Histoires de sexe arabes Premières histoires de sexe

Le poker du cocu …

Le poker du cocu …



Elle s’appelle Ludivine. Nous nous connaissons depuis 6 ans maintenant. Nous habitons ensemble depuis quelques mois seulement, pour un bonheur partagé. J’ai mis très longtemps à me décider à partager ma vie avec elle. Pour différentes raisons, plus ou moins valables, que les célibataires endurcis comme je l’étais comprendraient sans doute.
Sans être un coup de foudre, j’ai tout de suite été attiré par elle. Pour être tout à fait exact, j’ai été tout de suite attiré par ses fesses. Non pas que le reste de son anatomie soit passé inaperçu, mais j’ai toujours eu un faible pour les jolies fesses, bien galbées. Beaucoup disent, sans doute pour rester politiquement correct ou pour passer pour des gentlemen, que la première chose qu’ils regardent chez une fille, ce sont ses yeux, sa bouche, ses jambes… Désolé, mais pour ma part, ce sont les fesses, ainsi que l’éventuel string qui les habille et qu’on peut quelquefois deviner. Pour Ludivine, il n’y eu pas d’exception à la règle, et je fus littéralement hypnotisé par son postérieur.
Il y a 6 ans, le port du string n’était (hélas) pas encore aussi courant qu’aujourd’hui. Mes yeux rivés sur ses fesses dès que je le pouvais ne cessaient de chercher le moindre indice, la moindre marque qui aurait pu révéler le type de sous-vêtements qu’elle portait. Par chance, je lui plaisais également, et j’eus la réponse à toutes mes questions peu après : Ludivine ne portait que des strings. Et je ne me lasse toujours pas de la voir déambuler devant moi en string et soutien-gorge ; ou sans… Je dois dire que je suis gâté : non seulement elle a des fesses sublimes, mais le recto vaut largement le verso. Elle se fait épiler presque intégralement, ne laissant qu’une fine toison au-dessus des lèvres. Lèvres qui sont d’une extrême douceur, jusqu’à l’anus, lui aussi très doux… Un régal !
Ludivine est très coquine. Comme tous les hommes, j’aime les filles douées d’un certain talent lors de parties de jambes en l’air, mais entre les nymphos (ce n’est pas mon trip) et les trop réservées (encore moins), il y a un juste milieu difficile à trouver. Ludivine est tombée naturellement pile dans la bonne case. Outre ses qualités de femme, elle sait se transformer en amante dévergondée et me faire perdre la tête comme aucune autre précédemment, sans mettre de côté son propre plaisir, auquel j’apporte toute mon attention. Cela dure déjà depuis 6 ans, et j’espère que cela va durer encore pas mal de temps.
Nous avons atteint une complicité que je pense rare au sein d’un couple. Nous discutons librement de nos désirs, de nos envies, et nous les réalisons souvent de concert. Même si quelquefois elle hésite un peu à suivre mes délires, emportée par l’élan et pour peu qu’elle ait bu un verre ou deux, elle se lâche.
Un soir que nous faisions l’amour (en levrette, c’est sa position préférée), je lui parlais d’un de mes fantasmes : faire l’amour à trois, avec un autre homme, ou du moins qu’elle se fasse prendre par un autre que moi, sous mes yeux. L’excitation commune due à notre activité du moment fit que nous délirâmes sur un possible scénario, ma foi très prometteur. Cela faisait également partie de ses propres fantasmes, m’avait-elle dit à ce moment-la. Malheureusement, lorsque nous en avons rediscuté un peu plus tard, plus tranquillement, elle me fit part de ses craintes. Elle avait peur de casser quelque chose entre nous, que je ne la regarde plus de la même façon après. En deux mots, que cela tue notre amour et nous conduise à la rupture.
Je ne pensais pas que cela puisse nous amener à cette extrémité. Certes, je n’étais pas certain de ma propre réaction au moment de la voir possédée par un autre. Entre le fantasme et la réalité, il y a un monde. Mais j’étais sûr que cette situation m’exciterait au maximum, et pour moi la jalousie n’aurait pas sa place. Puisque c’était un de ses délires également, pourquoi pas. Elle n’était qu’à demi rassurée, et ajouta :

— « Si je devais le faire, ce serait avec deux autres hommes, sans toi. »

