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Belle et ronde

Belle et ronde



J’avais 22 ans à l’époque, afin de fêter la remise des diplômes, moi et des amis avons décidés de passer 3-4 jours à la mer pour décompresser.
Nous arrivions alors dans un charmant camping du sud de la France, avec de nombreuses activités comme une piscine, la mer à deux pas, une salle de sport, une discothèque, bref tout ce qu’il fallait pour passer un excellent séjour.
Arriver à notre mobil-home, j’aperçu alors mes voisins, un couple d’une quarantaine d’année environ.
Mon attention s’est néanmoins portée tout particulièrement vers la femme de mon voisin. C’était une femme d’environ 1m80, 90-100 kilos, aux cheveux mi-long, d’un blond doré, avec des yeux bleus éclatant, des cils recourbés et quelques rides, lui donnant un charme fou.
Elle était vêtue d’un chapeau de paille, un haut à manche courte rose ainsi qu’une mini jupe blanche lui arrivant pratiquement aux fesses. Elle était plutôt dodue, elle avait une forte poitrine que j’aurai bien aimé mater, et les cuisses assez grasses, elle était cambrée et disposait de belles grosses fesses bombées que j’aurai bien voulu saisir fermement.
Elle nous fit un signe de la main très amical et nous souhaita la bienvenue, tout sourire, son mari nous fit également un signe de la main en guise de sympathie.
Suite à cela, je n’ai pas cessé de penser à cette femme, de l’imaginer nue à mes côtes, rien que cette pensée me donna une bosse dure dans mon short. Il faut dire que j’ai toujours était attiré par les femmes avec des formes pas « grosses » ni obèses, mais plutôt potelée ou avec de belles rondeurs.
La matinée et le repas s’étant passés confortablement, mes amis décidèrent alors de faire une petite sieste et de profiter de la mer et autres activités plus tard dans la soirée.
N’étant pas d’humeur endormie, je décida alors de faire un petit tour du camping et pourquoi pas aller faire un plouf dans la mer à moins de 200 mètres.
Au moment ou je franchis le seuil de la porte, je vis ma voisine, cette belle blonde marcher sur le chemin, en ma direction.
D’un grand sourire, elle s’approcha de moi et me dit avec un léger accent du midi :
– Eh ben dis donc ! Il fait une chaleur à en crever vous ne trouvez pas ? Me dit-elle. Elle était la devant moi, grand sourire aux lèvres avec sa chevelure détachée et ses yeux d’un bleu hallucinant.
-Oui, même si je suis du coin depuis quelques années, je ne me suis jamais habitué à cette foutue chaleur, surtout l’été, horrible lui répondis-je, d’un ton assez timide et enjoué à la fois.
-Où sont donc vos amis jeune homme ? Ils ne vous ont quand même pas laissés tomber ?! Me demanda-t’elle avec un ton maternant mais ferme.
-Oh non ne vous inquiétez pas, ils sont juste en train de faire une sieste, mais je ne suis pas vraiment d’humeur à dormir avec ce temps et cet endroit.
-Je te comprends, eh bien j’avais projet d’aller à la mer, si tu souhaites m’accompagner tu es le bienvenu, mon gros lourdo de mari s’est endormi devant la télé…
-Oh, lui dis-je en hésitant, je n’aimerai pas vous déranger vous savez. Même si une partie de moi souhaiter à tout pris découvrir ce corps quasi nu qui paraissait plus qu’alléchant.
-Tu ne me déranges pas enfin, c’est moi qui te le proposes, je suis une habituée du coin, je vais te montrer une jolie petite crique peu fréquentée dans le coin, c’est à deux pas d’ici.
Nous marchions alors tout deux vers cette fameuse crique, il fallait reconnaître que l’endroit était magnifique. Nous installâmes alors nos serviettes sur le sol et elle commença alors à se mettre en maillot.
Elle était à mon gout très exitante, une grosse poitrine tombant sur son ventre bedonnant et un peu gras, des bras un peu flasques et graisseux , des cuisses et un fessier avec beaucoup de cellulite mais bien rebondi.
A ce moment là, j’étais exité à un point inimaginable, j’avais une trique si dure dans mon maillot que j’ai eu du mal à feindre la douleur.
Elle se tournant vers moi et me dit:
-Au fait, je ne me suis pas présentée, je m’appelle Ingrid.
-Jason, lui répondis-je en déglutissant.
-Eh bien alors ? Tu ne te mets pas en maillot ? Tu ne va quand même pas te baigner avec tes affaires, le sel pars mal à la machine dit-elle en riant.
