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Nadine, la grande ouverture

Nadine, la grande ouverture



Nadine est une collègue avec qui je travail depuis plus de 15 ans, je la connais bien et a un moment de ma vie elle m’a beaucoup attiré malgré notre différence d’âge. Elle a 59 ans et moi 39 ans, elle reste très désirable, elle le sait et en joue régulièrement. Jamais rien ne s’est passé entre nous mais nous nous tournons autour souvent avec des échanges de regard à la pause déjeuner, une main déposé sur l’épaule ou une proximité lorsqu’elle vient me demander quelques choses qu’elle n’a pas avec les autres collègues. Il n’est pas rare que je sente sa poitrine me frôler lorsque je lui montre un truc à l’écran et qu’elle est penché derrière moi. Mais à chaque fois nous en sommes resté là. Sauf vendredi ou il y a eu un évènement important. Nadine nous quitte pour partir à la retraite. Nous avons fêté ça tous ensemble à la pause déjeuner.

La petite fête se passe au réfectoire, Nadine demande un coups de main à plusieurs collègues pour préparer la pièce et bien sûr j’en fais partie. Rapidement nous déplacons les tables, installons les plats. A plusieurs reprises Nadine s’approche de moi et comme d’habitude nous en restons à nos « effleurement ».

Les collègues arrivent, pas le temps d’en faire plus. Nadine est très apprécié du coups presque toute la société est venu, il y a pas mal de monde, elle passe de groupe en groupe. Je la regarde s’amuser et rire et je me dis qu’elle est vraiment charmante et sexy dans sa robe volante monté sur ses talons. Pour en avoir discuté avec elle, je sais qu’elle beaucoup les chaussures et particulièrement celles à talons hauts. Elle m’a dit « avec des talons hauts ça fait ressortir mon cul » suivi d’un clin d’œil. Le moment des cadeaux arrivent, il y a un commun et chacun, si il en avait envi, pouvait lui en faire un en plus. Il y a eu de tout, on va dire que le commun était sérieux et que les autres étaient pour la déconne. C’est aller de la boite de verveine pour les hivers froids à la boite de capote pour qu’elle s’amuse une fois à la retraite lui avait dit la collègue qui lui a offerte. Nous avons continuer à rire tous et est venu le moment de retourner au boulot. Certains se sont échappés pour ne pas aider à ranger puis les autres ont aidés. Bien sûr je fais partie du second groupe, tout le monde s’affere, je suis à l’atelier vaisselle. Sans que je m’en rende compte je suis le dernier, perdu dans mes pensées d’un coups je sens une main glisser dans mon dos, je tourne la tête, c’était Nadine le regard pétillant et plein de malice. Je lui souri et fait mine de ne pas comprendre, elle s’approche et me glisse à l’oreille : « au lieu de faire la vaisselle, si tu venais t’occuper de moi ». Cette fois je ne peu feindre l’incompréhension, le message est clair. Je pose l’assiette que j’ai en main et tout de suite Nadine me saute à la bouche pour m’embrasser, je me laisse faire et déjà ces mains se promène un peu partout sur moi. Elle s’arrête et me lance : « ça fait des années que j’attends se moment, tu n’imagine pas comme j’ai envie de toi ». Tout en me regardant droit dans les yeux sa main glisse sur mon pantalon pour att****r au travers du tissu ma bite.

– Je sens bien que toi aussi vu comme tu bande ?
– Oh que oui il y a bien longtemps que j’ai envi de t’att****r dans un coin pour…
Elle me coupe
– … Pour me baiser, j’ai très envie de tu me baise sans ménagement !
– Tu a un endroit de préférence, les WC ?
– Non y a trop de monde qui passe, avec le temps je me suis trouvé un petit coin tranquille lorsque j’avais envie de m’amuser.
– De t’amuser… Tu joue souvent au boulot ?
– Bien sûr, mais toujours seul. Tu va être le premier et le dernier à connaître mon baisodrome du boulot.

Elle me prend par la main et ne m’emmène pas bien loin puisque c’est la salle des archives qui se trouve juste à côté du réfectoire. La pièce est en L, pendant que nous avançons jusqu’au bout je lui dit :

– Oui effectivement tu t’es trouvé un coin bien calme ou presque jamais personnes ne vient.
– Une fois j’ai failli me faire surprendre par Karine, j’ai juste eu le temps de remettre mon shorty et prendre une boite d’archive.
– De justesse effectivement.
– Même si l’idée de jouer avec Karine ne m’aurai pas déplu…
– Je te comprends elle est très sexy.
– Sexy et j’adore son cul, parfois j’ai envie de lui mettre une main au cul.

