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Photographe 5

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Récit d’un ami photographe.
La soirée a été bien arrosée. Quelques whisky, bières et quelques cocktails lorsque nous sommes allés en boite. Comme je conduis, je suis resté sobre. Mais on ne peut pas en dire autant de Suzie.
En fin de soirée, au lieu de la ramener chez elle, nous roulons vers ma maison. Comme toujours, elle a fait tourner des têtes avec ses seins magistraux, si bien mis en valeur dans sa tenue pour cette soirée.

Elle a choisi une robe noire assez courte et décolletée. Ses yeux vifs et intelligents ont brillé toute la soirée.
Arrivés près de la piste de danse, je lui ai pris la main pour l’amener au milieu des corps qui se trémoussent. J’adore danser et me frotter contre des corps offert et voluptueux.
Légèrement saoule, nos deux corps collés ondulent et se frotte langoureusement. Suzie jouait, passant les mains dans ses cheveux, s’abandonnant aux rythmes et se balançant dans tous les sens. Une main retenant sur ses hanches, je voyais le regard des d’autres hommes autour de moi, envieux. Un ami s’est approché et a demandé :
« La garde pas que pour toi ! tu pourrais la prêter. »
La chasse était ouverte. Je l’ai laissé faire, envoyant un clin d’œil à Suzie, et m »approchant du bar pour commander deux verres.
Après quelques temps, elle est venue me rejoindre. Elle avait chaud. Sans un mot, je lui ai tendu son verre.
« Heureusement que tu est là toi. Je crois que si il y en a encore un qui me frôle le cul, je lui mets mon poing! » Me dit-elle avec un large sourire craquant.
« Ha oui ? Même moi si je fais comme ça? » Lui répondis-je en joignant le geste à la parole et en faisant glisser ostensiblement ma main le long de son dos, de haut en bas.
« Idiot! Toi c’est pas pareil ! Tu vas me manquer, on s’entendait bien tous les deux. » Répondit-elle.
« C’est vrai, on a formé une bonne équipe. La belle et la bête! »
«  C’est qui la bête? «  Demanda-t-elle en riant.
« Idiote ! Tu sais que c’est toi la belle ! » Dis-je en la détaillant des pieds à la tête, mes yeux la déshabillant littéralement. Elle rit encore. Son ton devint plus enjoleur.
« Et toi alors, t’es quelle sorte de bête? »
L’alcool la rend plus direct. Elle me drague quasiment ouvertement. Je lui souris, laissant la question en suspens. Puis, je lui demandai :
« T’as pas envie d’aller ailleurs découvrir la bête que je suis? »
Elle accepta d’un signe de tête. Nous nous dirigeâmes vers la sortie, et je vis quelques collègues sourire en coin en nous voyant partir. Nous avons marché un peu, puis sommes allés nous asseoir dans un piano-bar pas loin. Les fauteuils profonds et la musique nous enveloppaient. Gin tonic pour elle, porto pour moi, nous avons écouté le pianiste un moment en silence. Puis elle m’a parlé de ses projets futurs, de ce qu’elle quitte et de ce qu’elle va trouver. Se lovant contre moi, elle me déclare :
« C’est dommage, je n’aurai jamais eu l’occasion de visiter ta fameuse maison! »Je sautais sur cette occasion inespérée.
« On peut y aller maintenant si tu veux ! »
Elle se leva, puis se pencha vers moi. J’eus une vue plongeante vertigineuse dans son décolleté. Elle le savait et me murmura :
« J’espérais bien que tu m’invites… ! » Tout en me faisant un clin d’œil.
Pendant le trajet, j’ai laissé ma main errer sur sa cuisse. Elle a posé sa main sur la mienne et l’a faite glisser vers son entrejambe. Elle a dégrafé mon pantalon et alors que je continuais de conduire, elle a entâmé une superbe fellation.
Elle arrête de me sucer quand nous arrivons chez moi. Nous sortons de l’auto et entrons directement dans la maison. Immédiatement après avoir fermé la porte, je la plaque contre le mur et l’embrasse avec fougue. Elle me répond, sa langue s’enroulant autour de la mienne. Ma main plonge derrière sa cuisse et tire la jambe vers le haut. Je glisse sur tout leCessant mes baisers, je saisis ses bretelles et lui ôte sa robe. Elle se laisse faire et tendant ses bras en l’air un sourire coquin aux lèvres. J’admire ses globes majestueux que je viens de mettre à nu. dos de sa cuisse, remontant sur la fesse. Je ne sens pas de tissu, elle doit porter un string.

Cessant mes baisers, je saisis ses bretelles et lui ôte sa robe. Elle se laisse faire et tendant ses bras en l’air un sourire coquin aux lèvres. J’admire ses globes majestueux que je viens de mettre à nu.
Elle prend une grande respiration, faisant gonfler sa poitrine, consciente de son effet. Ses mains descendent sur ma chemise, en tire les pans hors de mon pantalon et détache les boutons. J’approche à nouveau mes mains pour la peloter mais elle les tape gentiment, disant :
« Tu m’as promis une visite de ta maison. On commence par où? »
Le souffle court, je lui demande :
« T’es sérieuse? »
Elle glisse sa main à l’intérieur de ma cuisse, empoignant mon érection, en répondant : « Tu ne perds rien pour attendre, mon coco, mais oui, j’ai envie de tout voir! »

Laissant les vêtements en tas dans l’entrée, je me résigne et lui fais faire le tour du propriétaire. La voir déambuler nues chez moi me met dans des états incroyables. D’abord le salon au foyer imposant, la cuisine et la salle à manger, puis mon bureau près de l’entrée. Elle jette un long regard à la cour libérée des dernières traces de neige, la nature s’éveillant après la torpeur de l’hiver.
« C’est une cour intime? »
« Oui, on ne voit pas les voisins. »
« Super… ! »
Nous passons à l’étage. Sur le palier qui surplombe le salon, deux portes menent à des chambres inutilisées, et une autre pour la salle de bain. Suzie est impressionnée malgré son air faussement indifférent. Elle ouvre la porte vitrée menant sur la terrasse et fait quelques pas. Le froid de la nuit lui donne la chair de poule et la fait frissonner.

