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Quel temps! (de l’attraction exercée p

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« Quel temps de chien ! ». Bertrand pestait en regardant l’eau dégouliner sur le pare-brise de sa voiture. Cela devait faire une demi-heure qu’il était coincé dans ce fichu embouteillage. Les essuie-glaces chuintaient à force d’endiguer la pluie qui venait fouetter la voiture, par vagues. Les façades tristes et humides, les parapluies qui s’entrechoquent sur le trottoir, dirigés à tâtons par des piétons au regard maussade, le spectacle était bien triste. Quinze jours de flotte quasi ininterrompue avait eu raison des meilleurs états d’esprit et il en allait de même pour Bertrand.

Il ne lui restait plus qu’à se caler le plus confortablement possible dans son siège et attendre, encore, que la circulation le libère. Il avait rendez-vous chez sa dentiste et la perspective du retard ne faisait qu’ajouter au déplaisir qu’il éprouvait à l’idée d’une séance de détartrage dont il se serait bien passé. De fait, il devait reconnaître que sa situation n’était pas enviable. Voilà deux mois qu’il cherchait à quitter son emploi actuel. Il fallait qu’il trouve un nouveau débouché. Ses recherches infructueuses le rendaient morose. Plus de petite amie depuis sa dernière séparation aussi pénible que définitive et un compte en banque qui commençait à ressembler au désert de Gobi, à forcer de puiser pour compenser le mal-être.

Pourtant, Bertrand sourit en se disant qu’après tout, dans son malheur, il avait de la chance. Sylviane Perrin, sa dentiste, était une belle femme, épanouie, douce et attentive. Ils se connaissaient depuis longtemps et leur passion commune pour l’équitation en avait fait des amis. Bien que la différence d’âge soit importante – Bertrand avait 28 ans, Sylviane 50 – ils s’entendaient bien et conversaient de tout. Sylviane était mariée avec Pierre, un ingénieur, dont les fréquents voyages sous latitudes tropicales avaient donné un teint bronzé et des traits burinés. À 55 ans, il avait mis la pédale douce et passait plus de temps à jardiner qu’à travailler. Leurs deux enfants avaient terminés leurs études universitaires et quitté le bercail.

Bertrand, quant à lui, devait encore construire sa carrière et les conseils de Pierre lui apportaient un soutien bien utile.

Enfin, la circulation se fit plus fluide : la pluie s’était calmée ; il allait enfin pouvoir rouler à meilleure allure. Un quart d’heure plus tard, Bertrand sortit du boulevard périphérique et emprunta la nationale qui le menait chez Sylviane et Pierre. La vision de cette campagne verdoyante, si humide fût-elle, lui mettait du baume au cœur, elle qui contrastait tellement avec le béton et l’acier des ensembles qui ceinturaient son quartier.

« Plus que dix bornes et j’y suis », pensa Bertrand. Il fouilla dans sa poche et finit par trouver son portable.

— Allo, Sylviane ?
— Oui, c’est toi Bertrand ? Tout va bien ? Je t’attendais à 14 heures, non ?
— Tu as raison mais je suis resté bloqué dans un embouteillage… Dis-moi, est-ce que Pierre est là ? J’aimerais discuter un peu avec lui après le traitement, je suis en pleine phase d’entretiens d’embauche et…

Bertrand n’eut pas le temps de finir sa phrase. Sylviane lui confirma rapidement que son mari était là mais qu’elle ne pouvait prolonger la discussion car elle était en plein travail.
Satisfait, Bertrand s’excusa et éteignit son appareil ; il alluma la radio tout en réfléchissant aux différents points qu’il allait aborder. Il soupira d’aise en voyant au loin se profiler le clocher du village.

Bertrand bifurqua à gauche et se dirigea vers la villa. Après avoir passé la grille, il entra dans la propriété. Les magnolias du parc et la foultitude d’essences d’arbres qui le bordaient apportaient une touche très romantique. « Décidément, cette propriété est vraiment magnifique. Ah si je pouvais un jour me payer ça! » se dit-il, rêveur.

