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L e Sea Sex and S un

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Le début du séjour avait été laborieux. Il en est toujours ainsi durant les pauses estivales. Il faut se laver la tête de tous les miasmes du quotidien et s’affranchir de la pesanteur parisienne. Point trop facile de passer la ligne de démarcation. Il s’ensuit un état nauséeux, comateux les premiers jours. On repère à cet égard dans la station balnéaire ceux qui sont arrivés la veille par leur démarche malhabile, nauséeuse et un air tout à fait ahuri devant tant de lumière et de joie. On serait prêt à leur porter assistance et guider leurs premiers pas. Cependant tout se résous heureusement après.

Je n’en fus pas moins quitte d’une petite angine à attribuer tant à la climatisation qu’au contrecoup psychologique évoqué précédemment. Aussi vis-je mon mari le premier piquer ma tête dans la mer et à s’agglomérer aux autres. Notable sportif il voulait être de tous les coups. S’éclater et annihiler pour un temps le gras et les bourrelets accumulés ces derniers temps. Ainsi le perdais-je de vue dès huit heures après le petit déjeuner pris ensemble hâtivement. Il était parvenu néanmoins à me convaincre à sacrifier au cours de gym de neuf heures, seule concession que je faisais au sport.

Pour le reste j’avais droit à glandouiller au bord de la piscine. Dessous un parasol je parvenais à bronzer, un gros bouquin à la main. Mon baladeur me versant une musique douce dans l’oreille, yeux mi-clos. Je dus combattre cependant cette angoisse et culpabilité de ne pas travailler et à être stressée. Il me fallait renouer avec l’innocence et la profonde légèreté. Cela me conféra un regard triste ces premiers jours que ne parvint pas de suite à effacer les attentions du mari et le fait qu’il me baisait toutes les nuits. Enfin la seconde semaine parvins-je d’un coup à l’ineffable liberté.

J’étais une autre tout à fait. La perspective de la fin du séjour m’avait sûrement réveillé. Je conçus le gâchis qu’eût été de n’en pas profiter. Je décidais de me ruer sur le plaisir avec une joie toute solaire et africaine. Mon mari se réjouit le premier de cette brutale métamorphose. Je n’avais plus besoin des béquilles de son attention. Je lui accordais maintenant qu’il m’abandonnât même une journée pour ses activités. J’avais été trop un boulet. J’étais autonome et pouvais me passer à présent de lui.
Mon œil avisé n’en avait pas moins repéré certaines jeunes et jolies femmes errant autour de lui.

Nous étions assez libres. Nous fermions pudiquement les yeux sur les bonnes fortunes de l’un et l’autre. Nous nous étions promis de ne pas abîmer la cohésion du couple par de funestes jalousies. N’empêche je ne concevais pas qu’il prit de l’avance sur moi dans le bonheur du sexe. Il est vrai que je m’étais reléguée seule au fond du garage. J’avais envie de ratt****r s’il se pouvait le temps perdu. Je n’attendis pas longtemps. Là-bas le dragueur sévit partout. J’avais été déjà approchée mais maussade j’avais découragé toutes les bonnes volontés. Certains me perçurent à nouveau réceptive.

Je ne prétendais pas rivaliser avec certaines bombes sexuelles ou puériles l****as. Néanmoins je déployais avec hauteur toute la panoplie de la garce de quarante ans qui augure de délices infinies à qui sait déguster un pareil plat. Pour dire les choses plus crûment certains cochons m’avaient fort distinctement repéré. Je n’en voulus pas moins par coquetterie et pour marquer mon territoire m’offrir le plus beau gosse du lieu. En l’occurrence un maître nageur de piscine. Un jeune grec au corps fin et musclé dont l’endurance tant que la technique me transporta au ciel dans son lit.

