Loic a trente ans. Il habite dans une résidence de classe moyenne, dont les petits immeubles comptent deux appartements par étage. Il est au rez de chaussée. D’un naturel débonnaire, quand il fait chaud l’été, il sort souvent de chez lui en caleçon pour aller chercher son courrier, ou quelque chose qu’il aurait oublié dans sa voiture garée dehors. Pas la peine de se rhabiller pour un aussi court trajet, et ça ne choque personne, les rares fois où il croise quelqu’un… Quand bien même, il s’en fout, il fait ce qu’il veut.
Un soir d’été où il sortait justement en caleçon chercher son courrier, il fut surpris d’entendre des appels au secours venant de la porte de la voisine d’en face. C’était un peu étouffé par la porte fermé, mais assez fort pour l’interpeller quand même.
-A l’aide, au secours, aidez moi.
Il se dit que ce devait être la télé de la voisine, mais il s’approcha quand même pour tendre l’oreille :
-A l’aide ! Pitié ! Aïe ! à l’aide !
Nom de dieu, c’était pas la télé ! C’était la voisine qui appelait vraiment à l’aide ! qu’est-ce qui lui arrivait ?… Loic connaissait peu cette voisine, c’était « bonjour- au revoir » rien de plus. C’était une portugaise basané de près de 60 ans nommée Mme Sanchez.
Quand même inquiet, Loic alla ouvrir la porte, qui n’était pas verrouillée. Il déboucha sur un petit salon bien rangé. Plus loin dans l’appartement, il entendait de l’eau qui coulait – Fshhhhh – le bruit d’une douche ? et encore la voix agonisante de la vieille Sanchez :
-A l’aide, au secours, quelqu’un ! Aïe ! Aidez moi !
N’y réfléchissant plus, Loic se dépêcha d’aller la secourir. Torse nu en caleçon, il entra dans la salle de bain. FSHHHHh, la douche coulait fort dans la baignoire, derrière un rideau de plastique.
-Mme Sanchez ? interrogea t-il, affolé.
-Oh oui, merci mon Dieu, quelqu’un ! gémit une voix souffreteuse au travers du bruit de l’eau, derrière le rideau. S’il vous plait, je suis tombée dans la baignoire, je me suis coincé le dos, ça fait mal. Aidez moi !
-Heu, oui, heu… Loic hésita. C’est qu’elle devait être à poil là derrière, non ?… Vous êtes sûre ? je devrais peut-être…
-Haaa, pitié ! gémit la voix, sortez moi de là !
Loic écarta le rideau…
… pour voir, donc, sa grosse portugaise de voisine gisant sur le dos au fond de sa baignoire, aspergée de l’eau de la douche. Elle était nue, bien sûr, ses gros seins moins bronzés que le reste de son corps pendant sur son ventre rebondi, et son pubis noir et touffu (et trempé) entre ses hanches généreuses. C’était plein de bourrelets, les cuisses un peu celluliteuses, mais ça excita quand même bien Loic. Il sentit son sexe se gonfler lentement, malgré lui… et sous son caleçon ça risquait de se voir !
-Mais restez pas comme ça, relevez moi ! se lamenta la grosse voisine.
FPSHHHHHHHH
Loic arrêta de bloquer sur son corps et croisa son regard. Elle semblait très gênée, bien sûr, consciente de sa position honteuse, mais surtout souffrir encore plus. Elle avait gardé un visage agréable malgré son âge, encore lisse, quoique un peu joufflu, avec des lèvres charnues… mais présentement, elle grimaçait de douleur. Ses cheveux noirs et courts étaient plaqués contre son crâne par le jet du pommeau de douche.
-Heu, oui, pardon, fit Loic, un peu perdue (mais bordel ! Il commençait vraiment à bander, ça craignait !), attendez, je coupe l’eau d’abord.
Mais le robinet lui résista…
-C’est bloqué, gémit la vieille portugaise, j’ai voulu forcer pour l’arrêter et je suis tombé… aïe ! J’ai mal au dos, je peux plus bouger, sortez moi de là je vous en prie.