Les pneus crissèrent sur le gravier blanc lorsqu’il s’arrêta devant l’imposante masure. Il prit soin de verrouiller ses portières puis fit la grimace. « Comme si on allait me la voler ici ! » siffla-t-il.

Il se dirigea vers l’entrée de la maison. Au moment d’appuyer sur la sonnette, un nouvel orage éclata, transformant en quelques secondes l’escalier en cascade et le perron en piscine. Bertrand eut juste le temps de s’engouffrer à l’intérieur quand la gouvernante vint lui ouvrir, que déjà il était à moitié trempé. Margoth, la charmante intendante de la famille Perrin, une Péruvienne dont le teint mat et le caractère jovial n’avaient pas été altérés par notre climat tempéré, s’empressa de passer une couverture sur les épaules de Bertrand tout en le guidant vers la salle d’attente.

A peine s’était-il installé que Sylviane entra en coup de vent, affichant un large sourire. Elle l’embrassa sur les deux joues et lui glissa rapidement : « J’en ai encore pour une dizaine de minutes. J’ai prévenu Pierre de ta venue et vous pourrez discuter à l’aise tout à l’heure ».

Alors que Sylviane l’eut salué, Bertrand s’assis dans la petite salle d’attente, aux murs couverts d’affiches vantant les mérites de la prévention dentaire. Le regard vide, il ne put s’empêcher de regretter avoir abandonné ses études de médecine pour entrer trop tôt et sans réel bagage, dans la vie active. Délégué médical dans un grand groupe pharmaceutique, il végétait avec un salaire inadapté et un CDD qui le maintenait sous pression. Tentant de chasser sa déprime, il eut un grand soupir puis se détendit en reposant son dos sur la chaise.

Quelques minutes plus tard, il entendit Sylviane raccompagner sa patiente à la porte et appeler Bertrand.

« Bon, à toi maintenant », lui dit Sylviane qui passa la tête dans la salle d’attente. Il se sourirent et Bertrand entra dans le cabinet.

Après vérification, il s’avéra que tout allait bien pour Bertrand et que le détartrage ne serait pas précédé d’un pénible curetage. Le gros soupir de soulagement qu’il poussa ne passa pas inaperçu et Sylviane ne put s’empêcher de rire.

— Mais enfin Bertrand, tant de stress pour si peu de choses ?
— Tu as raison, Sylviane, comme quoi, il ne faut jamais s’angoisser !

Sylviane le regarda en silence pendant quelques instants. Son regard était chaleureux, teinté d’une touche d’empathie. Bertrand se sentit mal à l’aise mais en même temps, très émotionné. Il ne put s’empêcher de l’admirer ; du regard, il saisit les belles courbes de son corps, le galbe de ses seins très généreux, qui tendaient le tissu de sa blouse blanche. Depuis toujours, il l’avait trouvée très séduisante tout en faisant fi de tout élan amoureux ; là, ses pensées semblaient désormais dépasser le stade de la platonique amitié.

Lorsqu’elle se pencha au-dessus de lui et introduisit ses doigts entre ses lèvres pour insérer le tuyau de succion pour commencer le détartrage, le contact de leur corps lui fit l’effet d’un choc. Abasourdi par ses propres émotions, tourneboulé par le changement de perspective, il ne put que se laisser faire tout en espérant ne pas ressentir de douleur qui aurait pu briser le charme.

Il se concentrait sur les mouvements de Sylviane, tant dans sa bouche que le long de son corps. Très vite, il s’aperçu que Sylviane agissait autrement qu’à l’habitude. Elle semblait donner à ses gestes un tempo plus lent, plus insistant, ne manquant aucune occasion de se rapprocher de lui, ni de l’effleurer. Le nettoyage de ses dents se passait comme dans un rêve, sans aucune douleur et ponctué de gestes si prévenants que Bertrand finit par se demander si Sylviane avait bien conscience que c’était lui, Bertrand, qu’elle soignait à présent. Elle, d’habitude si diserte, ne parlait presque pas. Alors qu’elle poursuivait le travail, Bertrand fit glisser son bras droit entre leur deux corps. Il sentit la pression nette des hanches de Sylviane sur son bras. Elle cherchait le contact avec son pubis, il en était sûr. L’érotisme de l’instant le subjugua. Tant d’innocence, de charme…

Détachant son regard fixé sur la fenêtre qui lui faisait face, Bertrand tourna les yeux vers la droite. Là, à quelques centimètres de lui, majestueux, les seins de Sylviane lui apparurent, engoncés dans la blouse de travail, accompagnant nonchalamment chacun des mouvements de Sylviane.

