Histoires de sexe noir Premières histoires de sexe

Annabelle : la punition

Annabelle : la punition



Après le coup qu’elle m’avait fait avec Roger, John avait dit à Annabelle qu’elle allait être punie et que puisque elle aimait la bite, elle allait être servie
A 17h ce vendredi, il m’attendait à la sortie de mon travail, en voiture. Il fila sur la route sans attendre et sans un mot. J’espérais, pendant tout le trajet, qu’il brise le silence entre nous, qu’il dise quelque chose de gentil, qu’il comprenne la douleur qui m’animait. Je me rabattis sur l’épreuve vers laquelle il m’emmenait. Je m’étais convaincue que cette punition saurait redorer mon image à ses yeux . Il saurait voir que je lui étais dévouée et je n’entendais pas faillir à cette tâche. Il n’ouvrit la bouche que lorsque la voiture s’arrêta devant une maison, en banlieue de la ville.

— Voilà. Tu devras entrer là-dedans et faire tout ce qu’on te demande. Je reviendrai te chercher à minuit.

Je regardai l’heure. Il me donnait à un autre pendant un peu plus de trois heures. Je jetai mon sac à mes pieds et ouvris la portière.

— Annabelle ?

— Oui ?

— Tu as compris que cela allait être difficile pour toi, n’est-ce pas ?

— Oui !

— Bien. À plus tard.

Sa voix était froide. Je descendis de la voiture, refermai la portière derrière moi. Il repartit sans me jeter le moindre regard. C’était intolérable ! J’avais envie de me jeter sur le sol et de me mettre à pleurer. Je pris mon courage à deux mains et marchai en direction de la porte. Elle s’ouvrit avant même que je n’aie à frapper. Un monsieur, dans la quarantaine, m’ouvrit, vêtu d’un peignoir :

— Salut toi. Entre !

J’entrai en évitant son regard et il referma la porte derrière moi. Il me détailla pendant de longues minutes :

— Il n’a pas menti à ton sujet. T’es belle comme tout. En général, elles sont plus jeunes, c’est vrai, mais toi… oh oui… je sens que ça va me plaire.

Il caressa ma croupe par-dessus ma robe. Il était déjà bien excité, je le sentais à sa respiration et à la déformation que je percevais sous son peignoir. Il m’emmena au salon et je me figeai en y trouvant deux autres hommes, assis sur des fauteuils, sirotant un verre d’alcool.

— Elle est mignonne, pas vrai ? m’annonça-t-il. Anna, c’est ça ?

— Euh… oui, soufflai-je, déjà angoissée par ce que je pressentais.

— Tu veux boire quelque chose, ma jolie ? me demanda l’homme qui m’avait ouvert la porte.

— Pas d’alcool, il a dit, gronda l’autre, sur le canapé.

Il y avait trois hommes. Les trois dans la quarantaine. Le premier, celui qui m’avait ouvert, était baraqué et avait les cheveux bruns. Celui sur le fauteuil était blond et moustachu. Le troisième, dans le canapé, était chauve et énorme. J’eus peur de m’évanouir. Non. En fait, j’espérais m’évanouir. Avais-je vraiment mérité un tel châtiment ?

— Mets-toi donc à l’aise, Anna. Retire ces vêtements qu’on se rince l’œil un peu.

Ils avaient jetés des tas de coussins dans un coin de la pièce, de l’autre côté d’une table basse.

Au centre, le vide. Je compris que cela était ma scène et je m’y avançai sans un mot. L’homme de l’entrée s’installa sur le canapé, avec le chauve, et me fit signe de procéder.

Je fis descendre ma robe, doucement, en dessous, je n’avais que mes sous-vêtements ;Je me sentais comme une danseuse nue, quelqu’un qu’on payait pour voir se dévêtir. Sauf que là, je n’allais pas danser. Je le savais et ils le savaient aussi. Je laissai le vêtement tomber sur le sol.

— Elle est pas mal, jeta le moustachu avec un ton admiratif.

— Tourne qu’on voit ton petit cul, et enlève le reste gronda le chauve.

J’obéis. Je tournai devant eux, et je laissai tomber le soutien-gorge et le slip en évitant leurs regards chaque fois que j’étais face à eux.

— On n’est pas difficiles, tu vas voir, lança le brun, celui qui m’avait ouvert la porte. Tu peux même choisir lequel tu vas sucer en premier, hein, les gars ?

— Ouais !

Celui qui était sur le fauteuil vint rejoindre les deux autres sur le canapé et les trois entrouvrirent leur peignoir, me dévoilant leur sexe dressé, de taille différente. J’eus un haut-le-cœur. Je n’allais jamais y arriver. J’allais faillir. Je le sentais.

Je fermai les yeux un instant et l’énorme chauve s’impatienta :

— Ça vient, oui ?

