Histoires de sexe à l'école Premières histoires de sexe

Fantasme d’adultère …

Fantasme d’adultère …



J – 5

Après tous ces mois à discuter virtuellement j’avais décidé de franchir le pas. Luca était un homme doux, attentionné et un amant terriblement efficace j’en étais sûre. A travers ces nuits passées à nous découvrir et à nous faire jouir mutuellement via msn ou xhamster je ne pouvais plus en douter.
En continuant et en entretenant cette relation semi-cachée je savais que je prenais un risque. Alyssa est l’amour de ma vie et cela ne changera jamais. Quoiqu’il se passe cela ne remettra jamais en cause cet état de fait. On vieillira ensembles, elle élèvera ma fille à mes côtés en attendant, c’est notre vœux le plus cher, qu’on puisse avoir un enfant qui soit le notre à toutes les deux.
Cependant, contrairement à Alyssa, j’aime les hommes. Ce n’est pas que je ressente un manque, ni même un besoin de relation hétéro mais j’y suis sensible. Et Luca a tout ce qui me fait chavirer chez un male. Ayant aussi peu de tabous que moi nous nous entraînons mutuellement vers des horizons toujours plus extrêmes, toujours plus lointains. De plus je sais qu’il a des sentiments pour moi, des sentiments très forts. Même si j’ai toujours été claire à ce sujet, je me sens malgré tout coupable d’entretenir ce lien sans pouvoir lui donner ce qu’il attend.
Est-ce une excuse pour me sentir moins coupable au sujet de ce pas que j’avais décidé de franchir ? Je ne sais pas. Cela ne sert à rien de me torturer l’esprit de toutes manières. Je n’allais pas revenir en arrière.
Avant mon départ en vacances, même bien avant, nous avions fait un petit pari avec Luca. Il m’avait fait promettre de lui donner un de mes strings dans lequel je m’étais masturbée. Nous devions définir un endroit de Paris où je devais le déposer pour qu’il vienne le chercher. L’idée était très excitante mêlant jeu et mystère. Aussi je décidais de me servir de cela pour provoquer notre rencontre. J’étais impatiente à l’idée de voir sa tête lorsque je le surprendrai. Il était censé trouver un string, il aura en fait celle qui l’a portée toute entière pour lui. J’espérai seulement qu’il ne fasse pas une crise cardiaque au moment où il se rendrait compte qu’au lieu de trouver ma culotte dans une enveloppe il allait devoir me la retirer lui-même s’il la voulait vraiment. En imaginant cette scène je me mis à sourire nerveusement.

J – 3

Une fois de plus, hier soir Luca m’a faite jouir grâce à ses mots et à ses photos toujours délicieuses. Je lui ai annoncé que ce serait le string que je portais que j’allais lui donner. Nous avions planifié le lieu et l’heure à laquelle j’allais lui déposer l’objet de notre pari. Durant toute notre conversation j’ai pris bien soin de me faire mouiller au maximum. Cela ne fut pas dur tellement j’étais excitée. Je savais, moi, que ce petit jeu n’allait pas s’arrêter à un seul petit dépôt d’enveloppe et cela m’a mise dans un état pas possible.
J’avais tellement envie de lui dire que j’allais me donner à lui, de lui crier qu’il allait pouvoir assouvir au moins le temps d’une nuit tous ses fantasmes me concernant. Mais je me retins pour ne pas gâcher la surprise et la magie de ce moment tout proche dorénavant.
Alyssa allait enchaîner deux gardes le vendredi soir et le samedi en journée. Ce sera donc ce jour. Je dis à Luca avant que nous nous déconnections que je déposerai « l’objet de son désir » à partir de 18h00, vendredi, au rayon bandes dessinées de chez Gibert Joseph, dans le bac où sont rangés les Tintin.
Il avait l’air très excité à l’idée de ce petit jeu qui se concrétisait enfin. Je ne l’étais pas moins, loin s’en faut, car je savais pour ma part que le terme que j’avais volontairement utilisé « objet de son désir » signifiait tout autre chose pour moi. Mais ça, Luca ne le savait pas encore …

JOUR J

Vendredi … Le jour est arrivé où ma relation avec Luca va changer à jamais. Le virtuel va laisser place au réel avec tous les risques que cela comporte. Allais-je être déçue par lui ou lui par moi ? Cette rencontre allait-elle briser la magie ou bien au contraire la renforcer ? Tant de questions me taraudaient l’esprit aujourd’hui. Il faut absolument que je les évacue de mon cerveau au risque qu’elles me bloquent ou pire, qu’Alyssa s’aperçoive que quelque chose de va pas.
Je pris sur moi pour offrir à ma chérie une image espiègle, mutine et enjouée. Cette image dont elle est tombée amoureuse. Je tiens plus que tout à son bonheur et je ne veux absolument pas la perdre.
Certains ne comprendront pas pourquoi vais me donner à Luca dans ce cas là. Moi-même je me pose toutes sortes d’interrogations. Je ne pensais pas que l’on pouvait avoir des sentiments pour deux personnes à la fois. Ce ne sont pas les mêmes, ils sont différents, mais ils sont bien là. Depuis le temps j’ai une totale confiance en lui. Je sais qu’il ne fera jamais rien qui puisse me faire souffrir et qu’il respectera mes choix et ma vie.
Les heures passent. Alyssa et moi avons fait l’amour plusieurs fois, longuement, dans l’après midi. Je tenais tout particulièrement à lui donner ce plaisir qu’elle mérite avant de, moi, me donner à quelqu’un d’autre. Lorsqu’elle est partie pour prendre sa garde à l’hôpital une énorme boule dans l’estomac s’est nouée presque à m’en faire mal. Je mis quelques secondes à reprendre mon souffle.
Il était 16h30 lorsque je pris ma douche. Le jet d’eau tiède me soulagea tandis que je fermai les yeux pour profiter de cet instant de bien être. Après m’être consciencieusement savonnée, je sortis en enfilant mon peignoir en soie aux motifs asiatiques. Vu le soleil à l’extérieur et la chaleur ambiante je décidai de laisser mes cheveux sécher tous seuls. Cela donne à ma coiffure un aspect plus naturel, moins artificiel. Je quittai la salle de bain pour me diriger vers le dressing tout en réfléchissant à ce que j’allais mettre. J’avais déjà imaginé à maintes reprises la tenue que j’allais porter, autant de fois que j’avais imaginé cette rencontre et ce n’était jamais la même. Pourtant cette fois ci c’était la dernière, il fallait définitivement que je me décide. La seule chose dont j’étais sûre c’est que j’allais porter la culotte dans laquelle Luca, celui qui allait devenir ce soir mon amant, m’avait faite jouir la veille par messages interposés. La saisissant, je la portais à mon nez pour en renifler l’odeur. Elle sentait le sexe, le plaisir féminin, la cyprine. Bleu nuit en dentelle, ce string m’interdisait toute tenue trop claire ou trop transparente. Après l’avoir enfilée j’optais pour une mini jupe en jean bleu ciel couvrant juste ce qu’il faut du haut de mes cuisses ainsi que pour une tunique noire nouée dans mon dos qui offrira à la vue de Luca un décolleté plongeant ne laissant aucun doute sur l’absence de soutien gorge. Je rajoutai une ceinture en cuir et métal dont la seule fonction était la décoration. Il ne me restait plus qu’à choisir les chaussures qui allaient me porter jusqu’aux bras de Luca. Je me décidai en faveur d’un paire de mules en cuir à talons aiguilles que je pourrai enlever et remettre à souhait d’un simple geste du pied. Après une dernière coquetterie qui consista à attacher à ma cheville gauche une petite chaîne en argent je rejoignis le salon pour vérifier le contenu de mon sac.
17h15 … Il était temps de voler vers mon destin. Saisissant au passage la petite veste en jean assortie à ma jupe, je franchis la porte sans me retourner mis à part pour fermer la serrure. Je ne m’attardai ni dans l’ascenseur, ni dans le hall de peur d’hésiter. Je fis le vide dans mon esprit tout le temps du trajet qui me menait vers le lieu du rendez vous. Je ne remis mon cerveau en marche qu’au moment de traverser le jardin du Luxembourg. Légèrement en avance sur mon planning je pris le temps de m’asseoir sur un banc pour fumer une cigarette. Le ciel était encore bleu, sans le moindre nuage. Le soleil, bien que tendant vers le coucher, me couvrait d’une douce et langoureuse chaleur. Je fermai les yeux un instant, moins pour me protéger de l’éblouissement que pour faire le vide dans me tête.
Il était six heures moins le quart lorsque je pénétrai chez Gibert Joseph. Je détaillai du regard le rez-de-chaussée où se trouve le rayon qui m’intéresse. La rentrée scolaire attire habituellement énormément de monde dans cette librairie et cette année ne déroge pas à la règle. Une foule compacte s’agglutinait aux caisses sur la droite de l’étage tandis que les bandes dessinées occupent toute la partie gauche. Je repérai rapidement le bac où sont rangés les albums de Tintin. Mon cœur se mit à battre la chamade à la pensée que Luca m’avait peut-être repérée au milieu de tout ce monde. J’essayai de trouver un endroit d’où je pourrais garder un œil sur l’endroit sans être vue. Me dissimuler au milieu de tous ces gens ne devait pas poser de problème et j’optai pour le rayon mangas qui rassemblait toutes les caractéristiques nécessaires.
Je n’eu pas à attendre longtemps. A 18h00 pétantes mes jambes faillirent me lâcher lorsque je vis un homme métis aux cheveux courts et noirs se positionner devant le bac. Je le détaillai tandis qu’il se mit à fouiller à la recherche d’un « trésor ». Vêtu d’un tee-shirt blanc et d’un jean délavé, sa silhouette fine me fit chavirer. C’était Luca, il était là à quelques mètres de moi.
Je souris avec tendresse lorsque, malgré la distance qui nous séparait, je pu lire sur son visage la déception lorsqu’il ne trouva rien au milieu des bandes dessinées. Dans son regard je pouvais percevoir un mélange de tristesse et de doute.
Deux énormes boules me saisirent la gorge et l’estomac lorsque je me décidai à abréger ses souffrances en m’approchant de lui. Je n’avais pas la moindre idée de la manière de l’aborder. Mon cerveau était totalement éteint, j’étais branchée en mode free-style complet. Je me retrouvai sans peine à quelques centimètres de lui sans qu’il ne m’ait vue, dans son dos. Mon approche étant facilité par le fait que Luca avait entreprit de fouiller chaque BD une par une en espérant y trouver la culotte tant recherchée.
Je me sentais rouge, en sueur, presque fiévreuse et la chaleur de cette fin d’été n’y était pour rien. Je m’approchai au maximum et lui murmurai aussi prêt que possible de son oreille gauche :

