Je m’appelle Serge, j’ai 42 ans, et je suis prof de sciences dans le lycée d’une petite ville du Sud-est. Célibataire mais avec une copine avec qui je m’entends bien, nous vivons séparément mais nous voyons souvent chez l’un ou chez l’autre, elle a deux filles d’un précédent mariage âgées de 23 et 20 ans. La plus jeune étant assez excitante, je dois bien l’avouer, surtout quand je la surprenais sortant de la salle de bain, chez sa mère, seulement vêtue d’une culotte en coton et d’un t-shirt blanc sans soutien gorge.
Bien que prévenu par des confrères sur le fait que certaines élèves tentent souvent d’aguicher leurs professeurs, pour avoir de meilleurs notes, je ne me m’attendais pas à vivre l’histoire que je vais devoir écrire aujourd’hui. Je dis « devoir », car croyez le bien c’est à l’insu de ma volonté que je suis contraint de le faire. Je mets ma réputation, ma vie personnelle ainsi que ma carrière en danger en rédigeant ce texte mais je ne peux rien refuser à Elodie, qui m’en a donné l’ordre aujourd’hui.
Elodie est une jeune élève de ma classe de Terminale S, elle est loin d’être la plus naïve ni la plus innocente, car après deux redoublement, elle à l’âge pour venir au lycée avec sa propre voiture. Papa, maman, semblent avoir les moyens, cette fille n’a pas du se faire refuser souvent ses caprices et je vais vite m’en rendre compte. Elle aime obtenir ce qu’elle désire. Ce qu’elle m’oblige à faire aujourd’hui, est une des phases de l’état de servitude dans lequel elle m’a peu à peu fait plonger et me noyer.
Tout a commencé un matin où, avant de rejoindre le lycée, je trouvais un mail d’une certaine « Lolo ». Rien à voir avec un quelconque spam qui encombrent nos boites mails, le message, en quelques lignes, se résumait ainsi :
« J’ai réussi à obtenir votre adresse-mail, après bien des recherches, et je désire vous parler. ».
Je n’y prêtais pas plus attention que ça et vaquait à mes occupations le reste de la journée, tout en me demandant qui pouvait bien être cette Lolo. J’avais déjà oublié l’affaire en rentrant chez moi le soir, après une première journée de cours éprouvante. En ouvrant ma boite mail, comme à mon habitude, je trouvai un second mail de ma mystérieuse correspondante. Je trouvais en pièces jointes des photos de moi, prise au cours de la journée, au lycée. Une certaine stupeur m’envahit alors, j’avais la preuve qu’il ne pouvait s’agir d’une inconnue qui aurait pu collecter quelques photos personnelles glanées sur google ou provenant de mon compte facebook. Cette Lolo me connaissait c’était irréfutable et il va de soit que je la connaissais forcément aussi, du lycée !
Avant de m’endormir, je ne pus m’empêcher de penser à ce mail, tout en imaginant, qui de mes collègues, de l’administration ou même de mes élèves aurait pu envoyer ces deux mails? Même si cela ne portait guerre à conséquence, cette situation ne cessait d‘occuper mon esprit, je commençais à fantasmer sur certaines collègues et je m’endormais avec une grosse érection.
Le lendemain, je trouvais un nouveau mail de Lolo, pour le moins étrange et autoritaire, qui disait simplement « Es-tu prêt ? » et, deux lignes plus bas, un « Réponds ! ». Ce matin là je me sentais ragaillardis et je m’enhardis de répondre à ce mail, Ce fut ma plus grossière erreur et ce qui m’a mené là où j’en suis arrivé aujourd’hui. Je suis entré dans la partie et je ne savais pas encore que le jeu était perdu d’avance.
Mon texte de réponse fut le suivant :
« Je veux bien répondre, madame, mademoiselle ? Mais à qui ais je l’honneur ? Lolo? Ou un autre prénom ? Qui ?».
Je pensais naïvement que soit ma collègue ou la connaissance en question se dévoile ou que, dans le cas d’une élève présomptueuse, cette dernière se déballonnerait et mettrait ainsi un terme à ce petit jeu. C’était compter sur la personnalité dominante d’Elodie, alias Lolo. Ce mercredi, je n’avais pas cours l’après-midi et lorsque j’ouvris ma boite mail de retour de l’établissement à la mi-journée, je ne savais pas quoi espérer ? Aurais-je des nouvelles de mon énigmatique correspondante ? Ne serait-il pas mieux que cet échange électronique ne cesse ? Le suspens fut de courte durée car je trouvais un nouveau message qui, cette fois, n’était plus signé Lolo…
Cette fois, et contre toute attente, elle y dévoilait sans détours son identité, et plus encore, elle avait joint une photo personnelle. Sur cette photo, elle y était légèrement vêtue, un simple déshabillé transparent la couvrait, sans rien dessous. Elle prenait une pose provocante, jambes écartées, face à l’objectif, sans la moindre pudeur. Un petit sourire enjôleur en coin, elle semblait vouloir exciter le photographe.
