Une clé tourne dans la serrure et puis la lumière m’éblouit. Je cligne des yeux… Je vois le débile et une femme en vêtements de travail, qui me dit :
— Alors on ment à la mère supérieure ?
Malgré que je sois complètement déshydratée, je me mets à pleurer en gémissant :
— Délivrez-moi, madame je vous en supplie.
Le débile lui dit :
— Tu… tu vois, Simone qu’elle est bête, hein… hein.?. Belle, mais, mais bête.
Simone est une grande femme d’une quarantaine d’années d’années vêtue d’une robe tablier comme une paysanne ou une servante. Elle me dit :
— Alors on a passé une bonne nuit ?
— Nooon, Madame… oh, je vous en supplie.
— Demande à Henri.
Oh, putain, c’est le débile. Je lui dis :
— Pitié, Monsieur Henri, détachez-moi.
Il secoue sa grosse tête vide en disant :
— Qu’elle est bête… moi, c’est Hen… Henri… et demande que je te ca… caresse ton der… derrière….
— Riton s’il te plait, caresse mon gros derrière et détache-moi.
Il passe sa main sous ma jupe et caresses mes fesses, il les tête comme si c’était des melons…
La femme lui dit :
— T’es content, Riton? Allez détache-la.
oui… oui… merci.
Il me détache et je manque de m’écrouler dans… ma pisse. Il m’aide à sortir de la bassine. La femme me dit :
— Tu as quelque chose à me dire.
— Merci… Madame… Je peux avoir à boire, je vous en prie…
— C’est la mère supérieure qui te donnera à boire ou pas… A moins que Riton te laisse un peu boire.
Mais qu’est ce qu’elle a avec ce débile !
Je comprends mieux quand il dit :
— Je peux gardes sa cu… culotte… M’an, c’est pour…
— Pour te branler. Oui garde la. Bientôt tu pourras jouer au papa et à la maman.
Oh, non !!
On sort de la cave. La femme me tient sous le bras fermement à sentir sa poigne c’est sûrement une paysanne ou une travailleuse manuelle. De l’autre côté, son débile de rejeton a de nouveau passé sa main sous ma jupe et il me tient par les fesses.
Elle m’amène dans une salle où il y a 6 douches d’un côté et 6 toilettes de l’autre. Ce qui est surprenant, c’est qu’il y a très peu d’espace entre les toilettes et la même chose pour les douches. Elle me dit :
— Déshabille-toi.
J’hésite… une fraction de seconde puis j’enlève ma robe.
— Va sous la douche.
Quand j’y suis elle me tient d’une main et ouvre le robinet de l’autre. Ouch!! L’eau est glacée, je pousse un cri et j’essaie de sortir mais elle me maintient et le débile m’att**** l’autre en riant. Ils me maintiennent quelques minutes sous le jet. Je dois être bleue de froid. Enfin, elle éteint en disant :
— Si tu bouges de la, ça va chauffer pour tes fesses.
Je ne bouge pas. Je claque des dents et tous mon corps est couvert de chair de poule. Elle prend une boite de poudre de savon et m’en verse sur le corps. Puis, à d’une grande brosse dure elle me frotte énergiquement tout le corps.
— Aaaiiii ça fait mal madame
— Ferme-la. !
Elle me frotte à toute vitesse. Quand c’est fait, elle me dit :
— Écarte les jambes
et elle frotte mon sexe.
— aiiiiiieee
Mon cri s’arrête car elle a ouvert le robinet et je suis à nouveau sous un déluge d’eau glacée. Quand elle arrête, je tremble de tous mes membres.
Elle me dis :
— Tu as toujours soif ?
— Oh oui madame, je vous en prie…
Riton, donne lui à boire dans tes mains.
— Oh oui !
Elle ouvre un instant la douche et il recueille de l’eau dans ses deux mains l’une contre l’autre.
Je lape l’eau dans ses mains sales. Quand j’ai tout bu, elle me dit :
— Allez je suis trop bonne, tu as encore une minute pour lécher le sol
A toute allure, je suce et lèche aussitôt l’eau qui se trouve sur le sol.
Dans cette position je ne cache rien et j’entends le débile dire :
— Ouah! M’an je vois sa… sa chatte… et son trou d’cul. Je peux jouer avec elle.
— Plus tard…
— Promis, m’an
— Promis. Bon allez, lève-toi.
