Cet après-midi, lors d’une sieste, je me assoupie en rêvant que j’étais aux prise d’un groupe d’homme et à ce qui m’attendait durant la soirée « upper floor » du Samedi soir prochain où m’avait gentillement invité Steph. Vous savez, le joueur de billard.
Lors de ce rêve érotique, j’étais comme dans une bulle où tout n’est que plaisir. Dans mon rêve, je me retrouvais nue au milieu d’une pièce richement décorée, entourée d’inconnus en habit de soirée. Je me demandais ce qui allait se passer et tous m’observaient.
Steph était là, devant moi debout. Je fantasme souvent sur ce genre de soirée. Je dois prendre leurs queues dans la bouche et être utilisée par tous ceux qu’il le veulent et de la façon qu’ils le veulent, hommes comme femmes.
J’en rêvais depuis longtemps, après avoir lu « histoire d’O » et les roman du marquis de Sade, de ces fameuses soirée « The upper floor ». Et voilà que le Samedi suivant, j’allais en être la vedette.
The Upper Floor, organise des soirées où des vraies femmes amatrices sont les esclaves de la maison pour être dominé, puni, fessée, fouettée, et baisée dans un cadre très chique. The Upper Floor illustre le véritable style de vie BDSM tel qu’il est peu être vécu par les esclaves et leurs maîtres. Le BDSM y est poussé à l’extrême, dans la punition, l’humiliation érotique, et plus encore. Les esclaves y deviennent des jouets mis à disposition de maîtres et maîtresses cruels.
Chez The Upper Floor, les plans cul, les événements professionnels, les scènes de BDSM en groupe, l’humiliation publique, la punition en public et le sexe en public sont utilisés pour tester les désirs de chaque esclave. Rien que d’y penser, j’en ai eu un orgasme.
Le fameux samedi en question est arrivé. J’angoisse et ne sais pas encore si je vais y aller. Mais la curiosité l’emporte. Comme convenu, une limousine vient me chercher, un peu comme le début d’histoire d’O.
Je dois être nue sous un manteau et porter un collier et une laisse de chienne.
Arrivée au manoir, je suis accueilli par Steph, qui, très galant m’ouvre la porte et m’embrasse tendrement. Je suis rassurée. Il me fait entrer dans la piéce de cérémonie et tout en me présentant à l’assemblée des invités et des autre soumises, il ôte mon manteau. Je me retrouve donc entièrement nue devant tous ces inconnus.
« Je vous présente Michèle. Une petite nouvelle dans notre cheptel d’esclaves soumises.Michèle est à vous pour toute la nuit. Vous pouvez faire d’elle ce que bon vous semble ! »
Il se retourne vers moi en me disant :
« Dis leur haut et fort que tu es ici de ton plein gré, ce que tu es et ce qu’il peuvent faire de toi, Michèle ! »
Je suis pétrifiée et honteuse mais je me plie à son exigence.
« Bonsoir ! Je suis Michèle et je suis ici ce soir de ma propre volonté invité par Steph. Je suis pour ce soir votre esclave soumise et docile. Vous avez tout les droit sur moi. Mon corps et mes orifices sont à votre servec et à votre entière disposition. »
Rapidement plusieurs homme s’approche de moi et me disent en sortant leurs sexes encore flaque :
« Viens nous sucer Michèle ! »
Cette foi, la partie est engagée et je ne peux plus m’esquiver. Mais je suis comme paralysée. Malgré tout, je me mets à genoux et je ne sais avec quelle force, envahie par une immense honte, Je commence à branler deux queue et en suce une autre devant tout ce public. A un moment, celui que j’ai en bouche appuie fort sur ma tête et s’enfonce, trop, loin dans ma gorge. J’ai eu un haut le Cœur qui les amuse. Les larmes me montent aux yeux.
Je change de queues et les suce à tour de rôle. L’un d’eux dit :
« La bouche de cette pute est accueillante. Elle suce divinement bien ! Elle a du en prendre un paquet dans la gueule pour pomper aussi bien ! »
En en prenant un autre dans la bouche, celui-ci commence à effectuer des mouvements avec son, bassin. Il entre et ressort de ma bouche avec une cadence plus rapide.
Un des invités se glisse entre mes jambes et me dit :
Empale-toi sur ma queue salope ! »
Je mouille tellement que sa queue glisse sans difficulté dans mon conduit vaginal. La queue que j’ai dans la bouche étouffe mes gémissement de plasir. Mais un autre lance :
« Il reste un trou inoccupé j’vais le boucher. »
Je sens aussitôt un pieux qui force mon œillet. Cette foi, c’est de la douleur que je ressent et que ne peux exprimer ayant la bouche pleine. Les deux hommes se mettent à me ramoner vigoureusement le cul et la chatte.
