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Belle maman, ma soumise … (14)

Belle maman, ma soumise … (14)



Il était temps de reprendre l’écriture… bonne lecture à tous !

Comme convenu, Chantal vient prendre le café et ramène quelques pâtisseries.

– Alors mon fils a réglé ton problème d’internet ?
– Oui tout va bien, c’est adorable de sa part ! Il ne vient pas prendre le café ?
– Non, il a des devoirs à faire apparemment.
– On est entre filles ! Ça fait longtemps !

Florence me demande si elle a carte blanche pour la sonder niveau cul, je lui réponds qu’elle fait ce qu’elle veut, mais je veux des infos. De la s’enchaîne des discussions entre filles, je vous les épargne. Non pas qu’elle soit inintéressante, mais sans intérêt pour ce récit ! Elle a enregistré la conversation que je puisse vous la raconter.

– Et les amours alors ? Je ne vois pas souvent de voiture garée devant chez toi !
– M’en parle pas… j’ai rencontré quelqu’un il y a quelques mois, mais j’accroche pas alors je le vois plus, depuis c’est jachère, dit elle dans un éclat de rire !
– Tu as quel âge déjà ?
– 53 ! Pas facile de trouver de la qualité à cet âge !
– Et tu veux quoi ? Le grand amour ou un amant ?
– Je suis bien seule, même si ça me déprime parfois. Un amant efficace serai pas mal déjà !
– Et pourquoi pas un petit jeune ? C’est la tendance !
– Un petit jeune ? Non mais tu m’as regardé… je doute de plaire à un petit jeune !
– Ah mais tu n’es pas contre l’idée ?
– Ahaha, ne me juge pas, mais je t’avoue que je serai pas contre essayer, mais je suis nul pour chercher et je ne sais pas m’y prendre ! Et toi avec Philippe ? Tout va bien ?
– Oh oui ça va ! Malgré la routine et ses absences, ça se passe bien ! Bon il faut te trouver un petit jeune alors ?
– Ahaha, parce que tu en connais ? Je veux dire qui aiment les vieilles comme nous !
– Tu serais surprise si je te disais tout…
– Nan ! Tu as eu un amant ? Un petit jeune ?
– Ça reste entre nous ?
– Bien sur !
– Oui, plusieurs fois…
– Et alors ?!!
– Tu te sens jeune à nouveau ! Je t’en dirai pas plus lol.
– Philippe est au courant ?
– A ton avis ?
– Et… , tu veux me les présenter ?
– Non chacun ses histoires ! Le seul jeune que je connais c’est David…
– Hein ? Ton copain de ta fille ? C’est lui ton jeune ?!
– Mais non je parle pour toi !
– Heu c’est ton beau fils Florence, dis pas de bêtises !
– Et si ça ne l’était pas ?
– Ah bah il est bel homme c’est sur, mais c’est le copain de ta fille, ne dis pas bêtises.

Je n’en saurai pas davantage. Florence ne m’a envoyé que cette partie de la conversation…

– Donc belle maman, tu viens d’avouer que tu as été infidèle, et que tu veux me brancher sur elle ?
– C’est ca. Tu aurais vu son visage quand j’ai parlé de toi. Si j’arrive à lui faire passer l’éponge sur la morale, elle est à toi.
– Sérieusement ?
– J’en doute pas un instant.
– Continue alors.
– On se voit quand ?
– Je ne sais pas. Vois avec ta fille… viens un soir cette semaine si tu veux !
– OK, on se tient au courant.

La semaine avance…

Un soir alors que nous regardons un film avec Émilie, sa mère lui écrit.

– Maman demande si c’est possible de venir dormir demain soir, ça te dérange ? J’ai un pot de départ d’une collègue mais je rentre tôt après. Tu pourras lui ouvrir ?
– Pas de soucis, seulement si tu me suces devant elle demain si elle prend son truc pour dormir.
– Justement, je voudrai bien le prendre pour essayer, voir si vraiment tu ne sens rien. Tant pis pour ton fantasme, il y aura d’autres occasions ? Tu veux bien ?
– Bon OK !

La journée passe et Florence sonne à la porte.

– Bonjour ! Émilie ta chienne de mère est la ! Entrez !
– Quoi ? Mais ça va pas !
– Ça va, je déconne, Émilie n’est pas là encore !
– Putain tu m’as fais peur t’es con !
– Ce n’était pas de très bon goût pardon. Enfin bon.
– Elle rentre quand ? Vers 21h je crois.
– Tu veux que je te vide ?
– Tu n’as pas encore posé ton sac, ni retiré ta veste que tu me poses déjà la question… puis tu connais la réponse. Bien sur que tu vas me vider.
– Je te serre du vin ?
– Fais comme chez toi belle maman.

