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Fantasme au château

Fantasme au château



Durant la semaine, Alain m’avait demandé :
« Ma petite chérie, serais-tu partante pour un week-end de soumission au château du haut gouget. Il y auras des soumis et des soumises ainsi que des Maîtres et Maîtresses. Tu as la semaine pour te décider »
J’avais entendu parler de ces week-end où les dominants faisaient subir humiliations et punitions diverses à leurs esclaves. Çà me faisait peur mais j’en étais très excitée aussi. Je savais que si j’acceptais, il n’y aurait pas de point de non retour.

Le Jeudi, je déclare avec un peu d’angoisse à Alain :

« Je suis partante pour l’aventure chéri mais j’ai peur. »
« La peur fait parti du plaisir ma chérie ! Merci d’accepter. Je suis fier de toi.»

Ensuite, il m’a fait tendrement l’amour et m’a donné un orgasme fulgurant. Le soir alors que je me préparais pour partir,Alain me dit :
« Michèle, reste nue et mets ce collier signe de ta soumission. Tu feras le voyage avec juste un manteau sur toi !»
Ma position de soumise commence dés à présent et je l’accepte de bonne grâce.

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Après une heure de trajet nous entrons par une grille monumentale dans le parc d’un château. J’ai une boule au ventre. Arrivés sur les lieux, nous sommes accueillis par un majordome en livrée qui nous dirige vers une grande table où un apéritif est offert. L’alcool désinhibe l’assemblée, soumises et soumis se retrouvent rapidement nus. Alain m’enlève mon manteau et le donne au majordome. Je suis rouge de confusion et machinalement cache mes seins et mon minou.
Alain ma donne une tape sur les fesses en me disant :
« Un peu de tenue ma chérie ! Je t’en prie ne me fait pas honte devant tout le monde ! »

La musique démarre et sur une sorte de dancing floor, nous nous donnons en spectacle en y dansant nus pour le plaisir des Maîtres et Maîtresses. Les Maîtres et Maîtresses qui disposent ici d’un choix conséquent de mâles et de femelles ne se privent pas de nous peloter. Vient le repas assez conventionnel, hormis la nudité des esclaves. A la fin du repas, la Maîtresse de maison lance les hostilités en s’attaquant aux fessiers de mâles à l’aide de martinets sur une musique d’ACDC. Un Maître intervient lui aussi pour rythmer la musique à coup de cravache.
Il se dirige vers moi en disant à Alain :
« Je vous l’emprunte, je pense que ses fesses vont avoir un timbre intéressant ! »
« Bien entendu mon ami, elle est à vous. Je suis impatient de connaître cette sonorité. »

Je le regarde d’un air terrifiée et me répond par un sourire. Cet homme m’attache pour me mettre en position et commence les coups de cravaches au rythme de la musique. Mes cris et mes plaintes n’y font rien bien au contraire.

Ce concert curieux s’arrête tard dans la nuit. Mes fesses sont marquées au grand bonheur d’Alain qui n’arrête pas de me les malaxer.
Comme le veut la tradition, les esclaves mâles et femelles dorment tous dans la même pièce ce qui force quelque peu la pudeur. Le samedi matin, le réveil est difficile. Mes fesses me font encore mal. Après les petits déjeuners, un Maître déclare :
« C’est l’heure de mise en forme pour nos esclaves ! »
Nous sommes contraintes de faire des ados, du vélo, des ciseaux intégralement nues. Pour rythmer la cadence, nous sommes fouettés et les coups parfois ne tombent pas toujours que sur les fesses ou le dos. J’en reçus un sur le côté du seins qui m’a fait hurler.image

Nous avons eu le droit, après ce traitement, à un moment de repos dans les douches communes. Mâles et femelles avons le corps striés par les coups et nous sont luisant de transpiration.

