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les Vigiles

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– Putain ! Qu’est-ce qu’on s’emmerde dans ce boulot, faire toute la journée ouvrir des sacs à des quantités de salopes qui se moquent de nous et même pas pouvoir en baiser une…se plaint David, un grand black embauché depuis un mois, à la suite de plan Vigiepirate pour le compte du Printemps Lillois.

– Si tu fais exactement ce que je te dis réponds Denis qui est dans la broîte depuis 3 ans, je te promets que tu vas pouvoir t’en taper une, et en plus tu la choisiras.

– Tu déconnes, tu as vu ces pétasses, elles sont toutes plus fières les unes que les autres.

– Regarde ce bracelet, c’est mon arme secrète, avec lui j’en ai baisé une quantité.

– Tu ne vas pas me dire que tu leur offre un bracelet et qu’elles te sautent au cou

– Ce n’est pas exactement cela, ce bracelet je l’ai acheté 5 euros sur un marché, il est en plaqué or, j’ai chopé au rayon bijouterie une étiquette de 1275 euros qui était tombée, cette étiquette est magnétique, donc ça sonne au portail, suffit de choisir la fille et de mettre le bracelet dans son sac, après je l’embarque pour la fouille ; si tu marches avec moi, tu mets le bracelet dans le sac de la fille que tu auras choisi et tu montes au local 3/4 heure après que je l’ai emmenée.

– Pourquoi 3/4 heure ?

– Pour ne pas l’effaroucher, je commence à la mettre en condition et tu viens après quand elle est à point !

– OK donne-moi le bracelet !

– Attention, il y a plusieurs points à respecter, tout d’abord l’âge, ne choisis jamais une mineure, c’est un coup à se retrouver en tôle, ensuite vérifie qu’elle est seule, qu’il n’y a pas de copain ou de copine dans le secteur, choisis de préférence une femme mariée.

– Pourquoi une femme mariée, et comment je le verrai ?

– A son alliance, patate et une femme mariée sera plus malléable, elle ne voudra pas que son mari soit au courant, surtout si je lui fais miroiter le procès-verbal et la perquisition de la maison. A ce sujet, je préfère que tu t’attaques à une femme de la haute, genre très bien habillée plutôt qu’à une ouvrière. Et surtout pas de forcing, le bracelet tu le glisses dans le sac, s’il est fermé tu n’insistes pas, tu cherches une autre candidate.

– Dernière recommandation, évite les caméras de surveillance, il y a suffisamment de zones non couvertes pour que tu puisses le faire discrètement. Quand c’est fait tu me bipes et tu la suis pour voir vers quelle caisse elle se dirige.

David prend le bracelet et pénètre dans le magasin, deux heures après, alors que Denis commençait à désespérer, le téléphone sonne :

– J’en ai une : blonde, environ 25 ans, jupe longue, manteau noir froncé, sac cuir marron en bandoulière, je crois qu’elle va bientôt sortir, elle se dirige vers la caisse 4.

Denis se poste devant la caisse 4, cette femme est superbe, elle est habillée avec recherche et son allure distingué et un peu hautaine lui plaît énormément, il a assuré le petit !
Lors de son passage en caisse, elle dépose de la lingerie, deux ensembles de prix qu’elle règle avec une carte « premium » ; évidemment dès qu’elle passe le portique la sonnerie retentit, manifestement elle ne comprend pas, elle revient en marche arrière ça sonne de nouveau. La caissière décroche le téléphone mais Denis s’interpose :

– Je m’en occupe, sans doute une étiquette magnétique qui est restée en place, je vous en prie, Madame, si vous voulez passer dans mon bureau.

Sans méfiance, la cliente certaine de son bon droit, suit Denis.
Ils rentrent dans le bureau des vigiles, Denis allume les lumières ce qui a pour effet de déclencher les caméras.

– Asseyez-vous, Madame, et montrez-moi vos achats.

Un peu gênée, la cliente présente les deux ensembles presque transparents, imperturbable, Denis les manipule cherchant une étiquette qu’il sait ne pas trouver.