Elle éclata de rire. Nous voilà au fond de la pièce, il y a de la place, nous nous trouvons dans la peine ombre. Nous sommes face à face, Nadine me regarde :
– Je suis souvent venu ici pour me faire jouir en imaginant des choses que nous ferions ici.
– Du genre ?
– Les premiers temps je passais mon temps à te sucer…
Je la coupe et d’un ton sec je lui dis :
– Et bien maintenant que je suis là, que tu l’a tant rêver, tu va me sucer !

Elle n’hésite pas longtemps, s’agenoux, défait ma ceinture pour faire glisser mon pantalon. Mon sexe sort de mon boxer, elle le prend d’abord en main pour le découvrir, le regarde. Et d’un coups je me rappelle de sa phrase : « me baiser sans ménagement ». Je prends les choses en main :

– bon tu va te la mettre dans la bouche ou bien il faut que je te montre comment faire !

Elle lève la tête vers moi surprise de mon ton inhabituel, je lui fais un clin d’œil avec un sourire pour la rassurer que j’étais ici pour m’amuser.

– puisque monsieur veut que je le suce, je le suce alors. Me dit-elle.

Je sentie ses lèvres chaudes sur mon gland, puis sa bouche avaler ma bite. Alternant des vas et vient lents et rapides. Plus elle me suçait et plus mon sexe s’enfonçait dans sa bouche jusqu’à arriver au fond. Elle avala littéralement ma queue.

– monsieur aime quand je me la mets entière dans la bouche ?
– bien sûr que j’aime, tu suce trop bien.

Je ne sais pas trop combien de temps a duré la pipe, mon sexe était recouvert de sa bave. Elle l’avalait d’une traite, m’aspirait lorsque j’étais au fond de sa bouche.

– tu va finir par me faire jouir à me sucer comme ça.
– mais que crois-tu que je veuille ! J’ai envie de te sentir jouir dans ma bouche.
– avec grand plaisir, tu avale ?
– j’adore ça !

Sans attendre la suite, de nouveau, elle s’enfila ma bite entièrement dans la bouche, je garda comme ça et fi uniquement de petit mouvement pour que mon gland frotte dans sa gorge. Je ne tenais plus.

– oh putain c’est trop bon, j’aime trop sentir… Je vais jouir…

Je me suis retenue de ne pas crier mon plaisir tout en jouissant au fond de sa bouche. Elle n’en perdis pas une gouttes. Elle continua a me sucer quelques instant.

– c’était trop bon, tu suce vraiment très très bien.
– c’est ce qu’on me dit et en plus toi tu a eu droit de me la mettre entier dans la bouche.
– ah bon, tout tes amants n’y ont pas droit ?
– non, je le garde pour mes préférés. Me lançait-elle avec un clin d’œil.

Remis un peu de mes émotions je décide de m’occuper d’elle, toujours dans l’idée du « sans ménagement. »

– relève toi… Enlève ton shorty… Retourne toi… penche toi en avant, relève ta jupe… Mais qu’est-ce que je vois caché dans ton cul ?
– un rosebutt.
– oui en effet, il te va très bien. Tu le porte depuis longtemps ?
– je l’ai mis en place ce matin en partant de chez moi. J’étais tellement excité à l’idée que peut être tu allais me sauter je n’ai pas résisté à l’envie de me le mettre pour m’exciter encore plus. Tu peux jouer avec si tu le souhaite.
– pas pour le moment, j’ai un autre programme pour toi.
– ah oui, lequel ?
– chuttt et regarde devant toi.

Elle s’exécuta. Je fi glisser main sur ses jambes, sur ses fesses puis sur sa chatte. Elle était toute mouillée et brillante. Un vrai régale à caresser, toute lisse. Mon index glisse entre ses lèvres ouverte, je la senti frisonner.

– vas y met le…
– chut c’est moi qui décide à quel moment je vais te fouiller la chatte !

J’ajoute un doigt et très rapidement je lui mets les deux. Ils rentrent tout seul, Nadine relève la tête de plaisir. Mes doigts s’enfonce, je les fait tourner.

– fouille moi la chatte, j’aime quand je suis fouillé.
– je vois.

J’ajoute un autre doigt.

– hummm tu m’ouvre bien.
– vu la facilité je ne suis pas le 1er à passer ?
– non et tu n’imagine pas se que ma petite chatte à pris.
– par exemple ?

Tout en la doigtant elle me parla de ses aventures. Je m’amusais à lui faire perdre pied en appuyant ou bougeant mes doigts en elle.