Pour l’apéro du samedi midi, l’un demande :
« Messieurs et mesdames, pour les activités de cette après midi, je vous demanderais de m’apporter des suggestions de jeux. La plus audacieuse sera retenue. »
Un large éventail de « jeux » sont proposés.
– Shibari,fessés, pinces multiples et diverses lestées ou non…etc…
Alain a décidé de s’occuper de moi en me traitant comme une chienne. Un collier une laisse, des pinces aux tétons avec des clochettes, un plug ressemblant à une queue de chien. Je dois gambader ainsi affublé devant l’assemblée. Si je ne courre pas assez vite, je reçois un coup de fouet. Je dois aussi faire mes besoins devant tout le monde .
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Quelle humiliation pour moi mais çà semble amuser les invités. La fin d’aprés midi approche et j’espère avoir un moment de répit car je suis épuisée. J’ai hâte que ce week-end se termine. Quelle conne j’ai été d’accepter un truc pareil. Malheureusement, le Maître de cérémonie m’appelle :
« Petite chienne ! Viens par ici ! Tu es une bonne chienne et tu vas avoir l’honneur de servir de sceau à champagne ! »
J’ai peur de comprendre. On m’allonge sur le dos et on me bloque les jambes derrière la tête. Dans cette position, mon intimité ne cache aucun secret à l’assistance. On entreprend alors de m’enfoncer dans le vagin, une bouteille de champagne. Il force pour le faire entrer et je grimace tellement l’objet et gros. Je ne veux pas crier pour ne pas faire honte à Alain. L’homme y parviens et toute l’assemblée applaudi.
J’entends Alain qui lance :
« Bravo chérie t’es superbe ainsi ! »
Bêtement çà me rend fière.
Je m’habitue à cette énorme présence dans ma chatte. Les Maîtres et Maîtresses se succèdent alors pour s’abreuver à ma source. Comme il sont trop nombreux pour ma seule bouteille, ils décident de prendre plusieurs femelles pour augmenter le nombre de verre. Nous avons le droit ensuite à un repos bien mérité pour permettre à nos corps de se remettre de ces excès. Nous ne sommes que Samedi et je suis effondrée de fatigue. Mon corps est couvert de coup, J’ai mal partout.
Au digestif, lui aussi agrémenté par les propositions sadiques et perverses, un nouveau jeu est organisé. Transformés en meubles, les mâles et femelles doivent se prêter aux délires proposés. Moi je sers de table basses. D’autres moins chanceux se transforment en bougeoir ou en cendrier. La fin de la soirée est plus calme et ce n’est pas pour me déplaire. Je n’ai presque pas vu Alain qui doit certainement s’amuser avec une femelle. Le Dimanche commence mal pour moi. La veille, j’ai retiré mon collier pour la nuit. Mais ce matin, avec l’alcool bu la veille, je ne me souviens plus où je l’ai mis. Pendant plus de 30 minutes l’équipe doit le chercher ce qui justifie une punition. Ils m’attachent en croix et je reçois des séries de coups de fouets sur mes fesses, mon dos, mes seins et mon ventre. Alain a la primeur et me fouette les fesses heureusement pas trop durement. Après cinq minutes de pause, c’est une Maîtresse qui prend le relais en me fouettant d’une v******e qui me fait hurler et supplier d’arrêter. Mais le pire c’est Maître Philippe qui m’inflige sur les seins une correction magistrale qui oblige Alain à lui demander :
« Ho ! doucement tu vas abîmer mon jouet ! » image
Après un tel traitement, je suis à moitié évanouie et sanglotante. On me détache. Mes jambes flageoles et on m’allonge délicatement pour que je reprenne des forces. Shibari au menu pour cet après midi et c’est Bernard et Marion qui sont entravés nus à un escalier. Les Maîtres et Maîtresses alors couvrent de coups de martinet et de fouet les deux esclave ligotés. Une Maîtresse s’occupe du sexe du soumis alors qu’un Maître s’acharne sur les seins de la soumise qui se tord de douleur.
Pour clore ce eek-end, il est décidé par le Maître de cérémonie d’un concours de fellation. Moi qui adore sucer ça ne va pas être un problème.image

A ce jeux je suis forte et je gagne le concours. Alain me prend dans ses bras en me disant :
« Je suis fière de toi chérie. Veux tu venir au prochain week-end ? Comme tu as gagné, tu sera invitée comme assistante. »

Rentrés chez nous, je m’écroule de fatigue sur le lit. Il m’a fallu 2 semaine pour ne plus avoir de trace de fouet. Je ne sais pas si j’irais à la prochaine réunion.

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