– Bon, je ne vois rien de bizarre, je vais vous demander de vider votre sac sur le bureau, je vous signale que pour la bonne règle, cette conversation va être enregistrée dit-il en poussant un interrupteur.

La cliente sors de son sac tout le bazar habituel que trimballe une femme jusqu’à ce qu’apparaisse le bracelet…

– Mais ! ce n’est pas à moi cette chose là !

– Effectivement ça vient bien du magasin et si j’en juge par votre ticket de caisse, vous ne l’avez pas payé !

L’ambiance a changé, la cliente est devenue toute rouge

– Ce n’est pas à moi, je n’ai pas pris cet article !

– Excusez-moi, mais tout ce que je constate, c’est qu’il provient de votre sac, 1275 euros, c’est une somme, vous avez peut-être d’autres articles sur vous, nous autres vigiles n’avons pas le droit de fouiller les clients, je dois prévenir la police pour qu’une fonctionnaire vienne vous fouiller.
Il décroche le téléphone

La cliente est maintenant cramoisie

– Non, je vous en prie, n’appelez pas la police, je vous autorise à me fouiller.

– Doucement, vous devez d’abord signer ce formulaire qui stipule que vous m’autorisez à pratiquer cette fouille et le compléter avec votre nom, votre adresse, vous écrirez également en bas du formulaire que vous reconnaissez avoir dérobé un bracelet d’une valeur de 1275 euros et je vais également prendre une photocopie de votre carte d’identité.

– Non, je refuse, je n’ai pas volé ce bracelet.

– Alors dans ce cas on revient à la première proposition, j’appelle la police.

– Et si je le paie ce bracelet ?

– Non, ça ne marche pas comme cela, l’alternative est simple : vous signez ce papier dans lequel vous avouez votre larcin ou j’appelle la police. Je peux maintenant avoir votre carte d’identité ?

Elle lui tend sa carte d’identité dont il s’empresse de prendre photocopie.

– Alors madame Annabelle Dubois, vous vous décidez ?

Annabelle se sent coincée, les larmes lui montent aux yeux, elle est en sueur, ses mains sont moites, elle n’arrive plus à réfléchir, elle est complètement perdue.
La voyant dans cet état, Denis décide d’en rajouter :

– En fait, au commissariat, vous serez simplement entendue, il y aura procès-verbal et vous serez relâchée, à moins que compte tenu de l’importance du vol, ils ne décident de vous raccompagner dans le fourgon et de faire une perquisition.

C’en est trop pour Annabelle qui ne peut supporter que les voisins la voient revenir avec la police, sans compter son mari qui trafique un peu d’alcool avec les restaurateurs, il ne va pas du tout apprécier… Elle capitule vers ce qu’elle pense être un moindre mal.

– Donnez-moi ce papier, je vais vous le signer !

Tout en pleurant, elle le remplit rageusement, il lui tend un mouchoir.

– Maintenant que la partie réglementaire est réglée, je coupe l’enregistrement de votre déposition, donnez-moi votre manteau
Elle enlève le manteau, il fouille les poches sans rien trouver, elle est maintenant en corsage et en jupe longue.

– Tournez-vous face au mur, déboutonnez simplement votre corsage et levez les bras.

Il se place derrière elle et commence à lui palper les épaules, les bras, le dos, il passe ses mains par devant et lui att**** les seins à pleine main. Elle sursaute en poussant un cri. Il la pelote allègrement en profitant de la situation. Elle lui dit sur un ton agressif :

– Ne vous gênez pas !

– C’est comme vous voulez, je peux appeler la police. Relevez votre jupe !

Elle remonte sa jupe jusqu’à ses cuisses

– Plus haut, jusqu’à la taille !

Il a maintenant une vue imprenable sur les jambes gainées par des bas fantaisie auto-fixant et une culotte transparente qui laisse entrevoir la raie des fesses. Ses mains caressantes remontent le long de chaque jambe, il la sent frissonner.

– Baissez-vous, écartez les jambes !