Pas de doute possible, cette élève que j’avais eu le matin même dans ma salle de cours, au troisième rang c’était bien Elodie Schmitt. J’étais tellement excité par ce cliché que je ne pouvais détourner le regard de cette obsédante image, je devais me résoudre à l’idée, ces formes ne me laissaient aucunement indifférent.
Cependant je n’étais pas au bout de mes surprises quand je déchiffrais au bas du mail un post scriptum, que je relus à plusieurs reprises pour être bien sûr de ne pas avoir rêvé.
« ps : si tu as envie de te branler sur ma photo, ne te gêne surtout pas. Mais n’oublie pas de prendre un cliché pour moi. Avec ton smartphone, fais-moi un MMS, que je puisse à mon tour jouer avec mon petit bouton. »
Elle concluait en donnant son numéro de téléphone portable.
J’étais en apnée ayant du mal à respirer. Le mail d’Elodie avait fait l’effet d’un bombe sur mon psychisme, cette innocente élève qui de prime abord n’avait rien éveillé en moi de particulier depuis le début de l’année scolaire, tout d’un coup avait boosté ma libido à un niveau rarement atteint par le passé ! Je bandais. Si ma copine avait été présente peut être aurais je réussis à me calmer en la baisant comme un fou, malheureusement elle bossait en ce mercredi après midi.
Soudain j’entendis la porte d’entrée, je fermais rapidement ma boite mail et tentait tant bien que mal de masquer mon érection.
« Il y a quelqu’un ? »
Je reconnu la voix de Sophie, la plus jeune fille de ma concubine.
« Oui ici, je suis à l’étage… »
Après quelques secondes je vis apparaître la superbe frimousse de ma belle-fille, dans l’encadrement de la porte.
« Dis moi Serge, je viens de la gym là et je voulais profiter du lave linge de maman pour laver mes affaires sales et j’aimerais bien prendre une douche cela te déranges ? »
« Pas du tout ma grande fais comme chez toi, laisses tes affaires dans la panière à linge du cellier, ta mère fera surement une lessive ce soir en rentrant, tu pourras les récupérer en fin de semaine. »
« C’est cool merci. J’y vais j’ai rendez-vous après avec Sylvain, ciao ! »
Je l’entendis descendre les escaliers et pousser la porte du cellier, ensuite elle pris la direction de la salle de bain.
Me voila plus excité que jamais, j’imagine la fille de ma copine nue sous sa douche sans compter la photo alléchante d’Elodie, qui m’attend sur l’ordinateur.
Dés que j’entend la douche couler, je ne peux résister, je me précipite alors dans le cellier pour fouiner dans le bac à linge et je ne mets pas longtemps à dénicher une culotte en coton blanc, cachée sous un legging. Je portais la culotte à mes narines pour me délecter des odeurs intimes de Sophie les traces blanches de sa chatte ne laissent pas beaucoup de doutes sur son excitation lors de sa séance de gymnastique. Certainement une bonne cochonne comme sa mère qui doit couler de la chatte dès qu’elle matte les corps superbes de garçons faisant des agrès.
Alors que Sophie est toujours à la douche, du moins le croyais je, je remonte dans mon bureau, pour rouvrir le mail d’Elodie. Fiévreux, je déboutonne avec peine mon jean, baisse mon slip, sort mon sexe qui me faisait mal tellement il était dur, et commence à me branler en admirant la posture provocante de cette élève dont j’étais loin d’imaginer la perversité lorsque je l’interrogeais sur une question de cours. Alors que j’avais toujours la culotte de Sophie sous le nez, je faisais courir mes doigts sur la hampe de chair que constituait mon sexe bandé.
Il ne me fallut pas plus de deux minutes pour jouir entre les doigts, et la honte m’envahit alors. Je n’avais pas fait attention au fait que je n’entendais plus la douche couler, alors en panique, je remontais mon slip et mon pantalon bien que le sperme collait encore mes poils pubiens et je jetais rapidement la culotte de Sophie sous un lit d’appoint, puis je mettais le mail d’Elodie à la poubelle et la vidait sans attendre, pour ne laisser aucune trace sur l’ordinateur familial.
