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Leçons d’amour – Une suite infernale

Leçons d’amour – Une suite infernale



Une suite infernale (Voir la première partie « Leçons d’amours »)

Ma vie avait basculé.

Eve, mon épouse, ébranlée par le décès accidentel de Karine, qu’elle avait croisé quelques heures, m’aidait à surmonter cette épreuve.

A deux doigts de tout lâcher, de refaire ma vie avec cet amour naissant, envahissant, je n’ai plus eu goût à rien.

Découlant de cette folle semaine où je devins le mentor de Karine, ma banquière, obtenant un premier rendez-vous, le sort me mis en présence de la trahison de son mari, ce qui la poussa dans mes bras.
Karine, la trentaine, n’avait vécu que pour lui, que pour son métier et son fils.
Elle n’avait rien connu d’autre, que des relations conjugales. Vierge pour son mariage, elle était restée sur ce plan, environnée de morale, de principes venant de son enfance et de son adolescence.

Elle se sentit perdue, j’arrivais au bon moment et décidais de l’initier.
Elle accepta, comme un deal, le fait que je la conduise dans les méandres de la sexualité moderne, le sans-tabou, du moins.

Elle accepta de passer une semaine avec moi, pendant laquelle je lui fis vivre un ensemble d’expériences, des partenaires variés, des situations diverses dans des univers parfois glauques.
Elle grandit ainsi au fil des jours sans que je ne devienne son amant, juste quelques moments intenses, elle m’attendait impatiemment.

Ce dernier jour, elle retrouva sa tante, l’on fusionna dans une nuit magique tous les trois.

Je signais mon engagement d’une nuit merveilleuse. Elle fut mienne sans détour, emportés tous 2 par un amour sincère.
Elle débordait de bonheur, notre amour était né dans cet hôtel de plage, avec Marianne pour témoin…

Nous avions décidé de passer la semaine d’après ensemble, tous les trois, sur mon bateau. Mais le sort en décida autrement et les précipita dans un ravin, éboulement meurtrier…

Eve avait découvert ce que je faisais pendant mes congrès et mes diverses formations, elle savait depuis longtemps que je franchissais allègrement les lignes de l’adultère, elle fit pareil, discrètement.

La dernière nuit, ayant retracé mon séjour par mes relevés bancaires, elle vint se mêler à nos ébats, déguisée, dans un club libertin.

Elle m’avoua qu’elle était prête à me rejoindre dans mon monde, à m’accorder son pardon, puisqu’elle aussi avait franchi la ligne, si je renonçais à Karine dont elle fit la connaissance, afin que l’on soit à nouveau partenaires… Elle me donnait l’été afin que je brûle mes ailes et n’ait pas de regret…

Mais ma passion pour Karine avait triomphé cette même nuit….

Le choc fut brutal, Eve vint m’épauler, nous avons assisté à l’enterrement de Karine, sa tante était enterrée dans les Cévennes.

La vie reprit, pas la mienne, je restais cloîtré, nommait mon bras-droit directeur de mon magasin, je ne passais plus que pour approuver ses décisions, il était au point et en accord avec mes vues.

Eve était secrétaire, gardait cet emploi, j’allais seul un an après sur la tombe de mon amour.
J’étais vidé, j’en voulais à la terre entière, j’avais vendu le bateau, je perdais pied.

Puis Eve vint me parler. Avec sa voix douce, elle me donna de l’espoir. Elle était là, aimante, câline, me voyait miné, désœuvré. Elle avait compris à quel point j’avais été secoué et partageait, mais elle ne reviendra plus.
– Tu vois, je t’avais donné un été pour brûler tes ailes à son côté, je savais déjà que Karine avait pris beaucoup de place, tu venais de passer une semaine d’initiation, elle était ta chose et était devenue incontournable…
Il te fallait vivre ta passion, sinon tu aurais regretté toute ta vie, et sans doute, tu m’en aurais voulu.

La vie n’a pas voulu que tu brûles tes ailes auprès d’elle.
Mais il faut redevenir le Marc que j’ai épousé. Nous avons beaucoup de choses en commun, il ne faut pas les balayer d’un revers de la main.

Je t’aime, et je t’aimerai bien au-delà.
Je te l’ai prouvé. Je me suis mise en faute comme toi, j’ai accepté que tu fasses un accroc énorme à notre contrat.
Je suis à ton côté depuis, avec notre fils qui ne comprend pas et que je préserve…

J’ai une idée qui va te paraître insensée, démente…

J’aimerais refaire avec toi chemin initiatique de Karine…
Cette semaine initiatique, cet abandon aveugle sous ta coupe, dans les vapeurs glauques des parkings routiers, des rôles sensuels, des exhibitions, de la perversité, tout cela m’attire, j’y pense, pourquoi pas moi ?
J’ai plus d’expériences qu’elle, certes, mais pas dans ces mondes… Plus âgée, aussi, près de 10 ans, ça compte… Qu’en penses-tu ?

Cette requête me va droit au cœur… Elle me punit par là où j’ai péché…
Puis, peu à peu, je pense pouvoir grâce à elle, en revivant ces mêmes sensations avec Eve, faire mon deuil de cette aventure sentimentale avortée…
Eve reprendrait sa place, et tout redeviendrait « normal ».