Les premier se vide sur moi et sont aussitôt remplacé par d’autres. De temps en temps j’entends des applaudissement. Mes yeux sont brouillés par des larmes de honte, d’humiliations et dans ce brouillard, j’aperçois d’autres filles se faire mettre comme moi où se faire fouetter. Des cris de jouissance et de douleurs fusent dans cette pièce. Une odeur de stupre monte et remplit le salon.
Puis soudain, c’est Steph qui me prend par les cheveux et m’enfonce sa queue au fond de la gorge alors que d’autre bites prennent place dans ma chatte et mon cul qui sont bien dilaté maintenant et ouvert à toute talle d’engin. Alors je m’applique encore plus et de toutes mes forces pour satisfaire mon Maître d’une nuit. Dans ce délire sexuel, il me demande :
« Alors Michèle ! T’es satisfaite ? T’aime te faire défoncer comme la dernière des traînée ? T’aime la façon dont je sais te traiter, salope ? »
Je ne peux répondre. J’en suis incapable. J’ai honte d’aimer ce que je suis entrain de vivre. Je ne sais plus quoi penser.
Mais avant que je n’aie le temps de continuer mes réflexions. Il m’assène une gifle et éjacule au fond de ma gorge. J’ai reçu tant de sperme et en ai avalé vraiment trop que j’ai envie de vomir.
On me relevé et on présente ma déchéance au public. Je ne ressemble plus à rien. Enfin si, Je ressemble à un sac à foutre. On m’attache et là, j’ai droit à une scéance de dressage en règle à coup de fouet, de martinet et de badine. Même les endroits les plus sensible de mon anatomie ne sont pas épargnés. Je gesticule et cris à chaque coup. Chacun y met sont grain de sel. Il encourage et applaudissent les intervenant surtout quand l’un ou l’un frappe un endroit sensible qui me fait pousser un cri plus aiguë.
Les coups de cravaches continuent de pleuvoir sur mes fesses, mon ventre, ma chatte, mes seins. Les femmes qui me frappent, me semble encore plus vicieuses. Jai très mal, mais je ne veux pas céder, par fierté, et je ne veux surtout pas décevoir Steph. Curieusement, mon corps devenant brûlant par les coups, avec le temps, cette douleur laisse place à une sorte de jouissance et sur un dernier coup, j’en ai même un orgasme alors qu’un jet de cyprine s’échappe de ma chatte. Le piblic siffle et appladit en me félicitant de ma prestation.
On me détache et la douceur avec laquelle maintenant je suis traité me fait fondre en larme. Steph me dit doucement :
« Je suis fière de toi Michèle. T’ai tu senti assez pute ? Assez chienne prise ainsi ? Tu as vu, comme je fais de toi, ce que je veux ? »
Il m’embrasse en me répétant :
« Tu as été parfaite. Tu as su te montrer montrer docile comme je le désirais. Si tu le souhaite, vu ton potentiel, je peux m’occuper de toi et continuer ton dressage. »
Je suis trop épuisée et mon corps est trop douloureux pour que je puisse de façon cohérente répondre à sa demande. Je ne sais plus bien ou la réalité se trouve. Pendant que je suis perdue dans mes pensées, Il m’allonge et m’enduit de crème apaisante. La caresse du massage me fait un bien fou et je ne me préoccupe pas du public qui m’entoure. Je ferme les yeux et je me laisse aller. Les mains se font pus douce et je m’apperçois que c’est une femme qui à pris la place.
Le plaisir est si intense que je joui doucement sous ses doigts. Mais la soirée n’est pas terminée. Après ce doux moment de relaxation, la femme si douce qui me masse, m’attache sur le banc de massage. Je me demande à quelle sauce elle souhaite me manger. Malgré une grande fatigue, on le serait à moins, j’aime être ainsi offerte, sans défense, à la merci de je ne sais trop quel scénario. Une fois qu’elle est satisfaites de mon ficelage, elle tourne autour de moi, comme si il, cherchait le meilleur angle pour jouer avec mon corps. De temps en temps elle m’effleure un téton ou agace mon clito. La sensation d’être exposée est humiliante mais le plaisir prend le dessus. La sensation d’ être totalement à son désir à sa merci, le plaisir est différent mais il est bien là.
Je ressens comme une sensation de fatigue mêle à un doux plaisir. Je reviendrais. Je dis à Steph :
« Merci de m’avoir fait découvrir tout ces plaisir ! »
Je suis sous son emprise, son odeur, son parfum planent autour de moi. Et je m’écroule de fatigue. Le lendemain, je me réveille en ayant cru avoir r^vé ce fantasme. Mais mon corps me rappelle à la réalité. Je suis courbaturée, ma chatte et mon cul sont très sensible par tant de pénétrations. Ma mâchoire est douloureuse à force d’avoir pris toutes ces bites. J’ai encore des relents de sperme dans la bouche et mon corps est zébré des traces des flagellations. Non, je n’avais pas rêvé. Mais je me sentais bien.
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