– « J’avais plus d’enveloppe … Va falloir le retirer toi-même si tu veux mon string. »

J’ai cru que le plafond n’allait pas être assez haut vu le bond que fit Luca à mes mots. Il se retourna les yeux écarquillés. J’avais l’impression qu’il tremblait de tout son être. Il me dévisagea sans dire le moindre mot, puis il me déshabilla du regard en se demandant si je n’étais pas une hallucination créée de toutes pièces par son esprit. Fière de mon effet je repris légèrement confiance.

– « Surprise !!! » Fis-je en écartant les bras comme une offrande avec un sourire amusé.

Luca essaya de retrouver un semblant de contenance.

– « Ludivine ?!? … Wahou … Je ne sais pas quoi dire … Je suis scié … Tu es superbe … » Bafouilla-t-il tant bien que mal.
– « Si tu commençais par me dire bonjour, ça serait un bon début non ? » Enchaînai-je en essayant de rompre une glace aussi épaisse que la banquise du pôle nord.
– « Pardon … Oui bien sûr … Je n’en reviens pas. » Continua Luca en me claquant la bise.
– « Je m’attendais à un autre type de baiser mais c’est pas grave … Snif … Je ne te plais pas ? »

Cette petite taquinerie accompagnée de ma célèbre moue de petite fille triste réussit à lui arracher son premier sourire.

– « Je t’ai déjà dit à plusieurs reprises que tu allais me tuer toi. Ca a bien failli être le cas … Wahou ! » Iironisa-t-il en s’approchant légèrement de moi.
– « Cela aurait été triste non ? »
– « Tu m’étonnes … Alors que mon vœux le plus cher, celui de te rencontrer était en fin exhaussé … »
– « Juste de me rencontrer ? » Fis-je en prenant mon plus grand air mutin.
– « Je n’ose espérer autre chose Ludivine. Je ne te le demanderai même pas. » Répondit-il très sérieusement.
– « Tu n’auras pas à me le demander chéri … »

Je pris les choses en main tandis que ma dernière phrase laissa Luca paralysé. En guise de réponse à sa bise je me collai à lui en le poussant contre les bacs à bandes dessinées. Mon corps appuyant contre le sien, j’écrasai mes seins contre son buste. Il ne pouvait pas ne pas sentir mes tétons dardés aux travers de nos vêtements. Mon regard rivé dans ses yeux noirs je ne lui laissai aucune chance de reprendre son souffle, ni moi aucune chance de faire marche arrière. Je l’embrassai à pleine bouche, ma langue partant à la recherche de sa concubine. Il lui fallu un certain temps avant de réagir et ce n’est qu’après de longue minutes qu’il se décida à m’enlacer tendrement. Ce premier baiser dura une éternité tellement nous voulions profiter de ce moment d’une rare intensité.
A bout de souffle, rouges comme des pivoines nous avons fini par nous décoller l’un de l’autre. Nos regards et nos sourires étaient remplis de tendresse et de soulagement. Je saisis Luca par la main pour l’entraîner vers la sortie.

– « Viens bébé … On va boire un coup et parler un peu … » Lui dis-je avec des trémolos dans la voix.
– « Je crois que c’est nécessaire … Mais c’est moi qui t’invite. » Me répondit Luca en me souriant.

Nous avons atterrit rue de la Harpe dans un pub dont le nom m’échappe. Je dois dire que mon esprit était occupé à bien d’autres choses. Nous nous sommes assis dans un petit box où deux banquettes en cuir nous attendaient. Après avoir commandé deux Coca-Cola bien frais je pris la première la parole :

– « Tout d’abord tu es venu chercher quelque chose … » Lui dis en lançant un regard dans la salle.

Discrètement je remontai ma jupe et fis glisser ma culotte sous la table. Luca eut une nouvelle fois l’air paralysé et faillit carrément mourir sur place lorsque je posais le morceau de tissu sur la table en bois, juste devant lui avant de reprendre :

– « Voilà, je n’ai qu’une parole. La petite culotte que je portais hier soir lorsque tu m’as donné du plaisir … » Dis-je en guettant la moindre de ses réactions amusée et excitée. « Par contre j’en ai rajouté un peu depuis tout à l’heure … Je mouille depuis un moment. »

Il se saisit de mon string et le porta à son nez en prenant une grande inspiration. Je vis dans ce geste que Luca commençait à se lâcher. Le mâle fougueux reprenait petit à petit la place du petit garçon terrorisé par mon apparition.

