Tu marches dans la rue en scrutant le regard des passants. Tu as l’impression qu’ils devinent tous. Qu’ils savent que tu ne portes rien d’autre que ta paire de bas sous ta robe.
Il faut dire qu’il avait été très clair dans son message. Ni culotte, ni soutien gorge. Juste le tissu de ta robe qui frotte la pointe de tes tétons dressés et le vent qui vient jouer entre tes cuisses. Mais trêve de rêveries, tu as un agenda chargé.
Tu rentres dans la boutique de lingerie pour la première étape de cette journée de shopping. Accueil poli de la vendeuse, seule à cette heure calme de la journée. Tu parcours les portants et te décides pour un joli petit ensemble en dentelle. Ce sera parfait pour l’émoustiller. Tu rentres dans la cabine et fermes le rideau en laissant juste une petite ouverture, comme il te l’avait demandé. Tu es à la fois un peu inquiète et aguichée par l’idée que l’on puisse t’apercevoir ici. Mais la boutique est vide et visiblement la vendeuse est affairée ailleurs. Tu laisses glisser ta robe au sol et contemples quelques instants ton corps. Tes tétons dressés trahissent l’excitation qui commence à monter. Tu enfiles l’ensemble en dentelle, il te va à ravir. Maintenant, tu sors ton téléphone et commence à lui envoyer des photos. D’abord sage, tu prends des poses de plus en plus lascives face au miroir. Tu veux l’exciter en lui montrant tes formes légèrement habillées de dentelle. Une fois qu’il a pu admirer ton choix de lingerie sous toutes les coutures, tu l’enlèves et la pose dans un coin. Tu es de nouveau nue, mais ce ne sont plus seulement tes tétons qui pointent. Tu sens aussi une chaleur humide t’envahir au creux du ventre. Alors tu reprends ta séance photo pour lui exposer ton corps nu. Ça t’excite de l’aguicher depuis cette petite cabine alors que la vendeuse s’affaire toujours à quelques mètres. Visiblement elle ne soupçonne toujours pas ton petit manège. Tu continues de passer tes mains sur ton corps et de lui envoyer des photos. Une les seins bien en mains, penchée en avant avec une moue gourmande. Une les fesses tendues en arrière pour qu’il puisse apercevoir ton intimité. Une accroupie, les jambes grandes ouvertes pour qu’il puisse voir ton excitation qui commence à devenir insupportable. Tu ne résistes pas et glisses un doigt sur ta fente luisante. C’est une décharge de plaisir qui parcours ton corps alors que tu retires ton doigt franchement mouillé. Tu voudrais continuer mais il y a encore beaucoup à faire. Alors tu secoues la tête pour reprendre tes esprits. Tu rassembles tes affaires et enfiles ta robe qui fait frissonner ta peau nue. Tu t’apprêtes à ouvrir le rideau de la cabine lorsque tu croises le regard de la vendeuse. Merde, tu ne sais pas depuis quand elle te regarde mais c’est sûr qu’elle t’a vue enfiler ta robe. Elle sait que tu ne portes rien en dessous. Visiblement elle est aussi gênée que toi. Tu sors précipitamment et bafouilles un au revoir mal assuré en franchissant le seuil de la boutique.
Enfin un peu d’air frais qui te remet les idées en place mais te rappelle aussi qu’il fait toujours très chaud entre tes cuisses.
Tu es tellement troublée que tu as abandonné le joli ensemble dans la cabine. Mais tu n’y penses pas, direction la prochaine étape.
Pas encore remise de tes émotions, tu te diriges vers la prochaine étape. Tes tétons tentent toujours de traverser le tissu de ta robe et le vent qui se glisse entre tes jambes te procure des frissons de plaisir le long de l’échine. Tu es maintenant bien trop troublée pour prêter attention au regard des passants anonymes.
Enfin tu arrives devant la boutique. Un joli et lumineux sex shop. Le vitrine claire et colorée présente déjà quelques modèles dédiés à divers plaisirs. Tu franchis le seuil et commence à parcourir distraitement les présentoirs. L’idée du plaisir procuré par ces objets augmente encore ton trouble. Des menottes, de la corde… Intéressant. Et ces objets oblongs et colorés. Certains vibrent, d’autres prennent des proportions inquiétantes et d’autres encore ressemblent à s’y méprendre à des phallus vigoureux. Toutes ces perspectives sont bien alléchantes.
