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Le coup de folie de Marion (1)

Le coup de folie de Marion (1)



En introduction je précise que je ne suis pas l’auteur du texte mais que c’est un certain : azeroff
c’est parce que l’histoire me plait que je la poste….

Marion a 19 ans. Elle est en BTS commerce international dans une petite ville de province. Elle est ce que les garçons appellent un « beau petit lot »: cheveux châtain clair, les yeux verts, une taille de guêpe et un joli petit fessier bien rebondi (merci la gym!), et surtout sa fierté, une poitrine 90D bien ferme, héritée de sa mère.
A 19 ans elle avait déjà eu quelques petits copains mais depuis quelques temps, elle était en couple avec Johann, un des plus beaux garçons de sa classe.

Ce vendredi soir, Marion est invitée à une soirée chez sa copine Aurore, qui a un appart en plein centre ville loué par ses parents vivant à la campagne. Et c’est lors de cette soirée que Johann lui annonce qu’il la largue. Et pour cette salope d’Estelle!
Tout ce qu’il trouve à dire pour se justifier, c’est qu’Estelle est plus ouverte sexuellement et lui correspond mieux. Connard!

Elle prend congé d’Aurore puis se met en route à pied: il n’y a que 10 mn de marche jusqu’à chez elle et la ville est très tranquille, même un vendredi soir.
Alors qu’elle remonte une rue, elle croise deux types qui se mettent à la haranguer: « bonsoir mademoiselle, vous êtes belle comme un rayon de soleil » « vous êtes seule? » « vous voulez de la compagnie? »
Les deux types sont deux jeunes maghrébins visiblement désœuvrés qui trainent dans le quartier, pas méchants mais collants.
« Je suis attendue à une soirée » répond Marion dans un sourire, pressée de finir la conversation.
« Attends, avec nous tu t’amuseras plus, on est des joyeux drilles tu sais » dit l’un des beurs qui marchaient en l’encadrant
« vous avez l’air sympa, mais on m’attend »
 » Et là où tu vas, y en a des aussi grosses? »

Joignant le geste à la parole, l’un des beurs sortit de son jogging un sexe d’au moins 20 cm qui stupéfia Marion: elle n’en avait jamais vu d’aussi grosses en vrai!
« Non mais ça va pas? » protesta Marion.
« Allez, poupée, ça se voit qu’elle te plait, t’aimerais bien la bouffer, hein? »
« sûrement pas en pleine rue! » répondit elle.

C’est elle qui avait dit ça? Se dit aussitôt Marion. Ses mots étaient sortis tous seuls.
Un des deux jeunes la reprit au vol:
« pas de blême, viens avec nous on connait un copain qui tient une épicerie de nuit pas loin, il a une arriére salle discrete, on pourra s’amuser peinards! »

Cette proposition laissait des sentiments mitigés chez Marion: d’un coté le coté dégoutant de la proposition (sucer deux inconnus dans une arrière boutique glauque, pour qui la prenaient elle?), de l’autre l’envie de se venger de ce connard de Johann et il faut bien le dire,l’excitation, lui donnaient envie d’essayer….
« OK, c’est pas loin j’espère » se surprit elle à répondre.

Les deux maghrébins n’en croyaient pas leurs oreilles, mais ils se ressaisirent bien vite.

-« Non, t’inquiète, c’est à deux rues de là, viens. Au fait moi c’est Bilal, mon pote c’est Jamel. »
Elle ne leur avait même pas demandé leurs prénoms!

L’un des deux prit la main de Marion et les voilà en deux temps trois mouvements à l’intérieur d’une épicerie de nuit comme il en existe dans de nombreuses villes.
Bilal discuta deux secondes en arabe avec le caissier, seul dans sa boutique. Marion crut apercevoir un échange mais rien de sûr.
Le caissier dévisagea Marion et lui adressa un drôle de sourire….

Puis Bilal entraina Marion vers le fond du magasin où se trouvait une petite arrière boutique: un canapé bien fatigué, une télé hors d’âge étaient les seuls meubles.

A peine entrés, les deux beurs passèrent à l’attaque: ils commencèrent à tripoter Marion, caressent ses fesses, malaxent ses seins, aventurent même un doigt vers sa chatounette.
Marion a bien du mal à contrôler la situation, d’autant plus qu’elle ne pouvait parler car Jamel lui roulait un patin d’enfer!
Elle parvint néanmoins à mettre la main sur les sexes des deux hommes à travers leurs joggings: quels engins! Elle allait se régaler….