Bertrand avait remarqué depuis longtemps l’opulence de Sylviane mais, là, dans l’instant, ils lui semblaient plus gros que jamais. N’osant plus croiser le regard de son amie, Bertrand voulut baisser les yeux. C’est alors qu’il remarqua que les tétons s’étaient érigés et pointaient vers lui, arrogants et lascifs.

L’instant devint éternité quand Sylviane glissa légèrement et appuya sa grosse poitrine sur celle de Bertrand. Leurs corps s’épousèrent pendant quelques secondes, bien assez pour que Bertrand dut instantanément croiser les mains pour tenter de cacher une magnifique érection.

— Oups, excuse-moi, j’ai glissé…

Bertrand ne pouvait répondre mais son visage cramoisi dut faire pitié à Sylviane, qui ajouta en riant:

— J’espère que je ne t’ai pas fait mal, hein !

Sylviane reprit son intervention Elle se replaça et ne semblait pas gênée par son bras, que du contraire. La pression des hanches était toujours aussi insistante à tel point que Bertrand avait l’impression qu’elle se frottait litéralement à lui.

Alors qu’elle finit son travail, le regard de Sylviane passa incidemment sur les mains de Bertrand. Il sembla alors au jeune homme que sa dentiste remarqua qu’une grosse bosse s’était formée mais elle n’en dit rien.

Quelques minutes plus tard, Sylviane avait terminé.

— Voilà, Bertrand, te voilà doté d’un sourire de star !
— Sûrement grâce à tes doigts de fée !

Sylviane et Bertrand se regardèrent intensément et dans le flottement de l’instant, ils semblaient jouir de l’ambiguïté. Sylviane avait remarqué la belle protubérance et jaugeait l’épaisseur et la longueur de l’engin. Un bouffée de chaleur l’envahit alors qu’elle essayait tant bien que mal de se contenir. Dans un sursaut de conscience, elle s’écarta du fauteuil et rangea ses outils de travail.

Bertrand, la gorge nouée, la regardait. Sylviane lui faisait dos à présent. L’atmosphère était lourde. Soudain, sans qu’il eut le temps de se reprendre, il lâcha :

— J’aime regarder tes fesses…

Rouge de confusion, paniqué même par sa propre remarque, Bertrand se mordit les lèvres. À peine eut-il voulu corriger le tir que déjà Sylviane s’était retournée. Elle s’adossa au rebord du plan de travail et y posa les coudes. Elle semblait très calme. Le genou légèrement plié, elle semblait poser pour un photographe. Son sourire naissant calma quelque peu Bertrand. Sylviane le fixa du regard et lui dit :

— Il faut attendre dix minutes avant que l’anesthésiant ne fasse plus d’effet. En attendant, je continue à ranger mon matériel, d’accord ?
— Euh…ou…oui, o..ok

Sylviane ôta sa blouse de travail lentement. Bertrand ne put s’empêcher d’arrondir les lèvres de surprise. Il ne put dire un mot. Sylviane lui sourit et se retourna pour vaquer au plan de travail.

A présent, Bertrand avait tout le loisir de détailler les formes de Sylviane. Elle portait un jeans qui mettait ses fesses épanouies en valeur. Les rondeurs de son cul étaient délicatement séparées, laissant apparaître un espace en triangle tout en haut des cuisses, là où la vulve se fait abricot fendu. Bertrand scrutait chaque frémissement qui secouait les belles fesses de son amie. Plus haut, le chandail rouge trahissait la partie postérieure du soutien-gorge qui, manifestement, avait bien du mal à soutenir des seins lourds et larges.

