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L’épouse, l’amant, l’époux ! 10

L’épouse, l’amant, l’époux ! 10



Les rayons du soleil couchant filtraient pour la dernière fois de la journée dans l’appartement ; de temps en temps, les paroles, les rires, ainsi que les bruits de frottements d’un corps au sol diversifiaient l’espace sonore du lieu. Maitresse C, la quarantaine, silhouette aux formes arrondies, courte robe blanche, chevelure mi-longue noire, peau ivoire, escarpins noirs, se trouvait assise dans son salon en compagnie d’un type et de sa copine Z convive pour raisons particulières.

Z, la trentaine, courts cheveux blonds, silhouette sèche, robe fleurie, escarpin jaune, assise elle aussi dans le salon de sa copine, observait abasourdie ce qui se déroulait devant elles : un homme, la quarantaine, bedaine moyenne, cheveux bruns courts, subissait son propre théâtre en dessous d’elles.

« Quand tu m’as dit que tu dominais ton mari, quand tu m’as dit toutes ces choses que tu lui faisait subir, je dois admettre que je ne t’ai pas crue C. Maintenant que je le vois de mes propres yeux, C je te crois ! J’imagine que ce n’est qu’un aperçu. Lorsque vous êtes seuls tous les deux ça doit être pire !»

Les deux amies rigolèrent. Leurs rires humilièrent l’esclave devant elles. À genou, bras joints dans le dos, se tenait P, le soumis de Maitresse C, l’époux de cette dernière. Pour la première fois il se retrouvait devant une copine de sa Maitresse avec pour une unique vêtement une cage pour chaste. Elle l’émoustillait dans sa prison cette situation inédite et embarrassante.

-Cocu !
-Oui Maitresse !
-Lèche mon escarpin !
-Oui Maitresse.

P rampa vers les pieds de sa Dominatrice. Il saisit en mains l’escarpin noir de son épouse puis y posa sa bouche.

-J’aime lui ordonner de lécher mes chaussures.
-Je vois ça. On dirait qu’il aime ça !
-T’aime lécher les talons de ta Maitresse n’est-ce pas ?
-Oui Maitresse.

Les deux copines rigolèrent.

-Ça suffit ! Recule !
-Oui Maitresse.

Le cocu rampa vers l’arrière. Il s’agenouilla quelques mètres plus loin des deux dames.

« Z vais te montrer quelque chose… » Maitresse C ramassa son ordiphone. Z se rapprocha d’elle.

« …Regarde. C’est la photo de mon amant et de mon cocu. Ils sont tous les deux nus !…».Maitresse C souriait.

« La bite de ton amant est largement plus grosse que celle de ton mari ». Les sourcils de Z se soulevaient.

« Apelle-le cocu !» Le regard souriant de Maitresse C encadrait son soumis.

« La bite de ton amant est largement plus grosse que celle de ton cocu ».Les sourcils de Z se rabaissaient.

« C’est pour ça que je l’oblige à porter une cage de chasteté. Sa bite est devenue et a toujours été inutile pour moi. Regarde, c’est le genre de photo sexy que j’envoie à mon amant et à mon cocu. Sauf que mon amant me baise après et mon cocu bande dans sa cage. Ça fait six ans qu’il est encagé et qu’il n’a plus éjaculé. Je me suis rendu compte que sa bite a rétrécie au fil du temps. Déjà qu’au départ elle n’était pas bien grande maintenant c’est pire ! » Le sourire de Maitresse Z diminuait.

« Tu es cruelle C ! » Les sourcils de Z s’immobilisèrent.

« Il a voulu être encagé. Maintenant il doit assumer jusqu’au bout. Les pénétrations vaginales pour lui c’est fini ! » Le sourire de Maitresse C avait disparu.

La peau du soumis devint rouge. On aurait été incapable de dire laquelle entre la honte sociale ou la chaleur sexuelle jouait le rôle prépondérant dans le changement subite de sa carnation. Et quand sa Maitresse lui ordonna de lécher les orteils de sa copine pour laquelle c’était la première fois qu’un homme suçait les orteils le soumis se sentit défaillir dans un mélange étrange d’avilissement et d’excitation.

« Lorsque j’ai raccompagné Z à sa voiture elle m’a dit qu’elle te trouvait très soumis, elle m’a félicitée de t’avoir bien dressé, elle a dit aussi que c’était la première fois qu’on lui léchait les pieds. Elle m’a dit qu’elle dominerait elle aussi son mari et qu’elle lui imposerait la cage de chasteté. Alors qu’est que ça te fait de savoir qu’à cause de toi la bite d’un autre homme va finir en cage ? »

P répondit qu’il était fier de sa performance, que c’était une bonne chose que Z mette en cage son mari, que tous les hommes devraient porter des cages de chasteté. Il trouva seulement dommage qu’elle n’ait pas pu diner avec eux. Cela faisait une vingtaine d’année qu’ils étaient mariés. Un peu moins d’une dizaine d’année que leur couple vivait heureux sous le régime de la domination féminine.