Je sursautai et me laissai tomber à genoux. Je choisis l’homme qui m’avait accueilli. Il était plus joli et avait été agréable avec moi, à l’entrée. Je me faufilai entre ses jambes, posai ma bouche sur son membre et il soupira, ravi :

— Du calme, les gars, y’en aura pour tout le monde, pas vrai, Anna ?

Je ne répondis pas. J’en eus été bien incapable, non seulement parce que je le suçais, mais parce que j’avais peur de ne pas y arriver. Il releva mes cheveux, probablement pour que les autres puissent mieux voir ce que je faisais.

— Putain, les gars, quelle bouche ! Oh !

— Tu m’excites, petite ! Viens là ! Donne m’en un peu.

Le gros rapprocha son sexe de mon visage et je quittai celui du brun pour m’occuper de lui. Son odeur était désagréable. Son corps aussi, mais je fermai les yeux et récupérai son membre, plus petit, entre mes lèvres. Il poussa ma tête brusquement, comme si je ne poussais pas son sexe suffisamment loin en moi, mais ce n’était pas le cas : il y avait bien assez de place pour une si petite chose.

— J’avais pas fini, gronda le premier.

J’alternai. Un sexe, puis un autre, trois coups chacun, deux coups chacun, quatre coups chacun. À ce rythme, ils n’éjaculeraient jamais. Et il en restait un troisième. Le blond. Celui-ci se lassa d’attendre, il tira sur ma main, la posa dans son entrejambe.

— Fais-toi plaisir, tiens, dit-il dans un rire.

Je le caressai, mais c’était difficile de conserver le même rythme pour chacun. Je comptais les coups de bouche, comme un métronome. Plus j’étais régulière, plus vite ils éjaculeraient. Celui qui n’avait que ma main gémit :

— Ah oui, quelle garce tu fais. Et t’as un de ces culs. Attends un peu.

Il se releva et je le vis se placer derrière moi. Il plongea un doigt dans mon sexe, effectua un petit mouvement de va-et-vient :

— On ne va pas se priver, les gars ! Après tout, faut pas oublier que la cendrillon se change en citrouille à minuit.

— Ta gueule, gronda le brun. Continue, petite, suce. Ah oui, comme ça !

L’homme derrière moi poussa son sexe dans mon vagin et j’eus du mal à maintenir le rythme de mes fellations. Le gros grogna :

— Doucement, petite. Joey, la pousse pas trop, tu veux ? Et ne la salit pas, merde !

Des mains me tenaient immobile, mais le sexe me prenait par-derrière dans un rythme rapide. Je changeai de pénis, reprit celui du brun. Il retint ma tête :

— Oh ! Oui ! Reste là, petite, je vais venir.

Il donna quelques coups de bassin et éjacula dans une plainte. Il continuait de me tenir la tête et l’homme profita de ce moment d’accalmie pour me prendre plus fort :

— Je vous dis pas, les gars, elle est bonne !

— Reviens ici, ordonna le gros.

La main libéra ma tête et je retournai à l’autre sexe, un peu en oblique. Le brun se pencha pour toucher ma poitrine.

— Du calme, Joey ! gronda l’homme que je suçais. Tu nuis à mon rythme.

— Attends un peu, souffla l’homme derrière, je vais venir.

— Ah non ! Tu ne vas pas la salir !

Le sexe quitta mon vagin et il m’empoigna par les cheveux :

— Viens ici, petite, suce !

Il me suppliait, me tira vers lui. Je réprimai une plainte de douleur. Il écrasa son sexe dans ma bouche avant même que je sois devant lui, se mit à reprendre ses mouvements de bassin en gémissant :

— Ah oui ! Putain, quelle bouche !

Lui, il cognait le fond de ma gorge et m’écrasait le nez contre son ventre. Je devais retenir ma respiration, mais cela ne fut que de courte durée. Il hurla des tas de « oui » avant d’éjaculer et je n’eus pas le temps d’avaler son sperme que le gros grogna, encore :

— T’as fini de me faire passer mon tour ?

Je me dépêchai de revenir vers lui :

— Pardon, monsieur, dis-je avec une petite voix.

Je retournai à son sexe. Il avait perdu un peu de tonus. Je m’appliquai davantage et je l’entendis dire :

— Vous deux, laissez-moi venir en paix !

— Allons Éric, y’en a pour tout le monde, je te dis ! On ne va pas laisser ce beau cul libre quand même !

Des doigts s’insérèrent dans mon sexe, me caressaient doucement. Je crois que les deux essayaient d’y prendre place. Ils malmenaient ma vulve et je ne pus réprimer un gémissement de douleur.

— Tu vois qu’elle aime ça, lança Éric. Putain qu’elle est bandante ! Bon, Joey, tu viens, oui ?

