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Le meilleur plan à trois … (P2)

Le meilleur plan à trois … (P2)



Part 2

Nous sommes arrivés à franchir, allègrement, le but initial de ce week-end, et toute forme de nervosité avait disparu, comme emporté par nos éjaculations.
Nous avons échangé quelques baisers, quelques caresses, et nous nous sommes décidés à passer à l’apéro. Totalement nus, et sans aucuns complexes.

La conversation était banale, portait sur le travail, la famille, les sorties. Nous étions purement et simplement détendus !
Nous prenions cependant souvent tous les pretextes possibles pour nous lever et nous toucher allègrement et sans être en érection massive, nous gardions, Jean et moi, ce qu’il est convenu d’appeler une « demi-molle ».
Je me lève une nouvelle fois, mais cette fois pour me mettre aux fourneaux. Je suis toujours nu, mais j’enfile un tablier histoire d’éviter tout accident fâcheux avec mes parties sensibles.
Il nous faut des forces et quelque chose de sympathique, je pense que des spagetthius bolognaise seraient parfait !
Je sors les ingrédients, commence la préparation : Spaghettis, viande, carottes, oignons, sauce tomate, et j’entends qu’on s’affaire discrètement dans la salle d’à côté. Je me doute un peu de ce que je vais trouver, c’est un couple après tout, mais je passe la tête pour m’assurer de la scène.

Jean est toujours assis sur le canapé, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, et Stéphanie est à genoux, sur le canapé, penchée en avant me tournant le dos et en train de réaliser une gâterie comme elle e a le secret.
De fait, j’ai une vue imprenable sur sa vulve grande ouverte, dégoulinante et laissant dépasser des lèvres magnifiques. Mon tablier s’est vite tendu, mais je n’ose pas franchir ce nouveau pas dans mon statut de pièce rapportée.

Comment faire pour ne pas répéter l’erreur du début et couper des élans ? Très simple, je retourne discrêtement à la cusine, prends une carotte, l’epluche rapidement et reviens dans le salon. Elle s’active toujours sur le membre de Jean qui à l’air en exctase. J’approche la carrotte du vagin de Stéphanie, je l’ai mise dans ma bouche histoire de la chauffer un peu. Avec ce petit baton, je touche doucement les grandes lèvres. Elle réagie, mais n’arrête pas son ouvrage. Elle écarte juste un peu plus les jambes. Ce n’était pas nécessaire, mais je comprends qu’elle s’offre à ce que je veux faire, quoique j’ai en tête.
J’approche donc la carotte de son vagin et l’enfonce doucement et sans difficulté. Elle gémit un peu, elle apprécie ce petit extra à sa juste valeur, et je commence de léger va et viens. Elle gémit un peu plus et Jean ouvre les yeux, m’aperçoit et me sourit. Il aperçoit la carotte et se met à rire.
– « Stéphanie, ma chérie, ça te convient cette carotte ? Tu ne préfères pas quelque chose de plus vivant ? »
– Arrêtant sont va-et-vien. « Je me doutait bien que c’était une carotte, et j’avoue que ce n’est pas désagréable du tout, mais ça reste un peu frais, c’est clair. »
– « Et comme ça, est-ce que c’est un peu plus « vivant » ? » dis-je en m’accroupissant et entamant une jolie minette.
– « Ah ben là oui, c’est plus chaud, plus doux, c’est clair ce que c’est plus agréable. »
– « En revanche, ce n’est pas pratique du tout ! Je suis accroupi sur le parquet avec les couilles ballantes, je ne vais pas faire ça 107 ans ! » dis-je en me relevant. « Je vais retourner à la cuisine vite finir ce que j’ai commencé et je reviens vite ici pour … ben finir ce que j’ai commencé aussi ! »

Je retourne en cuisine, coupe mes carottes en incluant celle ayant prit l’arôme de Stéphanie, mélange les ingrédients de la sauce et retourne dans le salon, toujours en tablier.

