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Mon maitre fait de moi sa chose. Chap 05

Mon maitre fait de moi sa chose. Chap 05



J’émergeais au matin d’un sommeil agité, mon réveil sonnant pour me rappeler que je devais me lever pour aller travailler. Je me levais donc péniblement, le corps encore douloureux de ce week-end de folie. J’avais encore en bouche le gout du sperme du chauffeur de taxi. Je me déshabillait jetant mes vêtements au sol et pénétrai sous la douche. Je fis couler l’eau et me glissant dessous je réalisais que je n’avais pas d’eau chaude. Toutes mes tentatives pour obtenir ne serais ce qu’un filet d’eau chaude s’avérèrent vaines, l’eau restait désespérément glacée. Je pris mon courage à deux mains et je pris donc une douche glacée. Sortant de la douche je me séchais et me rasais puis je me dirigea à poil, ou plutot sans, vers ma chambre pour prendre mes vêtements et m’habiller. Ouvrant le tiroir de ma commode je fis une découverte horrifiante, je n’avais plus un seul caleçon ou boxer masculin, ni même de chaussettes, uniquement de la lingerie féminine et des bas ou collants.
Je déglutis péniblement, et je vérifiais les deux autres tiroirs. Dans le deuxième tiroir se trouvaient des accessoires fetish comme des menottes en cuir, des baillons boules et dans le dernier je trouvais un assortiment de sextoy à faire palir une vitrine de sexshop. Je pris donc un string en dentelle blanche avec une paire de bas noir auto-fixant. J’enfilais ensuite mon pantalon et un pull par dessus. J’allais pour sortir quand mon téléphone sonna. Je tressaillis et tremblant me dirigeais vers le combiné pour décrocher.
Alors ma petite soumise, tu as bien dormie ? J’espère que tu apprécies tes nouvelles affaires.
Oui maitre, j’ai bien dormie, mais ou sont mes vêtements j’en ai besoin pour travailler.
Écoutes moi ma petite chienne tu vas aller travailler et à la pause de midi tu iras voir ton chef pour avoir une semaine de congés à partir de vendredi soir. Tu n’as pas vraiment le choix je te le rappelle. En plus au vu des photos et des vidéos tu as l’air d’avoir adoré ça.
Je ne dis plus rien vaincue sans avoir vraiment cherché à résister. Mon maitre raccrocha et je partis au boulot. Vers midi je me dirigeai vers le bureau de mon chef, Antoine, pour lui demander une semaine de congés. Il me fit entrer et referma la porte derrière moi. Il occulta aussi le store et alla s’assoir derrière son bureau. Alors que voulez vous aujourd’hui, me demanda t’il. Là, je lui expliquais mon besoin de congés, sans bien sur lui dire que c’était pour obéir à mon maitre. En même temps que je lui parlais mon supérieur regardait son écran d’ordinateur tout en me disant qu’il comprenait mon besoin « urgent » avec un grand sourire. À un moment il me dit de venir regarder l’écran pour pour comprendre son embarras. En effet mon absence le gênait, il pouvait avoir besoin de moi. Je fis donc le tour du bureau et là je découvrais une vidéo ou je me trouvais entrain de sucer mon maitre. On ne voyait pas son visage mais le mien était facilement reconnaissable. Voyant mon émoi face à l’écran il m’ordonna de quitter mon pull et mon pantalon puis de venir à genoux sous le bureau. Abasourdi j’obéis et me glissais sous le bureau, là je vis le sexe de mon supérieur en érection déjà sorti de son pantalon. Je le pris aussitot en bouche, vaincue. Alors que je suçais mon boss on toqua à sa porte. À ma grande surprise il dit d’entrer et je reconnus la voix de Sandra sa secrétairequi lui demandait comment la salope travaillait. Mon Boss lui répondit qu’elle était douée et que si elle le voulait elle pouvait venir voir. Je compris alors qu’elle aussi était au courant et que l’on parlait de moi. Elle fit donc le tour du bureau et me regarda sucer notrre patron avec un grand sourire.
– Effectivement elle à l’air douée et surtout elle aime ça cette salope.
De mon coté je suçais toujours avec ferveur la verge qui me remplissait bien la bouche. Sandra retourna verrouiller la porte et s’assit dans un des fauteuils que mon patron utilisait pour mettre à l’aise ses clients. Antoine retira sa queue de ma bouche et me fit sortir de sous le bureau. Il ouvrit un tiroir et prit à l’intérieur un collier avec une laisse. Je tendis mon cou comprenant que de toute façon cela ne servait à rien de se rebeller. Il m’attacha le collier et me dirigea vers Sandra qui les cuisses écartées et les pieds posés sur le fauteuil exhibait une chatte imberbe. Ses jambes étaient gainées de bas noirs attachés à un porte-jarretelles. Elle se caressait la fente nous regardant venir vers