Je remarquais un mouvement furtif dans l’embrasure de la porte, mon cœur battait à 100 à l’heure, pourvue que Sophie n’ai rien vu. J’y pensais toute l’après-midi, et Murielle mon amie dût s’apercevoir de mon malaise lorsqu’elle rentra. Je n’osais la regarder dans les yeux, encore sous le coup de la honte.
« Dis mon amour j’ai croisé Sophie tout à l’heure en ville, elle m’a parlé de toi… »
Mon cœur cessa de battre, je fus pris d’une nausée subite, je me liquéfiais sur place…
« Elle m’a dit que tu avais été super cool avec elle, de l’autoriser à utiliser la douche et de la laisser me confier son linge. »
« Euh oui vraiment ! Il n’y a pas de quoi, j’ai trouvé ça naturel, tu es sa mère après tout. »
Je reprenais progressivement des couleurs, ouf elle n’avait rien vu, ou du moins n’en avait elle pas parlé à sa mère, l’angoisse montait derechef en moi.
Le reste de la soirée se passa bien, Murielle et moi fîmes l’amour avec fougue, comme souvent et à la fin chacun de son côté du lit nous nous assoupîmes.
Au réveil, mes pensées ne pouvaient se défaire du souvenir du dernier mail d’Elodie. Surtout de sa photo, de ses cuisses écartées dévoilant son pubis duveteux, exposé à la vue de son professeur, qui avait l’âge d’être son père. Qu’est ce qui a pu pousser une fille comme elle à vouloir me contacter de la sorte ? Je sentais son emprise insidieuse commencer à m’envahir, je succombais progressivement à son appel au sexe. Du coup je ne pouvais que m’avouer que je redoutais ma prochaine confrontation avec elle, en cours, le lundi suivant. Après tout elle ne pouvait pas deviner que je m’étais furieusement branlé sur ses photos, avec la culotte souillée de ma belle-fille sous le nez. Si elle savait ! En réalité le pire c’est qu’elles auraient pu se rencontrer en effet Elodie à beaucoup redoublé alors que ma belle-fille avait un an d’avance, les deux ans d’écart entre elles étaient finalement un écart assez faible, de plus Sophie fréquentait le même établissement.
Le week-end se passa sans encombre à un détail près, quand Sophie, vint pour récupérer son linge propre, le dimanche, elle fit la remarque devant sa mère qu’il lui manquait sa culotte de gym. Un énorme coup de gong m’assaillis, quel idiot ! J’avais jeté précipitamment cette culotte que je sniffais sous le lit de mon bureau et je l’y avais laissé là, sans plus m’en préoccupé. Mais quel âne je fais !
Sa mère ne releva pas plus que ça l’incident et lui promis de revérifier dans le bac à linge sale.
Mais le plus étrange dans cette histoire, fut quand Sophie quitta la maison, je la raccompagnais sur le perron, alors que sa mère était à la cuisine. Elle lança alors à l’attention de Muriel :
« Au revoir, maman. Penses bien à regarder dans le bac si ma culotte ne s’y est pas perdue. »
Tout en disant ça elle me fit un rapide clin d’œil et se lécha les lèvres !
Mon dieu, mais pourquoi fait elle ça ? se doute-t-elle de quelque chose ?
« Promis ma chérie, je vérifierais, bonne semaine, ma fille »
« Bonne semaine à toi aussi maman ».
Elle me saluât et pris la direction de sa voiture.
La première chose que je fis, une fois la porte verrouillée fut de récupérer la culotte de Sophie et de la mettre dans le bac à linge caché sous un jean entortillé, afin que ma femme la découvre par hasard.
Après ce week-end, c’est avec un certain vague à l’âme, que je me présentais au lycée. Je gambergeais sur ce petit clin d’œil envoyé par ma belle-fille tout autant que je redoutais de tomber au hasard d’un couloir sur Elodie Schmitt, ma tentatrice.
Par chance, j’ai regagné ma première salle de cours de la semaine sans encombre. Je fis distraitement mes interventions toute la matinée, consultant cent fois ma montre dont les aiguilles me rapprochaient inexorablement de l’heure à laquelle je devrais prendre en charge la classe de Terminale L. La classe de cette petite peste qui m’obsédais au-delà de toute raison. Je craignais ce moment tout autant que je sentais l’excitation me gagner à mon corps défendant.