– j’ai eu ma période black, de bonne grosse bite mais je me suis lassé. C’était toujours pareil, des machines à baiser mais pas d’imagination. Ensuite je me suis amusé toute seul avec des toys plus ou moins gros et long. Puis depuis un an c’est avec une copine que je m’amuse et elle m’a fait découvrir un truc qui me fait tripper.
– ah oui quoi ?
– tu vas me le faire, ça sera mieux.
– ok

Elle avait repris le dessus. Ses mains sont venu se poser sur ses fesses, elles les écarta.

– tu vois ma chatte comme elle est ouverte ?
– oui très bien j’ai une super vue.
– ça fait un an que je me fais enfiler une main.

Je joue l’incrédule.
– une main ? Mais…
– au début c’est pas facile mais une fois quelle est dedans c’est le pied intégrale. Tu a déjà trois doigts il en reste plus que deux.

Je continue à jouer le mec qui ne connaît pas.
– mais tu n’a pas mal ?
– un peu les premiers temps mais le plaisir prend le dessus et maintenant ma copine me démonte la chatte facilement.
– que dois-je faire ?

Elle me montra comment je devais placer mes doigts.

– ok et maintenant je t’enfile ma main dans la chatte ?
– oui vas-y, hum ta main est plus grosse que celle de ma cop’s. Hum tu m’ouvre bien la chatte. Oh putain oui ta main est vraiment plus grosse.
– je continu ?
– oui tu y es presque. Je sens ma chatte qui s’ouvre… ohhhh oui tu es entier dans ma chatte. Bouge plus pour me laisser me détendre. Laisse moi faire quelques secondes, c’est bon cette sensation d’avoir la chatte entièrement prise.

Je reste comme ça sans bouger ma main dans sa chatte mais mon autre main n’a pas pu s’empêcher de jouer avec le rosebutt.

– je l’avais presque oublié celui-la. Tu es joueur toi !
– tu n’imagine pas à quel point.
– ah bon ! Par exemple ?
– en fait j’ai déjà fisté une femme, d’ailleurs je fist mon amante régulièrement mais c’est le cul que je lui défonce.
– quoi le cul…

Je venais de bouger ma main en la retirant doucement pour voir sa chatte ouverte et remettre ma main.

– oui le cul, je la travail depuis pas mal de temps. Elle a toujours aimer l’anal et rapidement elle a apprécié d’être dilaté. Du coups le fist est venu assez facilement.
– tu m’excite avec ton idée de main dans le cul. Je ne suis pas encore prête pour mais c’est une idée.
– je te la présenterais et je pense qu’après t’avoir montrer le pied qu’elle prend tu acceptera qu’elle te travail l’anus pour y mettre sa main.
– oh oui ! J’ai envie que tu me prenne !
– non plus tard dans la journée, pour le moment c’est ma main qui va te faire jouir.
– ok, puisque tu maitrise l’exercice je me laisse faire.
– détend toi et prend ton pied !

Je fi tourner ma main en elle, elle était trempé. Lorsque je faisais des vas et vient avec ma main elle commençait à jouir. Je la gardait sous contrôle. Ca mouille lui coulait le long des jambes.

– j’en peu plus, fais moi jouir, défonce moi la chatte.
– t’inquiète je vais te faire jouir. Ecarte toi de nouveau la chatte en tirant sur tes fesses.
– ok, t’aime me voir ouverte ?
– carrément, ta chatte est superbement ouverte.

Tout en continuant à échanger, j’ajoute sans prévenir trois doigts de mon autres main.
– oh putain c’est énorme, je sent ma chatte qui s’ouvre pour t’accueillir. Continue à me les mettre, ajoute les autres. Putain deux mains dans ma chatte. J’en suis folle.

J’ajoute un 4eme doigt. Nadine commençait à trembler, elle se mordait les lèvres pour ne pas crier et dans un jet de jouissance elle expulsa mes mains de sa chatte. Je la laisse redescendre tout en profitant du spectacle.

– trop bon les doigts que tu a ajouté. Je les voyais rentrer, je les sentais. Avec de la chance ma cop’s, comme elle a des mains plus petites que toi, pourra m’enfiler ses deux mains.
– à essayer.
– il faudrait qu’on se fasse une soirée à 4 avec ton amante petit cachetier.
– quand tu veux.
– tu veux vraiment pas me baiser ? Mon cul t’attends.
– pas maintenant, je viendrais te baiser plus tard juste avant que tu parte. Je jouierai dans ton cul comme ça tu rentrera avec ma jute toute chaude dans ton cul.
– arrête de me parler comme ça je vais te violer !
– garde ton rosebutt en place.

Nous ne sortime pas de la salle d’archive ensemble histoire d’être discret. En chemin pour mon bureau j’étais satisfais et impatient d’être ce soir pour enfiler de nouveau Nadine.

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