Avec pour unique vêtement la cage pour chaste P dressa la table puis servit le diner. Maitresse et soumis dinèrent ensemble. À la fin du repas P débarrassa la table puis fit la vaisselle. Lorsque le salon, la cuisine, les poubelles, firent parfaitement rangés, la Maitresse commanda à P de venir se soumettre aux guibolles. Elle l’ordonna de lui masser les jambes. L’un après l’autre il déchaussa délicatement les escarpins noirs. Dans sa main il saisit un premier pied imposant à la manucure noire qu’il massa. Le deuxième membre de la Maitresse bénéficia de la même attention que le premier pendant qu’elle regardait toute détendue le téléviseur.

-Merci cocu !
-De rien Maitresse.
-Tu masses bien maintenant. T’as fais des progrès.
-J’essaye de m’améliorer chaque jour pour vous servir.
-C’est bien. Je commence à avoir sommeil.

Elle éteignit la télévision en pressant un bouton de la télécommande. Quelque instant plus tard le salon plongea dans le silence et dans la nuit alors qu’à l’extérieur les lampadaires illuminaient la ville.

-Déshabille-moi !
-Oui Maitresse.

P débarrasse C de sa courte robe blanche. Il dégrafe son soutient gorge blanc. Il décroche de ses grosses fesses claires sa culotte blanche qu’il abaisse le long de ses cuisses, qu’il glisse le long de ses jambes. La culotte blanche vient grossir le petit tas des vêtements féminins au sol.

« Comme tu as été très sage devant ma copine comme cadeau tu auras accès à ma chatte. Mais ça ne veut pas dire que ton petit pénis ridicule va entrer dans ma chatte. Il va sagement rester dans sa cage de chasteté, le seul endroit où il doit rester ».

C allonge son dos sur le matelas puis elle écarte les cuisses.

-Viens ! Baise-moi avec mon gode.
-Oui Maitresse.

P monte sur le lit où il rejoint sa Maitresse. Il colle sa minuscule bite chaste en cage contre l’anus de sa Maitresse. Sa main introduit le long gode rose dans le vagin de sa Maitresse qu’il baise en des va et viens de la main. Le spectacle devant ses yeux l’émeut mais la cage pour chaste restreint fortement son érection. Pendant qu’il la baise avec le gode sa Maitresse dépose ses doigts sur son clitoris puis se masturbe fébrilement.

« Voilà pourquoi j’ai plus besoin de ta petit bite. Mes godes, mes amants et ta bouche me font mieux jouir ». Ses testicules pleines boursouflent sous la pression des anneaux métalliques. Le petit sexe de P compressé au maximum dans la cage de chasteté dandine au rythme des afflux sanguins que l’excitation gicle dans le corps spongieux de son pénis. Son gland s’écrase totalement contre les parois de la cage lorsque sa Maitresse orgasme.

Cette nuit là P eut beaucoup de mal à s’endormir. Il passa la nuit à rêver des pieds et du vagin de la copine de sa Maitresse. Il banda durement dans sa cage. Il colla sa cage-bite contre les fesses de sa Maitresse qui dormait nue. Pernicieusement elle faisait tout pour lui durcir la bite.

Le lendemain matin, samedi, P se réveilla le premier, sous l’emprise d’une excitation devenue chronique depuis le jour où son épouse, sa Maitresse, lui avait infligée le port obligatoire de la cage de chasteté. Samedi c’était le jour où sa Maitresse le cocufiait, parfois l’amant venait jouer le rôle de mari dans leur lit conjugal, parfois elle rejoignait son amant chez lui, parfois elle passait la nuit avec son étalon, parfois elle revenait le même jour, parfois le cocu était du voyage, parfois il n’était pas du voyage, tout cela dépendait du bon vouloir de Madame.

Ils entrèrent dans la salle de bain. C libéra la cage pour chaste de P. Ils pénétrèrent ensemble dans la cabine de lavage. Les jets d’eaux rectilignes et fins coulèrent sur leurs corps nus.