Ça faisait une grosse différence ! Là, elle me trompait ; alors que ce que je lui proposais, c’était partager nos ébats et apporter du piment dans notre vie sexuelle. Ça n’avait pas suffit à la décider. Dommage…
Le temps passe. L’été arrive. Je devais partir quelques jours sans elle pour une randonnée en vélo au cœur des Alpes. Comme d’habitude, elle fait un peu la tête. Elle me dit que puisque je l’abandonnais, elle irait rejoindre des copains et copines dans la maison qu’une grand-mère de l’un d’eux laisse à sa disposition pour l’été. Une maison sympa, non loin de la mer, avec piscine et tennis. Tous ont aux alentours de 25 ans, plus ou moins célibataires, filles comme garçons. J’ai confiance en Ludivine, pas de soucis à avoir.
Nous étions donc chacun de notre côté, à nous appeler tous les soirs. Ils étaient une dizaine, certains en couple, d’autres célibataires. Elle me les avait plus ou moins décrits, l’ambiance « étudiante » très sympa, les soirées à n’en plus finir autour d’une bouteille, les baignades nocturnes… En deux mots, elle s’amusait bien. J’en étais plutôt content, ça m’éviterait un accueil glacial à mon retour. Retrouvailles qui se passèrent extrêmement bien d’ailleurs, très chaudes pourrait-on même dire.
Quelques jours plus tard, lors d’une soirée un peu arrosée avec des amis et alors que nous avions déjà abordé des sujets assez légers, elle raconta innocemment qu’elle avait récemment fait un strip-poker, et qu’elle avait trouvé ça sympa et excitant. J’avais ouvert de grands yeux. Où ? Quand ? Comment ? Avec qui ? Je ne voyais qu’une possibilité, ce devait être avec ces fichus amis quelques jours plus tôt ! Sans moi ! Et elle ne m’en avait rien dit !
Nos amis partirent, Ludivine m’attira directement dans la chambre et me sauta littéralement dessus, en arrachant ses vêtements et les miens. Excité, mais curieux d’en savoir un peu plus sur cette partie de strip-poker, je lui demandai de m’en dire un peu plus. Elle hésita un peu, m’embrasse goulûment et tout en dirigeant ses mains vers mon sexe tendu à l’extrême pour me prodiguer de divines caresses dont elle a le secret, elle me raconta tout.
Tout avait commencé par un dîner copieusement arrosé, qui s’était poursuivi tard dans la soirée. C’était l’été, il faisait chaud, tout le monde était vêtu légèrement. Elle-même ne portait qu’un T-shirt moulant et un short tout aussi moulant, qui met admirablement ses fesses rebondies en valeur. Les discussions déviaient inévitablement vers le sexe, les esprits s’échauffaient… jusqu’à ce que le maître des lieux (le fameux petit-fils de la propriétaire), célibataire en manque apparemment, ne leur propose un partie de strip-poker.
Sans surprise, tous les garçons étaient enthousiastes. Les filles, un peu moins. Mais l’ambiance était bonne et elles s’étaient presque toutes laissées convaincre. Au final, il y avait cinq garçons et trois filles à s’asseoir autour de la table de jeu. Les plus timides qui avaient refusé l’invitation se tenaient néanmoins tout près, pour profiter du spectacle sans le moindre risque de devoir dévoiler leur corps. Les règles étaient simples et on ne peut plus basiques, un vêtement à retirer pour le perdant. Personne n’est dupe : dans ce genre de jeu, le but est de découvrir les filles totalement nues. Ils n’ont pas été déçus.
Mon érection était à son maximum pendant le récit de Ludivine. J’étais allongé sur le dos, elle, sur le flanc contre moi, sa main droite caressant habilement mon sexe, du gland jusqu’aux testicules. J’avais les yeux écarquillés et le cœur à 180, le cerveau en ébullition à imaginer la scène. Ludivine restait les paupières fermées et parlait à voix basse, calmement, comme pour mieux revivre ces moments. L’accord était parfait, moi excité par son récit et elle désireuse de se confesser en me procurant du plaisir.
Le jeu avait commencé. Les premiers perdants s’effeuillaient. Entre gêne et excitation, chaque joueur était fébrile. Trichaient-ils ou était-ce simplement la chance, les garçons semblaient avoir de meilleures mains que les filles. Ludivine était celle qui s’en sortait le mieux. L’une de ses amies avait déjà dû quitter son top, sa jupe et son soutien-gorge, et s’accrochait à sa culotte de toutes se forces. Culotte qui n’était pas très sexy aux dires de ma chérie, d’ailleurs. Les yeux des garçons étaient davantage captivés par l’autre fille, qui arborait fièrement un coordonné noir en dentelle, soutien-gorge à balconnet et tanga. Ludivine avait encore sont T-shirt, et ne s’étant pas levée pour quitter le plus discrètement possible son petit short, personne n’avait remarqué qu’elle portait, comme à son habitude, un string plutôt minimaliste et transparent.
J’avoue qu’à ce stade, mon excitation redoublait. Je connais tous ses ensembles de lingerie par cœur, et celui qu’elle me disait porter ce soir-là faisait partie de mes préférés. Il a malheureusement disparu aujourd’hui, mais a été remplacé par des modèles tout aussi sexy. Toujours est-il que de savoir qu’elle allait très probablement révéler de tels dessous à ses compagnons de jeu me tendait encore plus le sexe, toujours délicatement caressé par les doigts de ma fée.
Plutôt chanceuse jusque-là, le sort s’acharna sur Ludivine. Les garçons, moins dévêtus, n’attendait que ça. Deux des filles avaient déjà montré leurs dessous, l’une d’elle ses seins, seule Ludivine cachait encore sa poitrine. Le tour suivant fut fatal à son top. La surprise fut de taille pour l’attablée. Non-seulement elle exhibait ses seins joliment soutenus par de la fine dentelle blanche, mais du coup elle ne pouvait plus cacher son petit string. C’est d’ailleurs une des filles qui ne participait pas au jeu qui vendit la mèche. Assise derrière Ludivine, elle était aux premières loges s’exclama :

— « Waouh, regardez le string de Ludivine! »