Son orgueil de mâle puissant fit encore un peu essayer à Loic de tourner ce foutu robinet bloqué, il força, mais sans succès, ne réussissant qu’à se tremper. Au travers de son caleçon mouillé, on devina encore plus nettement son sexe en érection. D’autant qu’il était de belle taille, tendant le tissu trempé.
PSHHHHH
-Waaa, hem, désolé, fit-il, en regardant la grosse bosse mouillée qui déformait son caleçon. Je… c’est incontrôlé… En plus il ne pouvait s’empêcher de lorgner régulièrement sur les chairs grasses de sa voisine à poil et trempée.
La vieille nue sembla troublée, face à cette grosse bite de jeune qui tendait ce caleçon, embarrassée, mais sa situation ne lui permettait pas de s’en offusquer pour le moment :
-Relevez moi, sortez moi de là, aïe, je souffre !
Loic voulut obéir, se penchant vers elle pour tenter de la ramasser… mais alors, l’arrière de son caleçon s’accrocha au robinet maudit, se qui le déséquilibra, et CRAAAAc ! BAMM ! En même temps que son caleçon se déchirait sous son poids, il se cassa la gueule dans la baignoire sur sa voisine !
-Haaaaa !: Hurla la vieille.
-oh pardon ! Pardon pardon ! s’excusa désespérément Loic.
Il était ventre sur elle, son menton entre ses deux énormes seins mous, sa bite en érection coincée entre ses cuisses grasses…
-Haaa, mais faites attention, haaa ! haleta la portugaise, totalement abasourdie par cette situation. Elle avait un jeune homme nu et bandant tout contre elle ! Avec la douche qui leur coulait dessus.
La bite de Loic, merveilleusement bien entre ces cuisses charnues qui la pressait, se gonfla encore de sang, et Loic crut qu’il allait carrément éjaculer… Il était con ou quoi ? C’était pas le moment de s’exciter comme ça !
FSHHHHHHHhs
-Pardon, pardon, je vous aide.
Se décollant d’elle (à regret ), Loic entreprit d’aider sa grosse voisine nue à se relever. Ce n’était pas facile avec toute cette eau qui leur coulait dessus, ça glissait. Mais en la tenant bien fort tout contre lui, ses gros seins pressés sur sa poitrine, il parvient à la remettre debout. Ce faisant, il acheva de déchiqueter les restes de son caleçon trempé.
-Aïe ! Doucement, doucement, j’ai le dos bloqué, ça fait mal, gémissait la portugaise, en le tenant fermement par les épaules. Enjambant la baignoire en même temps que Loic, elle se collait complètement à lui, sa chatte poilue et mouillée frottait contre la cuisse de Loic, qui bandait plus fort que jamais contre le ventre moelleux de la vieille. C’était une situation surréaliste !
Mais bientôt ils furent au sec, debout, face à face, l’un contre l’autre sur le carrelage de la salle de bain. Bien amoindrie, la voisine tenait mal sur ses jambes. Pour ne pas qu’elle tombe, Loic devait l’agripper un peu comme il pouvait, par ses hanches grasses, son cul volumineux et mou.
-je… je vais vous amener au salon, commença à dire Loic, joignant le geste à la parole
-Non, aïe ! protesta la voisine en le serrant plus fort contre elle. Ses bourrelets se comprimaient contre le corps musclé de Loic. Non, attendez, là ça va mieux, dans cette position. On peut rester comme ça un peu s’il vous plait ?
Sa voix était faible, elle devait être au martyre auparavant, et, comme ils étaient présentement, elle devait avoir un moment d’accalmie dans sa souffrance dorsale.
-Heu… d’accord, fit Loic.
Raffermissant sa prise sur ses grosses fesses, il la garda donc debout pressée contre lui. Il avait ses couilles qui s’enfonçaient dans les poils de son pubis, et bandait comme un âne contre le bide de la vieille. C’était fou ! Qu’est-ce qu’il était excité !
Elle, elle ne devait pas être insensible à tout ça, non plus. Elle avait les joues qui rosissaient, le regard fuyant, sous sa frange mouillée plaquée contre son front… Mais surtout elle n’avait plus mal. Peu importait presque pour elle cette situation démente, cette grosse bite contre elle… Elle voulait avant tout rester comme ça.