Et rien ne pouvait me raisonner. J’avais beau me répéter qu’elle ne savait rien, qu’elle ne pouvait se douter de rien, qu’elle n’avait, au fond, reçu de moi que quelques mots sans conséquence, me retrouver face à elle me terrifiait et mettait en ébullition ma libido dans le même temps.
L’heure fatidique finit par arriver et, comme je me l’étais promis mille fois au cours du week-end, je pénétrais dans la salle de cours avec la plus grande décontraction, me dirigeais droit vers mon bureau sans poser le regard sur les élèves qui s’installaient bruyamment à leurs tables. Je ne voulais en aucun cas croiser le regard de ma jeune élève. J’ouvris mon sac et en sortis mes livres, en lâchant dans le vide un « On s’installe en silence s’il vous plait » qui ne trouva aucun écho entre les rangs de la classe.
Après deux minutes, le calme se fit enfin et je me retournais, toujours avec la même décontraction apparente, vers mon jeune auditoire. Mille fois j’avais repassé la scène dans mon cerveau au cours de la nuit passée, croiser le regard d’Elodie, braqué sur moi, sourire aux lèvres, avec une attitude aguicheuse. Ma première surprise fut de ne pas la trouver à sa place habituelle, mais un rang plus loin, au fonds de la classe. Elle ne me regardait pas, chuchotait avec sa voisine en feuilletant distraitement un livre.
Pendant tout le cours, je me suis demandé si je n’avais pas exagéré la situation. Mademoiselle Schmitt ne trahissait aucun signe particulier envers moi, aucun regard, aucune attitude ambigüe, qui aurait pu faire indiciblement allusion à nos échanges électroniques de la semaine passée. C’était comme si rien ne s’était passé. Je commençais alors à me détendre. Elodie avait juste voulue me taquiner et jouer avec moi, mais sans réponse à son dernier mail, de ma part, elle aura tourné la page et ce se sera rabattu sur des garçons de son âge. Une chance que je n’ai pas répondu de façon trop précipité à ce maudit mail !
Je me rassurai tout à fait, et je terminais la dernière demi-heure de cours, en roue libre, avec même une certaine sérénité. Pas une fois Elodie ne croisa mon regard et je me gardais bien de l’interroger sur le fond du cours de la journée. Comment avais-je pu prendre cela au sérieux ! Et même si quelque chose, au fond de moi, regrettait quelque part qu’il n’y ait rien au final entre nous, je pouvais enfin déculpabiliser, face à cette situation.
Je conclus le cours avec enthousiasme, saluant les élèves qui quittaient la salle d’un grand sourire, un à un. Je fis même un semblant de révérence à Elodie lorsqu’elle passa avec sa copine devant mon bureau, ne pouvant tout à fait oublier les formes parfaites que cachait à peine la robe trop courte qu’elle portait en ce chaud début de mois de septembre. J’ironisais intérieurement sur le fait qu’elle ne pouvait qu’ignorer ce qui me mettait ainsi en joie, un réel soulagement.
Je n’avais plus qu’une heure de cours, après l’entracte de la récréation, et je pourrais alors rentrer chez moi, retrouver ma femme, et oublier ce fâcheux épisode, qui avait créé un tel malaise en moi. Les élèves avaient tous désertés la salle de classe quand je finissais de ranger les livres dans mon sac en sifflotant.
Mais alors que je me retournais pour rejoindre la sortie, je vis, avec stupeur, cette petite diablesse d’Elodie dans l’embrasure de la porte. Elle se retourne et ferme la porte derrière elle, pour finir par se retourner vers moi et me fixer directement et intensément dans les yeux.
Je me figeai sur place, debout sur l’estrade, sans pouvoir dire un mot.
Elle resta ainsi un moment, dos appuyé contre la porte, elle jouissait allégrement de mon embarras, tout en passant sa langue sur ses lèvres. J’essayais de me rassurer, une coïncidence, il ne s’agissait que d’une simple coïncidence, elle voulait certainement un éclaircissement par rapport au cours précédent.
Puis d’un coup elle enchaina…
« Alors ? Ma photo vous a plu ? Vous ne m’avez pas répondu par mail. »
Ma gorge s’était soudainement asséchée, j’étais incapable de répondre. Ma langue était pâteuse et lourde dans ma bouche. Son regard insolent, me toisa, hautain et faussement teinté de reproche, loin de l’écolière qui était sensé faire montre de respect pour son professeur.
« Je sais, une photo, ça n’est pas la réalité. Après tout, j’aurais pu la modifier par photoshop, pas vrai ? Retoucher mes seins, mes cuisses, comme dans les magazines, avec tous ces mannequins affinés à la palette graphique. »
Puis je la vis lâcher la poignée de la porte, et glisser ses mains le long de sa robe.