— Alors, mes fesses, tu les vois mieux comme ça ?

Sylviane ne s’était pas retournée en disant cela. Elle continuait à nettoyer ses outils calmement.

— Et quand je me cambre, c’est plus excitant ?

Bertrand n’en croyait pas ses oreilles. Sylviane, qu’il connaissant depuis si longtemps, toujours souriante mais plutôt réservée, qui lui parlait si franchement, qui le laissait ouvertement mater…

— J’ai mis un string. Ça permet aussi de deviner la chatte. Regarde bien…

A cet instant, Sylviane se retourna et regarda en direction du pubis de Bertrand.

— Moi, en tout cas, je vois que ta bite est raide…et grosse !
— Euh..Sylviane… Ecoutes…euh
— Tu sais, ça m’excite de savoir que tu bandes en regardant mon cul ! Et ça m’excite de regarder ta trique. Parce que tu as une longue gaule, hein, mon cochon ! Regarde-moi ça, une longue saucisse toute dure… !

Sylviane lui faisait face. Ses deux énormes globes tendaient le chandail et les tétons, élégamment posés, donnaient à ses seins le galbe de deux très grosses poires. Son jeans serrant exhibait les grosses lèvres de sa moule. Sylviane tira légèrement sur la ceinture de son pantalon.

— Quand je tire là, les plis de la chatte sont encore plus visibles. Tu aimes ? Et le reste, tu aimes aussi ? Mes gros nichons ? Je suis sûre que tu as remarqué que mes tétons sont durs. Regardes, quand j’y touche, ils grandissent encore ! Il y a longtemps que tu les mates, je le sais…

Joignant le geste à la parole, la dentiste se mit à titiller le bout des seins. Prenant les globes à pleine main, Sylviane commença à se masser les seins devant lui.

— Allez, Bertrand, montre-moi ta grosse bite ! Main-te-nant !

Sylviane lui avait lancé cela tout le dévisageant. Bertrand ne répondit pas ; il déboutonna son jeans lentement et baissa son pantalon, libérant sa grosse bite qui dardait fièrement, épaisse, longue et raide, formant un léger arc de cercle, ses couilles gonflées, de la taille d’un œuf, chacune lascivement lovées entre les cuisses.

Toujours debout, adossée au plan de travail, Sylviane eut un petit hoquet, contemplant avec désir ce beau et gros paquet exposé à sa vue.

— Ooooh ! Petit salaud ! Quelle mandrin ! Allez, joue avec ta grosse pine… Tu es encore mieux monté que je ne le pensais ! Dis-moi des choses et regarde-moi bien !

Brisant là toute véléité de retenue, les paroles de Sylviane mirent Bertrand dans un état d’excitation qu’il ne put plus réprimer.

— Sylviane, tu es une vraie pute. Oui, tu me fous la trique, oui, tu me fais bander !! Enlève ce putain de chandail et montre-moi tes grosses mamelles…
— Sale cochon, tu aime ça, hein, les gros nichons de ta petite Sylviane… Allez, dis-le !
— Oui, salope ! Aah, ouaaiiis, voilààà ce que je voulais mater. Regarde-moi ces outres, putain, quelle paire !!
— Tu m’exciiiiiiites, fumier ! Astique-toi, Bertrand, branle ton gros gourdin !
— Et ta grosse chatte qu’on voit au travers de ton jeans…tu le fait exprès pour exciter tes patients ? Hein, allez, avoue !
— Tu veux la mater, hein, ma moule ? Branles-toi plus vite ! Tiens, prends ce savon liquide et lubrifie-toi la queue, salaud… Je veux entendre le bruit quand tu la secoue…
— Allez, grouilles-toi que je puisse tout mater en me branlant !
— Oh ces couilles, Bertrand, quelles grosses couilles, tu as…
— Dis, avec ce cul, tu n’a jamais pensé à te faire enculer ?
— Arrête, Bertrand, tu m’excites troooooop !!!
— Astiques-toi la monniche, écarte les cuisses, pouffiasse, je veux tout voir !
— Ooooh.. Bertrand… j’ai l’impression de pisser tellement je mouille !
— C’est ça, mouille bien ma salope ! Tu pisseras quand je t’aurai rempli de foutre !
— Aahhh… oui, je mou-ou-ille…C’est bon quand tu te branles devant moi !
— Ça te plaît, une bonne queue, hein ? Une bonne grosse bite bien dure, pour te défoncer la rondelle