– « C’est le plus beau cadeau que l’on ne m’ait encore jamais fait » Me dit-il en me souriant.
– « Il ne tient qu’à nous qu’il ne soit rien comparé au suivant bébé … » Lui répondis-je tout aussi souriante mais néanmoins sérieuse.
– « Tes conditions sont forcément les miennes Ludi. Et si tu décides de t’en aller sache que je comprendrai parfaitement en te remerciant déjà pleinement pour ce que tu viens de me donner. »
– « Je n’ai pas l’intention de partir. Sache seulement que je ne veux pas te faire de mal. Je n’ai pas l’intention de quitter Alyssa, je l’aime. Et je ne veux pas que tu souffres de cette situation si nous devons aller plus loin. » Tentai-je de bredouiller inquiète de sa réaction.
– « Je n’essaierai jamais de m’insinuer entre vous. Vous formez un tellement beau couple. Je ne prendrai que ce que tu voudras bien me donner. Et si ce n’est que ces quelques minutes passées en ta compagnie je serai un homme comblé … » Me rassura avec force Luca.
– « Alors dans ce cas là trinquons bébé … »

Au moment où nos verres s’entrechoquèrent je dégageai discrètement mon pied droit de ma chaussure pour venir le poser sur l’entre-jambes de Luca. Ce dernier faillit lâcher son verre à ce contact. J’esquissai un large sourire en voyant sa réaction de surprise. Loin de se dégager, Luca s’adossa confortablement à la banquette avant de s’y laisser glisser légèrement. Il tenait à profiter au maximum de cette caresse imprévue et essayait tant bien que mal de garder une certaine contenance.
Mon sourire coquin se transforma bien vite en satisfaction, voir en étonnement lorsque je sentis sous mon pied qui s’activait ce sexe que j’avais vu si souvent à travers msn grossir et se raidir.

– « Ben dis donc chéri … Ca te fait de l’effet on dirait … » Dis-je sur un ton volontairement provocateur.
– « Le mot est faible ma puce … » Me répondit-il presque dans un soupir.
– « Si je continu tu vas finir par te sentir à l’étroit dans ce jean. »
– « Si tu continus je vais surtout faire une grosse tache bien embarrassante. »
– « A ce point là ?!? » Fis-je en pouffant de rire sans pour autant arrêter le travail de mon pied.
– « Tu peux pas savoir dans quel état je suis Ludi depuis tout à l’heure. »
– « Je ne peux pas le savoir peut-être … Par contre je peux très bien le sentir. » Souris-je en appuyant volontairement un peu plus fort sur son sexe pour lui arracher un gémissement.
– « Hummm … J’ai même faillit jouir direct au rayon BD quand tu m’as embrassé … »

J’éclatai de rire. J’étais fière et surtout rassurée par l’effet que je faisais à cet homme délicieux qui me fait tant fantasmer.

– « Va falloir solutionner ce problème … » Dis-je en glissant mon pied dans ma chaussure et en commençant à me lever.
– « Comment ça ? »
– « Tu me rejoins aux toilettes chéri ? … Je t’y attend … »

Je me dirigeai vers la porte des WC sans le moindre regard pour Luca. Je fis volontairement claquer mes talons aiguilles tout le long du trajet sur l’épais plancher attirant ainsi un maximum d’yeux masculins sur mon déhanchement. Le bruit des mules à talons qui claquent alternativement au sol et à mon pied réveille souvent chez les hommes le fantasme de l’actrice porno. C’est exactement l’effet que je voulais produire dans l’assistance.
Les toilettes étaient petites et surtout étroites. Un lavabo sur la gauche prenait la moitié du passage. Je souris en voyant un distributeur de préservatifs au dessus de ce dernier. Il me fit dire que nous n’allions certainement pas baptiser l’endroit et que certains couples avaient déjà eu la même idée que moi. Les urinoirs étaient dans le fond derrière une porte à battants sortie tout droit d’un western. Une seule cabine était située sur la droite, juste en face du lavabo.
Je me dirigeai vers elle avant de constater qu’elle était occupée. Tant pis, qu’à cela ne tienne, je franchis les battants et me positionnai devant les urinoirs pour attendre Luca. Il ne tarda pas à me rejoindre et eu la même idée que moi en pénétrant dans la pièce. « Damned … Occupé ! » dut-il se dire en essayant d’ouvrir la porte de la cabine.
J’entrebâillai l’un des battants en bois pour indiquer à Luca où je me trouvais. A peine les eut-il franchis que je le poussai contre l’un des urinoirs. Je posai mon index sur sa bouche pour lui indiquer de garder le silence. Je ne le quittai pas du regard tandis que je m’accroupis lentement devant lui. Grace à des gestes sûrs et agiles il se retrouva rapidement avec le pantalon sur les chevilles. Son boxer était prêt à exploser. Je pris mon temps pour caresser de mes mains son sexe à travers le tissu. Je voulais profiter au maximum de ce moment, prendre tout mon temps avant de découvrir enfin en réel cette queue que j’ai tant de fois imaginé me prendre par tous les trous.
Il n’allait pas tenir longtemps à ce rythme là, je le sentais bien. Je fis glisser son boxer à mi cuisses libérant ainsi son sexe dur et bandé qui jaillit tel un zébulon de sa boite. C’est les yeux dans les yeux que j’approchai alors très lentement ma bouche entrouverte de son gland turgescent. Je cru qu’il allait défaillir au premier contact de mes lèvres sur son membre. Ce n’était pourtant qu’un doux baiser, puis un autre, puis encore un autre, puis … Puis d’un coup je le pris en bouche, avalant son sexe jusqu’au fond de ma gorge. Il ne put retenir un râle puissant.
Je restai un moment sans bouger le laissant ainsi s’habituer et redescendre dans les tours. J’en profitai pour laisser la personne qui occupait la cabine sortit après s’être lavé les mains. J’esquissai un sourire à Luca, autant que possible avec une bite dans la bouche, pour détendre l’atmosphère et lui indiquer que cette situation m’amusait beaucoup.
L’intrus ayant quitté la pièce je me mis à sucer délicatement ce sexe offert. Ma langue entra en jeu et s’enroula autour du gland gonflé de désir. Ma main gauche sur les couilles de Luca et ma main droite le branlant au rythme de la pipe que j’étais en train de lui tailler eurent rapidement raison de ses dernières résistances.

– « Je … Je … Je vais jouir ! » M’avertit-il dans un souffle profond.

Loin de me dégager, je resserrai au contraire mes lèvres autour de son chibre et accélérai la masturbation. Un puissant « Haaaaaaaa » accompagna les premières giclées de foutre qui s’abattirent sur ma langue et tapissèrent le fond de ma gorge. Son orgasme semblait interminable. Il fallu de longues secondes avant que la source de ce délicieux sperme ne finisse par se tarir. Après en avoir extirpé la dernière goutte je me redressai pour faire fasse à Luca. J’ouvris les lèvres pour lui faire contempler son œuvre. Sa jute chaude me remplissait entièrement la bouche. Avec mon air le plus salope possible je déglutis et avala entièrement sa semence avant de me lover tendrement contre son corps. Nous restâmes un moment ainsi, sans bruit, enlacés l’un à l’autre. C’est Luca qui brisa le premier le silence :

– « Merci ma puce … Mais tu n’as pas joui toi … Tu sais que mon plus grand plaisir c’est de t’en donner. » Me dit-il en m’embrassant tendrement dans le cou.
– « Ne t’inquiète pas bébé. Tu vas avoir tout le temps pour ça. » Lui dis-je en souriant.

