« Merci c’était tout bonnement génial ce moment exhib/voyeur, heureusement qu’il ne t’a pas vu ca aurait cassé tout le charme… Vers quelle heure je peux passer te voir pour qu’on … discute? »
Rien qu’à lire ce message mon érection reprit de plus belle, par chance, j’étais assis au bureau.
Je réfléchis un moment puis mes doigts glissairent sur les touches…
» Tu finis à 16h aujourd’hui »
Sa réponse ne se fît pas attendre « Oui mais je ne tiendrais pas jusque là, je passe te voir dans 15 minutes, les autres seront occupés, on sera tranquille… »
Et je la vis arriver 15 minutes plus tard, elle me fit signe de la suivre et nous nous dirigeames vers une réserve de matériel peu utilisée et un peu à l’écart. A peine la porte fermée elle m’embrassa à pleine bouche. Je devinais encore le goût de sperme de notre cher intérimaire.
Elle me glissa ensuite à l’oreill: « J’ai pas beaucoup de temps là mais j’ai trop envie de sucer en attendant 16h. »
Puis elle se mit à genou et de ses doigts agiles elle sortie ma queue à demi raide de sa prison de tissu et commença à faire de lents va et vient. Puis ses lèvres s’approchèrent et se posèrent sur mon gland déjà bien humide. Elle ouvrit un peu plus la bouche et commença à la sucer avec gourmandise. Sa langue allait et venait le long de ma colonne de chair, elle s’arrêtait sur mon gland un instant avant de faire entrer ma queue entière dans sa bouche, la prennant en gorge profonde. Cela dura quelques minutes et je senti que le point de non retour était atteint. Je l’en informais mais sa seule réaction fût de saisir mes fesses pour plaquer son visage contre moi afin que ma verge libère son jus au fond de sa gorge.
Je senti un grand spasmes me parcourir et je libérais toute ma jouissance dans sa gorge. Elle leva les yeux vers moi, sortie ma queue de sa bouche, avala toute ma jouissance et fini de nettoyer ma verge de toute trace de sperme.
Elle se releva et me dit quelle avait hâte 16h car elle avait encore envie de se faire prendre bien fortement.
Je crois que l’heure et demie qui passa fût une des plus longues de ma vie.
A 16h je reçu un message de Jordane:
« Descend vite j’en peux plus… »
Mes collègues de matin étant partis et mes collègues d’apres midi étant occupés, je pris l’escalier et descendit rapidement aux vestiaires.
Lorsque j’arrivais en bas je vis la porte des vestiaires fermée, j’entrais donc et vis avec plaisir dans l’entrebaillement de la seconde porte, Jordane, nue comme un vers qui n’attendait que de recevoir mes assauts.
J’eu tout juste le temps fé fermer la porte quelle commençait déjà à me déshabiller. Elle sauta littéralement sur ma verge à nouveau et ne mit que 2minutes a la faire raidir fortement.
Elle se releva et me dit en me regardant dans les yeux « Baise moi directement j’en peux plus »
Sur ces paroles elle se tourna dos à moi et s’appuya sur le mur.
Ma queue se présenta à l ‘entrée de sa chatte et je n’eu aucun mal à entrer tellement le passage était lubrifié. Je commençais donc de lents va et vient et accélerais le rythme rapidement. Je sentais que la pression montait en elle, elle se cambrait de plus en plus, se cramponnait à ma main qui était aller se poser sur son sein.
Elle tourna la tête et me demanda de lui donner le coup de grâce, je compris que l’heure était venue de changer de lieu et surtout de ne pas la ménager.
Je sorti donc de sa chatte inondée et posa mon gland sur sa rondelle, je n’eu même pas à pousser sur sa rondelle pour passer car elle se reçu la d’elle même pour la faire entrer directement au fond. Le passage ayant été fait quelques heures avant il lui était plus facile d’encaisser ma verge rapidement au fond.
Nous avons donc commençait une série de va et vient qui ne dura que quelques minutes car je senti bientôt les muscles de son anus se serrer sur ma verge, ce qui eu pour effet de faire aussi grimper la pression en moi et j’explosais en elle en même temps qu’un violent oorgasme la tétanisait.
Nous restames collé un moment l’un à l’autre, ma verge toujours en elle. Puis je me suis retirais elle se retourna brusquement pour m’embrasser.
Nous nous séparâmes et à peine étais je arrivais au bureau que mes doigts saisirent mon téléphone pour lui écrire : « Etvsi on recommencait de temps en temps ? »
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