Je m’assoie dans le canapé et l’entend servir le vin. Elle me tend le verre et s’assoie dans le fauteuil. Étrangement on a l’air d’un petit couple. C’est une amie aussi…

– Alors Thomas ?
– Putain j’ai pris cher…
– Il s’est vidé sur une photo de vous deux, c’est dingue !
– Sans parler de la culotte d’Emilie dans le cul…
– Jusqu’où iras tu ?
– Je ne sais pas. L’avenir le dira !

Je baisse mon pantalon au cheville, lui offrant la vue sur mes couilles et ma queue au repos.

– Il nous reste une petite heure…. J’aimerai que vous le suciez comme une bonne pute.
– Elle m’a manqué ta queue…

Florence s’agenouille entre mes jambes, en jean moulant et chemisier blanc. Elle sait bien maintenant ce qui me plaît. Sans attendre, elle se met à me lecher les couilles sans toucher ma queue.

– Où est ce que tu aimes le plus que je te baise… ?
– Ici. chez toi.
– Je pensais que tu aurais dit dans ton lit ou le parking.

Elle s’applique à me lecher les couilles, m’attire au bord du canapé pour pouvoir me lecher l’anus… elle sait faire monter la pression…

– Non dans mon lit, je me sens juste infidèle… dans un parking je joue à la pute, ça me plaît aussi…
Elle réfléchit, j’ai les jambes en V, elle me masse l’anus pendant qu’elle me branle. Cette chienne sait y faire.
– Tu vois, la, je suis entrain de lecher le trou du cul du copain de ma fille… dans le canapé d’étudiante de ma fille, sous son toit. Je te laisse le droit de me traiter comme une pute. Je m’apprête à sucer la queue de mon beau fils… une queue que je partage avec ma fille.

Elle m’enfonce son index dans le cul, me suce en me branlant. Elle me rend dingue.

– Il n’y à rien de plus excitant, de plus dégradant, de plus immoral… je suis ta vide couille, je suis la mère la plus dégueulasse moralement… elle ignore que je l’ai léché… elle ignore qu’elle m’a léché… j’adore ça.
– T’aimes être traité comme une chienne… mais tu aimes encore plus ce sentiment pendant l’acte d’être coupable…
– Dis le moi encore…
– T’es la pire des chiennes…

Elle se retourne, m’offre son cul en jean à genoux , face contre terre. Elle ouvre son pantalon et le baisse juste sur le cul.

– Je suis la, à genoux, soumise, mon mari me pense sagement chez ma fille… alors, que je t’offre mon trou du cul… vide toi, remplis le…

Elle me parle sur un ton mielleux, presque en sanglot… prisonnière de ses envies les plus immorales… Je me lève, passe mon gland sur sa chatte trempée pour me lubrifier.

– Non pas ma chatte, juste mon cul s’il te plaît…
– Je reçois un SMS d’Emilie, elle est la dans 20 minutes. C’est parfait. Elle me demande ce qu’on fait.
– Ta fille demande ce que l’on fait. Je peux lui dire que je m’apprête à me servir de ton cul comme vide couille ?
– J’aimerai… mais non. Allez encule moi mon beau fils chéri…

Elle écarte ses fesses au maximum. Je prends le temps d’att****r le lubrifiant dans la table de chevet, dépose une belle quantité directement sur son anus. Florence est devenue expert en plaisir anal, elle se masse quelques instants pour se lubrifié et se dilater un œuf. Je rentre sans crainte… étroite mais déjà accueillante… Je l’encule, en douceur, profondément, elle adore, c’est presque tendre, elle gémit…

– Je sens toutes les veines de ta queue… remplis moi. Vide toi…

Elle est en sanglot, elle gémit et parle en jouissant.

– Je suis qu’un trou… j’adore être ton trou… j’adore être cette femme là… donne moi ton jus…
– Tu n’es qu’un trou… si je pouvais je t’attacherai au radiateur pour t’user à ma guise.
– Tu me le feras un jour s’il te plaît… ?
– On verra si tu le mérites…

Elle me plaît tellement quand elle est comme ça… je sens que je viens, elle écarte son cul, en sanglot mais souriante, je regarde mon sperme gicler, couler doucement dans son cul… je me finis, jusqu’à la dernière goutte…

– Tu m’as bien rempli… merci… je sens que je suis pleine…

elle saisit un mouchoir dans son sac avant de se relever, le met en boule sur son anus et remonte son pantalon.

