L’année dernière, durant la canicule, n’ayant pas la possibilité de me rendre à ma plage nudiste de prédilection, je décide d’aller à la piscine. J’y vais de bonne heure pour ne pas à avoir à subir la foule. Les vestiaire son mixte et me croyant seule, j’entre dans une cabine pour me changer sans mettre le loquet. Alors que je suis nue, un homme d’une soixantaine d’année ouvre la porte.
« Oh, excusez-moi ! Je croyais que c’était libre. Mais quel joli spectacle de si beau matin ! Huuum vous êtes à croquer ! »
Je rougie en tentant maladroitement de cacher mes trésors.
Le vieux trouve la situation amusante et au lieux de refermer la porte, il reste à me regarder.
« Mais enfin ! Fermez la porte Monsieur ! »
Mais il reste face à moi à scruter avec insistance mon entrejambe. Je remarque une bosse évocatrice sous son short. Le salop ! Il bande ! En voyant cette proéminence, mes sens ne font qu’un tour. Il doit se rendre compte de mon état et prenant de la hardiesse, il me dit :
« Nous sommes seuls. Avec une bouche comme la votre, vous devez être une adepte des gâteries ! »
Je ne réponds pas et ne me rebelle pas. Il doit prendre mon mutisme pour un oui car il me prend doucement les cheveux et dirige ma tête vers la bosse de son entre jambe. Je me laisse faire et mieux, je sors le polichinelle de son écrin. Le morceau me jaillit au visage comme mué par un ressort. J’ouvre la bouche et enroule ma langue habille autour du gland turgescent avant de gober l’engin.
L’homme gémit en disant :
« Humm! Vous êtes délicieuse ! Si j’avais su ce matin être accueilli aussi aimablement ! Vous sucez comme une pro ! »
Me voyant si gourmande, l’ancien se met à me bourrer la bouche. Mais il a bien l’intention de profiter d’une bonne salope comme moi. L’occasion n’arrive pas tout les jour, il est vrai. Comme il ne veut pas jouir trop rapidement, il sort de ma bouche pour me bouffer la chatte. Je suis déjà trempée et c’est un vrai bonheur de sentir cette langue inconnue fouiller mon intimité et agacer mon bouton. Je feule et tend mon pubis à la caresse buccale. Il sait y faire l’ancien. Tout en me faisant monter au septième ciel, il tente de me rentrer un doigt dans le cul. J’oublie totalement où je suis et je râle de râle de plaisir.
« oui….oui…aaaooouuuiiii….C’est trop booon !!! »
Mes plaintes de plaisir attirent des curieux. J’ai les yeux fermé pour mieux profiter de cette divine caresse. Le type s’aperçoit de la présence de voyeurs. Il se redresse, le menton barbouillé de mouille et un instant ne sait trop quoi faire. J’ouvre les yeux et découvre plusieurs mecs qui matent souriant. Juste sous mon nez, la queue bandée de mon lécheur de foufoune est dressée fièrement comme un étendard. Je suis surexcitée et frustrée qu’il abandonne son ouvrage. Je lui lance énervée :
« Bah alors, m’laisse pas en plan ! »
Les voyeurs sourient n’en croyant pas leurs oreilles et comme en écho à ma requête, il me disent :
« Oui t’as raison salope ! Bouffe nos queues ! »
J’empoigne les bites et les suces tour à tour. Des mains me tripotent et me fouillent. Les doigts s’introduisent fébriles dans mes trous.
L’un d’eux dit :
« Elle a a la rosette accueillante ! J’vais me l’enculer la pute ! »
Il me prend par les hache, pose son gland sur mon œillet palpitant et d’une poussée continue s’introduit dans mon conduite étroit. j’ouvre la bouche pour crier mais une queue s’y engouffre immédiatement.
« Elle a l’air d’aimer ça cette garce ! On va l’enfiler par la chatte en même temps ! » soufflent-t-ils.
« Regardez cette pute ! Elle avale tout cette salope ! On va voir si elle fait toujours la fière avec des pieux dans le cul. »
Aussitôt un autre calibre se fraye un passage dans mon vagin. Ils me liment profondément me faisant pousser des cris étouffés. Les coups de reins se font plus fermes. Les mâles en ruts me laboure les entrailles à grands coups de pieux. Celui que je suce lance aux autres :
« Explosez-la cette chienne ! »
Les deux queues me remplissent bien et me ramone en cadence. Je suis brutalement submergée par un orgasme violent qui les fait éjaculer instantanément. L’un deux s’exclame :
« Alors t’as eu ton compte salope ? T’as eu ta rasade de sperme pour ta journée ! »
Il partent tous en fou rire devant ma mine déconfite. Ils repartent tous me laissant seule dans ma cabine à me remettre de mes émotions. Je ne sais plus quoi faire. Repartir chez moi pour prendre une douche ou aller quand même dans le bassin et subir le regard et les quolibets de ces vicieux. J’ai mal au cul et un goût âpre de sperme dans la bouche. J’ai bien aimé cette épisode de sexe avec des inconnus. Mais c’est vrai comme l’avait si bien dit l’un des mecs, j’en avais pris pour la journée. Donc c’est à la hâte que je fuis ces lieux de débauche pour rentrer chez moi. Je suis comblée certes, mais honteuse de mettre laissée faire aussi facilement.
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