Je pars et je vais à la piscine, besoin d’éteindre l’incendie qui brule dans mon slip de bain. J’ai pris la bonne décision. Inès est belle, envoutante, j’ai envie d’elle, mais il faut la fuir, elle est sûrement ma perte. L’après-midi, nous partons avec mon épouse. Je ne veux pas rester au village et risquer de croiser cette jeune femme. Qu’elle serait sa réaction ? N’aurait-elle pas envie de raconter à ma femme que j’ai voulu la violer, pour se venger de moi ? Donc on passe l’après-midi ailleurs. Je suis préoccupé, ma femme s’en rend bien compte…
– C’est la gamine de la piscine qui t’a troublé comme ça ? Remarques, elle est plutôt bien roulée…
Donc, elle a vu son manège hier… C’est vrai que je n’arrête pas de penser à elle. Je me dis qu’à la soixantaine, je suis peut-être passé à côté d’un bon coup. Je n’aurais sûrement plus l’occasion de tomber une jeunette…
Dans l’intimité de notre chambre, ma femme se fait câline, et nous faisons l’amour, mais quand je pelote ses seins lourds, c’est les obus d’Inès que j’imagine caresser. Quand nos langues batifolent, c’est la langue inexpérimentée d’Inès que j’attire dans ma bouche….
Lendemain matin, comme tous les jours ma femme va faire sa rando. Moi je n’aime pas ces balades en groupe, je préfère l’eau. Mais aujourd’hui, c’est à la piscine que je vais me baigner. Je prends donc ma serviette, ma crème solaire… et je vais au lac ! C’est une force incontrôlable que me fait prendre la direction du lac. Finie, oubliées mes belle promesses, je retourne en enfer ! J’ai Inès dans la peau.
Arrivé sur la petite plage, je me dirige immédiatement vers le bosquet qu’elle m’a indiqué hier. Elle est là, encore plus belle, encore plus aguichante que jamais.
Un immense sourire éclaire son visage. Elle est rayonnante. Je fonds littéralement pour cette gamine. Elle a fait main mise sur mon esprit. Je suis à sa merci.
– Bonjour mon chéri, j’étais sûre que tu viendrais !
Elle se jette à mon cou et m’offre ses lèvres brûlantes que je cueille avec délice. Nous échangeons un long et langoureux baiser. J’enlace la jeune fille et en profite pour dégrafer son soutien-gorge. Ses seins contre mon torse me font l’effet d’une décharge électrique. Je sais qu’aujourd’hui, rien ne me fera reculer…
– Vite, Mets-moi d e la crème sur mon dos.
Elle s’allonge sur le ventre et comme la veille je l’enduis de crème, sur le cou, les épaules, le dos, le creux des reins. Sa peau bronzée est si douce, elle sent si bon… J’arrive au niveau de l’élastique du slip. Je n’hésite pas une seconde et je tire le maillot vers le bas, découvrant entièrement ses fesses. Elle a un splendide petit cul, blanc qui tranche avec le bronzé du reste de son corps. Deux magnifiques globes ronds séparés par un sillon profond. Je continue à faire glisser la culotte et je l’ôte entièrement. Inès est complètement nue, totalement offerte. Je commence à caresser ses miches, elles sont bien fermes. Je les embrasse et les écarte un peu, dévoilant ainsi son petit anus serré. Je ne peux m’empêcher de le masser, faisant soupirer d’aise ma jeune maîtresse. Elle ouvre d’elle-même son compas, libérant l’accès à son abricot. D’une main, je viens explorer ce trésor qu’elle m’offre. J’insère un doigt dans sa petite fente. Inès se retourne sur le dos, je vois enfin entièrement son sexe. Son pubis est recouvert d’un léger duvet brun, le même que sur sa vulve. Je masse lentement ses lèvres charnues. Inès est aux anges. Ma bouche vient vite remplacer mes doigts sur son petit con. Ma langue pénètre l’antre interdit. Je décalotte je capuchon de son clito et le titille de la pointe de ma langue. Inès se tortille dans tous les sens. Sa respiration s’est accélérée.
– Hummm, c’est bon. Depuis le temps que j’en ai envie ! Encore, lèche-moi encore !
J’introduis plus profondément un doigt dans sa chatte, je ne sens aucune résistance, la petite salope n’est plus vierge. Et dire qu’hier je l’ai fuis parce qu’elle m’a dit que c’était la première fois. Elle s’est bien foutue de moi la garce !
– Je croyais que tu étais vierge ?