Les garçons firent un bon pour regarder par-dessus la table. Après un court silence certainement dû à la surprise, tous y allèrent de leurs compliments. Certains firent le tour de la table pour admirer les fesses de ma belle si joliment et si peu habillées. Les filles aussi regardaient avec insistance, comme étonnées qu’on puisse porter ce genre de lingerie aussi naturellement. Ludivine m’a avouée avoir été un peu gênée, mais fière de susciter autant d’émoi dans l’assistance. Emoi assez visible chez les garçons, ceux qui étaient en caleçon pouvant encore moins facilement cacher leur érection que leurs acolytes qui se replaçaient plus ou moins discrètement le sexe sous leur pantalon ou leur short devenus un peu trop étroits.
La partie continue dans une ambiance surchauffée. La fille qui ne portait plus que sa culotte perd de nouveau et doit donc se résigner à la quitter. Rouge comme une pivoine, elle la fait glisser sur ses fesses et le long de ses jambes, se soulevant le moins possible de sa chaise, et la pose sur la table à côté de ses autres vêtements. Sous les sifflets des garçons, déçus de n’avoir qu’à peine entrevu le début de la toison de la perdante, la solidarité féminine s’organise. Les deux autres filles rappellent les règles définies au départ : on se dévêtit, d’accord, mais jamais il n’a été dit qu’il fallait s’exhiber nu devant tout le monde. Les sifflets se font de nouveau entendre. Les filles rétorquèrent qu’ils feraient moins les fiers dans la situation inverse si un garçon perdait, et si elles lui demandaient de se montrer entièrement nu, le sexe probablement en érection.
Elles n’eurent comme réponse que des rires moqueurs de la part des garçons qui continuaient de réclamer un tour d’honneur à la vaincue. Toujours aussi rouge, la pauvre refusait vaillamment dans un rire gêné et honteux. En dernier argument pour se défendre, elle défia les garçons :

— « Allez-y, vous, mettez-vous à poil et je le ferais aussi ! »

L’un d’eux, le meneur de la bande et instigateur de cette partie, lui répondit :

— « Il fallait gagner. Tu as perdu, c’est trop tard ! »

Ludivine saisit la balle au bond.

— « Ça y est, elle est à poil. C’est ce que vous vouliez non ? Et elle n’a plus aucune possibilité de vous faire perdre et de vous voir la bite à l’air. Et nous, pas beaucoup plus, d’ailleurs. Donnez-lui une seconde chance, si vous êtes aussi beaux joueurs que ça ! »

Après un instant de réflexion et de concertation masculine, leur meneur lança :

— « Si vous êtes d’accord, les filles, on va un peu modifier les règles du jeu. Chaque perdant a droit à une deuxième chance. Pour cela, il ou elle doit faire le tour de la table et resservir un verre de rosé à chacun d’entre nous. À poil, bien entendu. Après quoi il ou elle pourra remettre ses vêtements et continuer de jouer. Ça vous va ? »

Les filles se regardèrent, et se dirent que c’était sans doute la seule chance de voir les garçons nus et surtout de rabattre leur caquet. La pauvre s’exécuta et se leva sous les acclamations des garçons pour entamer son tour de table. Elle avait un sexe, bien que taillé pour ne pas déborder du maillot, très touffu et noir. Toujours plus hardies, les remarques fusaient :

— « Aahhhh, je savais bien que je te verrais un jour à poil ! »
— « En tout cas, rien que pour ça je suis content du week-end ! »
— « Je rêve ou elle mouille !! »
— « T’as raison, elle a des mèches collées !!! »
— « Fais-nous voir comme tu mouilles !!! »
— « Allez !! Écarte tes cuisses !!! »

La pauvre avait heureusement fini son gage et se rassit toute honteuse. Tout le monde avait bien rit, les filles compris. Ludivine me dit qu’elle avait effectivement remarqué que sa copine avait le sexe trempé. Comme quoi, derrière la honte apparente, l’excitation n’est pas loin. Pour les garçons, c’était clair. Tous bandaient, et ne s’en cachaient plus.
Elle se rhabilla et la partie reprit de plus belle. Les garçons se faisaient de plus en plus impatients de voir les autres filles perdre à leur tour. Peut-être par manque de concentration, un des garçon, le meilleur copain du logeur, célibataire lui-aussi, perdit deux fois de suite et a dû se plier à la même sanction. Les filles s’en donnèrent à cœur joie en le voyant se balader le sexe fièrement dressé, un peu fanfaron, mais visiblement un peu gêné tout de même. Les remarques des filles fusèrent :

— « C’est tout ? »
— « Tu ne risques pas de prendre la foudre ! »
— « Tu peux vraiment pas faire mieux ? »
— « Il y a encore tes empreintes digitales, là ! »
— « Tu m’étonnes. Il doit même avoir des ampoules sur les mains ! »

Les filles s’en donnaient à cœur joie. Le sexe était de taille tout à fait standard, mais toutes les filles savent à quel point les hommes attachent de l’importance à la taille de leur sexe, et savent donc à quel point ils sont susceptibles sur le sujet. Elles tenaient leur revanche. La meilleure défense étant l’attaque, le pauvre répondit :

— « Attendez un peu, vous verrez de quoi elle est capable !! »

Après de nouveaux rires, la partie reprit. Les filles tenaient leur revanche. Le score était à 1 partout. Deux tournées supplémentaires de rosé avait été consommées. Les esprits étaient de plus en plus chauds. Les garçons résistaient, les filles perdaient. Les trois filles étaient maintenant en culotte, la première perdante n’ayant pas de meilleures mains qu’auparavant ; les deux autres avaient connu un échec de plus chacune. Les garçons attendaient surtout des nouveautés, c’est à dire de voir les deux plus coriaces vaincues à leur tour.
Ce fut Ludivine la première. Les garçons ouvrirent de grands yeux lorsqu’elle se leva pour ôter son string.