« Attendez, vous allez pouvoir constater que tout est naturel chez moi. »
Soudainement je sortais de ma torpeur et balbutiais quelques mots…
« Mademoiselle, je… »
« Taisez-vous, lança-t-elle avec un ton d’autorité bien assuré. »
Puis elle remonta lentement la robe, dévoilant ses cuisses magnifiques affermies par la position verticale que lui imposaient ses talons surélevés. Une fois, le bas de la robe remonté ses hanches, je découvris rapidement qu’elle ne portait pas de culotte.
« Reluques moi ça, gros porc, et dis-moi si la photo était truquée. »
Putain ! La salope ! La photo n’était pas truquée, c’est le moins que l’on puisse dire. C’était une vision enchanteresse d’une teen au corps pubère mais pré grossesse. Un corps sans cellulite ni peau d’orange, tout l’inverse de celui de ma compagne. Elle se retourna lentement vers la porte, et se cambra en arrière pour tendre son cul rond et laiteux, encore mieux exposées à ma vue. Elle était magnifique et je pouvais deviner entre ses cuisses, les deux grosses lèvres fines, recouvertes d’un pubis parfaitement taillé en ticket de métro.
« Approche, tu verras mieux, m’ordonna-t-elle avec une fermeté assumée. »
« Je dois aller préparer mon cours » balbutiai-je d’un ton gêné, mais inconsciemment j’avais avancé de deux pas en direction de ce cul qui m’appelait lubriquement.
« La récré ne va pas durer éternellement. Alors si tu comptes te branler sur mon petit cul d’élève, tu n’as pas de temps à perdre en bavardage. »
Je ne pouvais détacher mon regard de ses reins, de ses fesses parfaitement dessinées, de ses cuisses fermes et fines. Je bandais, et j’étais à deux doigts de céder à sa pression.
Voyant que je restais pétrifié sur place incapable de prononcer un mot ni même de détacher mon regard de son séant ainsi exposé, elle reprit la parole…
« Alors Serge ! Tu permets que je et tutoie et t’appelles par ton prénom, chéri ? »
Je reprenais alors le dessus et m’offusquais face à tant de familiarités…
« Allez jeune fille rhabillez vous et déguerpissez, je ne ferais pas de rapport sur cet incident mais je ne veux plus ni vous entendre, ni vous voir en dehors de mes cours, est ce bien compris ? »
« Tu me déçois, Serge, je vais être contrainte d’aller voir le proviseur avec ces photos… »
Je la vis alors plonger la main dans son sac et en ressortir des clichés qu’elle me tendit.
Je faillis choir, mes jambes ne me tenaient plus, je me rattrapais in extremis à ma chaise sur laquelle je m’affalais.
J’avais devant les yeux des photos prises de moi, très nettes en train de me branler, d’une main et de l’autre je tenais une culotte sous mon nez. On voyait très nettement sur l’écran de mon ordinateur la photo dénudée d’Elodie. Ces photos avaient été prises au zoom. Mon dieu ce ne pouvait être que Sophie ma belle-fille qui les avaient prise.
Mon visage vira au cramoisi, non seulement l’une de mes élèves me faisait subir un chantage éhonté mais en plus avec la complicité de ma plus jeune belle-fille, qui maintenant savait que je prenais plaisir à renifler ses culottes portées. Quelle honte !
« Et oui, mon petit père, Sophie est une amie, nous nous sommes rencontrées lors d’une sortie en boite à l’issue de laquelle nous avons finies dans la même partouse organisée dans l’appartement d’un ami commun. D’ailleurs elle suce divinement cette fille ! Quoi qu’il en soit lorsqu’au détour de nos discussions, j’ai appris qu’elle était ta belle-fille, j’ai commencé à échafauder un petit stratagème pour te piéger. J’avais remarqué ton regard salace posé sur moi, pendant les cours, j’en conclus vite que tu étais un gros cochon et la suite m’a donné raison. J’ai alors envoyé ce premier mail et tout s’est enchainer par la suite. Je dois remercier Sophie qui a bien voulue participer à l’élaboration de ce petit jeu. Au fait je dois te dire qu’elle a vraiment mouillé fort sa culotte quand elle a vue que tu léchais les traces de cyprine sèches au fonds de sa culotte souillée. Je pense qu’elle t’en reparlera à l’occasion, on organisera peut être un truc tous les trois un de ces quatre… »
« Mais vous êtes folles ! Jamais, j’aime sa mère et je ne vais certainement pas tout gâcher en baisant avec ma belle-fille. »
« Ah oui ? Alors expliques moi pourquoi tu renifles ses dessous sales ? Espèce de bâtard ! »
« Même Alexandra à trouvé tes photos excitantes ! Si tu savais elle s’est branlé la moule pendant ton cours tout à l’heure, en imaginant ta grosse bite au fonds d’elle. »
Pris de cours je restais muet, même sa camarade de classe qui était avec elle il y a moins d’une heure, au fond de la classe avait vu ces photos ! Mon dieu j’étais perdu. Elle profita de mon apathie pour reprendre la direction des opérations…
« Approche, et branles toi sur moi. »
Elle se cambra un peu plus.