– J’ai envie de le garder encore un peu…. J’irai à la douche plus tard…

Je l’embrasse à pleine bouche et file à la douche. Émilie est rentrée quand je sors de la salle de bain… Nous prenons l’apero et commandons notre traditionnel dîner. Émilie prétexte de mal dormir ces derniers jours et demande à sa mère si elle prend toujours son somnifère puissant. Florence lui répond qu’elle en prend toujours mais plus rarement.

– Je pourrai en prendre un ce soir ?
– Oui, enfin arrête de sortir autant ma fille, tu seras moins décalée et dormirai normalement !

Émilie va prendre sa douche et me demande de choisir un film. Je l’entend entrer dans la douche. Florence se rapproche de moi dans le canapé et me chuchote :

– Je suis trempée…
– La ? Pourquoi donc ?
– J’assume de plus en plus d’être ton esclave… je sens ton sperme qui a coulé de mon cul… je sens que je baigne dedans…
– Tu es de plus en plus trash…
– Ça te gêne que je l’assume ?
– Au contraire…
– Faut il que je prenne le somnifère aussi ce soir ?
– Non… je préfère pas.
– Tu ne vas pas me laisser m’endormir sagement j’espère…
– Je ne peux compter que sur toi ce soir… je compte bien en profiter. Puis c’est ça que tu aimes… Être prise chez ta fille…

Nous dînons devant le film, c’est notre petite tradition quand belle maman est la. Émilie demande à sa mère combien de temps faut il prendre le médicament avant de sombrer… Florence lui répondit qu’il était préférable de le prendre pendant le repas, qu’il faut une bonne heure pour qu’il fasse effet. Étrangement, je me souviens qu’il est beaucoup plus rapide que ça. Je la regarde interrogatif, je n’ai comme réponse qu’un sourire en coin et un regard qui pue le cul. Pas de doute, elle veut que sa fille se couche tôt pour que je puisse profiter de sa mère… Emilie se lève pour débarrasser et me demande de l’aide. Je l’accompagne dans le cuisine.

– Je suis déjà fatiguée alors que je l’ai pris il y a à peine un quart d’heure… je vais me coucher directement… tu veux bien essayer un truc pour moi ?
– Dis moi.
– Et bien, la dernière fois que maman en a pris un, tu te souviens de ce qu’on a fait hein ?
– Oh que oui…
– Et bien, bon, évidemment tu vas pas la baiser sans moi c’est interdit tu sais. Elle ne voudra pas ! Mais si elle s’endort, tu pourras me faire l’amour, même discrètement, j’aimerai bien voir si tu es vraiment ailleurs, ce que tu ressens etc…
– Mais avec joie ma chérie, avec joie !
– Discret on a dit !

Pour les lecteurs qui l’ignorent, je vis dans un grand studio ou le lit et le salon ne sont pas si éloignés que ça…

– Maman, je tiens plus je vais me coucher avant de m’endormir dans le canapé.
– On finit le film ça te dérange pas le son de la tv ?
– Non non, dit elle en se glissant sous la couette.

Quelques minutes après, je lui demande à quelle heure je la réveille demain. Elle dort déjà… le film tourne encore, je regarde Florence et lui dit à voix basse :

– Elle m’a demandé de lui faire l’amour, voir si elle se réveille, si elle sent que je la prends pas…
– Maintenant ?
– Non … on a encore le temps.. Tu veux te coucher tout de suite ? On est d’accord qu’elle ne va pas se réveiller tout de suite !?
– A moins de la stimuler, elle est partie jusqu’à demain oui…
– Déshabilles toi.

Florence ne se fait pas prier. Elle baisse et retire son pantalon de pyjama.

– Le haut aussi ?
– Tu aimes l’interdit, l’immoralité. Être à poil dans l’appartement de ta fille qui dort devant son copain est une bonne base pour continuer la soirée…

Elle assume plus en plus ses envies, elle est de plus en trash et directe. J’adore… Elle s’épanouie. Je ne la force à rien… enfin cela dépend, mais elle sait qu’elle à le droit de dire stop. Je l’ai emmené bien plus loin que je ne l’aurais imaginé. Au mieux je pensais la baiser une ou deux fois, la choquer par mes fantasmes parfois très pervers, mais c’est elle qui m’accompagne toujours plus loin. Je prends du recul. Nous sommes un soir de semaine chez moi. Ma petite amie dort, sa mère est nue dans le salon à quelques mètres, sans la moindre appréhension d’être vue.