De plus, amener ce piment en permanence dans notre couple peut attiser le feu de notre union.
Elle m’a prouvé son amour, en intervenant juste à temps, en me disant ses vengeances, elle me soumet une solution…

– Je suis d’accord, on fait garder petit Marc ou on l’envoie en colo, on se paie une semaine de vacances à l’hôtel…
– Le même !
– D’accord, oui, je connais les coins chauds… Mais dis, tu ne m’en voudras pas ?
Je vais te soumettre pendant cette période.
– Au contraire, je veux t’obéir, je veux être ta soumise, faire selon ton bon plaisir, me donner, me jeter dans un monde impur, étrange ou déluré. Je suis loin de tout avoir vécu, tu as été presque le premier, mais mes délires d’ado, ne m’ont pas emmenée très loin, juste des bouts d’essai…
– Le plus hard c’était quoi ? Tu peux me le dire maintenant…
– J’étais sortie seule, un samedi soir. Je suis allée en boîte pour oublier. Une quadra parmi les boutonneux… J’ai finalement trouvé une personne de mon âge, il était là pour ça, avec deux copains plus jeunes, ils savaient que moi aussi…
J’ai dansé avec lui dès qu’il m’a invitée…

Il n’était pas mal, commercial, brun, parlait bien, il m’a fait la cour à l’ancienne, je riais, c’était déjà fait pour moi… Il m’a chauffée sur la piste, j’étais à sa merci… Il m’a embrassée du côté du bar, il me serrait contre lui, je sentais son désir…

C’était l’été, nous sommes sortis, on a fait quelques pas nous retrouvant seuls en pleine forêt. On a trouvé une table de pique-nique, il a commencé à me butiner, me caressant, dégrafant, libérant… Je me sentais en confiance, il était doux, on s’embrassait… Il m’a installée sur la table, écartelée, caressée, léchée, aspirée…
Je me sentais fondre, désinhibée, il me masturbait à en crier…
J’avais envie de lui…
Il massait mes seins quand je l’ai senti me pénétrer… J’ai joui sans retenue…
Je l’ai attiré en moi d’un coup de rein, poussant ses fesses avec mes deux mains, j’ai eu un orgasme, il me pilonnait…

Ses 2 copains avaient suivi et nous regardaient, j’étais là, offerte, trempée de désir, je venais de crier mon plaisir dans la forêt. Il continuait à me prendre, il leur a fait signe…
Ils m’ont baisée, à leur tour, ensemble… Le pire, c’est que j’ai aimé ça…
Je suis restée avec eux toute la nuit, dans la voiture, au chaud, à boire et à refaire l’amour… Je me sentais aimée, certes pour mon cul, mais celui que j’avais choisi en premier apportait la douceur et la passion que j’étais venue chercher. Il me serrait dans ses bras, m’embrassait avec tendresse, en me berçant…
Au matin, j’étais vannée, épuisée, j’ai pleuré avant de reprendre la route, je suis restée une heure sous la douche, jusqu’à épuiser l’eau chaude…

Ce fut la seule fois où j’ai perdu le contrôle. Les autres, ce fut de la baise, mutuelle et consensuelle. Je suis allée une fois dans ton hôtel, j’avais trouvé une boîte d’allumettes dans un veston… Je me suis offert la thalasso, un massage divin, avec Dan. C’est moi qui l’ai allumé, on l’a fait dans sa cabine de douches…

Il m’a explosée de partout, j’ai joui comme jamais… Je l’ai retrouvé avec plaisir le soir, dans le groupe…
– Tu n’as jamais eu de femmes dans tes relations ?
– Très peu. Une fois où je n’avais rien trouvé, on discutait et j’ai senti une attirance en dansant, je sentais son corps s’abandonner contre le mien… On s’est embrassées sur la piste, on a fini dans un hôtel Formule 1… Puis la mère d’un copain de notre fils lors d’un anniversaire… Aline, à l’hôtel, après Dan… A Noël, chez tes cousins, Marie, la nièce de Jean, qui était seule… Elle est venue dans la salle de bains avec moi… Elle m’a embrassée, caressée… On est montées au grenier, pour faire l’amour comme deux ados, dans un appentis sur un vieux canapé, nues, perverses, elle venait de se séparer de son amie…
– Tes fantasmes maintenant ?
– Tout refaire avec toi, tout connaître, nous faire des amis que l’on verrait de temps en temps, se faire des sorties coquines tous les deux. Nous aurions confiance en nous, ce serait juste pour agrémenter nos soirées et nos ébats, attiser notre désir, nous rapprocher……

Elle a réservé, elle a eu la délicatesse de prendre sa chambre, rez-de-chaussée, côté piscine…

L’accueil du Boss est particulièrement chaleureux… Nous dînons ensemble, c’est le mois de juin, plus d’an… Elle est toujours là, je m’attends à ce qu’elle entre dans la salle, en robe rouge, attirant tous les regards…

