Marc est un pote que je connais depuis l’adolescence. Il a rencontré sa femme, s’est marié, et est même papa maintenant. Le temps passe et on se voit de moins en moins. C’est dommage, tellement dommage qu’il nous a tous invité, la bande de potes qu’on était, à venir griller chez lui.
Entre ceux qui sont partis loin, et ceux qui sont pas dispos, on s’est retrouvés une petite dizaine de personnes chez lui.
Sophie, sa femme, est vraiment très jolie. Toujours bien habillée, bien coiffée, jusqu’au vernis impeccable sur les orteils… elle prend énormément soin de son apparence. Quand elle m’a ouvert la porte j’ai de suite vu qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, même si sa tenue est loin d’être vulgaire, ou même sexy, ce détail ne m’a pas échappé, et m’a quelque peu émoustillé. Mais bon, c’est la femme de Marc, j’ai vite fait le ménage dans mes pensées.
Ce soir là donc nous étions quasiment que des mecs. Sophie étant la seule femme avec nous on l’a un peu chambrée, et la soirée s’est très bien passé. On a bien ri, bien mangé, bien bu. En cours de soirée, on changeait souvent de place pour discuter avec un tel ou un tel. Si bien que je me suis retrouvé à côté de Sophie. Elle portait un petit short blanc assez moulant et son haut, même s’il était ample et ne révélait rien, me faisait quand même pas mal d’effet. L’alcool aidant et sachant qu’elle ne portait pas de soutif, j’étais un peu excité. L’apothéose ça a été quand je me suis rendu compte que selon la luminosité, on voyait ses tétons à travers le tissus. Du coup j’ai fait en sorte de rester à côté de Sophie et on a pas mal discuté. Quelques compliments par ci par là, sur son physique, sa tenue, et sa capacité à supporter les potes de son mec toute une soirée. Elle était joviale et m’a traité de charmeur. J’ai continué mon jeu sans aller trop loin. Je me suis levé et me suis penché pour att****r une brochette, et quand je me suis rassis, Sophie m’a gratifié d’un :
– Joli cul didons.
– Oh, comme ça tu mates sans retenue ? C’est pas bien ! ai-je répondu en feintant l’offusqué.
– Mater, ça pose pas de problèmes, a-t-elle éludé.
– Donc ça te gêne pas que je te mate ?
Elle a pris un instant de réflexion, s’est levée et s’est outrageusement penchée devant moi pour att****r un verre d’eau. Quand elle s’est rassise j’ai juste pour répondre :
– Ok, ça répond à la question… et au passage t’as un joli petit cul aussi.
Elle m’a fait un clin d’œil et on a dévié un peu la conversation. Mais je voulais pas lâcher le morceau. J’avais envie de revoir ses tétons, et je me suis dit que vu que « mater ne pose pas de problèmes », il fallait que je tente.
– Ça te dérange de mettre ta chaise à cet endroit ? lui demandais-je en pointant un endroit où la luminosité me permettrait de profiter à nouveau de la transparence du tissu.
– Non pourquoi ? demanda-t-elle intriguée.
On s’installa à l’endroit voulu, et je lui dis alors :
– Ben puisque mater c’est pas un problème, j’ai de suite vu en arrivant que tu portes pas de soutif.
Je me suis tu un instant pour voir sa réaction.
– Non en effet, quand je peux éviter… mais ça va ça fait pas « pouf », me demanda-t-elle.
– Non non pas du tout, je m’en suis rendu compte mais je pense pas que les autres l’aient remarqué…
– Coquin ! me dit-elle dans un petit rire.
– Et donc…repris-je, ce haut est sympa, parce que selon la luminosité on voit un peu à travers. Et là je vois tes tétons en fait, un peu tendu d’ailleurs. Donc j’en profite !
Elle baisse machinalement les yeux sur sa poitrine, et rougit. Elle me regarda d’un air un peu gênée.
– Désolé, m’excusai-je, je voulais pas te mettre mal à l’aise, si tu veux on retourne à table. C’était juste, tu sais… comme tu disais que mater c’est pas un problème…
– Ben c’est surtout que je voudrai pas que tout le monde voit mes seins !
– Non t’inquiète pas, on les devine plus qu’on les voit et faut vraiment que la luminosité soit dans le bon angle… t’inquiète pas.
Elle parue rassurée, et ne quitta pas sa place.
– Bon ben alors, mate ! mais pas un mot aux autres hein ! Je voudrai pas avoir des ennuis avec Marc après…
– Aucun problème, enfin… je risque d’être moins concentré du coup…
– Tu veux que j’aille mettre un soutif ? me dit-elle en rigolant.
– Non non…ça ira !
On a discuté encore un peu pendant la soirée, et je mattais outrageusement sa poitrine. Ça semblait lui plaire. On a fini par se séparer et je suis allé discuter avec d’autres potes. Je jetais un œil de temps en temps sur Sophie, qui me regardait aussi parfois. Un petit jeu de séduction qui ne devait pas aller plus loin…
A la fin de la soirée, au moment de partir, on se fait tous la bise. Les potes partent un par un, je suis l’avant dernier à partir, je ramène un des potes chez lui. Il fait la bise à Sophie et la félicite un peu lourdement, j’en profite pour faire la bise à Marc et le remercier de la soirée. Quand mon pote dit au revoir à Marc, ils discutent 2 minutes, j’en profite pour faire la bise à Sophie. Je pose ma main sur sa hanche et lui fait la bise à la commissure des lèvres. Elle pose alors sa main sur ma fesse, la mienne glisse sur sa fesse et je la pousse vers moi. Sa poitrine s’écrase contre mon torse et je lui glisse à l’oreille :
– Merci pour cette soirée, j’espère qu’on en refera d’autres très vite, et que tu ne porteras toujours pas de soutif.
Elle me glisse un « OK », se met sur la pointe des pieds et me mordille un instant le lobe de l’oreille.
– Marché conclu, faites vous inviter par Marc.
Ce soir-là, après avoir ramené mon pote, j’ai pas pu me coucher sans me masturber…Sophie m’avait vraiment charmé…
Marc nous a proposé dans la semaine qui suivait une autre grillade pour le samedi qui venait. On a tous accepté.
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