Marion s’agenouilla entre les deux hommes et baissa leur pantalon, laissant apparaitre leurs deux virilités, dressées comme à la parade. Elle commença à sucer Bilal tout en branlant Jamel, puis inversa, pour le plus grand plaisir des deux hommes , qui exprimaient leur satisfaction par des grognements mais aussi par des paroles:
« Putain, qu’est ce qu’elle suce bien! »
« T’as raison, un vrai aspirateur à bites! »
« Sur ma mère, je vais lui cracher ma purée dans la bouche »
« Attends, ce serait trop con de juste se faire sucer, cette nana est une bombe, on va pas se contenter de sa bouche! »

Marion écoutait la conversation tout en suçant, et ce qu’elle entendait l’inquiétait un peu. Elle était d’accord pour deux fellations, mais pas pour se faire baiser comme une trainée!
Mais, outre le fait qu’elle les avait suivis de son plein gré, ils étaient en force et pouvaient donc la soumettre à toutes leurs perversions sans qu’elle ait son mot à dire.
Marion décida de se laisser faire docilement et de profiter de ces deux belles bites.

Pendant qu’elle se perdait en réflexions, les deux maghrébins ne perdaient pas de temps: ils avaient baissé les bretelles de sa robe, puis Bilal avait dégrafé son soutien gorge, faisant apparaitre ses deux globes laiteux aux auréoles roses.
« Mate moi ces nibards, de vraies merveilles! »
« Comme on doit être bien entre les deux! »
Joignant le geste à la parole, Jamel plaça son sexe entre les seins de Marion et entreprit une cravate de notaire, tandis que Bilal obligeait Marion à continuer à le sucer en lui maintenant la tête.
« Allez, ma belle, maintenant on va passer aux choses sérieuses. Tu vas ramasser! »

Et en effet, Marion se retrouva rapidement nue, allongée sur le vieux canapé prise par Bilal pendant que jamel etouffait les cris de plaisir de Marion en lui bâillonnant la bouche avec sa bite.
Puis Jamel s’assit sur le canapé et fit s’empaler Marion sur son sexe pendant que Bilal s’amusa à poser son mandrin contre l’anus de la jeune femme.
Marion ne put s’empêcher de dire: « Non, pas par là, je n’ai jamais fait. »
« Par le cul ou par deux keums? » demanda Bilal.
« les deux » souffla Marion.
« Eh ben, faut un début à tout » ricana Bilal en s’enfonçant dans l’anus de la jeune fille, lui arrachant un cri de douleur.
Les deux types, heureusement pour elle, allaient en cadence, et bientôt, la douleur laissa place à une délicieuse sensation de plaisir.
Après quelques minutes de ce traitement, Marion, bouleversée par un puissant orgasme, ne put retenir un cri de jouissance quasi bestial.
A ce moment, avec une belle synchronisation, le deux hommes jouirent: Bilal se déversa dans la bouche de Marion alors que Jamel envoya sa semence sur ses seins.
Les deux beurs se retirèrent, satisfaits d’avoir profité de cette belle babtou.

C’est alors que le caissier de la supérette fit son entrée: il reluqua sans vergogne Marion, nue, jambes écartées et encore l’esprit embué par son orgasme.
 » Si tu veux en profiter c’est le moment, mon frère » lui dit Bilal.
 » Eh » articula Marion « je ne suis pas une poupée gonflable »
« Non » répondit Bilal « mais t’es une belle petite salope et il faut remercier Omar de nous avoir prété ses locaux »

Sans attendre de réponse et profitant de l’état de faiblesse de Marion, Omar se précipita sur elle et la pénétra sans autre forme de procès. Marion préféra le laisser faire, de toutes façons elle n’avait pas la force de résister.
Omar termina rapidement son affaire et se répandit dans le vagin de la jeune fille.
Sans un mot il rajusta son pantalon et ressortit.

Marion décida alors de se rhabiller rapidement et de fausser compagnie à ses baiseurs. Qui sait si ils n’allaient pas la faire sauter par d’autres de leurs potes.

« Mais où sont mes sous vêtements? » demanda t elle.
« Ah, on les garde. Si tu veux les récupérer, il faudra qu’on se revoit. Tiens, je rentre mon 06 dans ton portable. Et comme photo de contact, je mets ma bite! » s’esclaffa Bilal, tout en prenant une photo de son engin avec le portable de Marion.

Marion remit sa robe, récupéra son portable et quitta ses amants sur le pas de l’épicerie.
En se hâtant vers chez elle, elle n’en revenait pas de rentrer nue sous sa robe et surtout couverte du foutre de types qu’elle ne connaissait pas il y a encore une heure!

Heureusement pour elle, ses parents dormaient à son arrivée. Marion se précipita à la salle de bains pour prendre une douche et se débarrasser de l’odeur de sperme et de stupre qui se dégageait d’elle. Vraiment, elle ne pensait pas être comme ça….
Mais qu’est ce que c’était bon!

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