Le temps est de mon coté. Je vois les jours passer, sans aucune nouvelle, mais je sais que je vais en avoir bientot. Ils n’ont pas vraiment le choix.
J’avais envoyé par email un extrait de la vidéo que je possédais, lorsque Jacques disait qu’il se branlait parfois sur les photos d’Amalia en maillot de bain. On voyait de dos une fille, et lui en train de se branler juste devant elle. Pour ma part, j’avais choisi evidemment un extrait où je n’apparaissais pas à l’image.
J’avais envoyé cela à Sandrine (ma belle mère), à Solange (ma femme), à Amalia, à mon beau-père, ainsi qu’à quelques uns de leurs amis et la famille proche, en utilisant un email anonyme.
J’appris une semaine plus tard que Solange était partie en vacances à l’etranger pour une dizaine de jours, pour se changer les idées. Jacques ne répondait pas à mes appels. Amalia non plus, mais je pouvais suivre, sur son mur facebook, qu’elle en était toujours au meme stade, sans emploi, et qu’elle avait du dépenser une grande partie de l’argent que je lui avais donné (beaucoup de photos d’elle avec ses copines au resto les premiers temps, et puis plus grand chose en ce moment).
Je decidais de retourner chez mes beaux parents trois semaines plus tard.
Je débarquais vers 14h, sans prévenir, et alla sonner à la porte. Quelques instants après, cette dernière s’ouvrit et Sandrine eut le visage crispé en me voyant.
– Qu’est ce que tu veux, me dit elle malgré tout.
– Ecoute, j’ai reçu cette vidéo également. J’ai essayé de contacter Jacques, mais il ne répond pas. Je voulais savoir, c’est quoi, c’est un canulard ?
– Jacques est parti de la maison quand j’ai découvert ça. Il est à l’hotel et vient de temps en temps prendre des affaires, mais je ne veux plus le revoir pour le moment. Et toi non plus. J’ai besoin de calme et d’une vie sereine.
Ce con… Il était carrement parti.
– Ecoute Sandrine, je ne viens en ami. Je me faisais du soucis. Et tu sais combien j’ai aidé Amalia. Voir Jacques tenir de tels propos sur elle, ça m’a remué.
– Et moi donc ! J’ai regardé cette vidéo des dizaines de fois, et tu as remarqué cette fille, comme elle ressemble à Amalia. On ne voit pas son visage, mais elle a les memes cheveux, et son corps lui ressemble tellement ! Tu te rends compte, il est allé choisir une fille, surement une prostituée, qui ressemble à sa fille.
– Et la vidéo, tu sais qui a pu l’envoyer ?
– Je ne te cache pas que tu as fait parti des hypothèses. Surtout quand je repense au comportement de Jacques avec toi la dernière soirée que nous avons passé ensemble.
– Moi ?
– Oui, il n’était pas dans son état normal pendant que tu étais là.
– Attends, si tu me laisses entrer deux minutes, je peux t’expliquer pourquoi il a été comme ça.
Sandrine était hésitante à me laisser entrer. Je fis un regard un peu doux et insistant.
– Allez, laisse moi t’expliquer.
Sandrine fit un pas sur le coté, et j’entrais dans la maison. C’était un peu différent de la dernière fois où j’étais venu. Le ménage n’avait pas été fait depuis plusieurs jours, de la vaisselle trainait dans la cuisine.
– Il était mal à l’aise parce qu’Amalia avait contracté beaucoup de dettes, et n’arrivait pas à s’en sortir. Elle avait essayé de lui en parler mais il s’était énervé en lui disant que maintenant elle était grande et n’avait qu’à se débrouiller comme tout le monde. Du coup, c’est moi qui ai remboursé tous ses crédits. Quand il l’a appris, il s’est senti mal, et il m’a demandé comment me remercier. Et je lui ai dit ce dont j’avais envi… Toi… Il est resté bete je te l’avoue, même qu’au début il ne voulait plus me parler, il était choqué. Et puis, l’idée à du trotter dans sa tête, puisqu’il m’a rappellé.
– Quand il a commencé à me parler de cette soirée, il était effectivement mal à l’aise.
– Quand je suis arrivé, j’ai bien vu qu’il y avait un malaise.
– C’était la premiere fois que mon mari me demandait une chose pareille. J’étais tres choquée et surprise. En meme temps je voyais qu’il était mal et je voulais lui faire plaisir. Moi, je suis quelqu’un de plutot « classique », comme il a pu t’expliquer.