Absorbée par tes réflexions lubriques et l’humidité alarmante de ton entre jambes, tu n’as pas vu la vendeuse arriver. Elle t’accueille avec un grand sourire et te demande si elle peut t’aider. Elle désigne le modèle sous tes yeux en te demandant s’il t’intéresse. Ce gode énorme ? Mais non ! Comment peut elle imaginer ? Enfin… Peut être que si, mais ce n’est pas l’objet de la mission d’aujourd’hui. Tu bafouilles un non mal assuré en continuant de fixer l’objet. Puis, reprenant tes esprits, tu lui fait part de ta recherche. Un vibromasseur, mais un avec de petites oreilles. Mais si vous savez, pour stimuler, euh… Enfin comme dans sex and the city quoi. Très professionnelle, la vendeuse se dirige alors vers un coin du magasin. « Mais bien sûr, nous avons plusieurs modèles de lapin vibrant. » Elle te présente divers modèles de toutes les formes et de toutes les tailles. Les fonctionnalités sont ahurissantes. Des milliers de types de rotation, des tonnes de modes de vibration, des matières plus douces les unes que les autres. Tu imagines tous ces jouets glissés dans ton intimité décidément de plus en plus trempée. Les perspectives de plaisirs sont folles. Comment choisir ? Voyant ton trouble, la vendeuse saisit un joli modèle rose et blanc. « Personnellement, je vous conseille celui-ci. Les vibrations sont très puissantes, c’est mon préféré ! » Elle accompagne son explication d’un petit clin d’œil. Oui… Il sera très bien… Tu te vois déjà l’enfoncer dans tes chairs, basculer la tête en arrière et te faire vibrer jusqu’à l’extase. C’est décidé, tu le prends. Direction la caisse, tu payes rapidement et ressors avec ton achat dans un petit sac, accompagné d’échantillons d’huile de massage, gracieusement offerts.
Retour dans la rue, hébétée par le désir qui est devenu insoutenable. Chaque pas mal assuré te rappelle que ton entre-jambes s’est depuis longtemps transformé en lac en ébullition…
Tu marches dans la rue, absorbée dans les pensées obscènes générées par tes aventures des dernières heures. Tu as hâte de rentrer pour tester ton nouveau jouet et enfin te laisser aller au plaisir, encore et encore.
Mais soudain une main saisit ton poignet. Tu n’as pas le temps de réagir que déjà une deuxième main t’attire. Tu ouvres les lèvres pour crier mais une bouche trouve la tienne et une langue t’explore. Tu cherches à te débattre mais les mains sur ta nuque et au creux des reins t’interdisent tout mouvement. Puis tu reconnais ce goût, cette odeur. C’est lui. Tu passes de la peur au plaisir. Tu t’abandonnes à ce baiser fougueux et l’entoure de tes bras. L’excitation fait un nouveau bond entre tes cuisses. Tu sens qu’il est excité aussi, il est dur contre toi. Tu voudrais que cette étreinte continue encore et encore mais déjà il se détache de toi. Il te prend tendrement mais fermement par la main et t’entraîne vers la station de métro. Tu le suis, absorbée par les vagues de désirs remontant de cette main chaude et de ton bas ventre pour empourprer tes joues.
Pas le temps de réfléchir que déjà vous êtes sur le quai alors qu’un métro arrive en chuintant. Il t’entraîne dans la rame et s’assied en face de toi dans un carré. Tu reprends ton souffle quand tu vois son regard noir de désir parcourir ton visage et tes formes. Tu l’as excité avec ta séance photo dans la cabine et il en veut visiblement plus. Alors tu écartes doucement les cuisses pour qu’il puisse deviner ton intimité nue et trempée. Son sourire satisfait et son air excité t’incitent à remonter un peu ta robe et écarter plus largement les jambes. Il te dévore littéralement du regard mais tu voudrais ses mains. Il sort alors sont téléphone et commence à immortaliser ta posture indécente. Heureusement que la rame est vide à cette heure et que le risque d’être surpris est faible. Mais ça t’excite de te montrer comme ça, de voir comme il te désire et de craindre l’arrivée inopinée d’un autre voyageur. Grisée par cette excitation, tu veux lui faire perdre la tête et tu prends des poses de plus en plus suggestives. Ta robe a glissé pour remonter sur ta taille et tes jambes grandes ouvertes ne laissent aucun doute sur la moiteur de tes cuisses. Tu voudrais déjà pouvoir admirer le résultat en photos. Mais visiblement cela ne lui suffit pas. Il lorgne du côté de ton décolleté et de tes tétons saillants sous le tissu. Tu lui jettes un regard entendu et tire sur le tissu jusqu’à dévoiler un sein, puis l’autre. Le jaillissement de tes tétons à l’air libre te tire un soupir de plaisir. Quitte à jouer, autant y aller à fond. Tu prends tes seins en main et commence à les malaxer adroitement. Tu fais rouler la pointe entre tes doigts et cela ne fait qu’accroître ton excitation. Tu es sur le point d’exploser. Tu ruisselles de désir entre tes cuisses ouvertes.