« Viens me toucher » poursuivit-elle avec un gémissement adulte, en faisant aller et venir lentement son doigt entre ses lèvres, que je devinais humides.
Anéantis, Je n’en pouvais plus. Après tout elle me tenait par les couilles, en plus mon sexe était bien bandé dans mon slip, je le sentais déjà humide lui aussi, il avait besoin de liberté. Je me résolvais à obtempérer. Je m’approchais de la porte, et plaquait sans brutalité mes mains sur les rondeurs gracieusement offertes. Elodie tourna légèrement le visage vers moi, pour la première fois, avec un sourire satisfait.
« Oui. C’est bien. Laisse-toi aller, gros cochon.»
Je lâchai un « oui » entre mes dents. Elle sourit à nouveau.
« Dorénavant tu seras mon soumis, tu ne voudrais pas que ta compagne ou le directeur apprennent que tu fantasmes sur des jeunes filles de l’âge de ta fille ? Alors maintenant, tu vas sortir ton engin tout dur, et venir éjaculer juste-là, entre mes fesses, sur ma raie. Je veux finir la journée en sentant ton sperme de prof sécher sur la raie de mon cul, sur mon anus. »
Elle me rendait folle. Je lâchai une de ses fesses pour venir ouvrir avec fébrilité les boutons de ma braguette, je mettais la main dans mon slip pour en sortir mon membre turgescent dont le gland était copieusement humidifié.
C’est alors que la sonnerie retentit.
Avec une désinvolture ne trahissant aucune agitation, Elodie se redressa, relâcha les plis de sa robe, qui retomba souplement sur ses chevilles et se retourna vers moi en remettant ses cheveux en place. J’étais là, bêtement debout devant elle, la bite entre les mains, qu’elle dévisagea un moment froidement avant de remonter le regard vers mon visage qui s’empourprait.
« J’espère que tu feras mieux la prochaine fois » lâcha-t-elle avec une ironie cinglante.
Elle me mit alors ses doigts poisseux de mouille sous le nez et me dis de les lécher, ce que je fis sans hésitation, je devenais progressivement sa marionnette.
« Je te dirai quand et au fait inutile de te préciser que pour mon prochain devoir j’aurais une bonne note, cela va sans dire. »
Puis elle tourna les talons et quitta la salle en laissant la porte grande ouverte sur le couloir. Je me rhabillai précipitamment, avant qu’un élève ne surprenne mon énorme érection. J’avais le gout de la chatte d’Elodie sur la langue et cela me comblais de plaisir.
C’est avec la boule au ventre et un profond sentiment de malaise et de frustration que je rentrais chez moi ce soir là. Ma compagne, Murielle toute pimpante me reçue avec le sourire, visiblement contente d’elle.
-« Bonjour mon chéri, ta journée s’est elle bien passée ? »
Je maugréais un oui plein de lassitude, puis elle repris…
-« Sophie m’a appelée tout à l’heure, elle voudrait que tu passes à son appartement car elle à un problème de fuite et comme tu te débrouilles bien en plomberie, je lui ai dit OK pour toi, cela ne te dérange pas au moins ? »
-« Non non, chérie, ce sera avec plaisir. »
-« Samedi c’est bon pour toi ?
-« Oui c’est OK »
Que diable cette petite salope me voulait elle, elle-même qui m’avais pris en photo en train de me branler en sniffant sa culotte et qui avait partagée sa trouvaille avec mon élève ? L’angoisse commença à m’étreindre de plus belle…
Ma concubine enchaina…
« En plus tu pourras lui ramener son linge que j’ai lavé, il est tout propre. »
« Pas de soucis avec plaisir »
Je fis bonne figure même si le cœur n’y était pas, le reste de la soirée.