Elle se mit à partir en sanglots.
– Et cette vidéo est arrivée peu après. Je le voyais dire ces choses sur Amalia. Et il n’a pas nié, il est parti en pleurant. Sans doute qu’il regrette, mais ce qu’il a fait est impardonnable. En plus, il semble que notre entourage est au courant, j’ai eu un appel d’une cousine qui a reçu cette vidéo et elle m’a dit que l’histoire avait un peu fait le tour…
– Je l’ai reçu une semaine après être venu chez vous.
– Quelques jours après moi alors.
– J’ai un ami qui travaille chez Orange, il pourrait essayer de remonter l’email, savoir qui l’a envoyé. Bien sur, je ne lui dirai pas de quoi il sagit.
– C’est gentil à toi, je veux bien. Je veux essayer de comprendre. Et en meme temps, j’aimerai tellement oublier tout ça.
– Je comprends bien. Je peux te poser une question ?
– oui…
– est ce que tu regrettes d’avoir fait l’amour avec moi ?
Elle rougit aussitot et ne répondit pas de suite. Elle était un peu nerveuse et me fit un demi sourire.
– tu es le deuxieme homme que j’ai connu. ça peut paraitre bete, mais mes parents étaient croyants et très pratiquant, mon éducation a toujours voulu que je ne fréquente pas trop les garçons, et je suis arrivée au mariage vierge. Jacques a été mon seul homme.
– ca ne repond pas vraiment à ma question.
Sandrine était nerveuse.
– On n’aurait pas du faire ça.
– Tu t’es masturbée depuis en y repensant ?
Du coup, Sandrine devint écarlate. Comme elle se prostrait un peu en baissant la tete, je vins la prendre doucement dans mes bras, sans dire un mot.
– J’ai pas arrêté, murmura t-elle.
Je carressais doucement son dos sans rien dire. Elle passa à son tour doucement ses mains autour de moi. On ne bougea pas pendant un moment, et je sentais sa respiration et son coeur s’accelerer contre ma poitrine.
Je reculais un peu pour la regarder, puis déboutonna son chemisier.
– On ne devrait pas… et puis vu les circonstances… j’ai tellement de choses en tête en ce moment…
– ça te détendrait, lui dis-je en faisant apparaitre son soutien gorge noir.
Je posais ma main dessus et commençait à lui malaxer les seins. Elle commença à gémir doucement, et ne dit rien lorsque je déboutonna son pantalon. Il glissa au sol, et je fis aussitot passer ma main sous sa culotte.
Elle me regarda dans les yeux, tandis que je commençais à faire tournoyer mes doigts sur sa chatte. Restant debout, elle s’accroupit un peu en écartant les jambes pour en profiter plus pleinement. Elle baissa sa culotte à mi cuisses, et se mit à gémir et à haleter.
– tu es trempée, lui dis-je.
Elle me prit la main, et me conduisit en direction de sa chambre. Elle retira son soutien gorge, et fit completement glisser sa culotte par terre, puis s’allongea nue sur le lit.
– Viens, murmura t-elle.
Je commençais à me deshabiller, et elle me regardait.
– Masturbe toi, montre moi que tu as envi…
Aussitôt, Sandrine ecarta un peu plus les jambes, et posa sa main sur sa chatte, pour commencer à se carresser. C’était bien une chose que je ne pensais jamais voir de ma vie, venant de cette femme.
– Tu as beaucoup repensé à l’autre soir alors ?
– Ohhhh ouiiiii, fit elle en se masturbant furieusement. Elle me regarda, presque plaintive, tandis qu’un peu de mouille gicla de sa chatte. Elle serra les cuisses un instant, se recroquevilla, puis se détendit à nouveau, entrouvrit les cuisses, et continua de se carresser.
Nu à mon tour, je m’approchais d’elle, le sexe en erection qu’elle ne quittait pas des yeux. Elle se carressait un mamelon, tout en se branlant furieusement la chatte. Nous ne disions rien, le seul bruit dans la pièce était celui de sa chatte mouillée.
Je m’allongeais sur elle et lui glissa ma queue dans la chatte. Elle glissa toute seule jusqu’au fond, sans effort. Sandrine était chaude et trempée. Je commençais à lui donner de petits coups de queue. Elle écarta davantage les cuisses et me fit un sourire pour me montrer qu’elle appréciait cela.
Un bruit de porte à l’entrée se fit entendre. On entendit des clés posées sur un buffet. Sandrine m’avait fait signe d’arrêter pour écouter.