-Si si j’arrive lui dis-je avec un ton gêné.
-Elle baissa les yeux et remarqua sans le moindre doute la bosse entre mes jambes, à la vue de cela, j’entrecroisa alors mes jambes et détourna le regard. Elle esquissa un petit sourire coquin.
-Ce n’est pas grave on se baignera plus tard ! Moi perso, je vais bronzer un peu ça me ferait pas de mal !
Ah , au fait est-ce que tu pourrais me passer de la crème solaire dans le dos, j’ai la peau sensible et comme tu peux le voir le soleil tape.
-Ou..Oui d’accord pas de soucis.
A ces mots elle enleva son haut de maillot, et affala son corps gras sur sa serviette, je commença alors à lui étaler la crème, sur les épaules, la nuque, le dos, ses poignées d’amour.
Je commençais à respirer plus rapidement et un peu plus fort.
Elle me dit, d’un ton apaisé:
-Hmmm, tu as vraiment des doigts de fée, et si tu me massais un peu ?
-Si vous voulez lui dis-je, n’en pouvant plus.
Je commençais alors à la masser avec amour et sensualité doucement mais fermement , j’aimais voir ce corps quasi nu en dessous de moi, avec ces formes, cette cellulites, cette graisse… Elle poussa des petits soupires et gémissements en signe de travail bien fait ce que je trouva satisfaisant.
Tout à coup. Elle mis sa main sur mon short me serrant fermement la bite, surpris, je ne me suis néanmoins pas opposé à ça !
-Tu crois que j’ai pas vu la façon dont tu me matais petit salopard ? J’ai bien vu que je te faisais de l’effet !
-Oui, Ingrid, je l’avoue vous êtes une femme très séduisante et je n’ai pas arrêté de vous imaginer à poil toute la journée…
Elle se retourna, en souriant et se mis sur le dos, laissant alors voir ses belles et grosses mamelles qui demandaient qu’à être baisées.
Elle retira mon t-shirt et mon short, elle m’allongea sur le dos et elle se mis à me sucer comme une reine. Faut dire qu’elle avait le coup de main celle-là, elle faisais des va-et-viens sur mon sexe, alternant avec des coups de langues de part et d’autre, je gémissait de plaisir tellement que c’était bon, j’en ai eu des pipes mais des comme ça, jamais !
Elle se décala sur le côté et me dévoila sa croupe, je mis une main dans ses beaux cheveux blonds et une autre dans sa grosse chatte et je commençais à la doigtais de plus en plus rapidement. Je la sentais gémir presque aussi fort que moi.
Elle s’arrêta juste avant que je vienne dans sa bouche, comme si elle savais, elle me laissa prendre une capote et se mis ensuite sur moi, rouge du fait de son manque de cardio dû à son poids et du soleil infernal, transpirante, elle était alors assise sur mon sexe me chevauchant passionnément, ses seins et son ventre gras bougèrent à la suite du pillonnage que je lui faisait dans sa grosse chatte, je la vis me regarder droit dans les yeux, elle avait vraiment un visage des plus magnifiques qui soit malgré les quelques rides qu’elle arbora.
Elle jouissait et criait de plaisir
-Oh oui baise moi Jason, baise moi défonce moi, oui, oui , oui !!!
-T’aimes ça que je te baise hein ?! La pillonnant encore plus fort
-Prend moi en levrette, vas-y ! Fais moi jouir !
Je la retourna et je vis alors son beau cul plein de cellulites, j’inséra ma bite en elle et je la défonça comme il se doit, j’alternais en passant mes mains tantôt sur ses grosses mamelles, tantôt sur son gros ventre mou.
C’était amusant et exitant de voir cette graisse jigoter à chaque coup de bite.
Après plusieurs minutes à la besogner, elle me cria :
-PREND MOI PAR LE CUL, FAIS MOI JOUIR !
-Avec plaisir !
J’introduisis alors ma bite dans son cul et lui défonça son trou bien comme il faut, dans un râle de plaisir je lui déversa tout mon jus dans son gros cul, elle ne tarda pas à son tour de pousser un cri aussi fort que le mien.
Après cela nous nous étalâmes l’un à côté de l’autre, j’en profitais alors pour l’embrasser tendrement, passant mes mains partout sur son corps et ses belles formes, qui m’ont tant donner de plaisir.
2-3 heures plus tard nous regagnions nos bungalows respectifs et me fis un dernier petit sourire en coin avant de regagner l’intérieur.
Les jours d’après nous nous sommes débrouillés pour nous voir et baiser comme des bêtes sans que son mari et mes amis soit au courant, nous entretenions alors l’un et l’autre une douce complicité…

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