Là, les choses avaient changé, ils avaient bien compris mon désagrément et Stéphanie attendait sans aucun dout possible que je lui fasse cette minette dont elle n’avait eu qu’un échantillon.
Jean était debout sur le canapé, se tenant au mur avec les deux mains, enjambant Stéphanie qui le suçait toujours avec application et qui elle était assise les jambes bien écartées.
Je pose un coussin par terre et m’agenouille dessus. Je commence par lui caresser lentement mais fermement les jambes. Je fais des allers-retours du pied au haut de la cuisse, par l’intérieur, m’approchant à chaque fois de ses lèvres, mais sans jamais vraiment les toucher.
Je continue mes caresses en y ajoutant des baisers que je dépose le long de ses cuisses, doucement, avec insistance, presque des suçons, ma langue lèche sa chaire brûlante, je me rapproche de son sexe dont je commence à sentir les effluves. Un mélange de cyprine, de sueur, de parfum (coquette !). Mes joues effleurent ce sexe ouvert et impatient, mais je fais durer le plaisir. Elle commence à émettre des petits bruits qui pourraient être des halètements si le gland de Jean n’occupait pas sa bouche.
Les mouvements de son bassin commencent à être réguliers, ses jambes se tortillent un peu, puis un peu plus, elle commence à se trémousser franchement, je souffle doucement sur son clitoris, pour l’agacer, la frustrer. J’ai toujours mis à un point d’honneur à rendre dingue une fille rien qu’avec ma bouche. Et ma technique fonctionne encore une fois. J’embrasse une grande lèvre, elle perle d’humidité, elle frémit, je pose le bout de ma langue dessus, je la serrre délicatement entre mes dents, puis je l’embrasse à nouveau, je passe à l’autre lèvre. Stéphanie à relevé ses jambes et accentué les mouvements de son bassin. Elle à laché la queue de Jean qui se régale de ce spectacle. Je lui avais déjà parlé de ma passion pour les cunnilingus, mais il ne m’avait jamais vu à l’œuvre.

Il faut dire qu’en l’occurrence, j’ai bénéficié de « cours particuliers » vraiment particuliers car prodigué par une copine lesbienne, sur ses partenaires du moment. C’était quelques années avant, mais c’est comme le vélo.

Je suis passé au cran supérieur, je léche de toute ma langue les lèvres, séparément, sur toutes leurs longueurs, mais rapidement. Ma langue pénètre la vulve de Stéphanie, je sens son gout délicieux et la douceur de son vagin sur ma langue et sur mes lèvres. Elle feule, commence à pousser des petits cris.
J’attaque alors les choses sérieuses, si je me débrouille bien, dans moins d’une minute elle m’explose dans la bouche, sinon, c’est foutu.
Ma bouche trouve immédiatement son clitoris qui bande correctement. Il n’est pas énorme comme j’en ai déjà vu en révant dans des magazines, mais suffisament conséquent pour bien dépasser de son étui. A vue de langue, je dirais qu’il fait déjà un bon centimètre et demi. Brûlant, frémissant, je passe ma langue dessus, je commence par faire son contour, puis ma langue se glisse entre ce petit gland et son prépuce. Nouveau cri qui continu dans une sorte de charmant gargouillement de plaisir.
Je donne deux petits coups de langue un peu dur sur son bout, je souflle de l’air froid dessus, elle réagit, je continu, puis que colle ma bouche contre lui, il est entier dedans et j’aspire, je fais comme un vide d’air, une succion que j’accompagne de caresses avec ma langue. Son bassin bouge tellement que j’ai la tête coinçée dans ses cuisses serrées, elle grogne, elle gémît et alors je sens ma bouche se remplir de liquide chaud. Elle recommence, elle me mouille dans la bouche, mais je suis satisfait, j’ai réussi !

Jean, sur le côté, n’en a pas perdu une miette. Il est au garde à vous, ne sachant presque pas quoi faire. Je le connais, il pense à plein de choses, il réfléchit à un truc. On verra. En attendant, j’en profite d’être à genoux à ses côtés et je le branle un peu. Il se laisse faire, mais s’assoie sur le canapé à côté de Stéphanie, les jambes écartées lui aussi. Stéphanie est un peu dans le gaz, entre surexcitation et épuisement total. Elle se penche sur lui pour reprendre sa pipe. Je change de spot et lui donne un coup de main, je mets quelques petits coups de langue le long de sa hampe. Je sens qu’il vibre, c’est tellement étrange de sentir la fébrilité d’un pénis en érection. On touche sa fragilité.
Ce finish suffit à le faire partir dans la bouche de Stéphanie qui avale doucement sa semence, mais le plus gros est déjà passé tout à l’heure.