Le gros se mit à cogner ma tête contre son énorme ventre. Il suait terriblement. Il respirait avec bruit. J’augmentai le rythme et la pression de mes lèvres. Il souffla différemment :

— Oh oui, comme ça, c’est bien.

Son ton me suppliait. Qu’il était étrange de les sentir si vulnérables lorsqu’ils étaient sur le point d’éjaculer alors que, en général, ils se plaisaient à m’insulter. Il jouit avec bruit, m’éclaboussa la bouche. Déjà, derrière, un autre homme me tirait vers lui :

— À toi, Frank, essaie-la !

Ils parlaient de moi comme d’une voiture, mais je n’eus pas le temps de froncer les sourcils qu’un autre sexe me pénétra sans attendre. Il me secoua au-dessus du membre ramolli du gros. Je fermai les yeux pour éviter ce spectacle dégoûtant. Mon corps semblait complètement détaché de ma tête. Certes, il m’arrivait de réagir à certaines secousses, mais je restais pratiquement de glace.

— Attends, viens là !

Joey me fit pivoter loin du gros, replaça son membre entre mes lèvres. Lui et Frank se plaisaient à suivre un rythme similaire, à changer de place. L’un dans mon sexe, l’autre dans ma bouche. Ils riaient comme des gamins pendant que le gros assistait à la scène. Ils éjaculèrent, encore. Dans ma bouche, toujours. J’étais écœurée de ce goût qui tapissait ma bouche. J’eus peur de vomir.

— À toi, Éric !

Le gros tendit la main vers moi, me fit asseoir sur lui. Son ventre était si proéminent que j’avais du mal à me balancer sur son sexe. Je chuchotai :

— Vous devriez vous couchez sur le dos, monsieur. Ce serait plus agréable pour vous.

Il m’obéit et se coucha sur le canapé. J’installai mes genoux dans les coussins, me déhanchait au-dessus de lui.

— Quelle belle fille, pas vrai, Éric ? entendis-je.

— Oui, souffla-t-il en commençant à jouir.

— Putain que je bande. J’ai jamais bandé autant de ma vie.

Je cessai d’écouter ceux qui nous observaient, me concentrai sur celui qui était sous moi. Il emprisonnait mes seins dans ses mains. Me tira vers lui pour les prendre entre ses lèvres. Cela fut instantané, il éjacula dans mon sexe en grognant de plaisir.

— Merde ! C’est toi qui disais de ne pas la salir !

Il rouvrit les yeux, un peu confus de son geste et je lui souris :

— C’est pas grave, je vais aller me nettoyer.

Je me redressai et cherchai la salle de bain du regard. Frank m’arrêta dans ma course :

— C’est que… tu nous as mis en appétit, ma jolie.

Il me pointait son sexe dressé.

— Ah non, je vais pas retourner là-dedans, dit Joey. C’est dégueulasse !

— Mais elle n’a pas que ça à offrir, pas vrai, ma belle ?

Je bredouillai :

— Je vais… ça ne prendra que… deux minutes.

— On a payé pour ton cul aussi, cingla-t-il. Allez, fous-toi sur la table basse, là-bas.

Je ne bougeai pas. J’étais sonnée par les mots qu’ils venaient de prononcer. Ils avaient payé ? John m’avait donc vendue comme une pute ? Je me défis de sa main sur mon bras, essayai de gagner la salle de bain, il me saisit de nouveau, plus fermement cette fois.

— J’ai dit : sur la table !

Il me poussa dans cette partie de la pièce alors que je cherchai un moyen de passer. J’allais être malade, je le sentais.

— C’est qu’elle est têtue, la jolie, siffla Frank. Joey, tiens-la, tu veux ?

Les mains du moustachu me saisirent par le bras, me tirèrent vers la table. Je soufflai :

— Non, s’il vous plaît.

— Bordel, j’y crois pas ! T’as vu comment elle panique ? Elle est peut-être vierge du cul, si ça se trouve ! s’égaya Frank. Tu vas voir, petite, tu vas adorer.

Je me débattis, mais quatre mains me maintenaient, me tiraient contre la table, à quatre pattes. Je ne parvenais plus à bouger.

— Sacré petit brin de femme, hein ? Il nous gâte, cette fois !

Les deux hommes rigolaient alors que je les suppliais :

— Monsieur, s’il vous plaît. Non !

— Arrête de te plaindre, je te dis que tu vas aimer !

Il cracha dans sa main, écrasa un doigt contre mon anus, l’enfila sans mal.

— Oh oui, c’est bien serré. T’es vierge, c’est ça ?

J’essayai de m’avancer, de l’obliger à retirer son doigt de là. Je parvins à tomber à côté de la table.

— Merde Joey ! Tu la tiens, oui ?

