Je voyais Anna une fois par semaine, parfois deux. Notre relation n’était pas légitime. Nous nous sommes rencontrés à la fin de l’été et, pendant les mois qui ont suivi, nous avons baisé dans ma voiture. Nous baissions les sièges et on se mettait à poil sans perdre de temps. Il n’y avait pas de préambules et nous aimions parler au cours de nos rapports sexuels.
Anna débordait d’imagination et je raffolais de son cul qui avait goût de cappuccino. Ses cheveux étaient châtains très clair, mais leur racine était noire. Sa chatte était lisse. Elle adorait me sucer pendant que je passais ma langue sur son anus, mais notre position préférée restait la plus classique de toute, car elle nous permettait de parler.
Nous avions un chemin forestier favori où nous garions nos voitures. C’était une voie sans issue qui donnait sur un champ. Et je me souviens de ma réaction le jour où on s’est aperçu qu’un vieux bonhomme nous observait depuis le bord du chemin : je lui ai fait signe de s’en aller d’ici.
Il n’a pas bougé pour autant. Il souriait. On ne savait pas depuis combien de temps il était ici, à un mètre de la vitre, à se rincer l’œil, autrement dit à mater le cul et les nichons d’Anna, ainsi que nos pénétrations.
Il ne bougeait pas, et je me souviens qu’Anna m’a dit comme ça :
« Laisse-le mater, si ça lui plait. »
Tout a commencé là.
Je savais qu’Anna appréciait les hommes bien mûrs. Elle me l’avait raconté pendant qu’on baisait. Seulement, il y a un gouffre entre le virtuel et la réalité, alors il me fallut quelques minutes pour accepter ce qu’Anna venait de me proposer : ça ne la dérangeait pas qu’il nous regarde en train de baiser.
Au contraire, elle y prit du plaisir.
J’admets avoir eu un peu de mal à bander en sachant qu’un homme nous observait de l’autre côté de la vitre. Ceci est très perturbant, mais ça ne semblait pas déranger Anna en revanche. Au contraire, elle fit en sorte qu’il voit tout, du mieux possible : son cul offert pendant qu’elle me suçait, ou bien ses cuisses bien écartées et sa chatte qui se faisait bourrer. Et ses nichons.
Et ses regards en direction de cet homme qui finit par sortir sa bite pour se branler en nous matant.
Nous n’avons pas été plus loin cette fois-ci, car le type a rapidement éjaculé. J’ai vu son sperme jaillir non loin de la vitre. Ensuite, il a remonté sa braguette, puis il est parti, toujours en souriant.
Trois jours plus tard, Anna m’a dit :
« J’aimerais bien qu’il revienne nous mater. »
Je savais que c’était une salope, en premier lieu parce qu’elle était mariée et que ça ne l’empêchait pas de se foutre à poil pour baiser avec moi dans des chemins de campagne. En deuxième lieu parce qu’elle m’avait confié un certain nombre de ses fantasmes.
Je n’avais rien du tout à perdre, je le savais bien. Mon couple légitime ne souffrirait pas du fait qu’un vieux bonhomme revienne se branler à matant le cul de ma maîtresse dans une voiture.
Alors nous sommes revenus dans ce chemin sans tarder. Un mardi soir, je me souviens. Il pleuvait un petit peu et nous étions en train de baiser quand le vieux est apparu derrière les vitres. Il souriait de nouveau, et j’ai supposé qu’il nous avait attendu. J’étais en train de prendre Anna en levrette quand j’ai vu la silhouette se dessiner sur les buissons à l’extérieur.
Il était vêtu comme la première fois et il n’a pas attendu bien longtemps pour sortir sa bite pour se branler. Et alors, tout aurait pu se dérouler comme la fois précédente, si seulement Anna ne m’avait pas dit :
« Ça te choquerait si j’ouvrais la vitre pour le sucer pendant que tu me baises ? »
Ce n’était pas seulement une salope, c’était une garce. J’avais aimé qu’elle le soit en fantasme, et là elle me suggérait qu’on passe la vitesse supérieure. Je ne vivais pas en couple avec elle et elle avait envie de sucer cet homme, alors je l’ai laissée faire.
Elle a ouvert la vitre et elle a dit au vieux :
« Approchez-vous. »
Il ne s’est pas fait prier.
J’ai vu Anna prendre sa bite entre ses doigts, se mettre à le branler, puis prendre son gland dans sa bouche. Elle était là, à quatre pattes sur le siège baissé, à sucer une queue, son cul ouvert sous mes yeux, alors je l’ai pénétrée sans réfléchir. J’ai baisé cette salope qui suçait une autre bite que la mienne, dans un petit chemin discret. J’ai tripoté ses nichons qui se balançaient sous les mouvements. Je me suis même retiré pour lécher son cul, pendant qu’elle masturbait cette bite par la vitre. Ma queue était raide et donnait des à-coups dans le vide, alors je l’ai reprise par derrière sans tarder, par le cul cette fois-ci, parce que ça m’excitait qu’elle pompe la queue d’un inconnu. D’autant qu’elle se branlait le clito en le faisant.
Puis le vieux s’est mis à gémir d’un seul coup. J’ai su ce qui était en train de se passer : il giclait dans sa bouche. Je me suis penché en avant et j’ai vu la bouche d’Anna qui dégoulinait de sperme. Elle se branlait toujours, tandis que le vieux éjaculait toujours.
Devant le spectacle, je n’ai pas pu me retenir : je me suis retiré de son cul et j’ai déchargé sur ses fesses. Longuement. Je n’avais pas éjaculé autant depuis longtemps. C’était liquide et ça coulait abondamment. Anna avait du sperme sur l’anus et dans la bouche.
Puis le vieux est parti.
On l’a regardé s’éloigner, puis Anna s’est tournée vers moi en souriant et en s’essuyant le menton.
Elle m’a dit :
« C’était vraiment trop cool. »
J’ai éclaté de rire, car j’avais trouvé ça cool également.
Trois jours plus tard, le vieux a pris ma place dans la voiture. Et moi j’ai pris la sienne, dehors, pour me faire sucer par Anna, par la vitre, pendant qu’il la baisait sur mes sièges, sans capote.
Ce fut extra.
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Les autres parties de cette série seront sans rapport entre elles. Le candaulisme sera leur seul point commun.
Merci pour votre lecture.
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