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Découverte de la soumission 3

Découverte de la soumission 3



Je suis sur le pas de la porte mon regard survole le trésor que m’offre mes collègues. Je sais que c’est une sorte de test. Cette mise en scène est trop parfaite. Jamais elles n’avaient laissé les sanitaires dans un tel états.
La première chose qui me vient à l’esprit est de mettre nu avant de rentrer dans la pièce. Je me déshabille dans la salle commune, ou l’on prend nos repas, je traverse tout l’entrepôt, je vais dans nos bureaux, je téléphone à mon Épouse, lui décrit la situation, et l’avertit d’un retard plus que probable, Elle me dit juste de m’amuser, d’y aller à fond, vu que je suis seul,de vivre mon phantasme pleinement. Elle me donne même sa bénédiction . Je me balade dans tout l’entrepôt. Puis, je rentre dans les sanitaires.
Je commence par ramasser les différents objets, bouteilles, shampoings, papiers,…puis les serviettes.
Je trie ensuite les affaires de sport de chacunes en essayant de les associées. Elles ont du s’amuser à tout mélanger, un vrai jeu de piste, une chasse aux trésors. Je retrouve facilement les tenues de mes collègues.
CÉLINE porte toujours le même style de short avec un haut court et moulant.
Le bermuda et le lycra noir sont à PATRICIA.
Le petit short rose et le body bleu sont à VANESSA.
Le plus grand short et le débardeur blanc sont à LAETITIA.
Tous les dessous sont des ensembles. Il vont par paires. L’ensemble crème est à CÉLINE, je reconnais immédiatement le parfum, le noir est Celui de PATRICIA, son parfum est plus  »femme », l’ensemble rose est à VANESSA, son parfum est acidulé,comme un bonbon. Le dernier, le blanc est à LAETITIA. Son odeur est la plus sucrée.
Je dépose chaque ensemble sur la table.
Je rassemble toutes les autres affaires, les portes à la buanderie et lance une machine. Je reviens dans les sanitaires, un oeil à l’horloge il est déjà 18 heures, tient ce n’est pas la même pendule, elle a été changé ? Je ne l’avais pas remarqué.
Pris par une grande et folle excitation, je m’approche de la table, les quatre ensembles semblent m’attendendre.
Ce ne sont pas du tout des dessous adaptés pour le sport, curieux, mais tellement plus sexy. Le premier ensemble devant moi est le crème, Je prends le soutien-gorge, je reconnais l’odeur du parfum de CÉLINE , je le caresse, je sent ce petit bout de tissus qui était en contact avec sa peaux il y a quelques minutes. Sa culotte est encore plus odorante et humide que la première fois. Je suis sur que ce parfum n’est pas que sa transpiration, c’est le goût de son plaisir. Elle a mouillé sa culotte de sa jouissance. Ça ne peut pas être autre chose. C’est magnifique, inespéré, inouï.
Je passe alors à l’ensemble noir de PATRICIA, pareil son parfum si  »femme » embaume, les bonnets de ce tissus, je suis sur que c’est le numéro 5 de Chanel. Sa culotte est trempée aussi, le parfum est plus fort, plus entêtant, le goût est un délicieux mélange d’épices et de musq.
Je passe à l’ensemble rose de VANESSA, le soutien-gorge sent tellement elle. la culotte aussi est très humide, son odeur est un délicieux mélange d’acidité et de sucrée.
Le dernier ensemble le blanc est à LAETITIA, c’est La plus grande taille des quatre, le soutien-gorge sent son parfum si floral, sa culotte est la plus humide. Se sont des effluves si troublantes, un mélange de miel de bruyère avec une touche de fleurs de lys .
Je réalise à se moment la que ce n’est pas du hasard tout ça. Elles doivent savoir, Elles m’ont fait un cadeau. Je crie un grand merci, et continue de parler tout fort, comme si elles étaient devant moi.
Merci MESDAMES pour votre cadeau, je suis et je serais toujours votre dévoué serviteur. Je monte au milieu de la table, je me mets à genoux, religieusement , je prends la culote de CÉLINE, je la porte à ma bouche, ma langue effleure le bout de tissus, quelques secondes avant de la laper comme un chien, puis je la suce, j’avale ce divin breuvage, j’aspire la moindre goûte. Quand j’estime avoir assez bu, je passe à une autre culotte.
VANESSA, LAETITIA et enfin PATRICIA. C’est le nectar qui m’excite le plus, boire sa saveur intime fait couler ma queue qui est dure depuis que je suis nu.
La culotte de PATRICIA en bouche, je me frotte le visage, le corps avec les trois autres. Je veux en être entièrement couvert, imprégné, parfumé de leurs sucs, de leurs parfums si intimes. Elles ont jouient pour moi.
J’évite soigneusement de toucher mon sexe qui est tendu prêt à exploser.
J’ai bu chaque goûte de leurs nectar, je suis allongé sur le dos, le visage couvert de leurs culottes, je m ‘imagine devant Elles.
Je me caresse le corps avec le plus de sensualité possible, je n’ai plus aucune limite ni inhibition, j’ouvre mes jambes, pour leurs offrir tout mon corps sans pudeur. Je caresse mon cul, titille mon oeillet, joue avec mes couilles.
Je sais que je vais jouir très vite, je me retourne. Je me mets à quatre pattes, la tête enfouie dans leurs dessous. je caresse mon cul, l’ouvre à deux mains, enfonce un doigt, un deuxième, un troisième âpres les avoir bien léchés . Je branle mon cul. La position est obscène mais si humiliante,si bandante. J’adore me faire fouiller le cul , si elles savaient !!!
