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La jouissance au travail

La jouissance au travail



Comme toute administration, celle-ci possède ses archives aménagées au sous-sol. C’est ici que je travaille depuis deux ans. Je m’appelle Déborah. J’ai 31 ans. Je suis seule dans ce service et je suis loin d’être débordée de boulot. Alors je m’occupe. Je vais sur Internet, je bouquine, j’échange des SMS avec des amies… Il est aussi fréquent que je me masturbe.
Le risque est faible qu’on me surprenne, car très peu d’employés se rendent au sous-sol. Quand c’est le cas, le bruit de l’ascenseur me donne l’alerte et je dispose d’une petite minute pour remettre mes vêtements, quand j’en enlève. Cela arrive assez souvent, car j’ai toujours trouvé très excitant de me dévêtir, même en partie, sur mon lieu de travail. Il n’est pas rare par exemple que j’enlève ma jupe et ma culotte pour me branler devant mon écran d’ordinateur. Il est aussi fréquent que je ne mette rien sous une robe qui se défait et se remet rapidement.
J’apprécie de mater des vidéos pornos ou de m’exhiber en webcam, mais j’aime aussi me mettre à poil dans les longs rayonnages d’archives sous la lumière des néons. Je m’imagine des scènes et je me déshabille.
J’ai néanmoins de la visite de temps en temps.

Paul travaille au deuxième étage. Il a une cinquantaine d’années. C’est la seule personne à m’avoir surprise dans une situation embarrassante. C’était il y a un an et demi, dans l’hiver. Je n’avais gardé que mon soutien-gorge et mes bas. J’étais dans mon fauteuil, la chatte et le cul à l’air, les cuisses écartées devant une vidéo qui montrait un couple qui baisait dans un jardin public. Je n’ai pas entendu le bruit de l’ascenseur, pour la simple raison que Paul a choisi d’emprunter l’escalier ce jour-là. A l’approche de ses pas, j’ai seulement eu le temps de couper la vidéo. Il m’a trouvée à moitié à poil dans mon bureau, paniquée et rouge de honte. Je me suis excusée et j’ai dû me pencher en avant pour ramasser ma robe et la plaquer sur mon corps.
Paul m’a alors dit :
« Tu es toute excusée. Ce serait plutôt à moi de m’en vouloir de t’avoir dérangée dans un tel moment. »
Son regard arpentait mes cuisses et ce qui était visible de mes hanches et de mes épaules. Il souriait.
Je lui ai répondu :
« Si tu peux éviter de raconter ça à quelqu’un… »
« Ne t’inquiète pas, ça restera entre nous. Tu fais ça souvent ? »
J’ai haussé une épaule et dit :
« De temps en temps. Tu veux bien me tourner le dos, s’il te plait ? Je voudrais remettre ma robe. »
Il n’a pas bougé. Il a dit :
« De temps en temps, c’est-à-dire ? Une fois par mois ? Une fois par semaine ? »
« Tourne-toi, Paul. »
« Une fois par jour ? Je n’ai pas envie que tu remettes ta robe. »
Je n’ai rien répondu. Je savais ce qui allait se passer dans les minutes qui venaient, tout simplement parce que j’avais imaginé maintes fois ce genre de scène en me masturbant. J’étais cependant toujours sous le choc d’avoir été surprise, alors j’ai attendu que Paul dise autre chose.
Il souriait toujours. Il était planté à l’entrée de mon bureau, à moins de deux mètres de moi. Il portait une chemise blanche et un pantalon droit, noir.
« Montre-moi ta chatte, a-t-il dit. »
Puis il a porté sa main à sa braguette qu’il a fait descendre très lentement, sans me quitter des yeux. J’ai suivi le geste sans bouger.
« Allez, montre-la moi, a-t-il répété au moment de sortir sa queue. »
Il bandait.
Il s’est mis à se branler doucement et il a fait un pas vers moi. Et alors, voyant cette bite raide s’approcher, j’ai décollé ma robe de mon ventre et j’ai montré ma chatte à Paul.
« Salope, a-t-il dit. Suce-moi. »
Il a lâché sa queue et je l’ai prise entre mes doigts. Paul a gémi et s’est penché en avant pour me toucher la chatte. J’ai écarté mes cuisses tout en passant ma langue humide sur la fente du gland, et il a gémi de nouveau avant de répéter :
« Salope. »
Ce jour-là, nous nous en sommes tenus à une fellation, car Paul n’a pas mis longtemps à éjaculer dans ma bouche. J’ai avalé un peu de sperme et le reste a dégouliné sur mon menton.
La fois suivante, en plein après-midi, il m’a téléphoné pour me demander s’il pouvait me rendre visite. J’ai accepté. Quelques minutes plus tard, on s’est entièrement déshabillés dans mon bureau et il m’a baisée sur une table, sans mettre de préservatif.
Depuis, Paul vient me voir environ deux fois par semaine.