Sylviane s’était à nouveau retournée. Penchée en avant, elle prit ses fesses à pleines mains et les écarta :

— Mate-moi ce petit trou… Dis-moi que tu aimerais m’enculer !
— Sylviane, tu es une vraie grosse pute… Une grosse pouffiasse qui aime la bite, et surtout dans le cul… Si tu continues, je te fourre mon saucisson dans la rondelle jusqu’à ce que tu m’implore d’arrêter…
— Bertraaaaand….Oooh…ouiiii…
— Je vais cracher, salope, je vais t’en foutre plein le cabinet !
— Je vais jouir, Bertraaaaaaaaaaaandd… Lâche-tout…ouiiii… mets du foutre partout !

Dans un spasme synchronisé, Sylviane et Bertrand atteignent l’orgasme, l’un dans un cri rauque, l’autre dans une série de jappements sonores… Bertrand parvient à orienter sa queue vers Sylviane qui reçoit les jets de sperme sur la cuisse, la main et le bas du jeans.

Elle s’effondre, accroupie, haletante, tandis que Bertrand se cambre une dernière fois dans le fauteuil. Les amants se jaugent, le regard vague, incapables de réfléchir, anéantis par la jouissance.

Les instants passent dont le silence est à peine interrompu par leurs soupirs. Bertrand se redresse lentement, se lève et s’approche de Sylviane. Reprenant leurs esprits, les amis d’hier, amants aujourd’hui, s’enlacent doucement.

— Sylviane… Je n’ai jamais joui comme ça !
— Le plaisir fut partagé, mon grand. Laisses-moi me refaire une beauté et allons prendre un verre avec Pierre ; il doit nous attendre après tout…

Alors que Sylviane s’efface par la porte dérobée, Bertrand marche lentement dans le cabinet dentaire, soudain gagné par la culpabilité. S’il avait ressenti un attachement certain vis-à-vis de Sylviane, jamais il n’aurait cru que la libido allait prendre le dessus. Maintenant qu’elle n’était plus auprès de lui et que ses sens s’étaient calmés, l’anxiété s’empara de lui. Leur relation, et surtout la relation avec Pierre, allait-elle être détruite ? Bertrand allait-il devoir s’expliquer voire subir les foudres de ses amis ? Tout cela a un moment où il avait tellement besoin d’eux.

Au bout d’un quart d’heure, perdu dans ses pensées, il ne vit pas Sylviane qui entra dans la pièce, enveloppée dans un peignoir de bain. Le bas de ses jambes bronzées contrastaient avec la blancheur de l’épais coton échancré et tendu par sa poitrine tellement opulente. Elle s’accouda au chambranle de la porte, la tête penchée sur le côté,souriante et cernée, les cheveux humides encadrant son charmant visage épanoui.

— Viens, Bertrand, Pierre nous attend…
— Mais…
— Ne t’inquiète pas, nous venons de parler de toi…

Ses paroles se ponctuèrent d’une moue énigmatique, à mi-chemin entre la tendresse et le désir.

Bertrand pris sa veste et son dossier et suivit Sylviane dans la maison. Quand ils entrèrent dans le vaste salon doublée d’une véranda en fer forgé aux dimensions généreuses, Pierre était assis dans un fauteuil club en cuir. Bertrand remarqua que lui aussi portait un peignoir de bain. Il leur sourit et les accueillit chaleureusement.