Cet homme est décidément adorable. Je posai ma main sur sa joue, attendrie par son inquiétude quant à mon plaisir, avant de l’embrasser langoureusement.
Je le laissai se rhabiller et l’attendit avant de rejoindre la salle. Certaines expressions sur les visages des gens attablés trahirent leurs pensées lorsqu’ils nous ont vus sortir ensembles des toilettes. Cela décupla mon excitation et je me sentis littéralement dégouliner.
A nouveau à notre table je laissai avec délectation Luca me câliner la main. Il ne semblait plus vouloir la lâcher, l’embrassant et la caressant alternativement.
De ma main restée libre je sortis de mon sac à malice un objet que je posai délicatement sur la table. J’ai adoré le regard de mon homme lorsqu’il découvrit mes boules de geisha en métal doré rouler sur le bois. Sans rien dire, discrètement, de ma main libre, je les fis disparaître entre mes jambes. J’étais tellement mouillée que mon vagin les aspira sans la moindre résistance. Je profitai de les mettre en place pour glisser deux doigts entre mes lèvres intimes largement ouvertes. Les ressortant de mon fourreau féminin je les tendis à Luca pour qu’il les suce et puisse avoir un aperçu de mon goût. Nous partageâmes un sourire coquin au moment où il se délecta de mes doigts. Cette petite séance de dégustation prenant fin je me levais en disant assez fort :

– « On y va ? Je t’invite au resto. Cette petite pipe m’a donnée faim. »

Les quatre ou cinq tables autour de nous ne purent pas ne pas entendre mon intervention. Ce fût la première fois que je vis un métis rougir. Une fois dans la rue nous explosâmes de rire.

– « T’es une grande folle toi ! » Me fit Luca avec un air faussement outré.
– « Grande, non … Mais folle de toi oui. » Lui répondis-je.
– « Ne change jamais. Je t’adore comme ça ma puce. »
– « Je n’en ai pas l’intention rassures-toi bébé … »

Nous nous embrassâmes une nouvelle fois fougueusement. Le monde semblait s’arrêter de tourner à chaque fois que nos lèvres entraient en contact. Plus personne n’existait autour de nous. Après un long moment nous nous décollâmes l’un de l’autre. Mon bras autour de sa taille, le sien autour de mes épaules nous partîmes amoureusement en quête d’un restaurant. Ma chatte était en ébullition. Les boules de geisha faisaient leur œuvre à chaque pas et bientôt ma mouille qui commençait à couler sur l’intérieur de mes cuisses allait faire comprendre aux regards avisés mon absence de culotte. Cette dernière étant bien au chaud dans la poche de Luca.
Nous nous arrêtâmes dans une crêperie non loin de la taverne où nous avions bu un coup. Il y avait à peine une vingtaine de couverts possibles. Les murs en briques et les tables en bois agrémentées de bougies donnaient à ce très petit restaurant un charme et un romantisme fou. Le serveur nous installa dans un coin légèrement isolé ayant bien vite interprété notre venue dans l’établissement comme un rendez-vous en amoureux. Ce en quoi il n’avait pas tort.
Assis l’un en face de l’autre nous mangeâmes main dans la main. Notre discussion ressemblait à celle que peuvent avoir deux amants qui se connaissent de longue date. Luca me questionna sur mon divorce d’avec Angel et sur ma nouvelle relation avec Alyssa. Il prit aussi des nouvelles de ma fille ainsi que de ma sœur. Le fait qu’il prenne autant de temps pour s’intéresser à ma petite personne, à tout ce qui fait ma vie m’émut au plus haut point.
Notre repas fut rapide autant que le café que nous bûmes d’une seule traite. En attendant que le serveur nous ramène l’addition je me penchai pour embrasser Luca. Avant que mes lèvres ne touchent à nouveau les siennes je lui murmurai dans un souffle emplit de désir :

– « J’ai terriblement envie de toi mon cœur … »

Ce à quoi il me répondit par un baiser plein de fougue.
Une fois dans la rue nous nous embrassâmes à nouveau. Cette fois Luca s’enhardit en posant ses mains sur mes fesses aux travers de ma jupe en jean. J’accueillis cette douce initiative en me mettant sur la pointe des pieds pour lui faciliter l’accès à ma croupe. Il ne fit pas prier et me malaxa les deux globes charnus avec avidité, en plein milieu de la voie piétonne.

– « Je sais bébé que tu as très envie de venir entre mes fesses … » Lui murmurai-je amusée alors que nous reprenions notre souffle.
– « En fait ma puce je dois avouer que je ne sais pas par quel bout de prendre … »
– « Pas de souci bébé … Moi je sais très bien quel bout m’intéresse … » Lui susurrai-je en posant ma main sur la braguette de son pantalon.

Nous partîmes à nouveau dans un fou rire complice avant de nous diriger vers ma voiture garée malheureusement (ou heureusement) assez loin de l’endroit où nous étions. Nous dûmes traverser le jardin du Luxembourg. Les nombreuses pauses câlines rallongèrent de manière importante la durée du trajet.
Ce dernier allait même devenir interminablement délicieux lorsque, trouvant un banc isolé et assombrit par la nuit tombante, Luca ne put résister à glisser une main sous ma jupe. Adossée au bois du siège je posai ma jambe droite sur ses jambes, écartant ainsi les cuisses en guise d’invitation à continuer.
Ses doigts ne perdirent pas de temps en préliminaires et entrèrent directement en contact avec ma chatte en fusion. Ce premier contact de mon amant sur mon sexe m’arracha un puissant soupir de bonheur que j’étouffai en l’embrassant. Son majeur s’insinua entre mes lèvres intimes et franchit ma vulve sans la moindre résistance. Il s’amusa à faire bouger dans mon ventre les boules de geisha qui me ravageaient. Je ne pu tenir longtemps sous ce divin traitement tellement j’étais excitée et j’explosai dans un violent orgasme en hurlant :

– « OUIIII … OUIII … TU ME FAIS JOUIR … JE VIENS !!! »

Tout le parc et tout le quartier durent m’entendre jouir comme une folle. Un nouveau fou rire nous attendait après que nous ayons fuit les lieux du « crime ». Cela ne manqua pas de se produire lorsque nous atteignîmes ma voiture garée juste à la sortie du parc, rue Vavin.

– « Je nous emmène chez toi mon amour ? » Demandai-je à Luca en le couvrant de baisers. « Chez moi il n’y a personne en principe mais je ne préfère pas prendre de risque … »
– « Pas de soucis ma puce même si mon appartement est petit comme tu le sais. »
– « S’il y a assez de place pour que je reste collée à toi ça ira parfaitement bébé. » Terminai-je en lui souriant amoureusement.
– « Alors allons-y … Je te guide. »

Je pris place sur le siège de la conductrice lubrique qui dévorait des yeux son copilote dont elle avait terriblement envie. Notre fine équipe n’aurait pas fait d’étincelles lors du Paris-Dakar mais pour la nuit qui l’attendait elle était parfaite.
Avant de mettre le contact je glissai une main provocatrice entre mes cuisses afin d’extirper de mon vagin les boules de geisha. N’importe qui passant à proximité aurait pu se rincer l’œil sur mon intimité impudiquement ouverte et ruisselante. Mon entrecuisse était collant de mouille. Une fine pellicule mi-blanchâtre mi-translucide tapissait ma peau à cet endroit et l’arrière de ma jupe de jean n’était pas humide que de ma transpiration. Une fois terminé mon ouvrage je tendis les boules à Luca.

