le canapé, il pouvait à loisirs, caresser tous les recoins du corps de sa partenaire. Il continua les caresses sur les fesses, mais cette fois, il pouvait sans mal atteindre son sexe, mais s’arrêta dans un premier temps à la petite corole entre les fesses. Diane avait déjà essayé ce genre de pratique, mais cela ne s’était jamais bien passé, ses partenaires n’avait jamais pris le temps de la préparer, et c’est ce qu’il semblait faire.
Il faisait tourner son doigt dessus, délicatement, sans essayer de rentrer, juste des caresses. Diane trouvai ça très agréable, et pour lui signifier elle astiquait la verge pendant que sa langue la parcourait dans la longueur. Léo se fit alors complétement tombé sur le canapé, il passa sous Diane, et mit sa tête entre ses cuisses fines. Un « 69 », c’était ce qu’il cherchait à mettre en place. Diane lui refusa d’abord l’accès, elle ne s’était pas lavée le sexe de la journée, et elle venait de jouir, elle ne se sentait pas vraiment de se laisser lécher le « con » dans cet état. Mais Léo réussi à se glisser malgré tout, il passa ses bras le long de ses hanches, pour pouvoir écarter les fesses et le sexe qu’il avait devant les yeux. Et à peine installé entre les cuisses de Diane, il commença par déposer des baisés aux creux des cuisses. Elle en était folle, être si près de son sexe et ne pas y touché… c’était un crime. Pour se venger, elle fit pareil à Léo, elle lâcha sa tige et embrassa son bas ventre. Monsieur se décida alors a embrasser la fente d’abord le bas, le petit clitoris, encore caché par son capuchon, il ne voulait pas le faire sortir avec ses doigts qui étaient gentiment en train de caresser l’anus un peu plus haut. Puis il sortit sa langue doucement pour parcourir toute la fente, qui s’écarta dès le premier passage. Léonard pris alors un instant, pour regarder ce sexe, s’ouvrir, s’écarter naturellement libérant à la vue le clitoris qu’il avait eu sous les doigts. Il admirait aussi l’écume qui coulait tout doucement de la pastille rose vif que formait le vagin qui s’ouvrait. Elle mouillait, elle mouillait tellement, cela le rendait dingue. Il commença alors à la lécher, sa langue traversa toute la fente, il alla même jusqu’à l’anus que ces doigts avait laissé pour parcourir les fesses qui s’offraient à lui. Diane surprise de cette attention, poussa un petit son. Léo fit le même mouvement plusieurs fois, à chaque passage, il enfonçait sa langue de plus en plus à l’intérieur de la fente. Ouvrant le sexe doucement. Soudain, il enfonça sa langue le plus profond possible dans le vagin de Diane, elle poussa un petit cri guttural de satisfaction en se redressant, allant même jusqu’à se cambrer pour que cette langue rentre au plus profond de ses entrailles. Elle resta un moment dans cette position bougeant le bassin pour profiter de cette langue en elle. Elle regardait la verge de son amant, la touchait du bout des doigts. Après un instant de pur plaisir, et l’orgasme arrivant, elle reprit la succion qu’elle avait commencée, mais elle y mettait du cœur à l’ouvrage, elle donnait tout !! Elle suçait le gland, l’aspirais, passait sa langue sur le frein, le titillait. Pendant que d’une main, elle secouait la base, et de l’autre malaxait les couilles. Léo repris alors les va-et-vient le long de la fente et lorsqu’il arriva sur le bouton du plaisir à peine découvert, il enfonça sa langue sous le capuchon et commença à le faire bouger sous ses papilles. Le pénis dans la bouche, la jeune femme laissa échapper quelques sons qui motivaient Léo à aller encore plus lentement, son doigt reprit sa place dans le petit anus de Diane. De son autre main, il enfonça deux doigts dans la vulve trempée. Leurs respirations devenaient de plus en plus lourdes, tous les deux approchaient de l’orgasme. Dans sa tête, la jeune demoiselle avait du mal à admettre qu’un homme puisse la faire venir deux fois sans la pénétrer. Sentant son orgasme arriver, elle se leva et se déplaça pour que Léo ne puisse plus lui toucher quelques zones érogènes, en criant « arrête si tu continues, je vais en foutre partout, j’ai une envie d’aller aux toilettes depuis….. « Elle n’osait pas terminer sa phrase, par gène dans doute
– Depuis que j’ai commencé à te lécher ? c’est ça ?