— Ahh Bertrand, te voilà ! Comment vas-tu mon garçon ? Installes-toi…

Un peu hésitant, Bertrand lui sourit et le remercia sans vraiment savoir comment poursuivre la conversation. Il s’assit dans le club situé en face de Pierre. Entre-temps, Sylviane s’était installée dans le grand sofa. Elle croisa les jambes et le peignoir se fendit jusqu’à mi-cuisse. Bertrand le remarqua tout de suite. Il n’en croyait pas ses yeux… Mais que ce passait-il donc ?

Margoth, la gouvernante, apporta le thé et les biscuits puis repartit en silence en dodelinant les hanches. Bertrand la suivit des yeux ; quand il tourna la tête vers le couple pour reprendre la conversation, il vit que Sylviane et Pierre se souriaient.

— Dis-moi, Bertrand, comment avance ta recherche d’emploi ? le demanda Pierre.
— Bof, pas terrible pour l’instant, je vois beaucoup de monde mais rien de vraiment concret, malheureusement…
— Tu m’a l’air tellement déprimé… Si tu affiche cette mine-là lors des entretiens, tu risque d’être déçu ! Allez, Bertrand, relax, détends-toi, sois positif !
— Tu as raison, Pierre, mais ce n’est pas facile. Mais c’est vrai, il faut que j’adopte une autre attitude.
— C’est ça, une autre attitude, plus franche, plus décidée et, surtout, plus confiante !

Sylviane s’était levée et s’approcha de Bertrand. Elle s’agenouilla sur l’accoudoir, juste à côté de lui et lui passa tendrement la main dans les cheveux.

— Tu sais, Pierre, je pense que ce garçon devrait passer quelques jours chez nous, histoire de faire une cure de jouvence !

Ils éclatèrent de rire. L’ambiance était bonne et Bertrand se sentait entouré et soutenu, exactement ce dont il avait besoin. Pierre s’était levé à son tour et s’était assis sur l’autre accoudoir. Il passa son bras autour des épaules du jeune homme et lui donna quelques paroles d’encouragement.

Il sentit leur présence, si proche, et l’émotion le gagna. Il se détendit et se laissa aller. Pierre et Sylviane se regardaient intensément mais il ne pouvait s’en rendre compte. Machinalement, Bertrand tourna la tête de chaque côté et la gorge se noua lorsqu’il s’aperçu que les pans ouverts des peignoirs de Pierre et Sylviane ne masquaient plus rien de leurs bas-ventre. La toison fournie de Sylviane nichée entre ses cuisses cuivrées et charnues, les jambes musclées et glabres de Pierre, entre lesquelles trônait une queue épaisse et longue, mollement abandonnée sur la cuisse gauche, ne cachant rien de lourdes bourses.

Le palais desséché, Bertrand tendit la main pour boire du thé mais ne parvint pas fournir l’effort nécessaire. Il se sentait tétanisé. Et de plus en plus émoustillé, aussi. Le silence pesant, leur proximité, la vue de ces corps, le souvenir vivace de la séance avec Sylviane, tout portait aux sens.

Sylviane lui caressait doucement la tête. Le couple se rapprocha encore et Bertrand sentait maintenant leur chaleur, à chaque instant plus intense. Soudain, la caresse de Sylviane se fit pression. Légère et très douce mais décidée. Sans qu’il pût ni voulût résister, son visage se fit tourner imperceptiblement vers la droite, en directement de Pierre. Bertrand ne pouvait plus douter du geste de Sylviane. Elle l’entraînait vers la queue de Pierre, déjà bien gonflée, que ce dernier titillait des doigts. Dans la tête de Bertrand, des flots de pensées s’entrechoquèrent, lui ôtant toute faculté de réflexion. Il était là, assis entre Sylviane et Pierre, à quelque centimètres de la queue, raide et dure, prêt à commettre l’irréparable.

— Suce-le, mon chéri, goûte-moi cette belle grosse bite…

La voix de Sylviane l’envoûta complètement. Pierre joignit la main à celle de son épouse et guida la bouche de Bertrand, qui goba maladroitement la grosse pièce.

