Bonjour mon nom est Martine, je souffre d’une maladie incurable: j’aime jouer au casino. C’est une drogue. Toute ma vie tourne autour du jeu et il m’arrive de me trouver dans des situations impossibles à cause de ça. Il y a quelques années, je suis allée en vacances aux Philippines. Au retour j’ai dû passer deux jours à Manille. Je n’ai pu m’empêcher d’aller dans le grand hôtel de Makari, où se trouve le casino.
Là, je suis retournée à ma folie et j’ai tout perdu. Le croupier, au sourire énigmatique, m’a abordée. Il m’a expliqué qu’il comprenait mon désir de retourner à la table, il m’a proposé de m’aider.
Bien sûr, je n’avais pas d’argent, mais il pouvait sans aucun doute me procurer des jetons. J’étais d’accord pour tout à condition de retourner jouer.
Il s’est dirigé vers un groupe d’Américains avec qui il a discuté. Il étaient cinq qui ont tourné la tête vers moi et m’ont examinée des pieds à la tête. Finalement, trois d’entre eux sont venus vers moi, le croupier nous a conduits à une petite chambre qui se trouvait à l’étage. Je ne comprenais pas bien ce qui se passait, mais quand le croupier m’a demandé de me déshabiller, je n’avait plus de doute. J’ai à peine hésité. Dans ces cas-là, on vendrait son âme au diable, alors une chatte, qu’est-ce que c’est… On se laisse faire et on oublie après. Ça m’était déjà arrivé à quelques reprise, mais avec un seul homme. Là, ils étaient trois. Je penssait que durras un peut plus longtemps, voilà tout.
Je me suis dévêtue. Les hommes m’ont palpé les seins, pinçant les mamelons comme pour vérifier la marchandise.
Le croupier m’a fait tourner sur moi-même, m’a tapoté les fesses, puis il ma flatté ma toison blond, a écarté mes lèvres pour montrer l’interieur de ma fente. Les Américains regardaient, hochaient la tête. l’un d’entre eux s’est mis à genoux pour me renifler le cul. Puis il y a enffocé un doigt mouillé comme pour mesurer la profonduer. le croupier m’a fait signe de m’allonger sur le lit à une place. Il m’a écarté les jambres. Pendant ce temps, le premier homme, un gros à l’air dure, extirpait sa queue de sa braquette, puis y entrait la main pour en sortir aussi ses testicules lourds. Le croupier a tendue la main pour recevoir les jetons qu’il a entassés en pile sur la table de chevet, Il m’a regardée droit dans les yeux pendant tout le temps que l’homme m’a baisée. Les ressorts du lit grinçaient, j’étouffais sous le poids de l’homme qui me travaillait le vagin à coups de bitte nerneux.
C’est le croupier qui a aidé l’homme a se relever, qui m’a épongé la chatte avec une serviette de toillet avant d’inviter la suivant à prendre son tour.
J’éatais comme anesthésiée. J’avais l’impression de rêver les deux autres hommes qui m’ont possédée. Je crois bien que j’avais de la fièvre.
Qunad le toisième m’a fait retourner pour se servir de mon anus, le croupier l’a arrêté avec un sourire très doux et il a marchandé. Mon cul valait plus que ma chatte, car il était peut-être vièrge. Il fallait donner plus de jetons: l’autre a accepté et il s’est enfoncé dans mon anusen m’arrachant un cri de souffrance.
Les tois hommes sont redescendus sans m’adresser la parole. Je me suis emparée de ma pile de jetons, mais le croupierm’a retenue: Ce n’était pas fini.
Duex autres allaient monter. Il avait prois au cinq Américains que j’avais vus en bas qu’ils pourraient se satisfaire avec moi. Je devais encore patienter un peu, ils n’en airaient pas pour longtemps.
En les attendant, il m’a nettoyé l’entre-cuisses avec des gestes doux, commesi j’étais malade. L’odeur de savon au santal remplissait la pièce. Puis ils sont arrivés. Ces deux-là m’ont baissée en même temps, l’un dans ma chatte, et l’autre dans mon anus. C’était la première fois que que ça m’arrivait. J’ai eu un orgasme très violent. qui m’a fait crier. Ils ont ri de moi en retirant, repus de mes orifices.
Ça a duré deux jours. Je descendais jouer, je gagnais, perdais, je montais avec des hommes que le croupierm’amenait. Il y a eu des Allemands, des Chinoisaux doigt bagués. Je ne sais plus combien d’hommes me sont passés sur le corps pendant ces jours. En prenant l’avion, je me suis jurée que je ne jouerais plus jamais, mais c’est une promesse que je me suis faite cent fois. Je sais qu’il m’arrivera encore bien des fois d’être la proie d’homme inconnus à la cause de cette passion du jeu
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