– Oui… C’est ça, dit-elle les joues toutes rouges, par l’excitation et la gêne.
Léo l’attrapa par les hanches et la fit revenir sur lui, sans lui laisser plus de liberté, une fois au-dessus de ce dernier, elle entendit : « c’est normal, c’est pas une envie de pisser, c’est pas de l’urine, c’est juste ton corps qui veut s’exprimer et montrer qu’il aime ce qu’il est en train de vivre, si tu sens que tu viens, laisse toi aller, ça va, ne te prive surtout pas, laisse toi aller.. » la voix était rauque mais Léo voulait être rassurant, elle l’entendait dans l’intonation. Les deux doigts rentraient de nouveau dans la fente rose, ils se courbèrent vers le bas appuyant à l’intérieur, juste au-dessous du clitoris. Diane empoigna le chibre qui se dressait devant son nez. Elle résista à la terrible envie de le prendre en bouche, elle voulait parler. « Mais si je viens, je vais te venir dessuuuuus…. » Les doigts forçaient en elle à l’endroit le plus sensible de son sexe, elle avait du mal à résister, son orgasme n’était vraiment pas loin, mais elle ne pouvait pas se lâcher sur lui, sur son visage. La douce créature qu’elle était n’avait jamais eu de relation sexuelle aussi intense. Aucun de ses amants n’avait pris le temps de s’occuper de son plaisir à elle, jamais a ce point-là en tout ca… Et même ses séances de plaisir solitaire, elle ne les avait jamais fait durer aussi longtemps. La voix de Léo soufflait sur son sexe, ça va aller, laisse toi venir, viens, viens… A ces mots, elle goba la bite de Léo sans aucune retenu. De sa main qui la tenait, ses ongles griffèrent le pubis couvert d’un duvet de poils courts et sombres. Et alors qu’elle fermait les yeux et qu’elle essayait de remplir sa bouche de la chaire bien gonfler, elle senti un liquide couler de son sexe. Un liquide chaud, le long de sa cuisse, elle se sentait mal, l’idée qu’un liquide sort comme ça de son corps, de son sexe en plus !! Les doigts de Léo continuaient de caresser son intérieur, lorsqu’elle senti sa langue décapuchonner son clitoris pour le lécher, elle poussa un long soupir, s’abandonnant complètement à son orgasme. Un flot beaucoup plus important coulait de son sexe, mais elle sentait surtout les doigts en elle, bloqués par les contractions de son vagin et de son anus. Le bas de son corps était comme ailleurs, Diane la bouche pleine, faisait jouer sa langue sur le gland bien rouge et branlait langoureusement la base lorsqu’elle constata que le sexe convulsait, elle entendit alors comme un murmure ; « je viens, je viens, je viens ». Le temps qu’elle comprenne, un flot de liquide chaud gicla dans sa gorge. La surprise ! Elle avait déjà réceptionné du sperme dans sa bouche, celui-ci avait un goût plus agréable que ceux dans ses souvenirs. Elle continuait ses mouvements buccaux en douceur, comme Léo faisait avec le bas de son corps. Il caressait la fente, du bout de la langue, passant régulièrement sur son anus, qui avait du mal à se fermer songea-t-elle.

La coquine se redressa pour avaler ce qu’elle avait dans la bouche, et attrapa son verre d’eau pour se rincer la bouche. Léo se redressa, et du revers de la main, s’essuyait la bouche et le bas de son visage. Diane ne put le regarder tout de suite, gênée par ce qu’elle venait de faire, elle regarda en revanche son canapé, il était marqué, une trace de liquide comme une tache, qui allait vers le bas du canapé et parterre, une flaque, pas très grande, mais elle ne pensait pas avoir… jouis autant que ça. Elle en était rouge de honte. Léo quant à lui ne semblait pas plus troublé que ça face à la situation.

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