-Je… désolé d’être, heu… comme ça, reprit Loic, ses yeux gênés dans ceux de la grosse portugaise. C’est… j’allais chercher mon courrier… et puis mon caleçon s’est accroché à…
-C’est moi qui suis désolée, monsieur, le coupa t-elle, toujours plaquée de toute sa graisse contre sa grosse bite dure. Merci de m’avoir aidée, et merci de rester comme ça avec moi… même si nous sommes hem… sans habits… Je… J’ai eu si mal, et dans cette position ça va mieux. Ne me lâchez pas s’il vous plait.
Elle avait vraiment souffert.
-Je vous lâche pas, dit Loic, en serrant un peu plus la cellulite de ses amples fesses avec ses mains, pour bien la plaquer contre lui. Il bandait à mort. Il avait envie de la baiser dans toutes les positions… Mais bon, non, il ne devait pas bouger. Sa bite pulsait d’envie contre ce ventre douillet, ses couilles étaient si bien dans cette jungle de poils noirs humides, ces seins énormes plaqués contre ses pectoraux le rendaient fou !
-ho…haa…
La voisine poussa quelques petits cris quand il l’avait serrée plus fort contre lui en la tenant par le cul. Elle avait le regard hagard, perdu.
-Merci encore, dit-elle finalement d’une voix troublée, Je… c’est très spécial tout ça, personne ne doit rien savoir hein ? Loic opina, et elle poursuivit : Je m’appelle Magda et vous ?
-Hem… Loic, enchanté.
C’était les présentations les plus surréalistes qui soient. Deux voisins qui échangeaient leurs prénoms alors qu’une situation loufoque les tenait nus l’un contre l’autre… Sans même y penser, Loic commençait à frotter doucement son gros sexe contre le ventre rebondi de Magda… Rougissant de plus belle, elle dit :
-Vous vous frottez contre moi.
-Heu… ha bon ? Fit Loic en s’arrêtant plus ou moins… C’est que c’était plus fort que lui, il était surexcité, sa bite lui donnait l’impression de vouloir exploser, ainsi plaquée au gros bide mou de cette vieille portugaise. Tout ce gras, cette chair bronzée, ça lui plaisait, il aurait voulu la malaxer à loisir, et la baiser !… Et l’enculer comme une grosse salope de voisine trempée!
-Je… je ne comprends pas, dit la voisine avec embarras, je suis de l’âge de votre mère, Loic, et plus très attirante… Je suis grosse, vieille… Je sais que cette situation est… hem… particulière, mais… Ce n’est pas bien.
Un silence s’en suivit. Ils ruisselaient l’un sur l’autre… Mais il y avait leur transpiration qui se mêlait à l’eau de la douche. Elle tremblait.
-Je me sens mieux. Vous pouvez essayer de m’allonger sur mon lit, s’il vous plait ? Elle grimaça un sourire : N’y voyez pas une invitation, c’est juste que… on ne peut pas rester comme ça pendant…
-J’ai compris, la coupa Loic à regret. C’était un bon gars. La tenant toujours tout contre lui, il commença à faire quelque pas de côté avec elle.
-Aïe ! gémit-elle, doucement ! tenez moi mieux le bassin, plus plaqué, ça fait mal sinon.
Putain ! le « bassin plus plaqué ? » mais c’était la serrer toute contre sa bite ça ! Loic n’en pouvait plus ! Il obéit. Et pour ce faire, il dut affermir encore sa prise sur les grosses fesses de Magda. Ses doigts se placèrent bien en dessous, entre ses cuisses, au point de sentir ses poils, et même de titiller sa chatte… Bon sang ! elle était trempée ! Mais pas seulement de l’eau de la douche, non, c’était chaud, plus gluant… La cochonne mouillait à mort !… Loic crut qu’il allait spermer entre leurs deux ventres…
-Oui, c’est mieux, oui, haaa, oui…
En plus elle gémissait de soulagement… ça ressemblait vachement à des petits cris de femme excitée, ça !