Je me redresse à genoux toujours avec trois doigts dans mon cul, la stimulation de ma prostate me hurler de plaisir.
Je prends ma queue et commence à me branler. Je vais très lentement, je veux jouir pour mes collègues. Leur crier mon admiration, ma fascination, ma dévotion.
Mes mains s’activent plus rapidement. Mon plaisir est presque la, je le sent, je vais jouir. Je jouie.
Dans un dernier mouvement de mes deux mains, je hurle: mon orgasme est pour vous MESDAMES, je suis tout à vous, merci !!!
Mon éjaculation est une explosion de sensations tellement puissantes.
J’émerge quelques minutes plus tard, l’orgasme m’a retourné, j’ai été loin. Je suis si paisible. je réalise que je suis toujours sur la table, mon sperme est partout autour de moi. Ma première pensée consciente est de remercier encore tout fort mes splendides collègues, et pour continuer dans mon délire, je lèche tout mon sperme comme un petit chien. Quand la table est nettoyée, je descends, marche autour de la pièce . Je savoure cet instant magique.
je porte toute la lingerie près du lavabo. Après avoir récupéré une lessive pour laver le linge à la main, c’est très pratique de travailler avec des femmes, elles pensent à tout.
je lave avec beaucoup d’attention et de minutie ces délicieux petits bouts de tissus. Ils doivent être parfaitement propres. Je les pose délicatement sur l’étendoir.
La première machine est finie je sort le linge, le met à sécher et lance la dernière machine de serviettes. Il est presque 20 heures. Je finis Le ménage des douches et de la salle.
Je ne suis pas encore dans la salle commune quand j’entends du bruit dehors, une porte de voiture qui claque , j’ai juste le temps de courir et d’at****r mon caleçon lorsque PATRICIA rentre dans la pièce
_Mais que fais-tu encore là, et tu es à poils en plus ?
_Euh…Je viens juste de finir le ménage.
_Tu fais le ménage à poil?
_euh oui, c’est plus pratique pour ne pas salir mes vêtements.
Très instructif rajoute t’elle en se dirigeant vers nos bureaux, j’enfile à la hâte mon caleçon.
_je fermerai mon petit juju tu peux partir.
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai répondu :
_merci Madame PATRICIA
Elle s’est arrêté net, s’est retournée, s’est rapprochée, elle m’a regardé longuement, de la tête aux pieds. je me sentait tellement nu.
_Mais tu deviens de plus en plus intéressant mon petit juju.
Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire, je suis en caleçon, le pantalon, la chemise, les chaussures posés sur une chaise à côté. Les mains de chaque côté de mon corps je reste immobile.
PATRICIA se rapproche, ses talons raisonnent sur le parquet , elle porte un tailleur noir en cuir , elle est très impressionnante, c’est la première fois que je l’a voit habillée ainsi. Je me sens si intimidé , plus elle s’approche plus je prends conscience qu’elle est beaucoup plus grande que moi. Je veux m’habiller mais je me sent paralysé.
Elle s’arrête à un peu moins d’un mètre, elle me toise de toute sa hauteur, je n’ose soutenir son regard.
_Je ne sais pas ce qui t’arrive mon petit juju, mais tu deviens vraiment intéressant, comment m’as tu appelé ?
Je bredouille un  » Mme TRICIA  » incompréhensible.
_Quoi ?
_Pardon, excusez-moi . Je vous ai appelé Madame PATRICIA.
_Mais c’est très mon petit juju. Tu as enfin compris comment tu dois t’adresser à une femme.
_ je ne sais pas c’est sortit tout seul
_Quoi !
_je ne sais pourquoi j’ai dit ça.
Comment m’as tu appelé ?
_ je vous ait appelé  » Madame PATRICIA  ».
_ j’ai bien entendu je voulais que tu le répète. Car dorénavant tu m’appellera comme ça à chaque fois que tu t’adresse à moi.
La tête baissée je sent son regard me scruter. Je commence à bander, elle ne peut pas ne pas le voir. Elle tourne autour de moi, je l’entend même inspirer plusieurs fois.
_C’est très très bien, tu as la bonne attitude et encore mieux, je vois que ça te fait de l’effet.
C’est la première fois que je bande devant elle sans pouvoir le cacher.
_bon maintenant file, lundi on va avoir beaucoup de choses à se dire.
Oui oui merci, Madame PATRICIA. C’est les seuls mots que j’ai pu dire.
J’ai mis ma chemise, mon pantalon. je me suis agenouillé pour mettre mes chaussettes et mes chaussures.
Elle n’a pas bougé, n’a pas dit un mot, elle m’a juste regardé à ses pieds. Je me lève enfin, je l’a regarde dans les yeux et lui dit.
_je vous souhaite un très bon week-end Madame PATRICIA.
_Merci, grâce à toi je suis sur qu’il va être génial.
Je suis sorti sans un mot la tête baissée, si elle savait!
Assis dans ma voiture je me demande si j’ai rêvé. Puis je réalise le parfum que je porte. Toutes ces saveurs, si féminine. Le trajet de retour me permet de me ressaisir. Je n’ai pas trop compris tout ce qui c’est passé avec PATRICIA, est-ce que j’ai vraiment vécu un pur moment de domination féminine ou est-ce que c’est dans ma tête? d’ailleurs que faisait elle là ? Qu’est-ce qu’elle m’a dit ?
On verra lundi.
Mon Épouse m’accueille avec le regard très coquin. Mon coup de téléphone l’a bien émoustillé. Elle m’a d’abord fait remarquer mon odeur de  »femelle en rut ».
C’est nu à genou, la tête entre ses jambes que je lui ai fait mon compte rendu très détaillé.

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