— Oui, c’est ça Bertrand, suce-moi, lentement, tête-moi la bite

Sylviane embrassa Bertrand dans le cou. Sa langue jouant avec les plis, glissa avec un érotisme torride jusqu’à son oreille, qu’elle fouilla à petits bruits humides. Il entendit son souffle résonner dans sa tête.

— Tu m’excites, Bertrand… Pompe-lui la queue, mon chéri…suce-le bien… Ouiiii…Mmmmmmm….Ooohh… Je vois sa trique dans ta bouche…Ouiii….
— Il suce bien, Pierre, ça te convient, mon grand loup ?
— Et comment ! Il a une bouche de pro !

Les chuchotements salaces de Sylviane et Pierre achevèrent Bertrand. Il agrippa la longue bite de Pierre des deux mains et le branla tout en le suçant, fouillant l’intérieur des cuisses et caressant les couilles pesantes de cet homme mûr.

Bertrand était au comble de l’excitation. Pendant un instant, il arrêta de pomper la queue pour se déboutonner et extraire sa pine toute raide et ses couilles, douloureusement coincés dans son slip. Sylviane se mit à genoux entre ses cuisses et se mit à le sucer goulûment. Bertrand repris la queue de Pierre en bouche. Il sentit sur le bout de la langue un goût âcre et salé qui préfigurait la jouissance toute proche. Pierre lui maintenait la tête fermement et accompagnait l’ardeur de Bertrand par de lents mouvements du bassin. Sylviane le branlait tout en suçotant la bite en lui malaxant les couilles qu’elles prenait à pleines mains.

— Je…Je vais lâcher, cria Pierre

Sylviane se redressa et prit le relais de Bertrand. À peine quelques secondes plus tard, Bertrand vit Pierre se cambrer et jouir dans une succession de cris rauques. Il vit Sylviane avaler le foutre de son mari, les yeux ronds, le regard vide, concentrée sur sa tâche. Pas une goutte ne fut perdue. Elle mit quelques instants à avaler le liquide chaud et gluant puis, rassasiée, elle s’assit en tailleur sur le sol en souriant.

Pierre tapota sur l’épaule du jeune homme. Ils se sourirent puis se tournèrent vers Sylviane, radieuse.

— Ah mes chéris, quel bonheur ! lança-t-elle
— Dis-moi, ma louloute, répliqua Pierre, tu ne crois pas que notre protégé à droit à son éjac’ ? Ou alors la séance dans le cabinet lui a-t-elle vidé les couilles, hmm ?

Bertrand le regarda confus. Pierre savait ce qui s’était passé entre lui et sa femme !

— Allez, pas d’histoires, Sylviane m’a tout raconté, dit Pierre en riant. Tu es avec nous maintenant, tout baigne !

Sylviane prit la queue de Bertrand, encore raide et tendue, et le branla doucement. Elle regarde Pierre et lui demanda :

— Appelles Margoth, je suis sûre que Bertrand se sentira encore mieux après.
— Tu as raison, ma louloute. Margoth ?

La gouvernante entra dans la pièce. Elle gloussa dans un petit rire coquin en apercevant ce petit monde dénudé et s’approcha du trio. Apparemment, elle devait être plus qu’au courant de la liberté de mœurs qui rêgnait dans la maison !

— Margoth, Bertrand va passer quelques jours avec nous. Préparez-lui sa chambre mais avant, notre jeune ami doit se soulager.
— Bien Monsieur, répondit-elle en souriant à Bertrand. Monsieur a une très grosse pièce, il faudra me ménager, n’est-ce pas ? dit-elle en examinant la verge du jeune homme.

Sylviane s’était levée et avait entreprit de déshabiller Bertrand complètement. Lorsqu’il fut nu, elle s’approcha de Margoth et lui glissa quelque chose dans l’oreille. Les deux femmes se tournèrent vers le sofa et Sylviane y fit s’agenouiller sa femme de chambre. Elle releva la jupe noire de son uniforme et fit glisser le slip de coton blanc le long des cuisses joufflues de la belle Péruvienne. Tandis que les deux hommes assistaient à la scène, Pierre glissa doucement à Bertrand :

— C’est vrai que vous êtes monté comme un âne, jeune homme !

