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Dressé par ma Nièce 6

Dressé par ma Nièce 6



Sonia viens de repartir, ses deux jours de présence a la maison ont été d’une grande richesse, j’ai beaucoup appris sur le plaisir et sur moi-même.
Pour lui faire plaisir, j’ai fait la cuisine, de bon petits plat gratinés mitonné avec soins, et bien sur tout nue ou presque, j’ai eu malheur de laisser trainer deux belles carottes sur l’évier, elles ont finis dans mon cul… d’ailleurs elles y sont encore, je crois que je les ai « avalé ».
Sonia ma fait une pipe en solo dans ma chambre, une façon a elle de me remercier. Sa langue a été des plus délicieuse, sa pipe ressemblant a un cunnilingus sur mon petit pénis.
Ses auriculaires passant dans chacun de mes anneaux de calotte, elle la tiré et retroussé pour ne laisser que paraitre la tête du gland qu’elle à gratifié de centaine de petits coups de langue. Dans le fond ce ne sont pas vraiment des garces ni de vrais maitresses pure et dur.
Mais je vais surement pas m’en plaindre, cette douceur me fait chialer comme un gosse, je me sens si misérable, et nous restons bien deux heures a papoter de moi, Elle m’explique avec ses mots à elle qu’elle a pu prendre plaisir avec ma queue de 6 cm, que je dois cesser de m’interdire les plaisir du sexe, et que si ma prochaine partenaire se moque de mon zizi, que je n’ai qu’a l’appeler pour qu’elle vienne dresser cette chienne. Nous rions, on se câline, elle me promet même de repasser me dresser avec un gros clin d’œil, je lui dis quand elle voudra.

Me revoilà seul avec ma Nièce, moi nu, le corps couvert de quelques hématomes dus aux vices que j’ai subis, elle toujours belle et divine. Et reprenant son sourire elle me dit qu’elle va devoir pisser et que ça aussi elle me l’a promis. Je déglutis comprenant que je vais devoir être sa latrine. Retirant sa culotte au milieu du salon, elle m’appela à ses pieds, je m’y agenouille et elle me bascule la tête en arrière, la mâchoire ouverte pour avoir la langue a la verticale de ma gorge. Elle vient me chevaucher le visage, plus petite que moi, ses pieds touche a peine le sol, son sexe vraiment assis sur ma bouche.

Lèche !! me dit-elle, je me fais pas prier, et je fouille cette minette de ma langue, on peut me reprocher mon sexe mais question langue je crois qu’elle n’est pas dans ma poche et je débute une valse puissante de celle-ci. Ses jus intimes me coule en bouche, depuis que j’ai gouté a la mouille de femme j’en suis dingue, pas que ce soit extraordinairement bon, mais c’est comme un aphrodisiaque naturel qui me grise en un claquement de doigt. La nature est bien faite.
Sa mouille est remplacée par ses premières gouttes, au début ça va, le gout est étrange, je pense pouvoir gérer puis soudain c’est le déluge. Ma bouche est pleine, je dois avaler, c’est chaud, salée, l’image du bouillon c’est bon pour les romans érotiques, le gout n’a rien à voir. A vrais dire je n’essaye plus de comprendre, ou je la repousse ou j’avale sans réfléchir. Je n’oublie pas mon rang, et j’avale en silence, bien que trop de pisse déborde et s’écoule sur mon corps. Pas très doué pour une première. N’avales plus, me dis elle, je garde donc la fin de sa miction en bouche, ma langue s’agite comme un gros poisson dans ce puits d’urine, elle se retire de mon visage, contemple ma posture, son remplissage, et racle sa gorge pour me gratifié d’un mollard en plus dans ma gorge.
Je n’avale pas, subissant cette nouvelle humiliation, mais je sens déjà l’action de l’acide uréiques qui me pique la langue, de plus j’en ai dans les yeux, c’est ce genre de détails qu’on ne penses pas dans ses fantasmes. Il faut dire cependant que j’ai été maladroit et que ce n’est que la première fois.
Ah, elle prend des photos, je dois l’excitée, elle aime m’immortaliser pour se toucher plus tard ou me rappeler ce dont je suis capable quand j’ai une baisse de forme.
Avale ! , j’avale enfin libérant ma bouche de cette gêne et relevant ma tête.

Son pied caresse mes couilles, le contact étrange de sa chaussure me rend un peu fou, je dois avouer mon léger fétichisme envers les talons hauts. Ses mains parcours mon ventre alternant caresse et empoignade de mes bourrelet ventraux. Je dois surement pas l’exciter mais l’amuser , ça j’en suis certain.
Elle m’amène sur le lit, a ses ordres j’ai aménager des sangles velcro dans les coins pour être rapidement attaché. Elle se rassoit sur mes cuisses comme au premier jour et me souris a la fois vicieusement et tendrement. Faible de sa chaire de ses caresses, j’en suis tombé amoureux, mais ne le lui dirais pas, je me contentais de lui faire comprendre en étant son jouet.
– « Je t’ai fisté ton gros cul de pédé, je t’ai pissé dans la bouche, il ne reste plus qu’une chose a faire sur ma liste des promesses
– Ha ? , j’ai déjà tellement fait de chose pour vous Maitresse, je ne serais dire ou me rappeler
– Rappel toi, je t’ai promis de doigter ton urètre
– Hein ! mais ça c’est pas possible !!
– Je sais rassure toi, ta nouille est bien trop petite pour ça, mais on va substituer mon doigt a autre chose
– Qu?..quoi ? dis je en déglutissant
– Ce bijou » ,
A ces mots elle me présente une sorte de clou a tète annelé, huit cm de longs avec quelques variation de diamètre sur la longueur. Je remarque aussi qu’il est percé sur sa longueur. Elle le pose sur mon ventre, ainsi qu’un flacon de lubrifiant et se penche sur moi, s’allonge presque en déployant mes bras de façon a guider les miens vers les angles du lit. J’en comprend le sens et me laisse attaché en croix, mes chevilles suivant l’instant d’après.
Ainsi offert sur le lit, je me sens livré a l’inquisition pour la question. De deux doigts elle branle ma nouille pour lui donner un peu de vie, la gifle, la tord, l’enfonce cruellement dans mon ventre, et la triture en tous sens. Enfin elle donne signe de vie. Elle la retrousse et laisse sortir mon gland, celui ci fait le fière a présent. Elle m’enfonce la petite burette de lubrifiant dans le pénis et m’envoie une dose de produit gras, la sensation est étrange, puis elle présente mon « clou ». je l’appel comme ça, je sais pas le nom de ce truc (Cock-plug) elle l’enfonce doucement.
Haaa quel étrange sensation, je sens la dilatations et du plaisir lors de la descente de celui-ci dans mon urètre, ce tuteur me fait bander et se retrouve vite entièrement logé dans ma verge.
Elle le branle un peu dans ma tuyauterie, je me tortille sur le lit elle adore ça.
Puis me recalotte le gland, les deux anneaux s’aligne avec celui du plug, le cadenas passe dans les trois et se referme. Je crois qu’elle va me garder comme ça.

Qu’ importe, je suis son soumis.

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