Soudain il se penche vers toi, tu tends ton cou pour l’embrasser alors qu’il pose sa main sur ta nuque. Mais il te tire vers le bas et avant de t’en rendre compte, tu sens son membre dressé glisser au fond de ta bouche. Mince, tu n’avais pas vu qu’il l’avait sorti. Mais c’est si bon. Il est tellement dur et il tressaute de plaisir sous le mouvement habile de ta langue que tu enroules autour de son gland. Il te tient toujours fermement et pousse ta tête plus loin, tu veux le prendre en entier, le sentir t’investir. Alors tu ouvres ta bouche en grand, tu aimes tellement le prendre en bouche comme ça. C’est si bon de lui faire perdre les pédales, son bassin bouge imperceptiblement pour s’enfoncer plus loin en toi et il ne peut se retenir de soupirer de plaisir. C’est tellement excitant de le sucer à fond dans le métro comme ça, tu voudrais qu’il te prenne avec force. Tu dégoulines carrément sur le siège du métro tellement l’excitation est grande. Il suffirait d’un effleurement pour te faire partir, mais c’est lui que tu veux. Tu veux qu’il te prenne ici et maintenant, avec force. Il pousse ta tête toujours plus loin et tu commences manquer d’air mais le désir est plus fort. Tu voudrais le garder des heures comme ça dans ta bouche alors que ta salive commence à barbouiller ton menton.
Soudain, il relâche la pression et te repousse gentiment. Tu profites de ce répit pour prendre une grande goulée d’air et l’entendre dire « à ton tour maintenant, montre moi tes emplettes ! ». Incrédule, tu glisses une main dans le petit sac en plastique pour en sortir ton jouet encore emballé. Sous son regard encourageant, tu le sors de son emballage. Il reprend son téléphone en main et tu sais très bien ce qu’il veut.
Alors tu glisses le lapin dans ta bouche barbouillée et le fait aller et venir. Après quelques instants de ce petit jeu, tu n’y tiens plus. Tu le retires de ta bouche, ouvres grand tes jambes et approches le bout de tes lèvres luisantes de ton jus qui n’arrête plus de couler. Sous son regard approbateur et l’oeil du téléphone, tu te pénètres d’un coup sec. C’est une décharge fulgurante qui te cloue le souffle coupé. C’est si bon de se faire enfin prendre la chatte. Il a l’air tellement excité de te voir te pénétrer comme ça. Tu imagines que c’est lui qui te remplit de la sorte. Après quelques va et viens qui te font onduler de plaisir, tu enclenches les vibrations. Doucement d’abord puis de plus en plus fort. La stimulation directe sur ton clitoris alors que tu es toujours remplie est insoutenable. Tu te sens partir. Et il te regarde toujours avec son air lubrique, comme s’il pouvait te dévorer sur place. Ce n’est plus possible, tu lâches prise. Une vague de plaisir t’emporte et tu ne peux réprimer un petit cri alors que tu sens ton jus couler entre tes jambes. C’était si fort, si bon.
Tu reprends tes esprits sous son regard satisfait et prometteur de nouvelles aventures. Pas le temps de souffler qu’il se lève. Tu att****s tes affaires précipitamment alors qu’il t’entraîne déjà vers la sortie.
La soirée ne fait que commencer et tu as déjà eu ton premier orgasme alors qu’il ne t’a pas encore touchée.
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