La fin de semaine ne se passa pas trop mal je n’avais pas revue Elodie dans les couloirs du lycée et Murielle était très chaude en ce moment ce qui fait que nous avons baisés tous les soirs de la semaine jusqu’au samedi.
Ca y est le moment tant redouté était arrivé, je devais me rendre chez Sophie et seul en plus car ma copine devait s’occuper de remplir le frigo au supermarché.
Je chargeais donc le sac de linge propre de ma belle-fille dans la voiture et je prie la route, au bout de quelques kilomètres l’envie iréprréssive de jeter un œil à la lingerie de Sophie, dans le sac de linge lavée, fut le plus fort. Je trouvais une entrée de chemin pour stationner mon véhicule et rapidement je fouinais dans ce sac qui m’obsédait. Je dois avouer que depuis mon adolescence j’avais cultivé un certain fétichisme pour les culottes et autres collants de femmes, je commençais par la lingerie de ma mère puis ce fut celle des femmes du quartier, j’adorais mater leur lingerie séchant sur un étendoir ou encore je collectais les lingeries portées des amies de ma femme qui passaient les vacances avec nous, tout était bon pour renifler ces délicieuses effluves qui teintaient les fonds de culottes.
Maintenant je me délectais de la vision des beaux dessous de ma belle-fille elle avait un penchant pour la culotte coton, simple, peu de strings, 2 collants et 3 soutien gorges renforcés type push up…
Tiens il semblerait que la coquine manque de seins et triche avec cet artifice pour draguer les mecs.
Mêmes propres, je ne pouvais m’empêcher de porter ces culottes à mon nez. L’envie était trop forte je devais me branler. Je quittais rapidement mon pantalon puis mon slip pour saisir une culotte et me branler la bite avec, tout en portant de ma main gauche, une autre culotte à mon visage.
Je mis moins d’une minute à inonder de mon sperme la culotte qui m’avait servie à astiquer mon membre bien turgescent par l’excitation.
Merde c’est malin qu’allais-je faire de ce dessous souillé de ma semence, je ne pouvais pas le redonner ainsi à Sophie. Je me décidais à la rouler en boule pour isoler le sperme à l’intérieur et je la mis dans la poche de mon blouson. Pourvue qu’elle ne se rende pas compte de l’absence de cette dernière.
Déjà 16h. Il est temps pour mois de reprendre la route. Après 20 minutes, me voici arrivé au pied de l’immeuble de Sophie. Je sonne à l’interphone puis elle m’ouvre et me dis de monter.
-« Bonjour Sophie, tu vas bien ? Tiens voici le linge propre, lavé par maman. »
-« Merci Serge, vas y entre, j’ai fais du café tu en prendras bien un ? »
-« Oui avec plaisir »
Je m’attendais à voir son copain du moment un certain Mickael, un jeune con imbu de sa personne, le bellâtre de service, mais visiblement il n’était pas à l’appart à ce moment de la journée.
Nous nous retrouvions seuls tous les deux, et bien que je me sente honteux du fait qu’elle m’avais vu me branler avec sa culotte, l’excitation montait en moi à cet instant. En tout cas elle ne montrait aucun signe de reproche et ne fis aucune allusion sur ce fâcheux épisode, tout le temps que nous buvions le café. Sophie, que j’ai connue à son adolescence à 15 ans, quand j’ai commencé à fréquenter sa mère, m’a toujours attirée par son petit minois et sa petite poitrine qui pointait sous ses t-shirts sans parler de son fabuleux petit cul rond moulé dans ses jeans.
-« Alors ou est cette fuite à réparer ? » lui demandais je après avoir avalé mon café.
-« Allons voyons beau papa, ce n’est pas pour ça que je t’ais fait venir…
D’un coup mon visage s’est fermé, la boule au ventre est revenue, ça y est nous y voilà qu’allait elle me demander ?
-« J’ai pensé à toi toute la semaine, Serge, cela m’a terriblement excité de savoir que tu te branles dans mes culottes, alors tu vois, j’ai mis celle que je porte en ce moment sous ma jupe, lundi !
En même temps qu’elle me parle elle relève sa jupe et commence à faire glisser sa culotte sur ses chevilles, il s’agit encore d’une culotte en coton blanc, enfin plus très blanche en réalité…
« Cela fait 6 jours que je la porte rien que pour toi, afin que tu profites à fonds de mes odeurs intimes mon cochon. »
Je restais interloqué, sans voix mais ne perdant rien du spectacle qui m’était offert avec sa chatte rasée, maintenant bien visible sous sa jupe relevée.