– Non, je t’ai dit hier que je n’avais jamais sucé une bite. J’ai été dépucelée le mois dernier, à une boom de fin d’année par un copain de classe. On avait un peu bu. Il m’a chauffée pendant un slow puis entrainé dans les toilettes. J’avais une petite jupe très courte, il m’a plaquée contre le mur, il a sorti sa queue, écarté ma petite culotte et m’a pénétrée comme ça d’un seul coup. J’ai eu le droit à de grands coups de bite dans ma chatte jusqu’à ce qu’il jouisse. Il ne s’est même pas rendu compte que j’étais vierge.
– Tu as été violée alors ?
– Non, j’en avais envie aussi. J’aurai seulement voulu qu’il soit plus tendre… Je n’ai même pas joui !
– Je vais te faire jouir moi ma chérie, tu vas voir ce que c’est de faire l’amour… et puisque tu n’as jamais sucé, prend ma queue dans ta bouche.
Je m’allonge sur ma serviette et enlève mon caleçon. Il était temps, ma bite commençait à être à l’étroit dedans !
Inès est venue entre mes jambes et a commencé par astiquer mon braquemart. Elle a entouré mon gland de ses lèvres.
– Vas-y ma chérie, descend le long de ma hampe, prend-la toute dans ta bouche.
Inès est obéissante, ma bite disparaît presque entièrement dans sa bouche. Elle commence un lent balai de va-et-vient sur mon pieu qui ne cesse de grossir. Sans rien lui demandé, elle a pris mes couilles d’une main et les malaxe divinement. Je suis au bord de l’explosion. Je ne veux pas qu’elle prenne mon sperme dans sa bouche. Pas maintenant. Pour l’instant c’est dans sa chatte que je veux jouir. Je la repousse donc délicatement et la fait se mettre sur le dos, cuisses largement ouvertes.
J’écarte ses grandes lèvres, découvrant ainsi son intimité profonde. Ma langue lape ses nymphes rosées. Sa fente est étroite et très serrée, son clito est à peine visible sous son capuchon de chair, mais dès que je le masse et le lèche, il grossit et bande comme une petite bite. Inès soupire bruyamment et se cambre sous mes caresses.
– Viens vite maintenant, fais-moi l’amour !
– Patience ma belle, j’ai encore envie de me délecter de ton corps…
Je remonte lentement vers son nombril puis vers ses seins. Je les pétris et prend les tétons en bouche. Ils durcissent et double de volume. Les nibards de cette gamine me rendent dingue. Je les mordille, les tête, les malaxe encore et encore.
– Tu me fais mal, Ben…
– Excuses-moi ma chérie, tu es si belle, tes seins sont si beaux…
– Prends-moi vite, j’en peux plus, regarde, je mouille comme une folle.
J’ai envie de la pénétrer maintenant. J’approche mon gourdin bandé à l’extrême de son con dégoulinant et je l’englouti, centimètre par centimètre. Inès se raidi un peu. Elle ne m’a pas menti, elle a juste été déflorée mais sa caverne d’amour reste très fermée. Ma hampe s’enfonce quand même dans son abricot bien mûr. Me voilà presque à fond. Un coup de rein et ça y est, ma queue est disparaît totalement dans la fente de ma jeune maîtresse. Inès geint doucement. Elle se cambre et projette son pubis contre le mien pour que je la pénètre encore plus profondément. Ma bite envahi entièrement son vagin. Je commence une série de va et viens dans son con. Elle crie sans retenu. Pourvu qu’on ne nous entende pas !
Encore quelques coups de boutoir et Inès pousse un grand râle de bonheur. Elle a un violent orgasme. Le premier certainement de sa vie de femme. Elle jouit plusieurs fois de suite. Chaque coup de bite au fond de son con lui arrache un cri rauque, elle s’abandonne totalement sans réserve. Sa chatte dégouline de sa cyprine. Je vais jouir moi aussi. Je devrais me retirer et lâcher ma purée sur son ventre ou sur sa petite gueule, mais non, je décharge au fond de son vagin, plusieurs longs jets de foutre épais et chaud.
Nos sens apaisés, nous restons enlacés un moment. Inès me sourit :
– Merci mon chéri, tu m’as donné tant de plaisir. Je suis heureuse. Aujourd’hui j’ai vraiment découvert l’amour. Maintenant je suis une vraie femme, j’ai joui comme une salope !
Il a bien fallu se rhabiller et retourner au village. On s’est quitté après un long et fougueux baiser. Demain, on se retrouvera au bord de notre lac, théâtre de nos ébats amoureux. J’ai tellement de chose à apprendre encore à ce petit bout de femme.
A suivre…
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