Dans le clin d’œil complice qui suivit, Bertrand sentit la main de Pierre se refermer sur sa pine dure, qu’il masturba lentement, d’un geste expert.

Sylviane commença à masser doucement la vulve de Margoth. La gouvernante se cambra sous la caresse et, toujours en levrette, tourna la tête pour mieux apprécier le spectacle.

Obéissante, Margoth était aussi très chaude. Elle avait été « éduquée » par ses patrons, qui lui avaient fait découvrir la sexualité sous tous ses angles. Sylviane lui avait donné une instruction précise et elle allait bien entendu obéir à sa maîtresse.

Sylviane cracha un mince filet de salive qui atterrit entre les grosses fesses de Margoth. Sa maîtresse glissa le pouce et se mit à masser sa rondelle, ointe et désormais prête à accueillir le mandrin hors norme de Bertrand.

— Allez, mon grand, elle est prête, dit Sylviane. Encule-la et vide-toi les couilles dans son gros cul.

Sous l’impulsion de Pierre, qui aida Bertrand à se relever, il se plaça derrière Margoth. Sylviane lui prit la bite et la guida devant la rondelle. Pierre s’était glissé derrière Bertrand. Il sentit sa main soupeser ses couilles et la bite de Pierre encore chaude lui caresser les fesses. La promiscuité des corps et la douceur des caresses tendirent un peu plus encore la grosse tige turgescente de Bertrand.

— Ecarte bien les fesses, Margoth, lui chuchota Sylviane
— Oui, Madame…
— Allez, Bertrand, elle est à toi, fourre-lui ta grosse queue dans le cul

Bertrand n’en demandait pas plus. Il pointa son gland et enfonça son vit qui entra comme dans du beurre. Margoth eut un petit hoquet puis se détendit en sentant la verge dilater ses entrailles.

— Oh putain, elle est bonne ! Ohh quel cul…bien serré…Ahh…prend ça ma biche, tu la sens bien ?
— Oh ouiii, Mo…Monsssieur…dou..doucement…c’est bbboon !

Pierre bandait comme un cheval et Bertrand eut un instant l’impression qu’il voulait le prendre mais, à son grand soulagement, il se contentait de se branler sur ses fesses. Sylviane s’était assise près de Margoth dans le sofa et lui suçait avidement les seins tout en se branlant, deux doigts largement enfoncés dans sa chatte bien juteuse.

Pierre glissa la main par-devant Bertrand et vint lui caresser la bite tout en poussant les hanches de son ami pour l’aider dans son mouvement d’enculage. Bertrand était au bord de la jouissance ; sans plus attendre, il accéléra le mouvement, secouant la pauvre Margoth, complètement défoncée mais ravie d’avoir une telle pièce dans le cul. La sève monta à la vitesse de l’éclair et Bertrand eut juste le temps de s’enfoncer à fond dans le cul de la gouvernante puis lâcha la purée en quatre jets puissants qui finirent de faire jouir Margoth.

Pierre relâcha l’étreinte sur Bertrand et rejoignit son épouse qui n’attendait plus qu’une bonne queue pour se faire jouir comme elle le souhaitait. Pierre la prit en levrette, à la soudard, comme elle aimait. À peine eut-il enfoncé sa trique dans la monniche de Sylviane que celle-ci y alla d’un baiser profond et mouillé que Margoth avala avec gourmandise. Soufflant comme un taureau en rut, Pierre pilonnait sa femme, qui criait son bonheur, tantôt étouffé dans la bouche de Margoth, tantôt hurlé en sons aigus et chuintants.

Quand Pierre, Sylviane et Margoth furent repus, tous s’allongèrent au gré de l’espace sur l’épaisse moquette de laine. Bertrand alla dans la cuisine chercher quelques rafraîchissements qu’il posa sur la table basse. Ils étaient tous avachis, le sourire béat, épuisés par l’intensité de l’orgie.

Bertrand regarda l’horloge. Il était temps de faire une petite sieste…

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