— « Wouahhh !! Elle a la même chatte que les filles des films de cul !!! »
— « Putain… C’est la première que j’en vois en vrai… »
— « On peut toucher ? »
— « Elle aussi, elle mouille à bloc !!! Regardez !!! »

Elle était effectivement très excitée. Le vin avait fait voler en éclat ses dernières inhibitions, à présent elle s’en fichait de se balader à poil devant ses amis qui l’examinait à s’en décoller la rétine. Elle me confessa même avoir volontairement écarté un peu les cuisses pour faire admirer sa coupe et ses lèvres lisses. Les filles aussi étaient surprises de cette épilation. Il est vrai qu’il y a quelques années, c’était encore rare.
Les garçons bandaient comme des fous. Les deux plus téméraires ont tenté des caresses sur ses fesses et son sexe qu’elle n’a pas vraiment esquivées. Moi aussi je bandais comme un fou. Le délice de ses caresses ne faisait qu’accentuer mon érection. Je l’écoutais, toujours captivé par son récit. Le cœur toujours à 180 pulsations. La jalousie pointait le bout de son nez, mais c’était surtout la frustration de ne pas avoir assisté à cette scène qui me travaillait. Je n’étais pourtant pas au bout de mes surprises.
Elle s’était levée et remplissait les verres de ses compagnons de jeu. Sans oublier le sien. La bouteille fut vide avant que tout le monde ne soit servi. Elle se dirigea alors vers la cuisine pour y reprendre une nouvelle bouteille. Les garçons continuaient leurs commentaires sur le sexe de Ludivine et son corps maintenant totalement exposé aux regards. Apparemment sous le charme, les propositions se succédaient. Chacun vantait ses qualités et surenchérissait le programme pour avoir les faveurs de ma belle. Devant ses refus, l’un lança :

— « Fais-nous une démonstration au moins ! Fais-nous voir ta chatte mieux que ça ! »

Ludivine se mit face à eux, prit la bouteille vide, fléchit un peu les genoux, et fit glisser le goulot dans son sexe trempé. Il s’enfila d’un trait tellement elle mouillait. Sous les applaudissements et les encouragements, elle fit quelques allers et retours avec le goulot, avant de le retirer et d’entrer dans la cuisine comme si de rien n’était.
Les garçons avaient compris qu’un palier avait été franchi. L’atmosphère devenait de plus en plus électrique. L’alcool avait fait son effet sur tout le monde, toutes les gênes avaient disparu.
Lorsque Ludivine réapparut, une bouteille fraîche à la main, une nouvelle proposition se fit entendre :

— « Et avec celle-là, ça marche aussi ? »

Ludivine réédita sa démonstration, mais retira rapidement le goulot, surprise par le contact froid du verre.

— « Et dans le cul ? »
— « Ça devrait si on me prépare le passage… » Répondit Ludivine.

Cette réponse précipita tout le monde dans la folie. Les garçons bandaient comme des fous, les filles étaient toutes très excitées, et cette invitation ne resta pas sans réponse. À peine Ludivine avait-elle fini sa phrase que le meneur la prit aux mots :

— « Mets-toi sur la table, je vais te le préparer, moi, le passage. »

Ludivine ne s’est pas dégonflée et, sans rien dire, est montée sur la table et s’est mise à quatre pattes les fesses devant le nez du gars.
J’étais fou d’entendre une chose pareille. Ma Ludivine, entièrement nue, exposant son sexe et son anus épilés à quelques centimètres du visage d’un mec en manque prêt à sauter sur tout ce qui bouge. Pourtant je restais très excité par ce récit. Elle se releva et vint sur moi pour s’empaler directement sur mon sexe. Elle était trempée. Elle montait et descendait doucement, je tenais ses fesses dans mes mains, laissant glisser mes doigts sur ses lèvres écartées. Toujours avec le même calme et aussi posément, Ludivine continua de me raconter sa folle soirée.
Elle se cambra un peu, comme pour mieux inviter son partenaire de jeu à répondre au défi. Il posa aussitôt ses mains sur les fesses de Ludivine pour les écarter un peu plus encore et fourra sa langue sur l’anus de ma femme. Elle ferma les yeux et se laissa faire, comme si elle n’attendait que ça. Il déborda largement de l’anus, pour passer sa langue sur les lèvres dégoulinantes et offertes. Sa langue forçait l’étroit passage, revenait dans son sexe, pour mieux retourner vers l’anus. Il se régalait, elle aussi. Les autres ne disaient trop rien mais regardaient Ludivine dans cette position indécente au possible, goulûment léchée. Après quelques minutes, un des spectateurs rappela tout le monde à l’ordre :

— « Eh, n’oublie pas que tu dois voir si la bouteille rentre dans son cul ! » Dit-il en lui tendant la bouteille.

Le lécheur s’en saisit, colla le goulot sur l’ouverture brune de Ludivine, et poussa doucement en faisant tourner la bouteille. Le contact du verre froid sur cette partie si sensible la fit sursauter. Pourtant elle garda sa position et le goulot s’enfonça lentement. Elle appréciait beaucoup et poussa quelques petits soupirs. Le meneur de la bande passa le relais à son copain avant de partir en courant vers la cuisine. Celui-ci remua la bouteille et la fit entrer et sortir, comme pour admirer la dilatation de l’anus de Ludivine et mieux entendre ses soupirs à chaque nouvelle pénétration.
Pendant ce temps-là, le premier était de retour de la cuisine, le caleçon tendu vers le ciel, une autre bouteille à la main.

— « Ça rentrait tout à l’heure, ça devrait encore rentrer » Dit-il.