Cette première piqûre me retapa tout à fait. Je n’en pouvais rester là. J’avais aimé cette longue queue épaisse dedans ma bouche et lui avait offert volontiers qu’elle m’entrât dans le cul. Il m’en fallait certainement d’autres. Chaque matin après que la gym m’eût infligé quelques souffrances salutaires et que je retournais à l’appartement prendre une douche, je croisais Salif le garçon d’étage procédant à la fois au ménage et à la surveillance. Il avait eu toujours un mot gentil pour moi notamment en ma période déprime. Sa drague était simple, délicate et toute surannée.

Il n’avait rien de comparable avec l’adonis grec avec qui j’avais baisé. Cependant cet homme de soixante ans aux cheveux blancs, aux muscles noueux ne laissait pas de me troubler. D’autant que je l’avais vu un matin entrer dans la chambre d’une touriste américaine enserrant celle-ci par la taille. Repassant une heure plus tard devant ladite chambre, je ne pus m’empêcher d’apposer discrètement mon oreille contre la porte. Ils continuaient à baiser tous deux. Le Salif faisait montre d’une sacrée endurance. Je fus jalouse de l’américaine dont je percevais assez la jouissance ostensible.

Ainsi ne pus-je peu après faire moins que de répondre sommairement au salut quotidien dudit Salif. Je crus inventer un conte. Je lui dis que j’entendais souvent un bruit étrange après être sortie de douche. Je pensais notamment à des bêtes dans mon faux plafond. Peut-être des rats. Mon mari se moquant de moi n’en croyait rien. Cependant j’avais besoin ce jour-là de l’avis d’un expert. Nous convînmes d’une telle heure où j’avais pris ma douche et où pourrait se reproduire les bruits étranges. Je conçus trop tard irresponsable mon initiative. J’escomptais l’éconduire et en rester là.

J’eus du mal à cacher ma nervosité. Je tirais sur une cigarette. Il pouvait croire que les rats étaient cause de cette fébrilité. J’étais en peignoir blanc ayant fort peu au-dessous. Cuisses croisées j’étais engoncée dans mon fauteuil d’osier et le laissais faire. Il montât dessus un escabeau, tapotât sur une dalle du faux plafond puis prêtât l’oreille. Nous n’entendîmes rien. Décidément ces rats très avisés faisaient les morts. Salif affectant de croire à ma version me dit qu’il dépêcherait un matin durant ma gym, une équipe pour examiner le faux plafond et repérer présence ou crottes d’a****l.

Je lui sus gré de son professionnalisme, je marquais mon soulagement et lui proposais après de boire quelque chose. Il déclinât l’alcool mais accepta une canette Coca bien fraîche. Il m’observait du coin de l’oeil. Il crût devoir me dire qu’il avait maintenant fini son service et qu’il pouvait lanterner une bonne heure avant d’aller donner un coup de main aux cuisines Je pris cela comme une invite. Bien malgré moi incidemment je vins à écarter un pan de mon peignoir. J’allais un peu trop loin. Je ne lui offrais pas moins que le spectacle de ma chatte. Il demeura stoïque.

Il me racontait qu’il trimait ici depuis vingt ans et qu’il attendait le hors saison pour retourner dans son bled pour y abreuver de cadeaux ses proches. Là-bas l’y attendait une très jeune épouse auquel il avait fait deux gosses. Il tint à me montrer des photos des bambins. Il approcha sa chaise jusqu’à moi. Imperceptiblement mon peignoir s’était perpétué à s’ouvrir. Je lui offrais tout mon ventre et mes nichons Il regardait cela d’un œil distrait et de sang froid. Il avait du en voir beaucoup de maintes salopes ici. Il n’était dupe de mon petit manège. Sa main se hasarda enfin à mon genou.

Puis nos regards se croisèrent sans ménagement. Le message lui parut clair. Il se pencha sur moi et apposa un baiser délicat sur mes lèvres marquant le début des opérations. Se relevant j’en vins symétriquement à m’agenouiller devant lui lui descendant un bermuda sous lequel il n’y avait rien hors un sexe lourd et déjà en érection. Je jubilais. J’avais devant moi le sexe qui avait il y a peu fait jouir une yankee durant une heure. Je n’escomptais pas moins en profiter. Je branlais puis suçais le tendre objet. Il était dur et affirmatif dans ma bouche. Reconnaissant il me caressait le cheveu.