Et, depuis quelques jours, il y a Emilie.
Etudiante, elle fait un stage de trois mois dans un service situé dans les étages de l’administration. Elle a 21 ans. La première fois que je l’ai vue, une femme du personnel lui faisait visiter l’ensemble des services. Elle me l’a présentée et nous nous sommes recroisées deux jours plus tard à la machine à café. Nous avons échangé quelques mots et, un peu plus tard, je me suis branlée dans mon bureau en imaginant Emilie toute nue.
Elle est assez grande et mince, les cheveux mi-longs, blonds et bouclés. De grands yeux marrons et une adorable bouche.
Le lendemain, j’ai fait en sorte de la retrouver au même endroit, et j’en ai profité pour lui dire de ne pas hésiter à venir me rendre visite au sous-sol.
De retour dans mon bureau, je me suis de nouveau branlée en pensant à elle. Et à ma grande surprise, elle est venue me voir en tout début d’après-midi, en prenant l’ascenseur. J’étais en train d’envoyer un document par mail à une collègue. Je l’ai assurée qu’elle ne me dérangeait pas et nous avons discuté pendant un moment, puis elle est repartie après qu’on ait convenu de boire un verre ensemble en fin de journée, dans un petit bar situé tout près. C’est à cette occasion-là qu’elle me laissa déduire au travers d’une allusion discrète qu’elle était bi, et j’en profitai pour lui faire comprendre que je l’étais aussi. Nous nous sommes amusées de ces petites confessions, et nous avons pris un autre verre. Et un autre encore. Mais il fallut que je m’en aille, car mon mari venait de m’envoyer un SMS pour me demander ce que je faisais. J’ai marché quelques minutes en compagnie d’Emilie dans les rues, puis nous nous sommes quittées en se faisant deux bises très près des lèvres.
Le lendemain, je l’ai croisée vite fait à la machine à café. Puis elle est venue me voir dans mon sous-sol en fin de matinée. Elle portait une chemise blanche, légère, une jupe courte, noire, et des nu-pieds à talons également noirs. Elle s’est immobilisée à l’entrée de mon bureau et j’ai fait pivoter mon fauteuil vers elle.
On ne s’est pas dit un mot. On s’est regardées en se souriant pendant de longues secondes. C’est elle qui s’est décidée : elle a défait le bouton du haut de sa chemise, puis les suivants, sans me quitter du regard. Je l’ai laissée faire, sans bouger. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins étaient coniques, assez petits. Elle a posé sa chemise sur le dossier d’une chaise et défait ensuite le bouton et la fermeture de sa jupe qu’elle a laissé glisser le long de ses jambes et tomber sur le sol. Elle n’avait pas de culotte. A l’apparition de sa chatte lisse, j’ai retroussé ma jupe et elle est venue vers moi, perchée sur ses talons. Je n’avais pas de culotte non plus. Elle s’est mise à genoux et j’ai ouvert mes cuisses pour accueillir sans langue, puis sa bouche gourmande qui est passée de mon clito à ma moule trempée, pour finir au bord de mon anus.
Nous avons quitté mon bureau pour faire une 69. Nous nous sommes installées au bout d’un rayonnage chargé de dossiers d’archives, sur un tapis. Je ne m’étais plus gouinée depuis la fin de mes études, il y a de ça sept ans. Alors, je fais en sorte de me ratt****r avec Emilie. Depuis cette première fois, nous faisons l’amour chaque jour de la semaine, y compris ceux où je me fais sauter par Paul, à des horaires différents.

Je baise avec mon mari le mardi soir et le samedi. C’est ainsi, c’est calé. C’est la routine d’un couple accaparé par les jours et les horaires de boulot. En général, nous le faisons en matant des films pornos sur Internet. Ça ne me déplait pas. Il s’appelle Sébastien. J’ignore s’il me trompe et je ne veux pas le savoir. Chacun son jardin secret.
Dans le mien, à l’heure actuelle, il y a Paul et Emilie. Mais il reste de la place pour d’autres. J’ai quelques pistes. Deux des hommes devant lesquels je m’exhibe en webcam dans mon bureau m’ont proposé qu’on se rencontre pour de vrai. L’un veut m’emmener à l’hôtel. L’autre veut me défoncer le cul sur les sièges de sa voiture sur un parking. Je vais sans doute accepter.
Et puis j’ai remarqué que la nouvelle secrétaire de direction me regarde avec insistance quand on se croise. Elle s’appelle Vanessa. On doit avoir à peu près le même âge. Je me suis branlée en pensant à elle, hier, dans mon bureau. Je lui sucerais volontiers le cul.
Je dois vous laisser, car Paul vient de me demander s’il pouvait venir me voir. Si ça se trouve, un de ces jours, Emilie surgira à l’improviste dans mon sous-sol et elle nous surprendra en train de baiser. Je me demande comment elle réagira. Je crois que ça me plairait. Je viendrais m’asseoir sur sa bouche pendant que Paul pénètrerait sa jolie petite chatte.

J’entends le bruit de l’ascenseur.
Je vous laisse.

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