Toujours bien l’un contre l’autre, Loic la portant presque, ils arrivèrent à la chambre. Le lit était bien fait, tiré aux quatre épingles, comme souvent chez les gens d’un certain âge. Loic voulut allonger sa voisine, mais elle hurla :
-Aïe ! non arrêtez ! Aïe ! haaaa !
Il s’immobilisa… Elle était seulement assise sur le lit, et lui avait un genou au sol. Elle l’avait réagrippé, souffrant manifestement le martyre dès qu’il ne faisait plus pression sur l’arrière de son bassin. Il avait le visage entre les deux énormes seins de sa voisine, et sa bite était carrément contre son pubis poilu maintenant !… Raaaa ! Juste d’un mouvement de hanche, loic pouvait sans doute entrer dans sa chatte ! Il en mourait d’envie !
-Oui, voilà, ne bougez plus s’il vous plait, se lamenta la vieille. Ça fait très mal sinon… Merci encore, Loic, merci…
Elle paraissait au bord des pleurs… Loic bafouilla entre ses seins :
-je suis là, vous en faites pas… Et là il se sentit enfin une âme aventureuse. Il ajouta, hésitant : Je… je peux me placer mieux ? Plus confortablement ? c’est très physique d’être comme ça pour moi.
Mensonge. Il aurait très bien pu rester avec un genou au sol en soutenant contre lui la vieille assise sur le lit…
-oui oui bien sûr, geignit la vieille… merci encore Loic, je suis désolée.
Toujours tenant bien les bourrelets de Magda pressés contre lui, Loic changea très légèrement de position. Il avait juste un peu descendu son bassin, de façon à ce que sa bite tendue passe sous elle, s’insinuant entre ses cuisses assises. Son gland gonflé était maintenant contre la chatte brûlante de sa voisine. Il se retint de mettre un ultime coup de hanche pour l’y faire rentrer :
-Hem, heu… voilà, c’est mieux pour moi là…
Magda frémit, sous ce contact impudique. Loic croisa alors son regard. Elle avait des yeux très noirs. Et très sérieux :
-Tout cela est très gênant Loic, vous vous en rendez compte j’espère… Votre, hem… votre sexe est contre le mien… seriez vous en train de profiter de la situation ?
Loic n’en pouvait plus, il voulait la baiser. Entre le lit et son cul, son gland bouillant appuyait sur la fente trempée de la vieille magda.
-Je… Je peux plus résister Mme Sanchez, bégaya Loic…
… Et dans un coup de hanche, il lui enfonça sa grosse bite dans la chatte, la serrant toujours fort contre lui.
-Haaaaaaaa ! cria Magda. Haaaaa !
Emprisonnant la graisse de la vieille entre ses bras, Loic commença à faire des vas et viens furieux dans ses entrailles.
-Haaa, hoooo haaaaa, vous… haaaa… vous… haaaa
La pauvre vieille n’arrivait plus à aligner un mot, baisée qu’elle était par une bite bien vigoureuse.
-je vous fais mal ? demanda Loic entre ses dents, sans cesser ses assauts.
-haaaaa ! non… hooo… non… mais… hoooo… c’est mal… haaaa… on ne doit pas…
Quoiqu’elle en dise, elle aimait ça, la chienne. Elle ahanait, gémissait de plaisir…. Et ne le serrait-elle pas plus fort contre elle ? Il continua de la besogner avec application :
-pourquoi c’est mal ? On est pas bien là ? Vous étiez excité dès que vous m’avez vu à poil, Mme Sanchez… s’il n’y avait pas eu votre mal de dos…
Il la baisait comme un sauvage. Sa grosse bite défonçait sa grosse chatte poilue.
-Haaaa hooo, non, haaaa, je… je suis de l’âge de… haaa… votre mère… haaaa
-on s’en fout de ça, gronda Loic, en transe, lui assenant de violents coups de bites qui la faisait hoqueter. Moi je te trouve bonne, ma cochonne. Avec tes beaux bourrelets, t’es méga bandantes, haaa, c’est bon de te baiser salope !