Aline se précipite dans les bras d’Eve, elle se souvient de quelques moments intenses, elle fixe son regard, puis tombe dans mes bras.
– Tu as reconnu Eve, mon épouse.
– Oui, nous nous sommes croisées, je vous ai vus à l’enterrement de Karine. Nous étions montés, avec Chris et le Boss… Dieu ait son âme, elle restera dans mon cœur, une place à part, je l’adorais, comme nous tous.
– Oui, malgré l’orage qui grondait, je respecte sa mémoire. Nous sommes revenus pour terminer la boucle et repartir d’un autre pied, Marc va revivre quelques moments, je lui ai demandé de m’initier à mon tour pour pimenter nos soirées, donner un second souffle à notre amour.
– Nous savons combien Marc a souffert c’est le passé. On de doit de penser à elle, mais de vivre comme elle allait le faire, sans tabou, sans limite, elle avait surmonté, dépassé, écrasé ses peurs, sa morale, ses principes, ses tourments et prenait le sexe en dérivatif, comme une drogue, dans le sens thé****utique… Nous sommes là donc pour quelques jours, quelques jours pour tourner la page, et faire en sorte de combler des lacunes, pour Eve, pour moi aussi, j’ai appris pas mal d’elle, de ses secrets, preuve de son ouverture et de son amour pour moi. Je vous mettrai à contribution si vous le désirez, ce soir je deviens son maître…
– Génial ! Bravo à tous les deux d’avoir ce courage et de rendre hommage en même temps à celle qui a croisé nos chemins dans ces lieux…
– J’ai une pensée pour Marianne. Une femme qui a souffert par les hommes et qui venait se ressourcer ici, qui était simple, femme jusqu’au bout, généreuse et ouverte. Nous ne pouvions assister, mais nous avons pensé beaucoup à elles le jour des funérailles.
– Merci pour ces témoignages, c’est dit, nous garderons désormais réserve, en nos cœurs pour ces quelques jours.
– Patron, à la vôtre et à notre amitié. Chris et Aline, vous faites partie de ce cercle, merci pour tout ce que vous pourrez nous apporter. Je vous avais apprécié bien au-delà de vos prestations… Merci à tous les trois.
– A la vôtre mes amis, bienvenue dans votre nouvelle vie, nous ferons en sorte d’être à la hauteur.

Le dîner est très bon, le Boss s’est surpassé, avec langouste et délices de la mer grillés, une parillada de poissons, très savoureuse. Un dessert glacé, mangue et citron, un délice.

Nous leur souhaitons une bonne soirée et nous retirons dans notre chambre.
– J’aimerais revoir le port de nuit, prendre un verre en terrasse, dommage pour le bateau, j’aimais bien lorsqu’on venait s’amarrer ici…
– Je sais, je préfère, on en rachètera un si tu le désires.
– Tu es un ange…
– Je ne t’ai pas permis ce mot !
– Bien maître…

Nous sortons par la porte de derrière et nous dirigeons vers le port.
Mon programme ne commencera que demain, mais si une idée me vient, elle l’aura voulu.
Cela commence à me plaire, cette idée de diriger ma propre femme vers les délices d’une sexualité débridée me fait fantasmer, je l’imagine dans les dunes, avec les routiers, je commencerai par une chose simple, Chris qui entre dans notre chambre…

Après une longue promenade digestive le long de la plage, on s’assoit sur un banc, face au port, ce qu’elle voulait. Il est près de onze heures, la soirée est douce. Des gens passent comme nous profitant de ce printemps.
– Eve, tu vas dévoiler tes cuisses, innocemment, dès qu’un couple ou un homme seul passe devant nous, tu peux m’embrasser en même temps, le regarder, comme pour le provoquer, à toi de choisir…
– Bien maître, ma jupe vole au vent, se soulève, si je me penche vers vous, elle va remonter. Cela vous suffit ?
– Nous verrons la réaction des personnes…

Le premier couple ne fait pas attention, ils promènent un chien… Le second se tourne pour admirer la rade, un homme seul avec un chien aussi, semble jeter un œil intéressé…
Il faudra qu’il repasse devant nous pour rentrer…
Son baiser est tendre, ses cuisses écartelées offrent une vue agréable sur sa culotte blanche.
Il s’attarde devant, nous, je demande à Eve de se serrer contre moi pour laisser une place évidente… je défais deux boutons de son décolleté…
– Belle soirée, n’est-ce pas ?
– Oh, nous en profitons au maximum…
– Vous venez de loin ?
– Non, pas trop. Nous aimons ce port et venons souvent.
– Oui, c’est agréable.
– Vous êtes seul ?
– Non, ma femme est juste là, vers les rochers, elle aime sentir l’eau, les embruns. J’ai peur que le chien ne tombe, tiens, la voilà…

La femme approche, très bien habillée, classe, bourgeoise en tailleur sport…
– Je discutais avec ces messieurs-dames…
– Nous profitons des délices de la soirée…
– Ah, j’aime ces senteurs d’iode, je me baignerais presque si j’avais un maillot…
– Chérie, tu as encore un corps à te passer de maillot surtout la nuit… Vous aussi, madame…
– Merci c’est gentil…
– La plage n’est pas loin…
– Vous venez avec nous ?
– Volontiers… Chéri, tu veux ?
– Oh, oui, avec plaisir…

Nous nous dirigeons vers la plage… L’homme court vers le port avec le chien. Puis revient en courant auprès d’Eve, ravie.
La lune est masquée, la température vient de baisser, le vent de terre devient frais…

– On y va ? Nature, le bain de minuit ? Mon mari a couru enfermer le chien…
– Allez !…

Je prends la main de notre amie Sonia, son mari passe du côté d’Eve et nous entrons tous les quatre en ligne…
Elle est belle, superbe brune de quarante ans environ…
– Ma femme n’est pas farouche…
– Moi non plus, vous savez… Venez nager…