– « Tiens bébé … Pour te faire patienter jusqu’à chez toi … » Lui lançai-je avec un sourire aussi mutin que provocant.
– « Merci … Vous êtes bien aimable Miss Ludivine. » Me rétorqua-t-il en faisant exprès de taquiner mes penchants de Maîtresse.
– « Je n’ai pas prit ma cravache ni mes menottes … Dommage. »
– « C’est moi qui vais devoir te punir ma puce alors. »
– « Ne me dis pas des trucs comme ça alors que je conduis mamour … Tu m’excites. »

Et nous voilà partis dans un énième fou rire trahissant à chaque fois notre bien être. Je fis vrombir le moteur et nous partîmes vers notre « destin ». Je respectai scrupuleusement le code de la route durant tout le trajet même si l’envie d’enfoncer au maximum la pédale d’accélérateur me taraudait. Il aurait été dommage de passer la nuit au poste et de faire ainsi une croix sur la nuit et la journée qui nous attendait.
Après une demi-heure durant laquelle, grâce à Dieu, les célèbres embouteillages parisiens nous ont épargnés nous arrivâmes en bas de chez Luca. Un silence s’installa d’un coup entre nous. Une certaine tension que je croyais oubliée depuis un bon moment déjà nous saisit à nouveau. La petite pipe, le petit doigtage de minou et les multiples baisers n’avaient rien à voir avec l’accouplement de deux corps et nous le savions, nous le ressentions pleinement. Plus rien ne serait pareil après. Les mots d’amour lourds de sens jusqu’ici retenus allaient forcément pleuvoir et nous le savions aussi. J’avoue à ce moment là avoir hésité au moment de franchir le pallier. Une fraction de seconde mes jambes ne répondirent plus. Et même si j’essayai de ne rien laisser paraître, Luca s’en aperçu. Il ne me brusqua pas … Jamais … Pas le moindre mot … Pas le moindre geste. Il me laissa prendre seule ma décision.
Cette pensée qui me parut une éternité s’évapora d’un seul coup. Je rejoignis celui qui allait être mon amant, mon homme, dans l’entrée. Il m’accueillit avec un tendre et grand sourire.
Luca m’invita dans le salon et me proposa un verre à boire. J’en avais bien besoin et je lui demandai s’il avait du rhum ou de la tequila, cela allait me rappeler les vacances. Il nous servit et nous trinquâmes pour la deuxième fois de la soirée. Nous n’en finissions pas de célébrer notre si belle rencontre. Après avoir vidé mon verre je lui demandai de m’indiquer la salle de bain. J’avais besoin de me rafraîchir un peu en me passant un coup d’eau sur le visage.
En pénétrant dans la pièce je reconnu la pièce que Luca m’a si souvent montré aux travers de ses photos et vidéos. Au fil du temps j’avais pu constater qu’il aimait beaucoup se donner du plaisir dans la baignoire ou sous la douche en pensant à moi. Cela m’amusa de découvrir ce lieu en vrai.
Malgré l’alcool je sentais que la tension présente depuis que nous étions arrivés chez Luca avait du mal à s’estomper. Il fallait que l’un de nous prenne les choses en mains et brise la glace et cela ne pouvait être que moi. L’ange qui était dans le salon me respectait tellement, ne voulait tellement pas me brusquer qu’il ne tenterait rien. Je dénouai alors le nœud maintenant ma tunique fermée pour libérer ma poitrine. Je posai le vêtement sur le panier à linge glissé sous le lavabo. Il fut rejoint par ma jupe en jean et la ceinture décorative qui l’accompagnait. Je me retrouvai entièrement nue, gardant seulement aux pieds mes mules à talons. Quel meilleur signal pouvais-je donner à Luca que de sortir de la salle de bain en tenue d’Eve ?
J’ouvris la porte et le rejoignis au salon. Il était toujours assit sur le canapé à siroter son verre. Ses yeux faillirent sortir de leurs orbites lorsqu’il posa son regard sur moi. Je lui laissai quelques secondes pour me contempler avant de lui prendre tendrement la main et de l’amener, sans un mot, vers le lit. Le silence régnant dans l’appartement était tout aussi pesant qu’excitant. Cela donnait une sorte de solennité à notre premier accouplement à venir. C’est exactement ce que je cherchais et correspondait parfaitement à ce que je ressentais. Je voulais que ce moment soit inoubliable, marqué à jamais dans nos mémoires.
Laissant Luca debout devant le matelas, je montai à quatre pattes sur le lit. Je lui laissai quelques secondes pour contempler ma croupe avant de me retourner et de m’allonger sensuellement, totalement offerte.

– « Déshabille toi mon amour … Viens me rejoindre. » Lui dis-je sur un ton trahissant mon excitation et la tension qui ne me quittait pas.

Je ne perdis rien de son effeuillage. Son corps nu apparu petit à petit devant mes yeux. J’expulsai d’un coup de pied mes chaussures qui tombèrent sur le sol dans un léger fracas. Alors qu’il ne restait plus à Luca qu’à retirer son boxer, je ne pus me retenir plus longtemps et glissai entre mes jambes une main qui s’attaqua directement à mon sexe. La queue de Luca déformait largement le sous vêtement qui la dissimulait encore et le fait de me voir me masturber devant lui n’arrangeait pas la chose.
Je décidai de ma redresser et de m’asseoir sur le bord du lit, face à mon homme. Plantant mon regard dans le sien, je me mis à masser au travers du tissu son sexe tendu de désir pour moi. Après quelques minutes de ce traitement je libérai le membre qui jaillit une nouvelle fois devant mon visage. Cette fois il était libéré totalement de toute contrainte, le boxer ayant rejoint mes chaussures sur le sol. Je me mis à le masturber lentement, très lentement, puis le pris en bouche avec une extrême douceur. Je m’appliquai à le faire bander fort mais sans le brusquer. J’avais envie de le sentir en moi et que cela dure longtemps.
Luca posa ses mains sur ma tête pour accompagner les mouvements de ma bouche sur sa queue. Il soupirait fort, laissant libre cour à son plaisir.

– « Hummm … Oh oui ma puce … C’est si bon … Ouiii … »

J’eu peur qu’il ne résiste pas longtemps à la pipe que je lui taillai aussi je quittai son membre et repris ma position allongée. Luca comprit vite l’invitation lorsqu’il me vit les jambes grandes ouvertes sur le lit. Il approcha son visage de mon antre et commença par déposer de doux baisers sur l’intérieur de mes cuisses. Le contact de ses lèvres sur ma peau à cet endroit si sensible de mon corps me fit frissonner. Sa langue prit le relais de ses lèvres en continuant à éviter savamment mon sexe. Il faisait durer le plaisir, prenait tout son temps. Il savait qu’il pouvait me faire chavirer à tout moment, et je le savais aussi. Cela me parut une éternité avant que sa langue ne se pose sur me fente. Il l’appliqua puissamment en prenant soin de bien ouvrir mes lèvres intimes. Remontant lentement de ma vulve vers mon clitoris je joui instantanément lorsque mon bouton de femme fut « attaqué ».

– « Ohhhhhh …. Ouiiiiii … Je joui mon amour !!! » Lui hurlai-je saisie d’un violent orgasme.

Un flot de mouille jaillit de mon sexe et lui inonda la bouche. Luca savait qu’il m’arrivait d’éjaculer sous une forte excitation mais fut quand même surprit lorsque la cyprine qu’il ne put avaler trempa les draps. J’hésitai entre le sourire et une pointe de honte. Il mit rapidement un terme à cette hésitation en venant sur moi pour m’embrasser tendrement.

– « C’est moi qui provoque tout ça ? » Me demanda-t-il un brin taquin.
– « C’est toi et entièrement toi bébé … » Lui répondis-je avec un tendre sourire.
– « J’adore te voir comme ça ma chérie ! »

Pour la première fois depuis notre rencontre de cet après midi la « puce » était devenue la « chérie ». Comme je disais précédemment, les mots d’amour allaient envahir nos conversations au fur et à mesure que la nuit allait avancer. Ce n’était qu’un début.
Je sentais sa queue suintante frotter contre mon pubis tandis qu’il m’embrassait. Sa bouche découvrait mes seins. Mes tétons étaient cajoler chacun leur tout par ses lèvres et sa langue. Tout en profitant au maximum de cette délicieuse caresse sur mes « mamelles » (sourit), je tendis le bras tant bien que mal vers mon sac à main. Je l’avais préalablement posé sur la table de nuit en rejoignant la salle de bain, sachant que j’en aurai rapidement besoin. J’en sortis une poignée de capote que je glissai sous l’oreiller en gardant une entre les doigts.

