Cette histoire est réelle. Je suis en couple avec Lola depuis 3 ans, une plantureuse blonde française de 31 ans. Elle est très famille. Et celle-ci est plutôt bienveillante avec moi depuis le début. En particulier mon beau-père avec qui il y a une grande complicité.
On fréquentait assez régulièrement nos beaux-parents Lola et moi contrairement au couple de sa petite soeur. Tout se passait normalement jusqu’à ce jour où ma belle-mère vint passer quelques jours dans notre appart en Île-de-France parce que la rupture avec son mari débutait. À son deuxième jour chez nous, elle alla faire une longue marche dans le bois de ma ville de banlieue et revint avec une douleur musculaire entre le dos et la fesse droite. Elle s’en plaignait tellement toute l’après-midi de ce samedi que sa fille lui dît que je pouvais la soulager avec un massage.
Vue la situation du point douloureux, elle était gênée pour me solliciter. Et peut être n’était-elle pas tout simplement convaincue de mes talents de masseur. Toujours est-il qu’elle ne le fit pas. Puis ma compagne alla à sa soirée « filles » avec ses copines, comme 1 fois par mois. Moi j’avais mon match du PSG à la télé. Ma belle-mère vint voir le match avec moi parce que Paris rencontrait Nantes FC (elle est native de Nantes et supporter). A chaque fois qu’elle se levait, elle se plaignait de la douleur au bas du dos. A la mi-temps je lui propose alors de lui prêter ma pommade Voltarène. Que je suis d’ailleurs allé chercher. Elle me dit merci mais me fait remarquer qu’elle ne peut se la mettre toute seule. Je lui demande d’attendre sa fille. Elle me rétorque que celle-ci lui a conseillé mon massage. Moi je lui réponds euhhhh, euuh, vraiment, elle t’a dit ça ? Je suis vraiment surpris parce que certes je me sens doué pour le massage. Mais de là à masser ma belle-mère ?
Touchée par l’embarras que ça me causait, elle me demanda de laisser tomber. Ce que je fis. Et puis le match recommença. Virginie se mit à se plaindre de plus bel. Au point où, je lui demandai de me laisser voir. Elle m’indiqua avec le doigt l’origine de la douleur. J’allai fissa à la douche prendre une serviette l’imbiba de d’eau tiède et la pria de soulever son chemisier, de baisser légèrement son pantalon en coton et de s’allonger sur le canapé. Première surprise, elle n’avait pas de culotte ! Deuxième, Virginie avait un joli cul musclé et tout rond. Je n’y avais jamais prêté attention. Passé l’étonnement agréable, à genou face à elle qui est sur le ventre, j’appliquai la serviette au bas de son dos et sur ses belles fesses à plusieurs reprises. Puis après le massage de toutes la zone de l’arrière du bassin, je massai aussi la fesse droite ensuite la gauche qui n’avait aucun souci. Pour ne rien vous cacher, je bandais déjà comme un crocodile. Habillé en pyjama, sans un boxer en dessous mon énorme bite énervée ne pouvait pas se dissimuler longtemps. Massant les fesses de ma belle-mère, je remarquai les mouvements de ses pieds. Ils bougeaient pour signifier soit la douleur, soit le plaisir. Moi, j’en ai profité pour reluquer ce cul, le caresser dans la limite du massage pro et abusif.
Bref, je fis le job. Je réussis tant bien que mal à dissimuler mon érection, enfin je pensais. Belle-mère alla se coucher. Le lendemain, elle se réveilla en bien meilleure forme. En tout cas la douleur était moins vive quoi qu’encore présente. On ne dit mot à sa fille de ce massage. Lola lui demanda des nouvelles, elle la renseigna sans lui dire que je l’avais massée.
Lola alla chez la coiffeuse, en fin de matinée pendant que moi je revenais du sport. Ma belle-mère et moi étions à nouveau tous les 2. Elle en profita pour me dire merci parce qu’elle se sentait mieux. Je sentais une gène mutuelle mais elle me suggéra tout de même un deuxième massage pour en finir avec la douleur. Ok lui répondis-je. Je lui demandai d’aller prendre une douche tiède pour que je lui fasse un massage relaxant, pour la peine. Elle ne se fit pas prier. Revenue en peignoir au salon, elle s’allongea d’abord sur le dos sur le tapis que j’avais amenagé pendant qu’elle était sous la douche. Je commençai le massage là où elle avait eu mal. Comme hier, je voyais ses pieds s’enfoncer sur le tapis signe qu’elle prenait du plaisir. Il n’y avait plus de doute. Je lui massai tout le dos, les fesses, l’arrière de ses cuisses et découvrit sa chatte poilue. En massant ses cuisses, l’intérieur de ses cuisses, je la sentis particulièrement agitée, excitée. Moi aussi j’avais la bite raide comme un piquet dans mon pantalon.
Je lui demandai de se retourner. Je continuai le massage en commençant par les épaules, puis la poitrine. Là, je n’évitai pas ses gros seins. Au contraire, je les caressai délicatement jusqu’à la pointe puis je pressai assez fort les tétons. Ce qui la fit libérer des râles qu’elle étouffait depuis un moment. Je continuai sur le ventre et m’appesantit sur son pubis et sur son clitoris. Là, elle se laissa aller. Elle envoya sa main vers ma bite et la libéra de sa prison. La mit dans la bouche et l’enleva pour s’étonner du calibre que c’était. Elle la remit ensuite dans la bouche avec grande gourmandise. Moi je lui caressais les lèvres de la chatte, le clito et commençai à la doigter. Ce qui la fit venir une première fois. Ensuite j’entrepris un cunni. Ce que son futur ex mari lui avait fait une fois ou 2 avec beaucoup de maladresse. Elle décola toute suite une fois ma langue experte sur son bouton de plaisir. Elle ne tarda pas à jouir une deuxième fois. Cette fois, elle criait de plaisir et s’agitait dans tous les sens.
Elle m’invita à la pénétrer. Je me mis dans la position du missionnaire et la pénétrai. Troisième surprise ! Ma belle-mère était serrée comme une ado. Trempée, elle encaissa sans difficulté ma bite en colère. J’y suis allé d’abord doucement. A peine quelques coups de reins, elle jouit une troisième fois. Et puis voyant ça, je la chevauchait comme un dingue et je l’entendis me dire de ne pas arrêter. J’accelerai le mouvement et elle mouilla comme une jarre trouée. Encore plus fort et vite, elle me planta ses griffes dans le cul. Tout ce qui me rendait dingue. Elle n’était plus avec moi la daronne. Elle prenait un pied de dingue. Elle jouit encore plus bruyamment que les fois précédentes. A bout de souffle, elle me demanda d’arrêter un peu. On se regarda dans les yeux et on s’embarrassa comme des amoureux. Je lisait dans son regard de la gratitude, beaucoup de reconnaissance.
Elle se leva, ensuite prit son peignoir et alla sous la douche. J’en profitai pour regarder mon tél. Et je vis que sa fille avait fini et rentrait. Je débarrassai fissa mon installation pour le massage. Je sortis sans mot dire parce que je ne sentais pas capable de croiser le regard de Lola à ce moment là.
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