« Aujourd’hui je vais dormir chez F. Je ne reviendrais que demain dimanche. Toute la nuit il va me baiser, toi tu vas rester ici surveiller la maison, veiller à ce que tout soit nickel. Tu vas laver mes culottes sales de la semaine, demain à mon retour je les veux toutes propres ! »

Les dernières gouttes du robinet clos chutèrent. P savonna le corps de sa Maitresse. Alors qu’il moussait les seins de son épouse il se sentit durcir un peu plus. Sa mission consistait à rendre propre ce corps pour un autre homme plus viril que lui, un corps auquel il n’avait plus fait l’amour depuis environs cinq ans. Les jets d’eaux fins se remirent à couler. P rinça le corps de sa Dominatrice. C’était l’occasion pour lui d’atteindre les portions les plus inaccessibles de sa Maitresse. Sa main sous le prétexte de l’eau attarda ses doigt dans le vagin de sa Maitresse, un vagin que son pénis n’avait plus senti depuis cinq ans, un vagin que son pénis ne pourrait plus jamais prendre, un vagin qu’il mouillait pour un autre homme.

Il introduisit sa main dans la lune de sa Maitresse qu’il rinça en profondeur. Il s’occupa de son propre corps. À l’aide d’une serviette blanche il essuya le corps de sa Maitresse puis le sien. Dans la chambre conjugale, à genou, il appliqua du vernis noir sur les orteils de son épouse, ensuite une fois debout, il appliqua du vernis sur les ongles de sa femme, enfin il appliqua du rouge à lèvres très rouge vif sur les lèvres de sa Maitresse. Il habilla sa Dominatrice d’un string noir puis d’une robe noire courte ensuite il installa des escarpins blancs à ses pieds. La robe noire laissait voir au un tiers le dessus de ses seins, elle lui arrivait au milieu des cuisses, l’ensemble, la manucure noire, le rouge à lèvre vif, les talons aiguilles blancs, faisaient émaner de son corps un érotisme violent.

Lorsqu’elle claqua la porte il se retrouva seul mais le parfum harmonieux de sa fragrance chimique flottait encore dans l’appartement et l’enivrait encore plus maintenant qu’elle ne s’y trouvait plus. Il entra dans la salle de bain. Il sortit du bac les culottes sales de sa femme qu’il mis dans un seau. Parmi la demi-douzaine de culotte se trouvait une culotte en soie noire particulièrement sale. Elle contenait encore les preuves de son cocufiage. Tout un étalage de sperme sec souillait le sous vêtement au niveau du vagin. Cette vision le rendit très dur dans sa cage.

Lorsqu’il termina le nettoyage des culottes de sa femme il alluma l’ordinateur. La machine émit un petit claquement suivit d’un doux ronflement. Quelque instant plus tard des photos de corps nus s’affichèrent à l’écran. P agrandit l’une d’elle : avec pour unique ornement sa cage pour chaste il se tenait debout près d’un homme blanc au pénis à la longueur prodigieuse, ses testicules serrées par l’anneau de la cage étaient à vu d’œil plus volumineux que son sexe, quant au pénis de l’homme près de lui il plongeait vers le sol le gland en décalotte au ¼ pas vraiment totalement en érection son volume valait déjà cinq fois celui du pénis de P. C’était cette photo que sa femme avait montré à sa copine Z. La photo de la verge qui la labourerait une grande partie du week-end.

Dimanche après-midi C rentra chez elle. Elle trouva l’appartement parfaitement rangé, ses culottes propres et sèches.
Comme elle avait un peu de courbature elle ordonna à son soumis de lui prodiguer un massage. Pour cela ils s’installèrent dans la chambre conjugale.

-Enlève-moi ma robe !
-Oui Maitresse.

P débarrasse sa Maitresse de sa robe noire.

-Enlève-moi mes talons !
-Oui Maitresse.

P déchausse délicatement les pieds de sa Maitresse. Elle allonge son ventre sur le lit en string noir : la ficelle du sous vêtement se perd dans sa lune puis ressort sous les deux imposantes rondeurs formant ses fesses avant de s’élargir et de disparaitre sous l’ample vagin.

-Masse-moi !
-Oui Maitresse.
-Si tu me masse bien t’auras droit à une récompense…
-Oui Maitresse.
-…Si tu me masse mal t’auras droit à rien.
-Oui Maitresse.

P s’assoit sur le postérieur de C. La peau de ses testicules entre en contact avec la peau des fesses de sa Maitresse. Cela lui provoque une érection restreint par sa cage pour chaste. Il masse avec application les épaules de sa femme, ensuite le dos, ensuite les fesses, ensuite les mollets. Elle se retourne, elle s’allonge sur le dos, il s’installe sur ses cuisses, il masse ses épaules, ses seins, ses hanches, ses cuisses, ses pieds, ses orteils, elle se sent tellement bien qu’elle ferme les yeux.

-Tu m’as bien massé. Maintenant occupe-toi de ma chatte !
-Oui Maitresse.