« Vas y, papa, ne fais pas ton timide, prend la dans tes mains »
De manière presque mécanique, sans même réfléchir, je ramasse sa culotte à terre et la porte immédiatement à mon nez. Les odeurs sont fortes et acres, presque une semaine de mouille sèche et de « spots » marrons sur l’arrière, sans parler des taches d’urines mêlées à la cyprine qui forme une croute blanche. Rien que ces mélanges d’odeur me font bander illico, mon sexe tend le devant du pantalon de manière grotesque.
« Oh mais je vois que cela te plais, mon papouné, mais ne te gênes pas mets toi à l’aise libères ton sexe ! »
La situation est irréelle mais je ne peux contrôler mes pulsions, ma libido est au top, ma conscience au placard, je dégrafe donc rapidement les boutons de mon pantalon, mon sexe apparaît érigé fièrement tel un étendard au vent.
« Hummm, Papa, comme elle est grosse ta quéquette ! »
La petite salope me chauffe et me parle comme si j’étais son père, il semblerait que la situation i****tueuse l’excite, car elle porte ses doigts à sa fente et commence à la frotter ainsi que le clitoris qu’elle masse avec son pousse.
Le cumul est trop dur pour moi, ces odeurs de sexe et cette vision me font éjaculer en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Le jet de sperme est puissant car mon excitation est énorme, même en m’étant branlé 1h. plus tôt dans le chemin de terre. J’inonde le sol au pied du canapé, au même moment, Sophie pousse un petit cri d’excitation.
Je suis anéanti et pendant que je reprends mes esprits, je vois dans l’encadrement de la chambre de ma belle-fille, Vanessa la sœur ainée de Sophie qui tient un caméscope d’une main et une culotte de l’autre.
-« Eh bien mon salop, tu ne t’ennuies pas, regardes soeurette ce que j’ai trouvé dans la poche du manteau de notre beau père chéri, ne serais ce pas l’une de tes culottes ? »
-« Ah mais oui en effet, qu’est ce qu’elle fait là ? »
-« Il semble que papa avait pris de l’avance avant de venir ici, elle est encore trempée de son sperme ! »
Je sens la chaleur envahir mon visage et la honte fais rougir mes pommettes, je reste là enfoncé aux fond du canapé, me faisant tout petit.
Vanessa, porte la culotte spermée à son visage et commence à lécher ma semence.
« Hummm, c’est bon, tu devrais essayer petite sœur »
Sophie rejoint alors sa sœur et commence à lécher le fond de sa propre culotte…
« Ah oui en effet, papa, aime ses fifilles, n’est ce pas, Serge ? »
Je n’aimais pas du tout la tournure que prenaient les choses surtout en voyant les visages lubriques de mes 2 belle-filles.
« Attend » fis Vanessa, « on va lui faire gouter, c’est normal non ? »
Je commençais à reprendre mes esprits et me rebeller…
« Il n’en ai pas question, vous êtes folles toutes les deux, je rentre… »
« Pas si vite gros porc, tu ne crois quand même pas t’en tirer à si bon compte ? J’ai tout filmé, tu ne voudrais quand même pas que maman ou Elodie, tu sais ton élève, la copine de ma sœur, ne tombe sur cet enregistrement? Quelle humiliation pour toi, on te voit jouir comme un pauvre ado éjaculateur précoce rien qu’en reniflant la culotte odorante de Sophie, sans même te toucher, c’est pathétique, Elodie va adorer et montrer ça à tout le lycée et maman voudra surement te quitter, alors vas-tu reconsidérer la situation sous un nouvel angle maintenant ? »
J’étais piégé, l’air dépité et la tête basse je répondis…
-« Qu’attendez-vous de moi ? »
« Tu vas commencer par éponger le sperme que tu as répandu au sol avec cette culotte et tu vas la lécher jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une seule trace de sperme, je vais te faire nettoyer tes cochonneries moi, sale obsédé ! »
Vanessa avait pris les choses en main, elle ne m’avait jamais aimé, car pour elle, je remplaçais son père chéri, partie quand elle avait 17 ans, auprès de sa mère, inconcevable !
Je m’attendais à en chier et le visage hautain et autoritaire de ma belle-fille ne me disait rien qui vaille. Pendant ce temps, Sophie la cadette, continuait de se branler excitée par la situation.
Je me saisis de la culotte et commençait mon travail de nettoyage.
« Ah j’oubliais, je veux que tu portes la culotte sale de Sophie pendant que tu fais le ménage, pétasse ! »
A suivre….
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