– Elle est glacée, je m’arrête…
– Vous avez raison, elle n’est pas chaude… On serait mieux au chaud…
Tout le monde est ressorti… On se rhabille sans attendre… Nous prenons la direction du retour…
– On vous offre un drink chaud, ou pas… au bateau, il est au port.
– Vous êtes à l’hôtel ?
– Oui.
– On aurait pu vous héberger… Nous le faisons souvent, avec une sortie en mer au matin, pour une pêche miraculeuse…
– C’est gentil, mais nos affaires sont à l’hôtel.
– Je comprends, on pourrait le prévoir…
– Volontiers, nous avions un bateau jusqu’à l’an dernier, 10 m voilier, 2 cabines, barre à roue…
– Oh, vous êtes des nôtres alors, tu entends Paul ?

Mais Paul n’entend pas trop et serre Eve contre lui pour un échange buccal intense…

Elle me sourit, presque honteuse…
– Il est direct, et votre femme est très désirable…
– Nous sommes ici en vacances et le maître mot c’est liberté, passion, respect de notre pacte, partage aussi…

Alors ses lèvres viennent sur les miennes pour un baiser passionné, je perçois ses formes en la serrant contre moi…
– Nous serons mieux à bord…
– Attendre sera difficile…
– Coquin… Mon dieu !

Paul et Eve se sont arrêtés près d’un porche, elle soulève une cuisse, adossée au mur…

– Il va la prendre là, ce cochon… Paul ! Attends, on va au bateau ! ca m’a émoustillée de les voir, j’ai envie de toi…
– Et moi, donc…
– Fais-moi voir…
Sa main se plaque contre mon pantalon….
– Il me semblait bien avoir vu quelque chose d’intéressant…
Sa main aimerait en connaître plus, mais je la bloque en souriant…
– On arrive, laisses-les…
Elle tire la passerelle, je ne vois plus nos conjoints…

Elle ouvre, jette sa veste et sa jupe sur un fauteuil, ses chaussures, son soutif et descend sa culotte…
– Tu as déjà tout vu, alors autant être à l’aise, viens dans la cabine.

Elle ramasse ses affaires, et les apporte, les range en vitesse, me fait face, je me suis dessapé, elle n’a qu’un regard, fixe… Ses seins sont majestueux en pleine lumière, pleins, mais pas gros, les bouts déjà dressés trahissent son excitation, je le pousse, elle se laisse aller, m’ouvre ses cuisses et ma langue découvre son calice…
Mes mains massent ses globes, excitent doucement, mais elle est vorace et cherche ma verge.
Nous partons en 69, très juteux, très profond, avec nos mains et nos doigts, elle se met à vibrer rapidement, avec des « heu ! » lancinants, prenants, profonds, traduisant son désir et la qualité de nos caresses…

J’entends du bruit, ils sont rentrés, je perçois la voix chaude de ma femme, un feulement discret qui arrive, et des soupirs rauques, elle jouit…

Sonia m’ouvre ses cuisses, son bonbon écarté, luisant, un pubis blondissant, pourtant elle est brune !…
Elle m’attire sur elle, m’allonge, m’ouvre largement sa grotte, écartelée… Je sens mon sexe la pénétrer, glisser dans son fourreau, un délice, chaud et humide, et je commence à la pourfendre lentement, faisant naître des gémissements de chatte…

– Oh, oui… Tu es doux et tendre, j’adore… Prends-moi comme un amant, fais-moi l’amour sensuel, aime-moi…
– Oui…. Tu es magique, si sensuelle… Je glisse en toi comme dans une mer chaude, des rivages de sable fin… Je te prends… Donne-toi, ouvre-toi…

Elle jouit de nouveau, un orgasme vient sublimer son plaisir, elle se tort sous moi, j’accélère…
– Oh, oui… Prends-moi en levrette…

Elle se tourne et soulève son bassin, écarte ses fesses, m’offrant son bonbon plein de mouille, sa grotte ouverte par mon dard, je replonge dans ce délicieux fourreau, elle émet un son rauque de félin africain, une litanie de fauve en chaleur…

J’entends des bruits divers, surtout des plaintes qui ressemblent aux siennes, à l’unisson de nos ébats…

– Oui, oui, oui… Viens, plus fort… Je te sens encore plus comme ça… Ne t’arrête pas…
Elle continue ses onomatopées, jusqu’à…

– Viens, prends mon derrière, je te l’offre… Démonte-moi jusqu’au bout !

Bourgeoise déshabillée, mise à nu au bord de la mer, qui adore se laisser prendre par des inconnus, elle veut tout, tout de suite. Baiseuse chevronnée, avide, directe, elle me laisse mener le bal… Lorsque je l’ai pénétrée à fond et que je commence à la pilonner, elle donne toute sa puissance, se livrant corps et âme… Elle retrouve son franc-parler, cru, osé, imagé…
– Oh, oui, je suis une salope de bonne femme… je baise tout le temps, les jeunots boutonneux et les vieux briscards, je me fais mettre, enculer, sodomiser avec passion… J’aime quand on me déchire la chatte, quand on me prend à plusieurs, qu’on fait de moi une chienne, oubliant mes tailleurs Chanel, et mes dessous affriolants signés des plus grands noms de la mode…
Oui, Marc, mon mari est en train de saccager le cul de ta femme, et toi tu m’avilis sans gêne, déversant ton foutre dans mon cul de salope…

Elle me montre sa chatte et son anus, déversant ma semence sur le lit moelleux, écartelée, vidée, éreintée par mes coups de reins rageurs.

