Je fréquentais Sébastien depuis environ deux mois. Il était très gentil bien qu’un peu timide et j’avais dû le forcer un peu pour qu’on fasse l’amour mais ce n’était pas ce que j’avais espéré pour une première fois. Ça avait été un vrai désastre. Ce n’était pas qu’il était mal outillé mais il ne savait pas s’en servir.
Je sortais avec lui presque tous les samedi soir et parfois il m’emmenait chez lui pour faire une tentative mais ça ratait presque à chaque fois. Un samedi soir, au lieu d’aller chez lui, nous sommes allés chez un de ses copains et j’ai découvert que j’étais la seule fille au milieu d’une demi-douzaine de garçons.
J’aurai pu être la reine de la fête mais les mains n’ont pas tardé à se glisser sous ma robe et quand j’en ai parlé à mon copain, il m’a répondu qu’ils s’amusent et que c’est sans importance.
Je voyais bien comment ça allait se terminer. En plus des mains, j’ai eu une bite collé sur mes fesses. Je n’aurais su dire si elle était restée dans le pantalon mais la sensation était bien là.
Au bout d’un moment, et les boissons faisant leur effet, Sébastien m’a dit que ça serait bien pour lui si j’étais gentille avec ses copains. Que fallait-il que je comprenne ? Il m’a soulevé ma robe et il m’a retiré ma petite culotte en disant qu’il n’a pas menti parce qu’ils peuvent voir que je m’épile entièrement.
– On peut vérifier, a fait un de ses copains ?
Il a glissa sa main entre mes cuisses et il m’a touché la vulve avant d’enfoncer ses doigts dans mon vagin et il m’a massé le clitoris avec son pouce, ce qui a fait que j’ai abandonné toute résistance et c’est bien ce qu’ils ont compris.
Ils n’étaient pas méchants. Ils m’ont retiré ma robe et il m’ont caressé la poitrine. Je trouvais ça agréable et ils ont commencé à se disputer à celui qui me pénétrerait avec son pénis et moi, comme j’étais en bonne position, cuisses ouvertes, je me suis laissée faire et chacun, tour à tour, ils m’ont pénétrée puis il y en a eu un qui a voulu qu’on fasse l’amour à trois et on m’a prise dans l’anus puis j’ai sucé les bites et le speme a commencé à gicler.
La seule chose dont j’avais envie n’était pas de me défendre mais de me laisser faire et je me rendais bien compte que ce que j’aimais était d’être leur chose, de les voir se battre pour m’avoir. Ils ne sortaient leur bite de mes trous que pour la frotter sur mon ventre et mes fesses puis je sentais quelque chose de chaud sur mon corps et c’était du sperme.
Que faisait mon petit ami Sébastien ? Il se servait de son téléphone pour me filmer et me photographier puis il m’a montré un petit bout de film en me disant que je suis belle quand je jouis et il avait raison. Quand j’étais seule à me masturber, je faisais des grimaces et là, avec tout ce groupe, je souriais.
Ils défilaient ans mes trous les uns après les autres sans avoir l’air de se fatiguer. L’un d’eux a voulu se masturber sur ma poitrine et je l’ai laissé faire et j’ai pris tout le sperme sous le menton. Après celui-ci, les autres se sont lassés et ils ont commencé à partir et ils nous ont laissés et je suis rentrée chez moi.
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