elle, Antoine debout et moi tenue en laisse à quatre pattes. Guidé par la laisse ma bouche se trouva face à la chatte de ma collègue de travail et je me mis à lécher sa fente jouant avec ma langue sur son clitoris. Antoine lui m’écarta mon string et joua avec ses doigts entre mes fesses s’attardant sur mon anus qu’il forçait avec une facilité déconcertante. Il joua également avec la cage que je portais toujours empêchant la moindre tentative d’érection de mon clito. En effet autant l’appeler clito vu l’utilité que j’en avais depuis que j’avais été pris en main par mon maitre. Concentré sur le cunilingus que je pratiquais sur Sandra j’eus la surprise de le sentir s’enfoncer en moi d’une seule poussée. Je sentais ses couilles contre les miennes. Il commença alors une série de va et vient, d’abord doucement puis de plus en plus rapide. Il m’arrachait de petits gémissements qui étaient étouffés par les cuisses de sa secrétaire. Ils jouirent tous les deux en même temps et quand il se retira je sentis le sperme commencer à couler le long de mes cuisses. Il me fit pivoter pour que je lui nettoie sa bite avec ma bouche, pendant ce temps là, elle se mit derrière moi pour me faire un anulingus d’enfer. Je sentais sa langue pénétrer en moi et elle aspirait. À la fin une fois la queue de mon patron bien propre elle vient m’embrasser pour partager avec moi le sperme qu’elle avait reccueilli en moi. Antoine lui avait refermé son pantalon et commença à passer un coup de fil. En l’entendant parler au téléphone je compris qu’il parlait avec mon maitre. Il lui raconta ma prestation et lui confirma que j’étais libre à partir du vendredi soir, mais que d’ici là il comptait bien en profiter. J’hallucinais mon patron et mon maitre se connaissaient et ils avaient parlé de moi entre eux. Antoine toujours au téléphone me dit de rentrer chez moi que j’avais le reste de ma journée. Je me rhabillais vite fait et rejoignit mon domicile. Devant la porte de chez moi je croisais ma charmante voisine toute souriante et habillée super sexy qui me demanda comment j’allais. Je lui répondis que tout allait bien et me dépêcha de rentrer chez moi en prétextant un rendez vous urgent. Une fois chez moi je retirais en toute hâte mon pull et mon pantalon. Je mis une paire de mules et déambulai dans l’appartement pour ranger un peu avant de finalement me poser devant l’ordinateur. J’avais reçu un mail de mon maitre et je mempressais de l’ouvrir. Dans celui-ci, il m’avait adressé encore des photos et des vidéos ou l’on me voyait soumise endurée ses sévices. Il m’ordonnait d’obéir en tout point aux désirs de son ami Antoine, mon patron et que ce dernier avait tous les droits sur moi pour cette semaine. Ensuite il me dit d’ouvrir la valise avec le code du cadenas qu’il me donnait et de suivre les instructions à l’intérieur. Je trouvais à l’intérieur 3 tenues de soubrettes et une tenue en latex très sexy composée d’un corset, de bas, d’un porte-jarretelles, d’une culotte fendue, avec bien sur une paire de cuissardes et une paire de ballets boots vertigineux. Une carte manuscrite m’intimait l’ordre de mettre la tenue de latex avec les ballet boots. Je n’allais pa spouvoir marcher avec, comment allais je faire ? Je m’habillai quand mon téléphone portable sonna. C’était mon maitre qui me disait de me maquiller et mettre une perruque rose puis d’enfiler l’imper en latex dans ma penderie et de descendre rejoindre le taxi qui m’attendais en bas. Je jetaisun oeil par la fenêtre et effectivement je reconnus la voiture de mon chauffeur habituel. Je m’empressais d’obéir mais j’appréhendais le moment ou j’allais sortir de chez moi pour rejoindre le taxi. Heureusement je ne croisais personne et je m’engouffrais d’une démarche maladroite dans la berline. Le chauffeur tout sourire démarra tout en m’observant dans son rétroviseur. J’essayais de me faire la plus dsicrète possible à l’arrière. Il me conduisit à travers la ville jusque devant l’entrée d’un club situé dans une petite rue. Mon maitre était là m’attendant en discutant avec le videur, un homme noir dans les quarante ans taillé comme une armoire à glace. Mon maitre était en costume gris classique alorsque l’homme portait un sweat noir avec un pantalon noir. Mon maitre me fit sortir, et une fois face à lui il sortit mon collier de chienne, relié à une laisse, de sa poche et me l’attacha autour du cou sous le regard goguenard du videur. Se tournant vers le chauffeur il lui dit de revenir à l’heure prévue puis tirant sur la laisse il passa la porte m’entrainant à sa suite.

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