Le moustachu me récupéra, m’écrasa sur la table avec v******e.

— Tiens-toi tranquille ! dit-il en emprisonnant mes mains dans l’une des siennes et en écrasant mon dos contre la table. Allez, Frank, sers-toi !

Des mains m’écartèrent les jambes et des doigts retournèrent entre mes fesses. Je n’avais pas beaucoup de latitude, mais je tentai de me dérober à son geste.

— Oh oui, petite, ça m’excite quand tu te débats comme ça. Retiens-la, Joey, j’arrive.

Son sexe me transperça l’anus, m’arrachant un cri.

— Oh oui, hurle ! Je veux t’entendre crier.

Il m’empoigna les cheveux, me tira vers l’arrière, continua de m’enculer en soupirant de joie :

— Quel cul ! Je vous jure ! Faudra payer un bonus, je le sens ! Bien serré, comme je les aime.

— Il sait les choisir, ses putes, hein ?

Je sanglotais. J’avais du mal à croire que John m’avait jetée là, avec trois hommes, comme une putain.

— Je savais qu’elle était vierge, les gars ! Je vous dis pas comme je prends mon pied ! Oh !

J’avais cessé de me débattre. Je n’y arrivais plus. Je restai là, à pleurer. John m’avait trahi, il m’avait vendue, il m’avait abandonnée. Je sanglotais comme une enfant. Quand il vit que mon corps s’était relâché, le moustachu me fourra son sexe dans la bouche.

— Allez, suce, petite.

Je ne bougeai pas. Je le laissai faire, sans participer. Qu’ils prennent tout ce qu’ils veulent. À chacun de leur coup de bassin, là où ils le souhaitent. Mon cœur se brisait un peu plus devant la punition de John. Un mélange de colère et de tristesse s’installait en moi.

Le gros voulut sa part, m’écrasa de tout son poids et je crus que la table allait céder. Dès que mon esprit s’évadait de cette pièce, on se déhanchait avec rage, me tirait les cheveux, me claquait une fesse.

On voulait que je crie. Je criai. Mais aucun plaisir n’en surgit.

Minuit finirait bien par sonner. Je ne finis par souhaiter qu’une seule chose : que John m’ait vendue suffisamment cher pour toutes les bassesses auxquelles ces hommes me soumettaient.

John me récupéra à minuit pile. On le complimenta sur mes talents et personne ne se plaignit de toute la partie où j’étais restée immuable et passive. À la limite, ils s’en étaient bien fichés. Ils m’avaient éjaculé dans la bouche, sur le dos, sur le ventre. Que leur importait mon plaisir, au fond ? Après des banalités que je n’écoutais plus, John me ramena à la voiture. Il démarra et nous étions déjà loin de cette maison lorsqu’il prit la parole :

— Ça a été ?

Je ne répondis pas. Les vibrations de la voiture me retournèrent l’estomac. Je soufflai :

— Arrête la voiture, je vais être malade.

Il stoppa, si sec que cela ne fit qu’amplifier mon haut le cœur. Je me jetai hors de là, vomit sur le bord de la route en toussant. J’enfonçai mes doigts dans le fond de ma gorge. Je voulais tout recracher. Je restai là, un long moment, à genoux, à pleurer. John ne bougea pas de son siège. Il attendit patiemment que je revienne dans la voiture avant de continuer la route. Son indifférence était pire que tout.

Il roulait. Je fus contente de revoir la ville, de savoir qu’il me ramenait chez moi. Je n’étais pas certaine d’avoir assez d’argent dans mon sac pour me payer un taxi. Mes larmes séchèrent et je déviai mon visage vers l’extérieur, ravalant à la fois les mots et ma colère. Lorsqu’il se stationna près de chez moi, je récupérai mon sac. J’attendis.

Qu’est-ce que j’espérais, au fond ? Un mot gentil, une explication, quelque chose qui me dirait que je n’avais pas été vendue pour rien ? Il sortit une enveloppe, la posa sur mes genoux.

— C’est pour toi. De la part de ces messieurs.

Je crois qu’il s’attendait à me surprendre, mais ce ne fut pas le cas. Je jetai un coup d’œil au montant. C’était beaucoup d’argent. Il devait y en avoir pour cinq ou six cents. Je me surpris à me demander combien il en avait gardé pour lui.

— Merci, dis-je simplement.

Je rangeai l’argent dans mon sac, sans un mot. Je crois que ma réponse l’avait surpris, mais je m’en fichais. J’espérais juste sortir de là, me retrouver seule, me doucher et pleurer. J’ouvris la portière, posai un pied sur le sol.

— Annabelle ?

Je cessai de bouger, mais ne me retournai pas vers lui.

— N’as-tu rien à me dire ?

— Non, dis-je simplement.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire