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Une petite blonde en covoiturage

Une petite blonde en covoiturage



La fille était ponctuelle sur le lieu de rendez-vous. Les deux premières choses que je remarquai d’elle furent ses cheveux blonds, ondulés, et le mini-short en jean qu’elle portait. Découpé au-dessus de la base de ses fesses fines et fermes. Je me suis dit qu’une jeune nana qui faisait du covoiturage dans une tenue pareille avait forcément des idées derrière la tête.
Un t-shirt blanc uni, sans manche, et la bretelle d’un soutien-gorge noir qui dépassait. Un joli petit nez pointu et une bouche bien dessinée. Un petit accent du sud. Je mis son sac de voyage dans le coffre de ma voiture tandis qu’elle prenait place côté passager. Nous avions deux heures et demi de route à faire ensemble. Aucun autre voyageur. Il faisait un temps radieux. Le mini-short était de circonstance.

Au cours de la première demi-heure, on échangea des banalités. La fille s’appelait Elodie. Elle avait 20 ans et faisait des études de lettres modernes. Elle se rendait chez une amie qui habitait La Rochelle. Elle avait l’habitude de faire du covoiturage. J’aurais dû prendre un autre voyageur ce jour-là, mais il avait annulé la veille à cause d’un état grippal.
Régulièrement, je lorgnais sur les cuisses d’Elodie qui prenaient le soleil. Sa peau était assez claire, elle ne demandait qu’à bronzer. Elle avait des petits seins et, par moments, je distinguais le bord de son bonnet droit.
C’était la septième fois que je proposais à des inconnus de les emmener vers La Rochelle. Jusqu’alors, je n’avais eu qu’un seul plan sexe, avec une femme mariée qui avait deux ans de plus que moi, c’est-à-dire 49 ans. A dix kilomètres de notre destination, après avoir enlevé sa chemise et son soutif, elle m’avait sucé sur une aire de repos, sur mon siège. Ses nichons étaient pesants et tendres, je les avais malaxés tandis qu’elle me pompait en poussant des petits gémissements. J’avais déchargé dans sa bouche, mais du sperme avait coulé sur son menton et goutté sur mon ventre.

La perspective de me faire sucer par la jeune blondinette à mes côtés ne me déplaisait pas du tout. Et son mini-short continuait d’attirer mon regard. Je me demandais ce qu’elle avait eu en tête le jour où elle l’avait découpé dans un vieux jean. Pourquoi si court ?
Je me demandais aussi de quelle façon elle réagirait si jamais j’osais lui poser la question. Nous avions fait à peine cent kilomètres. Pressentant mes intentions, me demanderait-elle de m’arrêter immédiatement pour qu’elle descende ? Me retournerait-elle une baffe ? C’était risqué. C’était un coup à gâcher la suite du voyage.
Je me suis pourtant décidé.
J’ai attendu qu’elle ait fini d’écrire un SMS et je lui ai dit comme ça :
« Ce joli petit short, c’est toi qui l’as taillé ? »
Elle a baissé les yeux vers ses cuisses et répondu en les relevant :
« Oui. Vous le trouvez provoquant ? »
« Pas du tout. Pourquoi cette question ? »
« Parce que mon mec le trouve provoquant. Ma mère aussi. »
« A cause de tes fesses qui dépassent ? »
« C’est ça, dit Elodie. »
Son téléphone bipa. Elle lut son SMS et se mit à rédiger une réponse. Cela dura deux bonnes minutes. C’était au moins la quinzième fois depuis le début du voyage que ce satané appareil coupait nos dialogues. Je l’aurais volontiers balancé par la vitre.
Au cours d’un trajet précédent, une femme d’une trentaine d’années avait de même passé son temps à recevoir des messages et à y répondre. En trois heures, on ne s’était presque rien dit. Bonjour l’ambiance…
Elodie envoya sa réponse et releva les yeux vers la route en soupirant.
Puis elle dit :
« Il m’agace… »
« De qui parles-tu ? demandai-je. »
« De mon mec. Il est collant, c’est fatiguant. Je ne peux pas m’éloigner de lui sans qu’il me harcèle avec ses questions, putain… »
« Tu n’as qu’à éteindre ton téléphone… »
Je la vis hausser une épaule, puis elle répondit :
« Je suis aussi en dialogue avec la fille chez qui je vais. »
« Vous aurez pourtant tout le temps de discuter à ton arrivée, non ? »
« Oui, dit Elodie d’un air un peu las. »
Et ça bipa de nouveau.
Elle lut, mais cette fois-ci j’intervins :
« Moi, je l’aime beaucoup ton short provoquant. »
Elle s’arrêta de lire pour me regarder, mais je fixais la route des yeux.
Quelques instants s’écoulèrent, puis elle dit :
« Tant mieux. »
Et elle se remit à lire.
J’ajoutai :
« Ton mec sait que tu portes ce short aujourd’hui ? »
Elle remua la tête et dit :
« Non, je lui ai dit que je portais autre chose. »
« Il t’a posé la question ? »
« Oui. Quand je voyage, il veut savoir quelle tenue j’ai. »
« Et tu lui mens parfois… »
« C’est ça ou il me fait des scènes pas croyables. Là, il veut savoir si on est encore loin de La Rochelle. Il me gave… »
J’attendis qu’elle ait envoyé son SMS et décidai de lui poser la question qui me brûlait les lèvres depuis le départ :
« Tu portes quelque-chose dessous ? »
Je la vis sourire et j’en fus soulagé. Elle me répondit sans quitter la route du regard :
« Une culotte. »
« De quelle couleur ? dis-je. »
Elle souriait toujours :
« Rouge. »
« Et il t’arrive de ne pas en mettre avec ce short ? »
« Parfois. »
J’attendis un peu pour poursuivre. Je m’étais mis à bander. J’aimais le tournant que prenait notre conversation.
Je lui ai dit :
« Qu’est-ce qui détermine ton choix d’en porter une, ou pas ? »
Nouveau haussement d’épaule :
« Mon humeur du moment. »
Je lorgnais sur ses cuisses dès que je le pouvais.
« Et ce matin, tu n’étais pas d’humeur à ne rien porter sous ce mini-short qui révèle la base de tes jolies fesses ? »
Elle tarda à répondre.
Son téléphone bipa, mais elle ne lut pas son message. Je me demandais à quoi elle pouvait bien penser dans ces secondes, après les mots que je venais d’employer dans ma question.
Elle finit par se décider à répondre :
« J’ai hésité. J’aime bien m’habiller comme ça quand je covoiture. »
« Tu veux dire que tu aimes bien que des conducteurs te complimentent sur ton joli petit cul ? »
Elle se remit à sourire, mais sans répondre. Au lieu de ça, elle porta les doigts de sa main droite à son entrecuisse, puis elle caressa doucement la surface de son mini-short en regardant la route.
« Tu as envie ? dis-je. »
Elle ouvrit très légèrement les cuisses et répondit :
« Qu’est-ce que vous proposez ? »
Je bandais sévèrement. Je venais de franchir un virage dangereux de la conversation et les chances étaient dorénavant fortes que je me tape cette nana de 20 ans.
J’ai pris mon temps pour réfléchir, puis j’ai dit :
« Je te propose qu’on s’arrête dans un chemin tranquille. Je resterai dans la voiture, au volant, et toi tu sortiras pour te mettre toute nue en me tournant le dos. Qu’est-ce que tu en dis ? »
« Ça me va, dit-elle sans cesser de passer ses doigts à la jonction de ses cuisses. Arrêtez-vous quand vous voulez. »

C’est dans ces moments-là précisément que votre route ne croise aucun chemin. Seulement d’autres routes, puis un village, et encore des routes, mais pas une seule trace de chemin tranquille.
Alors je pris une route à droite et on roula entre deux immenses champs de maïs. Ensuite, il y eut des vignes, à perte de vue. Un village et de nouveau des vignes. Elodie se caressait toujours, alors je me suis arrêté au bord de la route et je lui ai dit :
« Entre deux rangées de vignes, ça te conviendrait ? On laisse la voiture ici et on s’avance à pieds dans le champ. »
« Parfait, dit-elle en débouclant sa ceinture de sécurité. »
Puis elle ouvrit sa portière, posa son téléphone au pied du siège et sortit.
Je fis de même et je vis Elodie s’engager dans le champ de vigne. Elle prit dix mètres d’avance et je la suivis pendant une minute, tout en matant la naissance de ses fesses sous le niveau de son mini-short.
Et elle s’arrêta brusquement.
Elle déboutonna son short et le fit glisser le long de ses cuisses. Il tomba sur la terre et elle l’éloigna du pied, puis elle ôta son t-shirt en continuant de me tourner le dos. Sa culotte rouge jurait dans le décor. Elle dégrafa son soutif noir et le jeta à un mètre d’elle. Je sortis ma queue à ce moment-là et me mis à me branler lentement. Elle était raide et une petite goutte de sperme ne tarda pas à perler au bout de mon gland, tandis qu’Elodie baissait sa culotte, dix mètres devant moi, en plein soleil.
Et elle resta debout, sans se retourner. Elle attendit.
Une voiture passa sur la route, cent mètres derrière nous, et je me mis à marcher dans la terre sèche en direction de cette jeune nana blonde que je ne connaissais pas et qui venait de se foutre à poil.
Sa chatte était poilue, je distinguais sa fine toison sous ses fesses et entre ses cuisses. Parvenu à sa hauteur, je plaquais délicatement une main sur son cul en lui disant :
« Suce-moi. »
Elle se retourna aussitôt, puis s’accroupit et, sans même me regarder, elle prit ma bite entre ses doigts et donna un petit coup de langue à mon gland, sur la fente. Il était gonflé à bloc et je sentis une autre goutte monter. Elodie la goba, puis se mit à me sucer en me branlant doucement.
Elle avait les cuisses bien écartées et elle se masturbait avec son autre main.

Cela dura deux bonnes minutes et elle se remit debout, me regarda dans les yeux, sans lâcher ma queue, sans dire un mot, juste en me souriant. Je ne lui dis rien non plus. Aucune parole ne me venait à l’esprit. La scène se passait de commentaires, alors Elodie m’a de nouveau tourné le dos et s’est penchée en avant, jambes écartées pour ouvrir son cul.
Son anus était presque sucré, contrairement à sa chatte qui possédait trois arômes différents, salés, habilement mélangés : de la mouille, un peu de sueur, deux gouttes de pipi. Je l’ai longuement léchée.
Puis je me suis relevé et je l’ai pénétrée, sans préservatif.
Je vais garder jusqu’à la fin de mes jours le souvenir de cette fille nue qui a joui en criant dans ce champ de vigne en plein soleil. J’aurais bien voulu la sodomiser, et je pense qu’elle aurait accepté, mais il fallut que je décharge. C’est venu d’un seul coup et je n’ai pas pu me retenir. Je me suis retiré et le sperme a jailli sur sa fesse gauche. Trois longues giclées, très liquides, qui se sont mises à couler sur la peau d’Elodie qui se masturbait.
Elle m’a sucé la queue pour finir, pour ôter le sperme resté collé à mon gland, mais je ne bandais plus vraiment. J’étais étourdi. J’étais comblé.

Entre temps, son mec lui avait envoyé six SMS.
Elle décida de ne pas y répondre et on reprit la route.

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