– Viens, il aime me lécher…

On sort de la cabine, elle ouvre la seconde…

Eve est attachée, ses poignets sont liés à la tête de la couchette. Ses jambes, écartées, sont immobilisées par des liens aux chevilles… Elle est nue, offerte, mais semble participer activement au jeu, obéissant à son gentil tortionnaire…

– Oh, maître, il m’a forcée à me soumettre à ses désirs… J’ai dû obéir de peur d’être frappée… Mais il n’a voulu que mon plaisir aussi et m’a prodigué de délicieuses caresses sur tout mon corps…

Sonia se penche entre ses cuisses…
– Mais tu as forniqué ? Ton intimité est pleine de vos liqueurs mélangées, je reconnais l’odeur du foutre de mon Paul ! Il m’a trompée avec toi ! Tu es une infâme gourgandine, tu es une véritable souillon qui ouvre ses cuisses au premier venu. Tu lui as même donné bien plus j’ai l’impression, ta rondelle distendue coule, tu t’es ouverte et tu as joui par là aussi ?
– Oui, madame, il m’a prise par derrière… je sais que je ne dois pas, mais j’étais attachée…
– C’était bon ? Tu as aimé ?
– Il a été doux et tendre et m’a faite jouir avec son sexe planté en moi… Il m’a faite crier de plaisir en pilonnant mes fesses…
– Mon dieu ! Tu te rends compte mon chéri, mon mari m’a trompé avec cette moins que rien…
– Elle est ma soumise, elle m’a obéi…
– Quoi ? Eve est ta soumise… Paul c’est mon soumis, un être vil, pervers… je lui avais demandé de me quérir une fille pour mon amusement… J’aime les femmes mûres, les femmes bien habillées, il le sait… Elle a de la classe, enfin, elle en avait, habillée… Là elle fait catin, les cuisses écartelées, sa fourrure offerte aux quatre vents… Elle a de beaux seins pourtant… Libère cette créature, Paul… Et toi catin, attends mon bon vouloir…
– Je ne peux obéir qu’à mon maître, madame, et il ne m’a rien dit…
– Obéit à Sonia, aveuglément. Je vais prendre un peu de repos en te regardant.
– Bien, mon maître, je vais faire selon votre désir, obéir à madame et faire son bon vouloir, corps et âme à son service, dévouée… Merci madame de m’avoir détachée, j’ai soif, il ne m’a rien donné…
– Que diable, Paul, tu manques à tous les devoirs d’un hôte, ton invitée est déshydratée…

Sonia lui tend un verre que Paul a rempli d’eau… Eve le vide en un clin d’œil…
– Encore ?
– Oh, oui madame, son jus était salé…
– Quoi, tu as goûté à sa semence ?
– Il a voulu jouir dans ma bouche, madame…
– Tes trois trous ont été possédés, c’est un phénomène ce Paul…
– Oui, madame, il a joui trois fois dans mon corps, une fois dehors, dans ma vulve, debout contre le porche, puis ici…
– Pauvre femme, je vais m’occuper d’elle… Soigner ses plaies…
– Oh, je vais bien, je ne saigne pas, je fuis…
– Chut, tais-toi, relaxe ton corps, détends tes muscles, abandonne-toi contre moi, écarte tes cuisses que je te passe mon baume…

Eve, alanguie sur la couchette, offre son intimité à sa maîtresse…
Les deux femmes partent dans un échange passionné, après avoir léché, salivé le sperme de son mari, elle vient s’offrir à Eve à son tour, dégoulinante de désir…
– Viens goûter le jus brûlant de ton maître, il vient de m’honorer avec art…
Paul, va nous chercher à boire, un champagne pour fêter notre rencontre…

Eve découvre à son tour le calice de Sonia… Ouvert par mes assauts, son intimité suinte nos sucs, Eve lampe avec sa langue en titillant le clitoris dressé, les grandes lèvres rosacées, larges et épanouies… La grotte ouverte laisse échapper notre liqueur… Elle boit lentement, soulevant le bassin où le désir revient…
– Oh, oui !… Tu es une chatte qui me boit… Partageons cette extase, viens aussi…

Un beau 69 commence, les deux femmes écartelées, Sonia est dessous, Eve glisse ses doigts dans l’intimité et lui donne les prémices de ce plaisir lesbien… Sonia se met à gémir, sentant le doigt glisser, chercher un point précis dans son vagin, le trouve et lui donne le LA…
Sonia avait deviné et lui rend la caresse, emportant ma soumise dans un délicieux concert et des vocalises divines que l’on ne peut qu’accompagner de la main…

J’ai envie de participer…
J’ai envie de baiser mon épouse, si offerte, si impudique, si sauvageonne, que mon désir se traduit par une érection démesurée….