Avec autorité il me prit peu après dans ses bras. Me souleva me déposa dans le lit où toute la nuit mon mari avait œuvré et besogné. J’y vis le contentement de Salif de profaner la couche où un autre avait honoré sa femme. Moi-même je goûtais à une telle transgression. Cela ajoutait à mon excitation. N’était-ce pas une façon de se venger que mon homme sûrement avait baisé à droite à gauche. Salif fut impitoyable. Je fus pilonnée méthodiquement en tous endroits. Mélange de douceur et de brutalité, archétype du viril. Il m’amena plusieurs fois à la jouissance. Je fus comblée.

Comme nombre d’arabes il excellait dans la sodomie. C’était mon péché mignon. Il faisait cela autrement mieux que mon mari et mon jeune grec. Mon cul n’avait pas été défoncé autant et avec tant de zèle. Le port du préservatif ne contrariant l’élan et l’efficacité de sa bite. J’en redemandais. L’heure fut remplie. J’eus l’impression qu’il pouvait se recharger sans cesse et repartir à l’attaque. Fourbue, vannée je lui dis en un souffle qu’il pourrait revenir et précisais en un sourire : Pour cause de rats. Il éclatât de rire ajoutant : « Gazelle je ne reviendrais que pour ton seul cul. »

Plus tard sur la piscine sans doute devais-je respirer le contentement d’avoir été baisée. Le Sea Sex and Sun n’était point un vain concept. Pouvait-on concevoir autrement des vacances réussies du moins pour mon genre de garce ? Il me fallait à cette seule condition multiplier les expériences. Outre de repasser des fois au matin Salif indiquant le tuyau à deux trois de ses collaborateurs. Ainsi eus-je l’occasion de devoir assumer quelque matin deux bites ensemble. Les doubles pénétrations ne m’effrayaient pas. Au contraire. Salif passablement impressionné crut devoir m’en féliciter.

L’après-midi je n’étais pas en reste. Un type qui me draguait depuis longtemps à l’insu de son épouse parvint à m’enlever dans sa berline. Il voulait me faire découvrir une crique charmante connue de quelques initiés. En fait c’était un lieu ou sévissaient naturistes et homos. Mon mari n’eût jamais osé m’emmener en un tel endroit. Je trouvais bon de baiser en ce lieu. Il me prit sans vergogne derrière un rocher. Me bourrant à fond le cul, il se vanta que j’étais la énième qu’il honorait ainsi derrière ledit rocher. Un gros type s’approcha de nous. Il lui fut proposé d’user et d’abuser de moi.

Le soir même mon baiseur ne trouva pas moins de s’inviter avec son épouse à notre table que nous partagions avec d’autres. Je trouvais cela limite blessant et insolent. Il poussa le jeu jusqu’à sympathiser avec mon homme jusqu’à le défier pour un set de tennis. Il dit malignement : »Jouons nos femmes ! » Tout le monde rigola hors moi. Je goûtais peu ce genre d’humour. D’autant qu’il me faisait du pied à peu de pas de mon mari. Je voyais le moment où ce porc m’emballerait devant tout le monde. Pour le calmer plus tard je n’en dus pas moins baiser derrière son fameux rocher.

La dernière semaine nous écumâmes régulièrement la boîte de nuit. Nous dansions jusqu’à trois heures. Mon mari disparaissait des fois une blonde au bras. Je crus m’autoriser à faire de même. Ma notoriété était grandissante. Je devais de plus en plus affronter le regard courroucé de quelques épouses. L’une d’elle me dit vertement qu’elle plaignait mon pauvre mari. Je fus tentée de lui répondre que le sien m’avait attrapé la veille en leur lit. Bref j’atteignais ici à une certaine gloire. Il était temps de partir. Salif eût droit le dernier à user la veille de notre départ à mon cul.

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