Il apposa le goulot perlé de buée sur le sexe de Ludivine. Lubrifié comme il l’était, le goulot entra d’un seul coup. Imaginez la scène : Ludivine, à quatre pattes sur la table, une bouteille dans les fesses, une autre dans le vagin, agitées pas deux mecs excités comme des bêtes en rut, et des paires d’yeux pétillants tout autour de la table. Elle s’en fichait. Elle prenait du plaisir, et c’était tout ce qui comptait pour elle à ce moment-là.
Je n’en revenais pas. Cette fille que j’aime, qui était en train d’aller et venir sur mon sexe était, il y a quelques jours seulement, la proie consentante de deux mâles lubriques. Et de ses propres dires, elle aimait ça.
N’ayant pas connus de refus à leurs tentatives jusqu’ici, les deux copains s’enhardissaient.

— « Qu’est-ce qu’on pourrait bien lui mettre dans la bouche, à cette cochonne ? »
— « Vous n’allez quand même pas me faire sucer une bouteille ! » Dit Ludivine entre deux soupirs.
— « Non, je pensais plutôt à ma bite ! »
— « Montres-la moi, que je vois si j’ai envie de la sucer. »
— « Tiens la bouteille ! » Dit-il à son copain.

Il fit rapidement le tour de la table, baissa son caleçon, et présenta son sexe au nez de Ludivine. Elle entrouvrit les yeux, toujours en proie au plaisir des pénétrations anales et vaginales, et regarda le gland turgescent quelques secondes. Puis elle le prit entre ses lèvres, passa sa langue tout autour, et l’avala entièrement. Il lâcha quelques râles de satisfaction, pris la tête de Ludivine pour guider la cadence. Elle se laissa faire, elle était offerte à 100%.
Depuis le temps que son excitation durait, il éjacula très rapidement dans la bouche de ma femme. Elle garda tout dans ses joues, jusqu’à ce qu’il ressorte son sexe. Toujours doublement pilonnée dans l’arrière-train, elle prit un verre au hasard et recracha le sperme.

— « T’avale pas ? »
— « Que celui de mon mec. »

J’étais effaré. Elle avait sucé un autre que moi, l’avait fait jouir dans sa bouche, et elle me racontait ça le plus naturellement du monde. J’aurais pu devenir rouge de rage. Pourtant mon excitation grandissait encore, et j’aimais son récit. Je me disais de temps en temps qu’elle devait me faire marcher, qu’elle n’avait pas pu faire tout ça. Mais je n’osais l’interrompre, de peur de couper le fil de l’histoire.
Le malheureux qui tenait les bouteilles les retira d’un coup et vint se placer devant Annabelle, le caleçon aux chevilles. Elle prit son sexe dans sa main, le branla doucement, puis ouvrit grand sa bouche et engloutit le gland rougi par tant d’excitation. Délaissée de l’arrière, elle se concentrait sur sa fellation et l’éjaculation ne se fit pas attendre. La sentant venir, Ludivine retira sa bouche, continua de branler ce sexe tendu et le sperme jaillit sur l’épaule et le dos de ma chérie.
Les autres garçons qui assistaient à la scène n’osaient pas bouger. Leurs copines étant présentes, aucun ne prit l’initiative de se lancer. Ils devaient pourtant en mourir d’envie. Ludivine prit les devants :

— « Eh les filles, vous n’avez pas honte de laisser vos mecs dans cet état ? Si vous ne vous en occupez pas, je vais être obligée de le faire ! »
— « Pas devant tout le monde ! » Répondit l’une d’elle.
— « Pourquoi ? On t’as vu à poil, tu peux bien nous monter comment tu suces ! »
— « Suces-moi, bébé, sinon je te promets que je saute sur Ludivine! »
— « J’aimerais bien voir ça ! »
— « Et bien tu vas voir ! »

Ni une ni deux, il fit voler ses quelques vêtements résiduels par dessus les fauteuils et s’approcha de Ludivine. Pour être plus à l’aise, elle descendit de la table, et se dirigea vers le canapé. Elle s’y enfonça, les fesses au ras des coussins, les jambes écartées. Il la suivit, le sexe tel une figure de proue et s’apprêtait à la pénétrer directement.
Ludivine le repoussa de la main. Sans préservatif, pas de pénétration possible. Malheureusement pour lui, il n’en avait pas. Décontenancé, elle lui prit la main, la dirigea vers son sexe et dit :

— « Caresses-moi le clito, lèches-moi ! »

Il s’agenouilla, s’inclina vers la minuscule touffe de poils de Ludivine lorsqu’il fut arrêté dans son élan par sa copine qui hurla :

— « Non mais ça ne va pas !! Je t’interdis de la toucher !! Viens ici que je te suce. »

Il hésita une seconde, et retourna vers sa copine qui attrapa son sexe à pleine bouche. Ludivine, restée seule, lançait des appels du regard à qui voulait bien s’occuper d’elle.
Les deux célibataires, qui avaient déjà retrouvé des forces, s’avancèrent, le sexe bien droit, en jetant une broîte de préservatifs sur la table. Le sourire aux lèvres, ils lancèrent :

— « Je suis une bouteille de rosé. »
— « Moi aussi. »

Ludivine sourit à son tour. Elle avait compris ce qu’ils voulaient, et y était prête. Mais elle les arrêta dans leur élan.