– Ca doit etre Jacques… Tant pis pour lui, il n’avait qu’à prévenir qu’il allait passer. T’arrete pas… Prends moi fort !
– Je veux qu’il t’entende me le demander.
Tandis que les bruits de pas approchaient de la chambre, Sandrine écarta ses cuisses en grand et se mit à dire fort :
– Baise moi ! Fais moi la chatte vas y !!
La porte s’ouvrit en grinçant un peu, et Amalia se tenait debout, simplement vétue d’un soutien-gorge et d’une culotte blanches avec des broderies noires, très transparents.
Sandrine, surprise, se crispa, tandis que je me mis à la marteller fort. Amalia s’approcha du lit, défit doucement son soutien-gorge, mettant à nu ses seins lourds. Elle baissa sa culotte, tout en regardant ma queue entrer et sortir rapidement de la chatte de sa mère. Son entrecuisse était plein de mouille. Sandrine avait les mains devant sa bouche, regardant sa fille, nue, saisir mon sexe avec sa main, alors que je sortais de sa mère.
– Merci maman de faire payer papa pour ce qu’il a fait.
– ohhhh ma cherie… sors s’il te plait, ne regarde pas ça…
– j’en ai envi moi aussi….
Elle se pencha vers ma queue et la mit dans sa bouche. Elle me suça un peu, puis je reculais un peu, et me présentais devant la chatte de Sandrine. Je me remis à la baiser. Quand elle se mit à gémir, je sortis à nouveau, et me refit sucer par Amalia.
– Tu aimes le gout de la chatte de ta mère ? lui dis-je.
Amalia me suçait goulument et ne répondit pas. Je sortis ma queue de sa bouche, et lui fit pencher la tete vers la chatte de sa mère.
– Leche la lui.
Sans un mot, Amalia s’approcha, et se mit à lecher les levres trempées de sa mère.
– Oh maman je t’aime tellement, murmura t-elle.
– Ma cherie ! pourquoi tu as envi de me faire ça ??
Amalia ecarta en large la moule de sa mère et se concentra à lui lécher le clitoris.
– Parce que je t’aime, murmura Amalia.
– Ohhhh , fit Sandrine, qui fondit de douceur pour sa fille. Ma fille cherie, fit elle en lui carressant la tête.
Je pris un peu de recul pour regarder la scene, et comme Amalia était penchée en avant et cambrée pour avoir sa bouche sur la chatte de sa mère, et ayant son cul et sa chatte bien offerts devant moi, je me plaçais derrière elle. Sa chatte était bien plus étroite que celle de sa mère, en fait c’était different, elle mouillait moins, et pour etre franc, c’était la mouille de sa mère, dont ma queue était couverte, qui servit de lubrifiant pour glisser d’un coup dans sa chatte.
Amalia leva un peu le visage et murmurant :
– Oh maman…
Elle venait de recevoir un long jet de mouille sur le visage, et Sandrine se contracta encore un peu et un autre petit jet cracha sur Amalia.
Je fis avancer Amalia, pour qu’elle se place au dessus de sa mère et s’allonge sur elle. Puis, je fis alterner ma queue dans la chatte d’Amalia, puis sans celle de sa mère.
– Putain vous etes bonnes toutes les deux… Ohh Amalia, embrasse ta mère avec la langue, je vais l’enculer…
Amalia déposa un doux baiser sur les levres de sa mère, tandis que j’ecartais les jambes de cette dernière. Je glissais ma queue sous sa chatte, contre le petit trou de son cul, et je me mis à pousser mon gland dedans. Tout doucement, grace à la mouille qui avait coulé sur tout l’entrejambe, je me sentis entrer en elle. Sandrine fit un petit gémissement, tandis qu’Amalia lui léchait la bouche et cherchait à y faire entrer sa langue. Une fois ma queue entrée jusqu’à la garde, Sandrine poussa un long soupir, et Amalia en profita pour plonger sa langue et la méler à celle de sa mère. Je me mis à taper dans son cul.
Je l’enculais ainsi pendant une dizaine de minutes. Je prenais vraiment mon pied. Sandrine ne disait rien, elle subissait et acceptait completement la situation. Et Amalia avait tellement de rencoeur envers son père, qu’elle était prete à tout pour le faire souffrir, mais également se rapprocher de sa mère.
– Amalia, ouvre moi bien la chatte de ta mère s’il te plait.