– « Viens bébé … Je peux plus attendre. J’ai envie de te sentir en moi … J’ai envie que tu me fasses l’amour. » Lui exprimai-je dans un souffle tout en déchirant l’emballage du préservatif.
– « J’en ai terriblement envie aussi ma chérie … J’en ai tellement rêvé … » Me répondit-il en se saisissant du morceau de latex.

Prenant le relais de sa bouche, je me caressai les seins délicatement. La lèvre inférieure pincée de désir, je contemplai cet homme que je désirai depuis si longtemps enfiler sur son sexe la fine protection. J’avais choisi les capotes les plus fines possible tellement je voulais sentir les moindres nervures de sa queue bandée sur les parois de mon vagin.
L’affaire faite Luca se positionna au-dessus de moi seulement maintenu en appui par ses bras. A peine la pointe de son gland effleura-t-elle ma chatte que je me mis à gémir. Son regard tendre et plein de désir rivé au mien accompagna son sexe qui me pénétra millimètre par millimètre. Luca prit tout son temps pour découvrir les moindres recoins de mon fourreau chaud et humide. Mon homme était enfin en moi, au fond de mon ventre. Les cuisses écartées juste ce qu’il faut, la bouche grande ouverte de béatitude je profitai sans bouger de ce moment divin.
Luca, en amant tendre et attentionné, resta de longues minutes ainsi. Il se contentait de me regarder et de me sourire amoureusement. Puis il se mit à bouger en moi tout doucement. Le rythme de ses vas et viens dans mon sexe augmentait au fur et à mesure. En plus d’être un homme doux et prévenant il se révélait, ou plutôt devrais-je dire se confirmait être un amant extrêmement doué.
Je saisi son visage entre mes mains pour l’attirer vers moi. Toute langue dehors je l’embrassai alors qu’il me faisait l’amour comme à une reine. Mes jambes se refermèrent autour de sa taille pour l’amener au plus profond de mon être. Le l’enlaçai de mes bras et le serrai fort contre moi. Son corps m’écrasait. Sa bouche glissa dans le creux de mon oreille. Il murmura une phrase que j’entendis pour ma part comme un hurlement :

– « Ludi … Ludivine … Je t’aime ! »

Je joui instantanément à ses mots d’amour.

– « OOOuii ! … OUIII ! … Continu mon amour !!! Moi aussi je t’aimme !!! Tu me fais jouir !!! »

J’hurlai à gorge déployée dans la pièce alors que mon orgasme ne sembla jamais vouloir s’arrêter. Luca, déchaîné, ne me faisait plus l’amour ; il me défonçait à grand coup de queue. Il voulait absolument me rejoindre dans la jouissance. Contractant les parois de mon vagin autour de son sexe je l’aidai à atteindre l’extase. La petite mort le cueillit rapidement et il déversa son plaisir au fond du préservatif, accompagnant son plaisir de râles caverneux.
Nous restâmes un long moment sans bouger. Mon amant toujours fiché en moi, enlacé par mes bras et mes jambes. Nous venions de faire l’amour pour la première fois et nous avions du mal à retrouver le chemin de la terre ferme tellement nous étions partis haut dans les étoiles.

– « J’y crois pas … Je vis en rêve éveillé … » Dis Luca en me souriant, brisant ainsi le silence.
– « Je t’adore mon cœur … Ce n’est que le début du voyage. » Lui répondis-je en déposant un baiser sur son front dégoulinant de sueur.

Il se retira doucement de moi en se redressant. Il commença à retirer le préservatif de son membre légèrement ramolli et s’apprêtait à y faire un nœud. Je l’interrompis en me saisissant de la capote.

– « Donne le moi … On ne va quand même pas gâcher tout ça ? » Lui dis-je en souriant.

Luca me regarda interloqué. En arborant mon plus beau regard de salope en chaleur j’ouvris grand la bouche et retourna la capote à quelques centimètres de mon visage. Elle déversa le foutre encore chaud qu’elle contenait. Je fis exprès de ne pas tout avaler. Une grande partie du sperme me dégoulina sur le menton et les seins.
Cette scène eut l’air de redonner toute sa vigueur à mon amant adoré. La bite à nouveau bien dure il se jeta sur moi et me colla au matelas. Partant de ma bouche pour descendre sur mes seins, Luca lécha ma peau couverte de sueur et de sa jute. Il n’en laissa pas la moindre goutte, partageant avec moi ce délicieux nectar durant de langoureux baisers.
Notre envie de sexe devint frénétique, notre complicité d’amants dévastatrice. Je m’extirpai de dessous son corps pour me mettre à quatre pattes en lui tendant une autre capote encore enveloppée. Pour lui indiquer ce que je voulais, je joignis le geste à la parole et m’enfonçai un doigt dans le cul après l’avoir humidifié dans ma chatte toujours plus dégoulinante.

– « T’en rêve de mes fesses hein bébé ? … Je sais que tu rêves de m’enculer depuis longtemps … » Gémis-je.
– « Oh putain oui mon amour ! » Répondit mon homme en bavant presque.
– « Viens alors … Viens me la mettre dans le cul … Mon petit trou tout serré t’attend ! »

J’eu juste le temps de retirer mon doigt avant que Luca ne plonge son visage entre mes fesses. Sa langue dardée me pénétra l’anus sans ménagement.

– « Haaaa … Oui … Bouffe moi la rondelle … Bouffe le fion de ta femme … » Hurlai-je.

Chacune de mes phrases, chacun de mes mots augmentait son ardeur. Il me dévorait littéralement. La tête dans l’oreiller et la croupe bien dressée, je glissai ma main droite entre mes cuisses pour me masturber en même temps. Deux, puis trois de mes doigts me remplirent le vagin tandis que mon pouce affolait mon clitoris.
D’un coup je ne sentis plus rien sur mon œillet brun devenu palpitant de désir. J’entendis seulement un bruit de plastique qui se déchire. Luca venait de déchirer l’emballage du préservatif. Je me branlais de plus en plus énergiquement en attendant de sentir son chibre venir de lover entre mes fesses.
Une délicieuse douleur m’électrisa tout le corps lorsque mon amant surexcité s’enfonça dans mon cul. Sans me prévenir son gland turgescent fit céder mon anus. Les mains serrant fermement mes hanches, Luca me perfora le fion tel une bête en rut.
Un hurlement caverneux sorti du fond de ma gorge lorsque ses couilles vinrent claquer sur mes fesses, signe qu’il était en moi jusqu’à la garde.

– « HAAAAAAAAAAANNN … Mon amour !!! Oui … Oui … OUI !!! Sodomise-moi comme une bête ! Je suis ta chienne … Ta salope d’amour ! »
– « Mon Dieu c’est trop bon de t’enculer ma cochonne … T’es ma truie cette nuit ! Mon garage à bite ! Mon sac à foutre ! »

Quatre doigts … Je me fistai presque la chatte tandis que Luca me pilonnai maintenant le cul avec toute son énergie masculine. La pièce sentait le sexe et la sueur ce qui décuplait encore plus notre excitation.

– « Frappe moi fort bébé … Donne moi une fessée ! Je suis une vilaine fille ! Une grosse salope qui aime se prendre des bites dans le fion ! » Le suppliai-je.