— « Je veux qu’on me lèche le clito. Moi aussi je veux jouir. »

Ils se regardèrent, l’un plongea entre les cuisses de Ludivine qui ne put retenir un très long soupir de plaisir. Elle avait refermé ses yeux pour mieux profiter du travail de cette langue qui fouillait son sexe et excitait son clitoris. L’autre se mit à genou sur le canapé et présenta son sexe devant la bouche de Ludivine. Elle l’ouvrit toute grande et le goba entièrement.
Les plus timorés, en vrais voyeurs, avaient maintenant du spectacle. Une folle de sexe qui se faisait lécher pendant qu’elle en suçait un deuxième, et une fille nue qui suçait son copain. Pourtant, ils ne se lançaient pas, mais ne cessaient de tourner la tête pour passer d’une scène à l’autre.
Ludivine continuait son récit, continuait également ses mouvements sur mon sexe, qui avaient un peu accéléré depuis tout à l’heure. Je lui tenais les fesses, saisissais ses seins, me demandant si tout cela avait bien pu se passer réellement. J’en doutais de plus en plus, ou plutôt j’essayais de me convaincre qu’elle n’avait pas pu me tromper d’une telle façon. Le moment était irréel, je suivais cette histoire comme si je lisais une histoire érotique, en m’imaginant tous les détails, les bruits, les voix. L’héroïne et principale actrice en était pourtant ma femme.
Sous les coups de langue, Ludivine finit par jouir. Elle relâcha alors le sexe qu’elle avait dans sa bouche pour mieux crier son bonheur. Les deux compères se relevèrent alors, la laissant reprendre ses esprits quelques instants. Le garçon qui se faisait sucer jouit à son tour dans la bouche de sa copine. Elle garda tout, et avala le sperme avec gourmandise jusqu’à la dernière goutte, sous les yeux de ses amis.

— « Vous pouvez me prendre maintenant » Dit Ludivine.

Toutes les têtes se tournèrent vers elle. Elle avait toujours les yeux fermés, et semblait attendre qu’on s’occupe d’elle. La broîte de préservatifs fut rapidement ouverte par les deux compères, qui enfilèrent prestement l’indispensable protection. Ludivine, la tête en arrière, les cuisses écartées, écartait ses lèvres avec ses doigts, appelant la pénétration. Le plus rapide des deux accourut vers elle, présenta son sexe à l’entrée de son vagin, s’agrippant au dossier du canapé. Il entra d’un coup, arrachant un petit cri à Ludivine. Elle releva ses jambes pour que la pénétration soit plus profonde. Sous les assauts de son amant, elle gémissait de plus en plus, les yeux clos, s’abandonnant totalement.
Le deuxième se trouvait un peu penaud. Il bandait fort, avait son préservatif en place, et devait se contenter de regarder Ludivine se faire sauvagement pénétrer par son copain. Les autres avaient les yeux rivés sur les acteurs. Aucun ne parlait, tous profitaient du spectacle.
Alors que Ludivine gémissait de plus en plus fort sous les coups de rein, on entendit :

— « Pousses-toi, laisses-moi la baiser ! »

C’était le deuxième larron qui réclamait sa part du gâteau.

— « T’as qu’à lui prendre le cul ! »
— « T’es marrant, je fais comment, t’es devant ! Pousses-toi alors, mets-toi autrement ! »

Il se retira du sexe de Ludivine, qui laissa échapper un soupir. Il la saisit par les bras pour la relever, s’assit au bord du canapé et la guida sur lui pour qu’elle s’empale sur son sexe. Ludivine n’avait pas ouvert les yeux. Elle se laissait guider comme un pantin, comme hypnotisée par les sexes dressés.
Elle replia ses jambes sur les coussins et commença à bouger sur le sexe qui la pénétrait profondément, les hanches fermement maintenue par les mains de son amant. Elle sentit alors deux autres mains sur ses fesses, et un doigt s’immiscer dans son anus. Elle râla doucement, arrêta un instant ses mouvements. L’autre en profita pour poser son gland sur l’anus de ma belle. Encore dilaté par le travail de la bouteille, le sexe entra sans difficulté.
Elle jouit aussitôt, comme électrocutée par cette nouvelle sensation. C’était sa première double pénétration. Emplie de partout, elle était comblée. Elle ne bougeait plus, elle criait sans retenue. Jamais elle n’avait ressenti pareil plaisir me disait-elle. J’écoutais toujours, pétrifié. Je bougeais en elle, sans pouvoir me détacher de l’idée que quelques jours plus tôt, deux hommes l’avaient pénétrée comme j’en rêvais moi-même.

— « Continuez les gars » Dit-elle après avoir retrouvé ses esprits.

Ils n’avaient pas vraiment l’intention de s’arrêter en si bon chemin. Ils bougeaient en alternance, son anus étant pénétré de plus en plus profondément. Elle s’était accrochée au cou de celui qui était en dessous pour se soulager. Elle bougeait aussi, pour amplifier encore les mouvements des sexes qui la pilonnaient. Partie dans son délire, elle s’exclama :

— « Je veux toutes vos bites ! Donnez-moi tous vos bites !! »