De ses mains il att**** la culote qu’il souhaite ôter. Elle lui interdit d’enlever sa culotte. Elle lui rappelle que c’est elle qui commande. Il s’excuse. Elle le tire par la tignasse puis dépose autoritairement son crane au centre de ses cuisses. Il sait ce qu’il doit faire. À travers le tissu du string noir il cunite le vagin humide de sa Maitresse. Une fine saveur saline envahit sa bouche. L’actuel goût du sperme de l’amant de son épouse.

Elle ordonne qu’il cesse de sucer la devanture de son string. Il obéit. De ses doigts à la manucure noire elle découvre son vagin en tirant sur le rebord son string.

-Cocu !
-Oui Maitresse.
-Qu’est qu’il y’a dans mon vagin ?
-Il ya beaucoup le sperme de votre amant.
-Renifle ma chatte !
-Oui Maitresse.

Le cocu renifle le vagin infidèle de sa Maitresse. Ses narines se chargent des molécules intimes de son épouse et de son amant. Paradoxalement cela l’humilie et l’excite en même temps.

-Enlève ma culotte !
-Oui Maitresse.

Rapidement il débarrasse sa Maitresse de son string noir.

-Lèche-moi cocu ! Nettoie le sperme de mon amant.
-Oui Maitresse.

Il colle sa bouche contre le vagin de sa Maitresse puis sa langue s’enfonce dans le canal vaginale où elle se charge des secrétions sexuelles de son épouse et de son amant qu’elle glisse salivairement le long de sa gorge jusqu’au fond de son estomac où elles se transforment en de bizarres vitamines de sorte qu’il ne subsiste plus aucune trace des spermatozoïdes de son rival.

-Mon amant m’a donné un autre cadeau pour toi.
-C’est vrai Maitresse ?
-Oui.

Elle tend le bras pour se saisir de son sac. Il se demande ce que ça va être comme cadeau. Lorsqu’elle sort de son sac à main un préservatif défraichi à demi rempli de sperme il comprend.

Les ongles noirs féminins approchent le condom du ventre de l’épouse et déversent sur le pubis sans poils une dose de la semence recueillie de l’amant à la vitesse de l’eau le sperme colore roule sur le pubis ensuite coule sur la fente vaginale enfin file entre les deux grosses fesses nues. Comme un chien lubrique le cocu lape rapidement le précieux liquide. L’adultère déverse une nouvelle dose adultérine. Le cocu lèche. La Maitresse le gave totalement du sperme adultérin.

-Tu t’es régalé hein ?
-Oui Maitresse !
-Maintenant tu vas me faire jouir avec ta langue.
-Oui Maitresse !

Elle lui impose de s’allonger sur le dos. Il obéit. Elle dépose un cousin sous sa tête. Elle écarte ses cuisses puis s’assoit sur son visage. Son vagin ressent aussitôt les œuvres caresseuses des lèvres et de la langue de velours. Elle pose ses bras, ses seins, sa tête, tous en appuie contre le chevet du lit. Savoir qu’il n’a droit qu’à la frustration des chastes pendant qu’elle goute à tous les plaisirs charnels de la Terre la mouille abondamment !

Ses fesses rondes entame un subtil mouvement de rotation. Elle sait que si elle demeurait assise sur son visage durant des heures il manifesterait le même enthousiasme à la faire jouir par la langue que durant la première minute. Maintenant sous l’effet de l’excitation ses fesses entament un mouvement d’escalade et de descende lentement sur la bouche de son soumis. Les mouvements verticaux s’accélèrent progressivement jusqu’à ce qu’elle assourdisse un cri.

« Tu as été particulièrement sage cette semaine. Pour cela je t’autorise à me faire l’amour avec ta cage de chasteté ». Le soumis remercia sa Maitresse.

C s’allongea sur le dos. P grimpa sur elle. Il introduisit son pénis chaste dans le vagin de sa Maitresse. Sa cage-bite entra sans embarra dans le canal vaginal de sa dominatrice. Soudain il sortit son pénis de la fente charnelle. Il sentit une intense douleur au niveau du sexe. Il pris son braquemart entre ses mains comme pour le consoler.

Lorsqu’il ouvrit les mains sa bite libre affichait une taille et une épaisseur prodigieuses ! Vers un coin de la chambre il projeta les morceaux en fer de la cage pour chaste puis dans le même élan il pénétra de manière taurine le vagin de son épouse. Elle poussa le cri le plus jouissif de sa vie quand l’étrange pénis l’élargit. Il donna trois puissants coups de reins puis éjacula une demi douzaine d’année d’abstinence sexuel dans un râle interminable ! Hors du vagin la soupe blanche ruisselait.

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