Luca ne se fit pas prier et me frappa les fesses violemment. La brûlure des claques ajoutée à mes doigts dans la chatte et au braquemart de mon homme qui me défonçait le cul me firent partir haut et loin.

– « Je viens mon amour !!! Je viens !!! … VAIS JOUIR !!! » Tentai-je de dire au moment ou un jet de cyprine gicla de ma fente pour souiller le matelas.

Cet orgasme me laissa sans vie, j’étais totalement vidée. Luca continua à m’enculer plusieurs minutes pour se finir. Il ressortait presque entièrement à chaque fois de mon fion pour y replonger d’un grand coup de rein. Je n’étais plus qu’un pantin désarticulé. Telle une vulgaire poupée gonflable achetée en soldes au sex-shop du coin je laissai mon amant me sodomiser sans réaction de ma part, sans émettre le moindre son. Même si j’aurais bien été incapable de me tenir debout, l’expression « trou sur pattes » prenait à cet instant précis tout son sens.
Puis Luca quitta d’un coup mes entrailles dilatées. Les yeux fermés je l’entendis qui arrachait aussi vite que possible la capote enveloppant sa queue. Le premier jet de foutre qui s’abattit sur mon dos me fit l’effet d’un électrochoc et me sortit de ma suave torpeur.

– « Viens bébé … Oui ! Vide-toi les couilles sur ta femme ! Décharge ta jute sur moi ! » Grognai-je en accompagnant la semence chaude qui me couvrait maintenant le dos et les fesses.
– « Mon Dieu c’est bon !!! … Oh putain comme c’est bon ! … Je t’aime Ludivine !!! »

Mon fougueux amant eut juste la force de prononcer ces mots avant de s’écrouler sur mon corps. Dans un dernier sursaut de tendresse il me couvrit le cou et la nuque de doux baisers. Epuisés, ravagés, détruits par une tornade de plaisir, nous nous endormîmes dans cette position en une fraction de seconde pour un sommeil réparateur.
Lorsque je me réveillai, les lueurs du soleil striaient déjà la pièce, trahissant ainsi l’heure avancée. Je regardai Luca, mon amour, allongé à mes côtés sur le dos. Un large sourire traduisant une multitude de sentiments impossibles à décrire illumina mon visage à cette vue. Une odeur extrêmement forte de sueur et de sexe envahissait la chambre. Résultat de nos ébats fougueux et passionnés, cette atmosphère oppressante avait quelque chose d’enivrant. Mes sens s’éveillèrent au diapason de mon corps.
Luisante et collante de partout, je me glissai en évitant tout bruit sous le drap pour y disparaitre entièrement. Mon visage se retrouva à la hauteur du sexe de mon homme endormi. Je me rendis compte que c’était la première fois que je voyais pour de vrai sa queue au repos. Malgré la faible lumière je pus la détailler un minimum. Elle était assez fine par rapport à sa taille. Certains des hommes que j’ai connu par le passé, notamment le père de ma fille, même en pleine érection, n’atteignaient pas cette longueur.
Après ces quelques minutes de contemplation je pris en bouche d’une traite ce chibre qui me donne tant de plaisir. Un grognement d’ours que l’on dérange en pleine hibernation accompagna la progression de mes lèvres. Je restai un moment immobile alors que le gland chatouillait le fond de ma gorge. Le corps de mon homme jusqu’à présent inerte commença à reprendre vie tandis que ma langue entrait en action. Les grognements laissèrent place à des soupirs, puis à des gémissements. Ne voyant rien, ce n’est qu’au moment où je sentis les mains de Luca me caresser la tête à travers le drap que je compris que ma petite pipe matinale était toute aussi efficace qu’un radioréveil.
Je me mis alors à le sucer avec gourmandise. Son sexe grossissait, gonflait, rapidement dans ma bouche. Glissant dans le même temps une main entre mes cuisses, je pus constater que ma chatte n’était pas en reste et piaffait d’impatience en mouillant largement.
Le sexe de Luca retrouva bien vite toute sa vigueur de la veille. Je m’extirpai alors de sous le drap en remontant doucement sur son corps. Ma langue fit une halte sur son nombril qu’elle visita amoureusement puis rejoignit ses mamelons qu’avec l’aide de mes lèvres elle fit dresser.
Les jambes de chaque côté de ses hanches, je m’assis sur le ventre de mon amour. Les yeux pétillants, presque larmoyants, je le fixai d’un air sérieux.

– « Tu as confiance en moi mon amour ? » Lui demandai-je sans même dire bonjour avec une voix tremblante.
– « Bien sûr ma petite fée … J’ai toute confiance en toi. » Me répondis Luca, l’air surprit par ma question.
– « Moi aussi … » Enchaînai-je laconiquement.

Je ne dis plus rien. Je voulais un silence total. Posant ma bouche entrouverte sur la sienne, seul le bruit de notre baiser langoureux remplit d’amour et de tendresse accompagnait cet instant.
J’allais peut être faire une grosse connerie, je le savais. Mais la passion dévorante qui me rongeait sur l’instant fut la plus forte.
D’un agile mouvement du bassin je m’empalai lentement sur le sexe nu de mon homme. Luca essaya de me retenir en me prenant par les hanches mais je réussi à dégager ses mains. Son gland venait de franchir ma vulve et je l’aidais à continuer sa progression dans mon vagin. Ce n’est qu’une fois sa queue au fond de mon ventre que j’arrêtai de l’embrasser pour me redresser et le fixer du regard. Des larmes coulaient sur mes joues en silence.

– « Mon amour … Tu pleures ? » me demanda Luca inquiet.

Le ton sur lequel il posa la question me rassura. J’avais crains qu’il ne se mette en colère. Aussi lui répondis-je entre deux sanglots :

– « Je suis désolée mon cœur … Je n’ai pas pu résister. Je voulais trop sentir ton sexe en moi sans entrave … »
– « Ne soit pas désolée mon ange … Surtout ne le soit pas … Je n’aurais jamais osé le faire mais j’en avais tellement envie aussi. »

Ces paroles me libérèrent et je commençai à bouger tout doucement sur sa queue. Je pouvais en ressentir la moindre irrégularité, la moindre nervure, la moindre veine glisser sur les parois de mon vagin. L’absence de capote me mit dans un état exceptionnel. Cette sensation de faire l’amour sans la moindre entrave décupla de manière exponentielle notre plaisir.
Luca ne m’avait posé aucune question quant à d’éventuelles maladies ou à ma prise ou non de la pilule. Quand il avait dit me faire une totale confiance ce n’était pas des mots en l’air. Je l’aimais pour ça, pour sa sincérité, sa tendresse, sa compréhension.
Je m’appliquai à faire durer le plus longtemps possible ce moment. A chaque fois que je le sentais près à jouir je m’immobilisais instantanément, le laissant se calmer tout en l’embrassant amoureusement.
Il fallait absolument que l’on jouisse ensembles. Je le voulais plus que tout pour cette osmose soit parfaite. Ce n’est que lorsque je sentis un violent orgasme me nouer le ventre que je me mis à accélérer en montant et descendant frénétiquement sur sa queue. Je contrôlais entièrement son plaisir, notre plaisir.

– « JE VIENS !!! … JE VAIS JOUIR MON AMOUR ! » Hurlai-je à gorge déployée.

Ce fut le signal de sa libération. Luca posa ses mains sur mes fesses et me poussa fermement sur son chibre pour atteindre les portes de mon utérus. Il éjacula à grand jets au fond de ma chatte. La sensation de son foutre me remplissant le ventre me fit partir à mon tour. Je jouis sans retenue, indécente, criant mon bonheur.
Je m’écroulai sur son corps en gardant sa verge en moi. Je voulais qu’il reste et je contractai au maximum les muscles de mon vagin pour l’emprisonner. De longs baisers alternés par de nombreux mots d’amour se succédèrent avant que je ne le relâche.
En me retirant de sur lui je posai ma main sur ma chatte pour retenir tant bien que mal le mélange de sperme et de cyprine qui se mit à couler hors de moi.