Il lâchait prise. Malgré ses « Aïes » et ses grimaces, il l’allongea de force sur le lit pour se coucher sur elle et continuer à la pénétrer furieusement.
-Haaaa haaaa ! vous… tu… hooo haaaa… oui, ha, oui ! Mon dos, ça va mieux ! haaaa… Votre poids sur moi c’est bien, oui… haaaa
-Tu veux pas que j’arrête alors ? grogna Loic en la baisant comme un salaud.
-Non haaa ??? non, n’arrêtez pas… haaa, oui, c’est bon… haaaa…
Bras tendus de chaque côtés d’elle, et levant haut ses hanches, il lui assenait maintenant des coups de bite encore plus violents. La grosse Magda en tremblait de toute part, sa graisse et ses gros seins en perpétuel mouvement, sa chatte ouverte giclait de plaisir :
-T’aimes ça hein ? T’aimes, ma salope ! Hein que t’es ma salope ?
-Haaaa, hurlait Magda. Oui haaaa oui haaa. Je suis votre salope, oui ! haaaa, merci Loic ! haaa hooo ! haaa !
Il la retourna soudain de force, pour la mettre à quatre pattes sur le lit :
-non, aïe ! mon dos.
Et là il la cambra de force avec une main au creux de son dos, s’offrant une vue sur ses grosses fesses tremblotantes, avec sa chatte poilu et dégoulinante en dessous.
-Et là ? Le cul bien en arrière, ça va pas mieux ?
-haaa, heu, si… haa.. si, avoua magda avec honte, en tâchant de reprendre son souffle. Là ça va…
Loic pénétra de nouveau sa chatte trempée, ébranlant son gros cul celluliteux à chaque coup de rein. Il lui tira les cheveux.
-Haaa haaaa ! gémit magda, entre douleur et plaisir. Vous êtes … haaaa… un salaud Loic… haaaa ! vous profitez de… haaaa…. Hoooo…
Loic n’était plus lui-même. Il baisait cette belle grosse, lui claquant son gros cul à pleine main, la faisant hurler :
-Mais tu aimes cochonne ! tu aimes, tu me l’as dit ! Tu me l’as dit à l’instant !
-Haaa, oui, non… je… ne savais pas… je… haaa hooo
Elle transpirait, tandis qu’elle se faisait baiser par derrière comme la dernière des putes.
-Tu ne savais pas quoi ? Tu m’as dit que t’étais ma pute… ma salope… hein, que tu l’es ?
-Haaaa… non… oui… haaa hooooo haaaaaa…. Oui, Loic, je suis votre pute ! Pleurnicha t-elle en se faisant défoncer la chatte par une grosse bite bien dure. Je suuis tout ce que vous voulez… oui… haaaaaa !
-Z’avez plus mal au dos là hein ?
Elle était à quatre pattes, ses gros seins ballotant sous elle en rythme, et les mains de Loic agrippées à son gros cul. Il la matraquait jusqu’aux entrailles :
-Non haaaaa… non hooo haaa non, haaa, c’est bon, je suis votre salope Loic, baisez moi oui, je suis votre chienne !
-Ho ouais t’es ma chienne ! hurla Loic dans un râle. Il lui remplit la chatte de tonnes de sperme chaud et odorant. Ho ouais t’es ma chienne !
-Oui haaaa ouiii haaaa, jouissait la grosse magda, je suis votre chienne ! haaaa votre pute ! haaaa merci de m’avoir sauvée ! haaaa haaaa hooooo haaaaaaaaaaa !
Ils jouirent tous deux de concert, longuement, Loic vint appuyer sa poitrine contre le dos de Magda, serrant tous ses bourrelets :
-HAAAA oui oui !
-haaaaaaaaaaaaaaaaaaa
– ha han pfff ha pff
-ho pfff haaa pfff…
Restant dans cette position en « cuillère », mais avec l’homme sur la femme (pour qu’elle ne souffre pas du dos avec ce poids sur elle), Loic et Magda reprirent lentement leur souffle. La bite de Loic se ramollissait dans la chatte pleine de sperme et de mouille de Magda…
Que ça avait été bon !
Mais était-ce fini ?
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