Elles se butinent les seins maintenant, échangeant sucions, massage et tendres baisers.
Eve tente une autre approche, se disant qu’elle doit adorer les coins licencieux de son corps, un doigt vient titiller son anus humecté…
– Oh, mais tu prends des libertés, tu viens taper à ma porte secrète ?
Viens ma chérie, tu as frappé à la bonne porte et j’adore ta caresse… Continue, vas-y…

Le doigt tourne s’enfonce, rejoint par un autre…Sonia jouit d’un orgasme soudain, rugissante et affolée, se tournant en tous sens… Elle se met en levrette pour mieux sentir les doigts la pénétrer puis tourner, revenir et s’enfoncer de plus belle…

Elle pousse de petits cris, son mari n’en rate pas une, le sexe bien dressé…
Eve se caresse, excitée par la réaction de sa partenaire et regarde la bite de son mari grossir à vue d’œil…

Elle évite mon regard, continue à caresser Sonia, l’embrasse tendrement, revient lui prodiguer une masturbation anale, qui la conduit à un autre orgasme…

Paul ne tient plus en place et enfourne sa bite dans l’anus ouvert de sa femme, sans ménagement, criant comme un forcené, terrassé par le désir de l’accompagner dans sa jouissance…

Il la pilonne, faisant trembler et gémir la couchette… Eve se déhanche pour aller l’aider, glisse deux doigts dans le vagin, pousse, mouille ses doigts, et arrive à la fister entièrement, lui arrachant des râles de chienne, rauques, profonds, du genre de ceux qui ouvrent les vannes, et qui explosent nos inhibitions…

Je me suis enfin joint à eux, dominant ma soumise de fort belle manière, qui me sent pénétrer son plus sombre méat…
Mais que de plaisir ressenti, que de souvenirs, que de soirées intimes terminées ainsi entre nous, au petit matin, ivres de sexe et de tendresse, l’un pour l’autre…

Elle se donne sans retenue, criant son plaisir aux autres qui font à peu près la même chose…
Elles nous régalent de miaulements, de cris, de râles, terminant par un orgasme mutuel, sous nos coups de reins rageurs de mâles en rut…

Tendres baisers, caresses, nous échangeons au fil de la nuit, serrés dans la même cabine, dans la vaste couchette malmenée…
Eve se partage, moi aussi, eux aussi, orgie des sens, des sons, entremêlés, endormis, se laissant prendre sans désir, juste par plaisir…

Lorsque nous regagnons notre hôtel, le lendemain, à la mi-journée, nous sommes repus tous les deux, et dormons jusqu’au soir, tendrement enlacés…

Vers 19 heures, nous descendons à la piscine prendre un remontant mérité…

– Tu as bien passé ce test…
– J’ai fait mon devoir de soumise, oubliant bien de mes anciens principes, certes parfois émoussés par mon mari…
– Tes amants ont dû aussi se servir largement de tes intimités de femme…
– J’ai défendu le plus secret, le réservant avec espoir à mon époux…
– Vrai ?
– Juré, personne d’autre n’avait franchi mon seuil privé…
– Et le devant ?
– La jouissance nécessaire à ma vengeance passait par cet orifice maternel…
– Tu l’as fait souvent ?
– J’aurais aimé le faire autant que toi, à chaque coup de canif, à chaque coup de bite…
– Et ?
– Parfois je n’ai pas trouvé, pas le bon, pas envie, trop de chagrin enfoui… Je t’aime tant, mon maître…

Un homme repart, bronzé, svelte, attirant sans doute…
Elle joue le jeu de la séduction, se lève aussi, le suit…
– Je peux ?
Elle se laisse tomber sur un fauteuil, face à lui, au bar, vêtue de sa robe de plage…
Il est là, il la regarde, comme une proie, sirotant un cocktail, écoutant une musique douce…
Il lui offre un verre, l’invite à danser, ils sont seuls, dans le fond de cette pièce intime…

J’imagine mon épouse se laissant caresser en dansant, ne fermant nullement la porte à des caresses osées en pleine lumière, en plein flirt… De baisers, en baisers, de caresses en caresses… Un oui discret sur le bout des lèvres…
– On va où ? Je n’en peux plus…
– Mais tu es avec un homme, un mari ?
– Non, je suis libre, libertine et tu me plais…
– Chambre 309 ?
– Je ne peux rester longtemps…
– Promis, j’ai aussi envie que toi…

Elle est nue devant lui, la robe n’a pas résisté longtemps à un premier baiser, juste derrière la porte d’entrée… Le soutien-gorge a suivi, la culotte aussi…

Elle fixe le membre tendu, elle le prend dans ses mains, caresse, s’assied au bord du lit, puis se penche…

Il soupire sous les lèvres agiles qui glissent, avalent l’objet qu’elle avait bien évalué lorsqu’elle le sentait contre elle en dansant…

Il la tourne et ouvre ses cuisses et à son tour la remercie…

La langue va et vient, chaude, explore, vibre, titille, excite, la portant aux premiers râles… Elle n’attendait que ça…
Etre léchée, aspirée, se sentir emportée, transformée en fontaine, s’ouvrant comme une fleur sous la langue perverse, puis les doigts impatients…

Il souffle dans son intimité, créant un supplice dément, irréel… Son clitoris réagit, réveillé, se darde, s’excite, transmettant des signaux d’urgence absolue…

Les doigts terminent leur premier travail et la portent à son premier orgasme…

Elle se contient, se livre sans se libérer, elle crève d’envie d’être possédée…
Elle tend sa main vers le membre, le berce doucement, puis plus vite…

