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Lesbiennes en fin de compte

Lesbiennes en fin de compte



Nous avions entendu une rumeur comme quoi des filles du lycées étaient lesbiennes et ça nous rendait toutes aussi excitées que des abeilles dans une ruche.
Le soir, après les cours, je rentrais toujours à la maison accompagnée par Cécile qui était ma meilleure amie depuis je ne sais combien d’années. L’année prochaine, nous allions entrer en classes préparatoires et on devait bûcher sans cesse et ces moments étaient l’occasion de décompresser.
Cécile m’a demandé si on passe par le bois. Ça nous rallongeait un peu et peut-être qu’on pourrait voir des écureuils et des geais ?
Au bout d’un moment, nous nous sommes assises sur un tronc d’arbre.
– Tu te rends compte si nous étions lesbiennes nous aussi ?
J’ai rougi mais je ne sais pas si elle l’a vu. Je n’étais jamais sorti avec un garçon parce que je me consacrais à cent pour cent à mes études et la seule bite que j’avais vu en vrai c’était celle de mon beau-père qui courait après maman une nuit dans le couloir.
– Non, non, lui disait-elle en riant ! Tu ne m’encules pas !
Mon beau-père avait la bite au garde-à-vous, plaquée sur son ventre. Ils ont disparu dans leur chambre et la dernière chose que j’avais entendu, c’était maman qui traitait son mari de cochon.
Mon histoire est un peu spéciale parce que maman m’avait eu à dix-sept ans, pas mariée et elle avait trouvé un jeune homme pour l’épouser mais ça n’avait pas duré et il y avait eu mon beau-père mais c’est une autre histoire.
– Tu as entendu ce que je t’ai dit, a insisté Cécile ? Tu te rends compte si on était lesbiennes, nous aussi ?
– Pouah, lui ai-je répondu !
– On ne connaîtrait jamais le plaisir de la bite, a ajouté Cécile ! Qu’est-ce que tu fais, dimanche ?
Je n’en savais rien, à part d’étudier et de réviser un peu plus.
– Je viens te chercher, a insisté Cécile ? On ira au bord du lac ! Tu pourras apporter tes cahiers !
Je me suis laissée convaincre et, dimanche, Cécile est venue me chercher. Elle connaissait bien mes parents qui nous ont laissées partir en nous souhaitant de passer un bon après-midi. Un peu plus loin, j’ai demandé à Cécile ce qu’elle avait dans son sac. Elle m’a répondu que c’est une couverture. Une fois au bord du lac, je lui ai demandé si on s’installe là mais elle a voulu qu’on aille plus loin, dans un endroit isolé au bord de l’eau et elle a installé la couverture et nous nous sommes assises. Elle n’a pas tardé à poser sa main sur ma jambe puis elle l’a remontée sur mon genoux et sur ma cuisse et même à l’intérieur de ma cuisse, sous ma jupe et elle a écarté ma petite culotte.
– Tu n’aimes pas, m’a-t-elle demandé ?
J’ai rougi.
– Tu peux me toucher si tu veux, a ajouté Cécile !
– Attends, lui ai-je répondu ! Je me tourne !
Je ne sais pas pourquoi mais j’avais mal aux fesses et je me suis retrouvée à quatre pattes et Cécile a collé sa bouche sur mes fesses puis elle est descendue sur ma vulve.
– Tu es belle, a-t-elle ajouté avant de me donner des coups de langue !
Je n’avais jamais imaginé que ça soit aussi agréable. Mon amie s’est appliquée et elle m’a fait avoir un orgasme puis elle a voulu m’embrasser. Sa bouche sentait la chatte et je lui ai dit et elle m’a répondu que c’est la mienne.
– J’avais peur que tu ne veuille pas, a ajouté mon amie !
Elle m’a relevé mon T-shirt sur les épaules avant de me le retirer et elle s’est étonnée que je n’ai pas de soutien-gorge. Je lui ai répondu que je n’ai pas des gros nichons comme les siens. Alors, elle m’en a embrassé un et elle m’a sorti ses gros seins et elle m’en a mis un dans la bouche.
– Tu sais, a-t-elle ajouté, avant je ne le savais pas mais il y a un an, j’ai compris !
– Pourquoi est-ce que tu ne me l’a pas dit, lui ai-je demandé ?
– J’avais peur que tu ne veuilles pas de moi, m’a répondu Cécile ! Touche-moi !
On s’est encore embrassées puis je lui ai fait une langue. Je crois que c’est comme ça qu’on dit. J’avais encore une chatte de petite fille et la sienne était celle d’une femme, avec des petites lèvres énormes et foncées.
Plus rien ne comptait pour moi à part que je voulais qu’on s’aime toutes les deux. Elle me léchait et je me masturbais puis je l’ai léchée et elle s’est masturbée et on s’est même traitées de cochonnes. Je lui ai dit que je veux qu’elle soit ma femme et elle m’a répondu que je serai son homme. Tout à coup, il y a eu un bruit de branchages cassés et une voix masculine a dit qu’il y a des gouines puis l’intrus s’est éloigné et nous avons continué à nous aimer même si on n’avait pas arrêté.
Je me demande encore combien d’orgasmes m’a donnée mon amie et combien je lui en ai donné et si la nuit n’avait pas commencé à tomber, nous aurions sûrement continué. Je voulais absolument que Cécile vienne avec moi et j’imaginais que ce serait simple de dire à mes parents qu’elle est la fille que j’aime mais tout ce que j’ai trouvé à leur dire c’est qu’on va prendre une douche parce qu’on a couru et qu’on est en sueur. Ce ne serait pas la première douche que Cécile prendrait chez moi. Ma mère nous a dit que la salle de bain est libre et j’étais tellement heureuse d’y être avec mon amante que j’ai oublié de mettre le verrou et j’étais en train de faire un cuninlingus à Cécile quand maman nous a surprises.
– Oh, mon dieu, a-t-elle fait ? Qu’est-ce que vous faites ?
Ça a cassé l’ambience et l’orgasme que mon amie était en train d’avoir. On s’est rhabillées à toutes vitesses. Plus tard, maman m’a dit que ça nous fera du bien d’être séparées. J’allais à Bordeaux et Cécile à Lyon et nous ne sommes plus revues pendant plusieurs années et je me suis dite qu’elle avait quelqu’un d’autre. Comment a-t-elle eu mon adresse ? Un jour, peu après avoir réussi mes examens, j’ai reçu une lettre d’elle et dedans, il y avait une photo d’elle, toute nue et sur laquelle une flèche désignait son entre cuisses et au dos un mot me demandant si j’en ai toujours envie. Je lui ai retourné une cassette de moi où je me masturbais avec un godemiché et où je lui disais que je préfère encore sa langue.
On a pu trouver un boulot près de l’une de l’autre et on a pris un grand appartement. Ce qu’on n’avait pas prévu, c’est qu’on se ferait beaucoup de copines et donc beaucoup d’amantes et si je suis un peu jalouse, ça me fait quand même plaisir de les voir s’aimer et nous avons un énorme turnover de lesbiennes, ce qui nous permet de voir du pays et surtout, d’initier les petites nouvelles.

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