Docile, Amalia se mit sur le coté, sur les genoux, me regarda sodomiser sa mère un instant, puis posa ses deux mains sur les cotés de la vulve de sa mère, et écarta en grand. Les lèvres s’ouvrirent, laissant apparaitre le trou de son vagin, que j’avais dejà pas mal ramoné. En regardant bien dans sa chatte, on voyait la forme de ma queue entrer et sortir de son cul.
– Tu en penses quoi, de la chatte de ta maman ?
– Trop belle, répliqua du tac au tac Amalia.
– Branle lui le clito… Je veux que ce soit toi qui la fasse jouir.
Sans hésitation, Amalia posa deux doigts sur le clito gonflé de sa mère, et se mit à tournoyer à toute vitesse. Amalia se pinca les lèvres, tres inspirée, et de son autre main, plongea trois doigts dans la fente de sa mère.
– Ouuuuhhh ça ça va te faire du bien, murmura t-elle.
J’étais impressionné de la vitesse avec laquelle Amalia masturbait sa mère. Je sortis ma queue de son cul, recula un peu pour regarder. Des petits jets de mouille crachèrent de la chatte de Sandrine, mais Amalia ne s’arrêta pas là, elle se pinçait les levres de la bouche encore plus fort, et branlait sa mère à s’en faire une crampe, allant à toute vitesse sur ton clitoris, et plongeait ses doigts à une vitesse ahurissante dans sa chatte.
Sandrine poussa un long rale, et jet continu de mouille gicla de sa chatte, allant au dela du lit, pour tomber au sol. Elle se recroquevilla aussitot sur elle meme, épuisée, le corps devenu trop sensible.
Amalia s’allongea à coté d’elle et se blottit contre elle, se mettant à se masturber à son tour.
– Maman, je suis en colère du désir de papa pour moi… Mais je me suis tellement masturbée moi aussi en pensant à lui… Regarde, c’est ce qui me fait le plus jouir.
Amalia ouvrit sa chatte en grand, et se frotta le clitoris à toute vitesse .
– Tu penses à ton père ??
– Oh maman…. je jouis pour lui…
Amalia eut un long spasme. Puis doucement, elle s’immobilisa, et se lova contre sa mère.
Elles se blottirent et se serrerent l’une contre l’autre. Je m’approchais d’elles en me branlant, proche de leurs visages. Mes jets de sperme les aspergerent toutes les deux. Mais elles ne me calculaient presque pas, tant elles étaient fatiguées.
– Ma petite cherie, je suis au courant de tout. Tu as eu des soucis financiers. Ton père n’a pas fait ce qu’il fallait. Tu en as souffert. Tu peux parler à ta maman. Je suis là pour toi.
– Maman, je sais que tu n’as pas été heureuse avec papa. J’ai envi que tu sois heureuse, j’ai envi de pouvoir te faire du bien, tu le mérites tellement.
Elles s’embrasserent. Leurs bouches ne se quittaient pas. Amalia changea un peu de position, et colla sa chatte contre celle de sa mère. Elle se mit à onduler pour frotter sa moule contre la sienne.
– Oh cherie, je n’en peux plus…, fit Sandrine.
– non attends maman, c’est pas pour ça, je veux te donner quelque chose…
Tout en ondulant, Amalia se mit à pisser, et se déverser tout en se frottant contre la chatte de sa mère. Sandrine sentit la chaleur couler sur elle, elle ne comprit pas de suite, puis se rendant compte de ce que sa fille faisait,s’affala dans le lit et se vida les esprits.
Amalia se remit à pisser après une petite pause, le matelas était trempé, et les deux corps étaient dans une grande flaque d’urine.
– Je t’aime maman, ça, personne ne pourra jamais nous l’enlever.
Je mettais mes vetements et sortit de la pièce. J’avoue que je ne controlais plus certaines choses, mais dans l’essentiel, j’avais atteint mes objectifs.
Restait une dernière étape. Le retour de ma femme.
Je me mis dans le canapé du salon et m’endormit au bout d’un moment.
A mon reveil, il devait être 19h, j’entendais Amalia et sa mère discuter à voix basse dans la cuisine. Je pouvais comprendre qu’elles discutaient de divorce, de vendre la maison. Lorsque j’entrais dans la cuisine, elles s’arrêterent de parler et se tournèrent vers moi. Amalia était nue, et Sandrine portait juste une culotte.
– J’espère que vous avez encore envi de sexe les filles, parce que ce soir, je ne vais aller que dans vos culs. Ce sera à vous de vous occuper mutuellement de vos chattes…
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