Je me lève pour finir ma cuisine et là, Stéphanie m’interpèle :
– « Ben et toi ? Personne ne s’est occupé de toi ! Tu ne va pas partir comme ça ! »
– « Heu … en fait, c’est très gentil, mais au milieu de tout ça, je crois que je me suis occupé de moi-même … »
En effet, dans l’action, j’ai éjaculé tout seul, dans mon tablier. Il y a du sperme sur le sol.
– « Mais ce n’est pas grave ! On va passer à table et on se ratt****ra après ! »
Je retourne une nouvelle fois à mes casseroles, la sauce à une très bonne tête, mais j’avais fait attention à ne pas mettre le feu trop fort.
L’eau des pâtes boue, je cherche les spaghettis et soudain, je sens un corps qui se colle à moi, dans le dos, je sens les seins de Stéphanie, puis une main qui passe sous le tablier. Elle caresse mes testicules, doucement, les soupèses, passe son doigt entre elles et mon anus, sans doute la zone la plus douce d’un corps d’homme. Elle remonte vers les bourses, sa main gauche rejoint sa main droite et prend le relais tandis que cette dernière s’occupe de saisir ma bite qui retrouve sensiblement de sa vigueur.

Elle me chuchotte à l’oreille :
– « Je ne veux pas déranger, fais comme si je n’étais pas là. Je crois qu’il faut mettre les pâtes dans l’eau là. »

Je m’éxécute, dans un état second. Cette position, toute bête, est une première pour moi, mais j’adore l’idée.
Sa main remonte mon manche jusqu’au bout, puis redescend doucement, sans forcer, mon prépuce se tend mais reste en place. Elle remonte, redescend, remonte. Je mets les spagettis dans la marmitte, le sel, l’huile, le minuteur.
Une fois assuré que j’ai bien fini, elle m’attire vers l’arrière et tire sur mon tablier.
Elle descend alors doucement le prépuce et libère mon gland, pourpre, tendu, brillant ! Une goutte de liquide séminal perle au sommet. Elle pose le bout de son doigt sur cette goutte et entreprant de l’étaler sur le reste du gland, doucement.
Elle va me rendre la monnaie de ma pièce au niveau teasing !
Elle passe son doigt le long du frein, derrière le gland. Sur le coup, j’ai le sentiment d’avoir un coup de sang en bonus qui me fait prendre 2 cm de plus, c’est énorme !
Elle caresse toujours doucement mes bourses, mon sexe, puis appelle Jean.
– « Jean, tu viens ? J’ai besoin d’un coup de main ! »
– « J’arrive ! Que se passe t’il ? »
– Je dois branler Pierre, c’est un minimum après ce qu’il m’a fait, mais son gland est trop gros et j’ai peur de lui faire mal en tirant son prépuce. Tu pourrais mettre une goutte d’huile d’olive sur son matériel pour lubrifier s’il te plait ? »
– « Je peux, mais la salive est un bon lubrifiant aussi tu sais ! »
– « Oui, je sais, mais je sens qu’il apprécie cette position et je ne peux pas passer devant. «
– « Mais moi si ! » dit-il alors en se penchant un peu et engouffrant mon gland dans sa bouche.
Ouha ! ! ! ! Alors ça, c’est une tuerie ! Elle me masturbe, je sens sa main autour de mon sexe, et en même temps, mon pôte est en train de me tirer une pipe.
Le travail d’équipe est très efficace. Se faire sucer par un mec, c’est une sensation totalement différente. Il sait comment ça marche. Il sait où aller et comment titiller telle ou telle zone.
Je commence à avoir les jambes qui tremblent. Je sens monter la jouissance, je ne dis rien mais fait en sorte de respirer plus fort et plus vite pour faire comprendre que je ne vais pas tarder à lacher le peu de sperme qu’il me reste.
Jean comprend et laisse Stéphanie me finir. 10 secondes plus tard, j’éjacule quelques gouttes sur sa main. Elle le lèche en me faisant un clin d’œil.
– « Il est salé et un peu acide le tiens, mais ça passe. »
On dine bientôt ?

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