Il reprend sa fouille en haut des cuisses, passe sa main sur le sexe, les jambes se resserrent instinctivement.

– Je vous ai dit d’écarter les jambes !

Cette fois, il passe sa main entre les cuisses en suivant la fente et en frottant le sexe, puis écartant le petit slip, il insère d’un seul coup un doigt dans la vulve.
Au contact, elle sursaute en se raidissant et en s’éloignant de lui et crie qu’il n’a pas le droit de faire cela.

Denis s’écarte immédiatement, il regarde sa montre, déjà 25 minutes de passées, il prend le téléphone.

– Bon ! puisque c’est comme cela, rhabillez-vous, j’appelle le Directeur, il fera ce qu’il voudra.

– Ah non ! ça ne va pas recommencer, Je ferais ce que vous voulez, mais finissons-en et laissez-moi partir, je ne suis pas une voleuse.

– OK, si vous vous montrez coopérative et très gentille avec moi je veux bien classer l’affaire et vous laissez partir.

Annabelle le regarde, elle a bien compris ce que ce salaud lui propose, elle croit rêver, ce n’est pas possible.

– Vous pouvez préciser, je crains de mal saisir le sens de vos propos, je suis mariée.

– Bon écoutez madame, puisque vous ne semblez pas saisir la situation, vous avez le choix entre les flics avec procès-verbal, article de presse ou vous acceptez de vous laisser faire.

Annabelle est complètement abasourdie et épuisée, elle est au bord de la crise de nerfs, elle fond en larmes en imaginant la honte qui s’abattrait sur elle et sa famille avec son nom dans les faits divers. Alors, elle hésite encore quelques secondes et répond :

– D’accord, faites de moi ce que vous voulez !

Il passe alors derrière elle lentement, la ceinture et l’embrasse dans le cou. Il se plaque contre ses fesses de façon à lui faire sentir au travers de son pantalon son sexe déjà bien raide, puis il lui touche les seins qu’il palpe avec fermeté, il en triture les bouts au travers du tissu. Annabelle pousse des petits soupirs, elle a chaud, ses tétons durcissent, sa tête tourne elle recommence à transpirer, soudain, c’est la catastrophe, malgré la situation son corps l’abandonne, elle sent qu’elle mouille abondamment, ça coule le long de ses cuisses.
Le chemisier étant déjà ouvert, il dégrafe le soutient gorge, il émet un sifflement en découvrant une poitrine bien ferme, il baisse la jupe lui laissant les bas et la petite culotte qui est toute trempée.

Tout va très vite sa tête dodeline, elle est prise de tremblements nerveux. Il lui fait écarter les jambes et les cuisses avec ses mains, lui embrasse le ventre descend sur son sexe, il met sa tête entre ses cuisses, écarte le string et lui lèche le sexe en insérant par moment sa langue dans son intimité qui coule de plus en plus. Elle ne se contrôle plus, pousse des petits cris car en même temps il lui doigte la vulve sans ménagement

– Qu’elle salope tu fais car en plus tu mouilles abondamment me dit-il en se moquant.

Le string trempé est enlevé et git à ses pieds, elle coule comme une fontaine, des traînées de cyprine coulent le long de ses cuisses.
L’homme se redresse, il l’embrasse à pleine bouche, insère sa langue, l’att**** par les cheveux et l’oblige à s’incliner en avant, il lui demande de le sucer. Elle l’att**** avidement, la queue est grosse et assez longue, elle a un peu de mal à la faire entrer dans la bouche, après quelques va-et-vient, il gicle très rapidement quelques jets de sperme assez épais qu’il lui demande d’avaler.
Elle obéit à contre cœur et pensant que s’étant soulagé, il en a terminé et qu’il va la laisser partir, elle se saisit de ses habits avec l’intention de se rhabiller.