– Que penses tu de cette situation belle maman ?
– C’est la première fois que je suis nue dans la même pièce alors qu’elle ne porte la cagoule. J’en ai la boule au ventre, d’excitation. Elle pourrai se réveiller quand même… j’ai très envie que tu me redonnes une dose de ton jus.
– Tu dis ça d’une manière si banale maintenant …
Je baisse mon caleçon.
– Arrêtons de parler un peu, suce moi c’est ce que tu veux non ? Avant ça, sers toi dans le premier tiroir de la commode.
Florence la regarde et ouvre le tiroir en question. Elle me lance un grand sourire sans un mot.
– J’ai cru comprendre que tu aimais souiller la lingerie de ta fille…
Je me reconcentre un instant sur le film et la voit partir vers la salle de bain, une boule de tissu en main. Elle en ressort quelques minutes plus tard. Elle porte soutien gorge, culotte et bas noirs.
– Tu es magnifique comme ça. Maintenant viens. Te baiser nue est tout de même d’un banal alors que maintenant que tu portes ses sous vêtements… c’est autre chose.

Elle se met à genoux entre mes cuisses au pied du canapé, fais glisser mon caleçon et prend ma queue en bouche. Dans l’axe de mon regard j’ai Florence qui me suce et Émilie qui dort derrière. Il suffirai qu’elle ouvre un œil pour voir sa mère en chienne docile.
Florence est tendre, leche mes couilles avec douceur… tape mon gland sur sa langue en me regardant dans les yeux. De temps en temps elle prend le temps de tourner la tête s’assurer que sa fille dort.

– Tu aimes me sucer dans les vêtements de ta fille… je veux que tu la regardes, fixement pendant que tu suces.

Je me lève, la guide jusqu’à la tête de lit. Je m’appuie sur le mur, Florence est obligée d’avancer sa tête au dessus du lit. Émilie dort profondément. Florence la regarde intensément, elle est en sorte de transe. Elle suce sans s’arrêter. Maman chienne que tu es… elle ne répond pas, me fixe dans les yeux, passe sa langue intensément sur mon frein. Je bande dur… Très dur. S’en est assez du soft, elle n’est pas la pour ça… je la saisis pas les cheveux qu’elle avait pris soin d’attacher. Elle se laisse traîner jusque dans la cuisine.

– Tu aimes ça te faire traîner par les cheveux on dirait…. ?
– J’aime être ta chose… quand tu me soumets à tout.

J’att**** mes cigarettes et ouvre la fenêtre de la cuisine. Je la guide par la queue de cheval jusque sous la fenêtre. J’allume ma cigarette, plaque ta tête contre le mur.

– Garde la tête contre le mur, laisse tes mains au sol, Branles toi si tu veux. ouvre la bouche. Tu ne vas être qu’un trou le temps de ma cigarette, d’accord ?
– Je fais ce que tu veux…

Elle est immobile, a genoux, figée…. Je baise sa bouche, assez doucement mais profondément. J’aime quand elle est soumise ainsi… j’habite dans les derniers étages j’ai une vue plongeante sur les appartements où la plupart des lumières sont allumées. Je vois des couples qui regardent la télé, un étudiant qui revise.. Je suis dans le noir, personne ne me voit baiser la gorge de Florence en silence…

– Tu es le meilleur des trous belle maman. Je te baiserai tous les soirs si j’étais ton mari…
– J’aimerai pouvoir te laisser te vider tous les jours…
Je meurs d’envie de la prendre. Je l’att**** par l’épaule, la relève, la retourne et lui impose la levrette, sa tête hors de la fenêtre.
– Il fait nuit… personne ne te voit…

Je baisse sa culotte au niveau des cuisses, c’est suffisant. Elle est trempée, je la pénétre directement, sans difficulté… elle retient un gémissement… je lui demande de ne pas faire de bruit… j’entends son souffle qui résonne presque dans la cour de l’immeuble.

– Tu aimes te faire baiser quand t’as fille dort ?!
– Oui…. C’est honteux… je voulais baiser tous les mecs qu’elle a ramené…
– Petite pute que tu es…. Ils te plaisaient tous !?
– Non… Je m’en fiche… je voulais juste qu’ils me baisent … tu es le premier à avoir essayé de me baiser, et tu me donnes tellement. Vas y defonce moi un bon coup la…

Je la saisis par les hanches et la pilonne. Son cul claque à chaque aller retour.