Elle me frotte avec une serviette bien rêche mais rien a voir avec la brosse dure. Lui aussi me frotte mais uniquement entre les cuisses.
Quand, je suis sèche elle dit :
— Maintenant, on va chez la mère.
Je veux prendre mes vêtements qui sont sur le sol elle me dit :
— Non.
Riton lui demande :
— Je peux les avoir pour ma collection.
— Mais oui, poussin.
Poussin ! Oui, la chouette trouve ses enfants beaux !
On remonte vers le rez de chaussée. On croise des religieuses. Une d’elle lui dit :
— C’est une nouvelle
— Oui et elle a menti à la mère
La religieuse rit et dit :
Aie!
On arrive devant la porte du bureau de la mère. Elle toque, attend qu’on dise d’entrer. Elle dit :
— la nouvelle qui a été en bassine.
— Oui merci Simone.
La mère supérieure ne me regarde même pas. Elle murmure :
— À genoux, les mains croisées sur les reins.
J’obéis.
Tout est tellement soudain et brutal que je ne réalise pas encore dans quel enfer, je suis. Il faut que je contacte mon père d’une façon ou d’une autre.
La femme s’en va. La mère supérieure ne même pas encore regardée.
Je suis épuisée, j’ai encore soif, malgré que j’ai lapée, mais j’ai très faim.
On toque et une jeune femme entre. C’est une jolie blonde en jupe et chemisier. Elle ne prête aucune attention à moi, il y a une fille nue à genoux au milieu de la pièce, c’est normal. Elles s’embrassent… sur la bouche.
La jeune femme dit :
— Voilà le courrier ma Mère.
— Aaah ma petite Émeline… montre-moi, ça.
La fille va à côté d’elle et dépose plusieurs lettres sur le bureau. La mère supérieure signe le courrier. La fille dit tout à coup :
— Eééh, ma mère vous avez de nouveau les mains baladeuses.
— Tu me plais trop… Rien que ton parfum me rend toute chose.
La fille rit et répond :
— J’ai pas mis de parfum, c’est mon odeur.
— Tu as la meilleure odeur du monde. Allez viens sur mes genoux, j’ai un cadeau pour toi.
La fille s’assied sur les genoux de la mère supérieure et lui met son bras autour de son cou. La mère supérieure embrasse son aisselle !
Je suis où? Dans un filme pornographique ? Et ce n’est pas finit ! La mère supérieure lui chuchote dans l’oreille et la fille se met à glousser, ensuite elles s’embrassent… Oh ! Et, un baiser comme à Hollywood.
Quand leurs bouches se déparent, un fil de salive les réunit encore un instant. La fille lui dit :
— J’ai qu’une heure.
— Je m’occupe de la fille et on y va.
La fille me regarde, je baisse aussitôt les yeux.
Elle lui demande
— Qu’est ce qu’elle a fait
— Elle a essayé d’empoisonner sa belle mère et quand je lui demandé si c’était vrai, elle m’a menti et elle a passé la nuit dans une bassine.
Ça fait rire la fille qui me dit :
— Tu as menti à la mère supérieure.
— Oui Mademoiselle
— Lève-toi.
J’obéis aussitôt. Elle ajoute :
— Bouge montre ton cul
Bien… met toi debout… tourne-toi.
Elle s’approche de moi et me pince les fesses en disant :
— Belle paire de fesses.
Puis, elle se tourne vers la Mère Supérieure en disant :
— On va vers la sieste ?
— Oui !!
Puis à moi…
— Va dans le couloir et attend. On viendra te chercher.
La phrase « mais, je suis toute nue me brûle la langue », mais je n’ose rien dire.
Quand j’ouvre la porte pour sortir, la fille me dit :
— Tu attendras à genoux, tournée vers le mur, les mains croisées sur les reins. Tu as compris
— Oui Mademoiselle.
Sale garce.
Je vais me mettre a genoux. A la première occasion je m’enfuis. C’est un convent, pas une prison de haute sécurité.
Des gens passent dans le couloir, ils font des commentaires :
— Tiens c’est des nouvelles fesses, ça.
— T’as pas été sage. ?
Je n’ose rien dire, je reste le nez collé au mur.
10 minutes après, j’entends la voix de Simone.
— Allez debout viens avec moi.
Je me relève péniblement. Je suis épuisée et stressée et affolée et…
— Alors tu as dit la vérité à la mère ?
— Oui Madame.
— Bon… on va chez le docteur.
A suivre.
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