Les garçons lancèrent des regards interrogateurs à leurs copines, qui ne savaient pas trop quoi dire, un peu dépassées par les évènements. Un se décida, les autres suivirent. Les filles n’ont pas osé s’intercaler. Le champ était libre.
Rapidement nus, ils bandaient tous plus forts les uns que les autres. Trois nouveaux sexes se présentaient à Ludivine. Elle en prit un en main, le branla énergiquement, toujours animée par les sauvages pénétrations. Elle glissa sa main sous les testicules, les serra doucement, attira le gland vers sa bouche. Sa langue le prit, ses joues avalèrent toute la tige. Elle suçait maintenant ce nouveau sexe de toute son énergie.
Les deux autres en voulaient aussi. Ils s’approchèrent plus près de Ludivine, qui put saisir un autre sexe et le branler à son tour. Celui qu’elle avait en bouche ne tarda pas à avoir des convulsions et explosa, libérant tout son sperme. Elle ouvrit la bouche, laissa le sperme couler sur son menton et ses seins, montant et descendant toujours sur les deux sexes qui la remplissaient, branlant le dernier arrivé.
Elle entendit un puissant râle et sentit le corps sous elle se raidir. Elle s’arrêta, subissant toujours une sodomie de plus en plus violente. Lui aussi finit par céder, et dans un dernier coup dans lequel Ludivine s’est sentie perforée, il éjacula. Quelques secondes passèrent, elle ne bougeait plus. Elle lâcha le sexe qu’elle avait en main, s’enleva délicatement des sexes qui l’avaient si longtemps et si bien pénétrée.
L’anus et le sexe béants, du sperme dégoulinant encore sur son corps, Ludivine se leva, saisit les deux sexes encore virils dans chacune de ses mains et les entraîna vers un fauteuil. Elle s’y installa à genou, face au dossier, tendit sa croupe en arrière et dit à l’un d’eux :

— « Prends-moi par derrière, où tu veux. »

Elle lui laissait le choix. Il retourna rapidement à la table prendre un préservatif et l’enfila en revenant vers Ludivine. Elle suçait déjà le dernier à n’avoir encore pas eu ses faveurs. Ses testicules fermement tenues d’une main, elle le suçait goulûment. Elle sentit quelque chose frotter son anus et s’y engouffrer lentement. Les seins sur l’accoudoir du fauteuil, Ludivine caressait son clitoris de sa main libre.

— « Tu vois, il y en a qui aiment ça ! » Dit celui qui la sodomisait en regardant sa copine.

Celle-ci haussa les épaules et répondit :

— « C’est dégueulasse ! »
— « Non, c’est super bon. Je le conseille à toutes. »

C’était Ludivine qui donnait son avis sur la question. Elle ravala aussitôt le sexe qu’elle avait délaissée quelques secondes, et le pompait encore plus fort. Jamais elle n’avait eu autant de sexe d’hommes pour elle toute seule. Elle aimait ça.
Elle gémissait de plus en plus fort sous la sodomie qu’on lui administrait, l’obligeant par moment à arrêter sa fellation. Ce n’était que pour mieux branler ce sexe qui était sur le point de rendre les armes.
Les deux premiers à avoir pénétrés ma belle étaient toujours sur le canapé, à reprendre des forces. L’un se masturbait lentement, le sexe encore collant de sperme, l’autre avait retrouvé son érection. Ils regardaient Ludivine, lorsqu’elle reçut plusieurs jets de sperme sur le visage. Le pauvre ne pouvait plus retenir sa jouissance. Elle ferma les yeux, laissa le liquide visqueux couler sur son front et ses joues, profitant toujours de sa pénétration anale.
Ça ne dura pas longtemps non-plus. Lui aussi jouit bruyamment au fond de ses fesses. Elle sentit les contractions de ce sexe dans son anus, attendit quelques instants et le sortit elle-même délicatement de son logement.
Ludivine les avait tous soulagé en peu de temps. Deux avaient éjaculé sur elle, deux autres dans son anus, le dernier dans son vagin. Mais elle n’avait joui que deux fois. Elle se leva et regarda les garçons. Deux bandaient de nouveau. Le premier à avoir joui sur le visage de Ludivine rebandait lui aussi.
Elle se dirigea vers la table, se servit un verre de rosé, le vida d’un trait.

— « Je vous veux tous les cinq ensembles. »

Elle poussa les verres et les bouteilles de la table, s’allongea sur le dos, un pied sur une chaise, l’autre dans le vide. Les deux gars assis dans le canapé se levèrent. Les autres suivirent, ignorant leurs copines, restées un peu en retrait. Le temps d’ajuster un préservatif, et Ludivine était de nouveau possédée. Elle poussa un soupir, heureuse de sentir à nouveau un sexe dur dans le sien. Elle écartait ses lèvres pour faciliter une profonde pénétration. Un de ses doigts caressait son clitoris.

— « Faites-moi jouir, caressez-moi le clito ! »

Une main pris la place de la sienne. Elle avait refermé les yeux et s’abandonnait à nouveau à ses sensations. Elle avait les bras en croix sur la table, le sexe pilonné au plus profond de son vagin et le clitoris en feu.
On la prit sous les bras pour la déplacer plus au bord de la table. Elle sentit une main prendre la sienne et la diriger vers un sexe tendu. Elle s’en saisit à pleine main et commença à le branler. On fit de même avec son autre main, derrière sa tête. Elle branla cet autre sexe avec la même application.
Sa respiration s’accélérait, ses gémissements se faisaient de plus en plus insistants. Son clitoris lui procurait un plaisir immense, et les grands coups de sexe qu’elle recevait dans son vagin l’accentuaient encore davantage.
Ludivine sentit qu’on lui appuyait quelque chose sur les lèvres. Haletante, elle avait du mal à happer ce sexe qu’on lui tendait. Elle y parvint difficilement. Elle était obligée de relâcher sa fellation de temps à autre pour reprendre sa respiration et en profitait pour gémir bruyamment. Elle était heureuse, caressée, pénétrée, suçant et branlant. Elle avait des sexes partout pour elle toute seule. Elle adorait.
Un long râle accompagna l’éjaculation de celui qui la pénétrait. Elle continuait à sucer et branler les trois sexes qu’elle avait autour de sa tête. Les doigts sur son clitoris lui procuraient énormément de plaisir.
A ce moment du récit, elle se tut quelques secondes. Elle haletait sous mes mouvements. J’étais toujours aussi excité, je luttais contre l’éjaculation. J’ai hésité un instant et je lui dis :