– Oh… Toi…
– Oui… Viens… Prends-moi…

Elle s’offre, se soulève vers lui, attends Monsieur le Sexe…

Elle est liquéfiée… Depuis une heure d’échanges de caresses d’abord au bar, sur la banquette, puis en ondulant contre lui, une danse érotique, la langue dans la bouche, sa culotte trempée, son ventre douloureux de se retenir, de masquer son désir tout en ressentant le sien darder sa verdeur…

– Oui !… Oh !…

Il l’a prise…

Elle est si écartelée, que son vagin est béant et que le membre glisse en elle sans effort, pourtant de très bonne taille, jusqu’au bout, doucement, sans à-coups…

Elle feule son plaisir d’être prise…
Et les premiers mouvements du sexe, la libèrent enfin… Elle se donne entièrement, accompagnant son amant de ses mains sur les fesses…

Il la prend, la porte aux nues, elle a de la chance cette fois….
Il est tendre, bon amant, à son écoute, et l’accompagne dans le plaisir, vers les sommets…
Longtemps, s’arrête, reprend…

Il la possède encore et encore, elle sent son plaisir renaître, passer les étapes…
Il la retourne et la prend en levrette…

Dieu que c’est bon, encore plus doux, plus profond, plus soutenu, des mouvements amples, ses mains viennent chercher et malaxer ses seins.

Il continue à la lutiner, la transportant d’extases en extases, elle confirme ses orgasmes par des « Euh… », lancinants, profonds, changeant, puis un râle, plus fort, plus rageur…
– Oh, oui… Viens… Prends-moi encore… Baise-moi…

Et il le fait… Changeant de position, passant le livre du Kamasoutra en revue…

Fière, assise sur lui, elle se donne le LA… Empalée, tenue par hanches, elle suit le rythme, donne le sien, accélère, tout au long de cet accouplement vengeur…

Eve est si belle que son amant fait durer l’affaire, voulant en profiter encore et encore, retardant l’échéance…

Elle est à bout, elle veut jouir de lui… Il la sent, lui aussi…
– Viens, prends-moi, mon bel amant… J’ai envie de ressentir la chaleur de ta semence se répandre dans mon ventre…. Oui !… Viens !…

Allongé contre elle dans son dos, il la prend en ciseau, pleinement, l’emportant dans un dernier assaut….
Les seins emprisonnés par de douces mains, le sexe qui va et vient entre ses cuisses écartées, elle ressent arriver la marée, cette vague de plaisir qui va envahir son ventre, le sexe durcit prêt à éjaculer en elle, une dernière vague et il pousse un « Han » rageur de délivrance…

– Oh, oui !… Merveilleux… J’avais soif de sexe… Merci… Tu m’as comblée…
– Moi aussi, tu es délicieuse, belle, une liane… J’aimerais te revoir…
– Oh, je ne pense pas, mon ami me laisse la liberté de mon corps, mais regarde à ce que je ne m’attache jamais…
– Dommage… Je viens chaque année… Ma femme est au sauna avec des amis… Nous aussi on a l’esprit large… Nous pourrions nous retrouver plus tard tous les quatre, car ton ami est beau… Il plairait à Emma…
– Au sauna ? Demain matin ? Avec un homme ou plusieurs ?
– Plusieurs, elle aime les blacks, Dan est parfait, avec son copain… C’est pour cela que j’étais à la piscine, comme une âme en peine…
– Je connais Dan aussi… On pourrait le faire ensemble ? 10h00… Tu viendras aussi ?
– Oui, bien entendu, je vais organiser ça…
– Bien… Si mon ami Marc est d’accord, je te le confirme par téléphone interne chambre 309…
– Exact…
– Eve…
– Steeve…

Un dernier baiser après une toilette rapide, je redescends à pieds, juste avec ma robe arachnéenne, sentant l’air frais dans mon intimité…

Marc est étendu, il me sourit…

– C’était bien ?
– Pas mal, et tu pourras assister demain à la suite… Sa femme est libertine et s’envoyait en l’air de son côté avec Dan et un copain…
– 4 hommes et 2 femmes ?
– Oui, cela pose un souci ?
– Ah, je vois, Dan…
– Ma foi… Je ne vais pas dire non…
– Tu es gourmande chérie, n’oublie pas que c’est moi qui te guide…
– Tu m’as invitée à le suivre…
– Certes, j’ai obéi, et le résultat fut exaltant…
– Donc tu ne t’es pas forcée…
– Oh, non, au contraire ! Mais je n’ai pas offert mon secret jardin…
– Tu comptes le faire car à plusieurs… Tu es devenue coquine, très coquine… Enfin, profite de ces vacances sexuelles, tu le mérites…
– Merci, je pense que l’on va passer une matinée enivrante… Surtout avec toi…

Les jours passent, deviennent exaltants, comme Eve le disait, et plus encore, matin midi et soir le remède fonctionne si bien que nous sommes vannés.