– Putain tu me prends fort.. Si Émilie dort pas, elle ne peut que deviner que tu me defonces….
– Découvrir que sa mère se tape son mec… découvrir que tu portes sa culotte…. Que tu es une chienne soumise… que tu profites qu’elle dorme pour te faire baiser. Allons voir si elle dort d’ailleurs. Déshabille toi entièrement, range les sous vêtements dans la commode.
– La culotte est trempée David.
– Range la..
Je suis vicieux au point de mettre un spray de mon parfum sur Florence.. Elle me demande pourquoi. Je m’assois dans la méridienne au pied du lit où dort Émilie.

– Tu as dis que tu étais stone si on te réveillait après avoir pris ce somnifère.. Autant qu’elle pense que c’est moi. Prepare la pour moi….
– J’ai peur de ne pas comprendre…

Emilie est en nuisette et culotte. Enfin, c’est ce que je pensais… je m’assois au bord du lit .

– Si elle réveille trop, couche toi au pied du lit.
J’éteins la tv, l’appartement est quasiment dans le noir total. Émilie dort sur le ventre. Nous chuchotons.
– Dis moi quoi faire… je suis tes consignes…
Je lève la couette de moitié. Les jambes et les cul d’Emilie sont offerts au regard. J’impose une fellation à Florence en lui demandant de regarder le cul de sa fille. Elle est encore à genoux au pied du lit.
– Leche la. Ecartes ses fesses et plonge ta bouche. Elle ne porte même pas de culotte…
Florence se hisse sur le lit, reste à genoux, ouvre le cul d’Emilie tout doucement.
– Merci… tu m’offres un moment incroyable la…
– Leche bien ta fille Florence … assumes…. Assumes….

Elle m’offre un dernier regard avant de plonger sa langue sur l’anus d’Emilie qui ne réagit pas. Je me branle en observant cette scène…. Mere et fille dans un rapport des plus tabous… i*****l…. Je touche la chatte de Florence, trempée… je vois que Florence y va doucement, j’en profite pour me glisser derrière elle qui m’offre son cul au bord du lit. Je la prend en douceur, sans à-coup. Pas un mot échangé. Je la prend pendant qu’elle leche sa fille.

Je tends le bras et allume la lumière. Elle lève la tête et me regarde les yeux écarquillés.

– Elle dort… laisse moi profiter de cette vue incroyable…

Florence se décalle légèrement, me montre l’anus de sa fille, du bout de la langue elle le leche en me regardant pendant que je la prend.

J’ai envie de jouir devant cette scène incroyable… je me retire avant qu’il soit trop tard. Je fais signe à Florence de se mettre au coin du lit, prête à se cacher si besoin. Je retire entièrement la couette et la jette au pied du lit. Je force Émilie à se mettre sur le flanc dos à sa mère. Je baisse une bretelle de la nuisette et libère un sein. Je veux la prendre négligemment. Avant de continuer je prends le temps d’éteindre la lumière.

– Mon amour ?
Pas de réponse… Florence a bien mouillé l’entrée de sa fille… je m’enfonce doucement en la tenant par la hanche. Je fais quelques vas et viens avant d’entendre la profonde respiration d’un corps qui se réveille.

– Tu sens ma queue mon amour…. ?
– Hum…
– T’es loin la …. Tu veux que j’arrête ?

Florence regarde la scène silencieusement.

– Non… vas y… doucement…

Je la prends doucement mais je n’en peux plus… j’ejacule avant d’avoir pu me retirer. J’ai l’impression qu’emilie s’est déjà rendormie. Je saisis la main de Florence et lui demande de lecher sa fille à nouveau. Elle n’a pas vu que j’ai joui. Elle est à découvert, levant la cuisse de sa fille pour mieux la lecher. Elle a un léger sursaut quand elle réalise qu’elle récupére aussi mon sperme. Je pensais que ça la fera reculer, il n’en est rien, elle s’applique à lecher., aspirer.Sa fille respire à nouveau, elle sent ces coups de langue….
Je récupère la couette et la replace sur Émilie. Nous allons à la salle de bain. Florence a la bouche trempée, parsemée de mon sperme.

– Regarde toi dans le miroir. Tu t’es souillée comme une grande….
– C’était trop court… mais que c’était Bon… je peux rester nu pour la nuit ?
– J’allais te le suggérer… trop court dis tu ? J’ai joui dans ton cul et tu as récupéré ma semence directement depuis les lèvres de ta fille… court peut être mais je n’ai pas l’impression d’avoir été soft pour toi ce soir…

Nous retournons dans le salon, j’ouvre le canapé lit, elle se couche directement. Elle me retient par le caleçon et commence à me sucer…

– Arrete…
– Deux minutes pour te rincer…
Je n’arrive plus a bander décemment mais elle s’obstine. Je me retire de ses griffes et file me coucher à mon tour…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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