– « Viens sur moi et laisse couler mon amour … Je veux voir ça … Je veux déguster ce mélange. » Me demanda Luca.

Je regardai tendrement mon amant en lui soufflant un baiser du bout des lèvres. A nouveau je l’enjambai mais cette fois à hauteur de son visage. J’attendis qu’il ouvre légèrement la bouche pour retirer ma main. Un liquide blanchâtre s’écoula abondamment de mon sexe et atterrit sur sa langue tendue. Luca avala tout jusqu’à épuisement de la source avant de venir puiser le restant au plus profond de ma chatte. Cette petite dégustation du résultat de nos ébats se transforma en un divin cunnilingus. Mon doux amour me brouta le minou jusqu’à ce que je jouisse à nouveau la cramouille collée à sa bouche.
Ce réveil ponctué de deux orgasmes violents me laissa sans voix. Nous restâmes un moment enlacés à nous embrasser comme deux adolescents découvrant l’amour pour la première fois.

– « Un grand café ne serait pas de trop ma puce non ? » Me demanda Luca avec tendresse. « Je sais que tu peux en boire des bassines entières. »
– « Cela ne me ferai pas de mal bébé, je te confirme. » Lui répondis-je en pouffant de rire à propos des bassines. « Je vois que tu n’oublis jamais rien de ma petite vie. »
– « Jamais je n’oublierai rien Ludi … Je pense à toi tous les jours. Toutes les minutes devrais-je même dire. »
– « Je sais mamour … Et ça me touche à un point que tu ne peux pas savoir. »

Luca se leva le premier pour se diriger vers la cuisine. Je lui emboitai le pas après avoir vérifier que je ne risquai pas de tacher le sol en marchant.
Une profonde tristesse nous saisit lorsque nous vîmes l’heure. Il était déjà 13h45 ce samedi et j’allais bientôt devoir rentrer pour ne pas éveiller les soupçons d’Alyssa lorsqu’elle rentrerait. Luca et moi avions perdu toute notion du temps. Notre monde s’était arrêté de tourner depuis hier et le retour sur terre nous rendit maussade. Nous avalâmes notre café sans un mot, juste en nous regardant tendrement. Tous les deux nus dans la cuisine je voulais absolument lui faire un dernier cadeau en l’entraînant dans la salle de bain pour une douche salvatrice. Cette dernière devait faire disparaître toutes les séquelles visibles de notre relation naissante et « adultérine ».
Arrivés dans la pièce d’eau je montai la première dans la baignoire qui servait en même temps de douche. Je pris mon ange par la main et l’invitai à me suivre.

– « Ne dis rien mon cœur … Ne dis surtout rien et lâche toi … » Dis-je en m’accroupissant lentement devant lui et en ouvrant la bouche en attente d’une offrande.

Luca comprit tout de suite ce que je voulais qu’il fasse. Nos longues discussions coquines via msn m’amenaient parfois à ce genre d’extrémités. Mon ange saisit sa queue délicatement entre deux doigts pour la diriger vers sa cible, son amante adorée en l’occurrence. Je n’eus pas à attendre bien longtemps. Un premier jet d’urine rata sa cible et s’écrasa sur mon front et mes cheveux. Le second fut parfait ; le liquide chaud et doré me remplit entièrement la bouche. Sûr de sa visée, Luca me laissa juste le temps d’avaler entièrement la première gorgée avant de vider totalement sa vessie dans un flot long et continu de pisse. J’en bu quelques gorgées mais en recrachai un maximum. Mon corps tout entier se trouva bien vite souillé d’urine de la tête aux pieds.
Après de longues secondes la source chaude se tarit. Je me jetai comme une furie sur la bite de Luca et me mis à le sucer avec fougue pour récolter les dernières gouttes de pisse. Le branlant fermement tout en lui taillant une pipe dévastatrice je guettai les moindres signe annonçant une défaillance.
Je ne souhaitai pas l’amener au point de non retour tout suite ainsi me redressai-je avant de me tourner dos à lui. Une main posée sur le carrelage du mur, je me mis une grande claque sur la fesse avec l’autre :

– « Viens mon cœur … Viens enculer ta petite pute souillée de pisse sans capote ! » Dis-je à moitié en furie.
– « Oh putain ! Je vais te déchirer le fion ma salope ! Ton cul va être mon vide couilles préféré ! » Grommela Luca en venant se coller à moi.

Luca s’approcha rapidement de moi. Il guida son gland sur mon œillet et d’un coup, à sec, me déchira l’anus en m’attrapant avec fermeté par les hanches. Ses doigts s’enfoncèrent presque dans ma peau. J’hurlai de douleur et de plaisir d’un cri strident qui décupla son ardeur. Mon amant me défonça le cul intensément en enfonçant sa queue entièrement dans mes entrailles.
Toujours plus agressif, toujours plus assoiffé de mon fion, Luca me saisit par les cheveux qu’il tira de toutes ses forces en arrière. Je continuai à crier à chaque fois que ses couilles venaient me percuter les fesses dans un claquement sonore. Offerte, sodomisée, humiliée, souillée de pisse, je prenais un pied mémorable.

– « JE JOUIIII !!!! … JE JOUIIII !!! » Braillai-je à m’en déchirer les poumons.

Mon orgasme cataclysmique déclencha celui de Luca. Son foutre me remplit le cul en se déversant par longues saccades. Son orgasme fut accompagné par de puissants râles bestiaux qui résonnèrent dans la salle de bain.
Epuisés, ravagés et détruits nous nous écroulâmes dans la baignoire. Luca me serra fort contre lui alors que son sperme dégoulinait de mon anus. D’une voix toute tremblante il me supplia avec sa tendresse retrouvée :

– « Pardon mon amour … Pardon … Je ne sais pas ce qui m’a prit … J’avais pas envie de te faire mal … »
– « Tais toi bébé … Embrasse moi fort chéri … Tu as été parfait … » Lui soufflai-je péniblement en essayant de le calmer.

Nous nous embrassâmes amoureusement encore une fois en nous serrant l’un contre l’autre. La douche qui suivit fut longue et langoureuse. Nous restâmes sages malgré un savonnage mutuel qui était plus un prétexte pour une séance de douces caresses.
Le temps m’était compté et je me rhabillai rapidement une fois séchée. Une boule dans l’estomac nous coupa le sifflet durant ces dernières minutes ensembles. Luca m’accompagna jusqu’à ma voiture sans dire un mot. Ce n’est qu’une fois arrivés devant le véhicule qu’il m’enlaça et me serra fort contre lui.

– « Merci pour tout ma chérie. Je n’oublierai jamais ces moments avec toi … » Me dit Luca en me caressant le visage.
– « Moi non plus mon ange … Je n’oublierai jamais. » Lui répondis-je en lui saisissant la main.
– « Je n’ose espérer qu’on se reverra. En tous cas, même si c’est terrible de te laisser partir, sache que jamais je ne te ferai de mal. Je suis à toi ma puce, à ta disposition. »
– « Je sais mamour … Je le sais très bien. Je ne peux rien te promettre … »
– « T’inquiète pas chérie. Prend bien soin d’Alyssa. Vous êtes un couple merveilleux et je ne ferai rien qui casse votre petit monde. »

Un dernier baiser langoureux enflamma nos cœurs et nos sens.

– « Je t’aime Luca … » lui soufflai-je en décollant mes lèvres.
– « Je t’aime Ludivine … » me répondit-il alors que je me glissai au volant.

FIN

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