Le dernier jour nous le passons tous les deux à forniquer dans l’eau, dans les dunes, au sauna, dans la cave de l’hôtel, et le dernier matin, je lui offre Aline, notre tendre Aline…
J’assiste à une explosion de sexe lesbien, un concert à 4 mains… Aline n’en revient pas, Eve la surpasse dans la quête du plaisir, et a du mal à ressortir de notre chambre après que je m’en sois mêlé. Elle reviendra souvent le matin en portant le petit déjeuner avec la complicité de son Boss…

Nous sommes revenus chez nous, après cette semaine merveilleuse, cette fusion vers notre nouvelle vie… Un nouveau couple moderne, au top de la sexualité, et des valeurs d’un mariage nouveau style…

Ce soir-là, Eve se confie dans le canapé du salon, étendue, presque nue, comme j’aime à la voir, une coupe à la main…

– Ce que l’on vient de vivre, cette délicieuse semaine de sexe, je te la dois…
Tu n’imagines pas combien j’ai pu rêver d’oublier mes principes, d’oublier mon adolescence, brimée par mes parents.
J’entendais mes amies raconter leurs nuits d’amour, d’ivresse, de passion….
Puis ensuite, leurs couples, mariées, bien ou mal, leurs rêves qui s’étiolent au fil du quotidien, de l’habitude. Surviennent alors leurs premiers écarts, flirts lors d’anniversaires, au sein d’amis, dans le jardin, en piscine, baisers volés, gestes rapides, émois au bureau…

Puis, avec une intimité naissante, m’ayant initiée à leurs jeux, elles se sont faites plus précises, et me détaillaient crûment leurs après-midis coquins, hommes et femmes, liberté, car le prix de la jouissance, passe par cet abandon, ce dépassement des morales…
J’ai cédé moi aussi, je te l’ai dit, dans cet ordre, dans des brumes d’alcool, et d’autres substances pas très recommandables…
Tout est revenu cette semaine, et bien plus…
Ces orgies, ces nuits sans fin, ces hommes qui se succédaient…
Elles racontaient leur premier trio, avec deux hommes, dans un camping, tandis que leur amie jouissait dans la tente à côté, entre deux femmes, ou avec un couple…

Elles ont connu des caves, repères de drogués, des orgies chez les bourges, où tout est permis puisqu’on est là pour découvrir…
Enchaînées, déchaînées, droguées, violentées souvent, souillées et dégradées toujours…

J’ai échappé au pire grâce à leurs conseils, éviter des types aux yeux fuyants, celui-là aussi mal rasé, mal habillé, préférer des lieux connus, plus huppés, ne pas être seule, jamais…

Tu as été là cette semaine, tu as choisi, et bien choisi, mes partenaires.
Tu as imaginé des scénarios, des rencontres, des lieux….
J’ai risqué un peu sur l’autoroute, j’étais seule, mais les routiers sont sympas, ils cherchent juste à baiser…
Ils sont souvent plus polis que nombre de jeunes ados pré-adultes, gonflés de sève, et qui veulent s’affirmer…
Elles me disaient qu’il y en a qui aiment frapper, avilir, dominer, même si on est consentantes…
Pervers et autres malades, nous devons les détecter rapidement, des putes leur ont dit comment, vomir, baver…

Le plus simple, c’est de choisir comme au début, le couple sur le bateau, des gens sains, bien élevés, avides de sexe, mais réglos. J’ai énormément apprécié… Paul et Sonia étaient délicieux, il m’a même donné un acompte dans la rue en vous suivant…
Et puis Steeve et sa femme Emma, un délice au saune avec Dan et son copain Joe.

J’aimerais que notre vie amoureuse soit jalonnée d’expériences, de soirées avec des amis, des gens sûrs et bien dans leur tête, comme eux…
Des surprises aussi, juste pour le sexe, juste pour partager entre nous des moments particuliers, sans penser sentiments… J’aime tant quand tu viens finir la soirée avec moi, en me prenant tendrement, ou me partageant avec un ou une autre… J’aime quand on jouit ensemble, tous les deux…

Je t’aime tant…

Karine est partie, mais elle nous a laissé ça, on n’a fait que reprendre où elle t’avait conduit et je l’ai remplacée dans le même esprit, sauf que je suis ta femme, que je l’étais et le serais plus encore grâce à elle…

– Je t’aime aussi… Tu as dépassé tous les plaisirs et tu m’as emmené dans ton monde de partage et d’amour, en te donnant sans calculs à tes partenaires, me faisant confiance dans ces aventures, ces étreintes…
Oui, nous partageons un secret désormais, le secret de notre amour, de notre couple, cette complicité qui s’étend à l’ensemble de notre vie…

Karine a disparu alors que j’allais la vivre, tu as su la remplacer, prenant la balle au bond en réussissant à me sauver, à me réparer…

Tu es géniale je n’aurai de cesse de te remercier, nous aurons d’autres échanges libertins, avec cette confiance qui va nous habiter, et nourrir tous les jeux que nous pourrons vivre…

Cela fait 10 années…
Nous sommes arrivés hier soir à l’hôtel de la plage.
Notre grand s’est marié l’an passé.

Nous avons vécu des rencontres, des moments très chauds, notre amour est irrémédiablement ancré en nous.
Karine et sa tante nous observent de là-haut.

Nous sommes heureux de fêter ici cet anniversaire, entourés pour 7 jours par Dan, et Alice qui nous apporte toujours le petit déjeuner jusque dans notre lit…

D’autres amis de Dan, Chris et Aline les ont rejoints, ils ont créé un groupe solide de libertins et libertines, encadrés par The Boss, heureux de notre bonheur…

FIN

Marika842010
Mai 2018

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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