Elle rentre, s’approche de moi et se love quelques instants dans mes bras. Je caresse ses épaules et son ventre. Elle remue ses fesses contre mon sexe toujours dressé. Alors que j’approche une main de sa cuisse, elle se dégage et lance :
« Il reste le sous-sol! »
La salope, elle veut faire durer le jeu et me rendre fou. Pas de précipitation, restons calme. J’ai tout le temps. Je la précède vers le bas. Elle magnique dans sa nudité.

« Ooooh ?! Vraiment, tout ce que tu dis, hein? TOUT ce que tu dis? Je devrais avoir peur? » Répond-elle en faisant passer sa langue sur ses lèvres.

« Tu voulais voir la bête et bien tu vas être servie. C’est toi l’a demandé! »

Je commence avec quelques poses simples pour qu’elle s’habitue au studio. Je la dirige et lui demande de prendre diverses poses :
« Marche devant moi en étirant bien les jambes. »
« Même chose mais le buste droit! »
« Devant moi, pieds joints, corps droit, bras tombants et mains jointes. »
« Jambes tendues, légèrement écartées, buste vers l’avant. »
Vue imprenable sur ses seins.

Je bande copieusement et ma bite me fait mal. Gardant la pose, Suzie me mate l’entre-jambe en souriant.Je vois bien qu’elle y prend goût. Mais moi je veux la sauter. Je détache la ceinture de mon pantalon. Elle fait un pas pour s’approcher.
« Reste là! Tu veux jouer avec moi ? Et bien maintenant c’est moi qui dirige ! »

Elle s’arrête et me fixe intensément. Je retire mon pantalon sous ses yeux, mon boxer serré ne cachant pas grand-chose de ma queue dressée.
« Retourne-toi ! » Dis-je d’un ton autoritaire.
Elle hésite. À son tour de devoir attendre. Elle qui me dirigeait d’une pièce à l’autre est devenue docile et silencieuse.
« Tourne-toi ! Mains sur la tête ! » Elle s’exécute.

Au sous-sol, elle entre dans le studio et me demande :
« Tu fais quel genre de photos? »
« Je fais un peu de tout selon les demandes et les contrats. Je peux faire aussi bien du portrait pour le plaisir, ou de la lingerie, du boudoir, du nu artistique. Et là, elle me demande, tout en pressant ma main sur sa poitrine:
« Tu ferais des photos de moi ? J’suis pas trop mal ?. Et puis ça te fera un souvenir! »

Je rêve! J’ai le sexe en feu et elle veut faire des photos. J’en ai assez de la pourchasser dans toute la maison. Mais ai-je le choix?
« Ok ma chèrie ! J’vais te shooter sous tous les angles ! »
Je branche un équipement minimal, ajuste quelques spots, et me tourne vers elle.
« Je t’avertis ! Je suis un photographe directif. Tu dois faire ce que je dis ! »

« Penche-toi vers l’avant ! »
Elle ne dit rien et me jette un regard plein de promesses par-dessus son épaule. Je ne vois plus rien, que ce cul offert devant moi. Elle remue ses hanches, et me demande sur un ton innocent :
« Pourquoi tu ne prends plus de photos ? Quelque chose ne va pas, monsieur le photographe? »

Je déglutis, reprends mon appareil et cadre la scène devant moi. J’ai souvent fait des photos osées mais rarement comme préliminaires. J’aime ce jeu de contrôle et de séduction, de désir et d’exhibition balisé pour ainsi dire par la réalité d’un studio. Dévorant des yeux sa peau à travers l’objectif, je prends de une nouvelles photos.
« Cambre-toi bien, écarte tes fesses et caresse tes seins ! »

Elle s’exécute sans hésiter. Je mitraille pendant qu’elle semble maintenant se faire vraiment plaisir à cet exhibition. Je peux apercevoir son sexe humide. J’ai envie de la prendre comme ça, mais je n’ai pas terminé encore avec cette allumeuse.
« Passe une main entre tes jambes et caresse-toi. »

Elle ne se fait pas prier. Une main apparaît, le majeur frôlant les fesses et la paume pressée contre son pubis. La paume malaxe ses grandes lèvres, les écartant pour accéder à la chair sensible qu’elles recouvrent.

Avant qu’elle y prenne goût, je lui ordonne :
« Mets-toi à genoux ! »
D’une voix rauque, elle répond un petit :
« Oui Monsieur. »
Je suis juste au-dessus d’elle. Je vois la vallée sombre qui plonge entre ses énormes globes. Je la maîtrise et me sens le Maître dominateur.

Elle me regarde avec un air de petite soumise. Ses seins pendent dans toute leurs splendeurs. Ils sont massifs, les mamelons larges et sombres, leurs centres comme des cerises mûres. Les yeux levés vers moi, elle soulève sa poitrine comme une offrande devant mon objectif. Elle garde la pose un instant puis murmure :
« Je crois que c’est assez pour ce soir… »

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