Mais non, il la soulève et l’allonge sur le bureau, il n’a pratiquement pas débandé, il vient entre ses cuisses qu’il écarte en grand. Il insère un doigt, puis deux dans son sexe et la masturbe avec force lui donnant un premier orgasme. Pendant ce temps sa bite a repris de la vigueur, il est encore plus gros que tout à l’heure, sa tige bien raide est rouge est noueuse.
Après avoir joué un petit moment il appuie légèrement son gland sur la chatte, les lèvres s’écartent et elle sent son chibre entrer lentement, en fait elle n’attend que cela. Il rentre sa queue presque entièrement et là il commence des va et vient puissants et brusques. Il lui remplit la chatte à chacun de ses mouvements, la sensation est tellement forte qu’elle ne tarde pas à ressentir un second orgasme qui la laisse pantelante,

– cela a l’air de te plaire dit-il…

Elle a honte mais elle répond à ses coups de boutoir et quand il se retire, elle se cambre pour venir à sa rencontre. Elle a complètement oublié pourquoi elle était là.
Après un certain temps, il s’est allongé sur le sol et lui demande de venir m’empaler sur sa tige à la verticale. Sa tige était toujours aussi raide, il lui demande de descendre lentement en s’accroupissant.
Dans cette position, il peut contempler son anus et sa chatte visqueuse qui s’ouvre devant ses yeux au fur et à mesure qu’elle descend pour s’empaler sur son vit.
Lors de la descente, elle pousse soudain un cri de surprise, il vient de planter son index qu’il fait coulisser plusieurs fois dans son petit trou.

– Non pas ça lui dit-elle avec fermeté, je ne veux pas.

– OK pas de problème dit-il en regardant sa montre, maintenant retourne-toi, je veux sentir tes seins contre ma poitrine
Il la baise de nouveau en la prenant par les hanches, il y a un bruit de porte, quelqu’un est rentré, elle se crispe, il la serre contre lui, l’obligeant ainsi à se cambrer. Un homme qu’elle ne voit pas est venu derrière elle, il lui écarte les fesses et lui enduit le sphincter de vaseline, il rentre un doigt puis deux.

– Non, j’ai dit que je ne voulais pas me faire sodomiser !

Une queue se présente à l’entrée de son petit cul. Elle a beau protester, il continue à appuyer son gland à l’entrée de sa petite grotte qui finit par céder à la pression.
Quand il la pénètre, quand elle sent son gland passer la frontière de son anus elle pousse un grand cri de douleur, elle a toujours refusé à son mari ce genre de pénétration, après quelques va-et-vient, la douleur s’estompe pour faire place à une vague de plaisir.
Quelles sensations nouvelles et indescriptibles de plaisir, de jouissance et de douleur à la fois. Elle n’en peut plus, elle hurle de douleur et de plaisir mélangés, son cul mouille, elle se fait pénétrer les deux orifices par deux inconnus en même temps. Mais quel pied.

– Salope dit un des deux hommes, toi tu es une chaude…

Après s’être fait littéralement labourer, elle sent celui qui la sodomise se crisper, il s’est immédiatement retiré, il l’a redressée et lui a joui au visage et sur les seins en la regardant dans les yeux et la traitant de salope, c’est un grand black avec une bite pas très grosse mais longue.
L’autre se libère dans sa minette, il n’a pas eut le temps de sortir, les dernières gouttes atterrissent sur les fesses.
Elle est tout à la fois honteuse et anéantie d’avoir pris autant de plaisir sous les coups de bites de ces deux inconnus, le vigile lui dit qu’elle peut se rhabiller et disparaître et que bien évidemment, il ne s’est jamais rien passé, pas de vol pas de viol.
Elle se rhabille en silence, elle est toute gluante, les poils de sa chatte sont collés

– Vous revenez quand vous voulez dit le grand black, vous demandez David.

Quand elle est partie, Denis coupe réellement les caméras et dit à David :

– Maintenant je vais faire le montage à partir des différentes caméras, nous visionnerons ensuite ensemble afin que tu repères bien toutes les séquences et comment faire monter la tension, comme cela la prochaine fois nous inverserons les rôles. J’en fais également une version en floutant légèrement les visages pour vendre sur le net.

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