— « Et alors ? »
— « Je suis folle de te raconter tout ça. Tu ne voudras plus de moi. »
— « Racontes-moi tout, je veux tout savoir. »
— « Tu es sûr. Je ne te dégoûte pas ? »
— « Continues. »
— « Alors prends-moi en levrette et caresses-moi le clito comme tu sais si bien le faire. »

Elle se dégagea de mon sexe, se mit les fesses en l’air, bien cambrée et attendit mon sexe. Je la pris d’un coup, me couchant un peu sur elle pour atteindre son clitoris de ma main gauche. Ludivine reprit son histoire. Ses phrases étaient un peu saccadées, suivant les allers et retours de mon sexe dans le sien. Elle s’attardait toujours autant sur les détails.

— « Je les branlais toujours, j’avais du mal à sucer l’autre tellement les doigts sur mon clito me faisaient du bien. Et puis celui que je suçais est parti. On m’a relevé les jambes et j’ai senti une bite se coller à mon cul. Elle a glissé doucement jusqu’au fond, je sentais ses poils sur ma chatte. C’était bon. Il a commencé à aller et venir lentement et a progressivement accéléré. Celui qui me titillait le clito faisait glisser ses doigts jusqu’à ma chatte. J’étais trempée, je sentais l’orgasme arriver. Ça montait, ça montait. On me bourrait profondément le cul, je branlais les bites comme une folle. Des mains me caressaient les seins et le ventre. Je n’osais pas ouvrir les yeux, j’avais peur de voir ce que je faisais. J’avais un peu honte. Mais c’était si bon. Bourre-moi mon chéri, caresses-moi, fais-moi jouir fort. »

Je faisais du mieux que je pouvais. J’étais moi aussi au bord de l’orgasme et je m’appliquais surtout sur son clitoris.

— « Après ça a été très vite. Le mec qui me bourrait le cul a accéléré comme une bête. Ça m’a fait décoller d’un coup. Je crois que j’ai gueulé comme une folle. J’ai reçu du foutre sur le visage. J’ai lâché les bites pour retirer la main de celui qui s’occupait de mon clito, il était devenu trop sensible pour supporter qu’on le touche. Il y eu un moment de silence. J’ai ouvert les yeux. Ils étaient tous autour de moi à me regarder. Celui qui me bourrait avait joui dans mon cul, un des deux que je branlais avait joui sur moi. Il en restait deux qui se branlaient. »

Ludivine se tut un instant. Entre deux coups de rein, je la relançais.

— « Qu’as-tu fait ? »
— « J’ai honte, tu peux pas savoir. »
— « Qu’est-ce que tu leur as fait ? »
— « Je leur ai demandé de me prendre par la chatte et le cul en même temps. J’ai tellement honte. »

Un des deux garçons s’était allongé sur le canapé. Ludivine lui enfila un préservatif et vint s’empaler les fesses sur ce sexe, dos à lui. Le temps que l’autre n’enfile à son tour un préservatif et il s’avança vers elle. À genou sur le tapis, il prit son sexe dans sa main pour le diriger entre les lèvres rougies de ma belle. Elle poussa un long soupir de contentement.
Ses deux amants commencèrent à bouger en alternance. L’un rentrait dans son vagin quand l’autre sortait de son anus. Elle était en appui sur les bras, légèrement penchée en arrière. Elle regardait le sexe lui pénétrer le vagin. Les mains de l’autre s’accrochaient à ses seins et jouaient avec ses tétons. Les yeux fermés, elle sentait un nouvel orgasme possible.

— « Caressez-moi le clito ! Caressez-moi !!! »

Une main passa d’un sein au clitoris. Ludivine le remercia et sentait la folie l’envahir.

— « C’était bon mon chéri, si tu savais comme c’était bon. Je leur ai demandé de me bourrer en même temps, que je sois remplie de leurs bites en même temps, dans le cul et dans la chatte. Ils l’ont fait. C’était magique. Celui qui me sodomisait a repris mes seins et abandonné mon clito. Je me suis caressée le clito comme j’aime et j’ai commencé à sentir que j’allais…… Aahhhh, je jouis ! Je jouis !! Je jouis !!!… Aahhhh, vas-y mon chéri bourre-moi fort !!!… Aahhhh……. »

Elle venait de jouir en même temps que moi. Je me suis affalé sur elle, mon sexe dans son vagin, en passant mes bras sous elle pour le serrer fort contre moi. Plusieurs minutes passèrent. Je ne disais rien. C’est elle qui brisa le silence en disant :

— « J’ai joui aussi fort que ça avec les deux autres. J’étais crevé. Je me suis décollée d’eux et je me suis écroulé sur le canapé. J’avais du sperme collé dans mes cheveux, sur mon visage, sur mes seins et mon ventre. J’avais la flemme de me lever pour prendre une douche. Ils me regardaient tous comme une bête curieuse. J’avais honte. Mais putain comme c’étais bon. Ça avait été fabuleux. »
— « T’as vraiment fait tout ça ? »
— « Tu crois que ça s’invente une histoire comme ça ? »

FIN

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire