En 1983 j’ai fait l’acquisition d’un chiot femelle.
Etant passionné par les races rares mon choix se porte sur le Hovawart , une race avec des qualités d’exception : gentillesse, douceur, obéissance et un instinct inné pour la garde de sa maison.
J’ai parcouru 800 kilomètres vers Bénodet en Bretagne pour trouver la perle rare (à cette époque il devait y avoir 4 éleveurs en France).
Retour en banlieue parisienne ou j’habitais un rez de jardin qui me permettait de sortir directement sur une très grande place en bord de Marne ; je pris 15 jours de vacances pour cet événement afin de m’occuper de cette jeune « chiotte ».
Je dédiais tout le temps nécessaire pour qu’elle s’habitue à sa nouvelle vie.
Tout s’est bien déroulé et puis vers 8 mois elle a eu ses premières chaleurs, je fus très attentionné pendant cette période et ce n’est qu’à partir de ce moment que je commençais à l’habituer à des caresses plus précises en douceur sous son ventre, elle aimait bien.
Vers 14 mois je commençais à lui toucher la vulve et à nouveau ses chaleurs sont revenues, je la laissais tranquille la première en la promenant beaucoup pour qu’elle se défoule afin que cette première semaine de chaleur se passe bien., ;au bout de 8 jours elle commença à être vraiment réceptive et j’ai commencé à bien lui masser la vulve, elle était très coopérante, elle aimait même cela jusqu’à en redemander quand j’arrêtais, je l’avais habitué à m’occuper d’elle à un seul endroit de l’appartement alors quand je lui disais : c’est fini elle arrêtait et redevenait tout à fait normal en quittant ce lieu ( en l’occurrence l’entrée de l’appartement).
Je pouvais passer de longs moments seul avec elle car à l’époque je travaillais à la télévision, souvent les week-ends et le soir avec de nombreux jours de repos en semaine, jours ou évidemment j’étais seul à la maison.
Pour ses deuxièmes chaleurs j’ai commencé à lui mettre un doigt dans le vagin très progressivement, ça rentrait assez facilement car son vagin était bien humide, elle aimait déjà cela et tendait son cul en levant la queue pour que cela rentre bien, J’avais la bite très dure et je mouillais comme un dingue ; j’ai voulu en mettre 2 mais impossible, trop de diamètre pour elle, le lendemain juste avant d’aller à mon travail pour 14 heures dans le 7éme arrondissement de Paris je me suis rendu dans un sex-shop près de Pigalle pour y acheter du lubrifiant et 2 godes de taille différentes, un d’un diamètre assez petit mais quand même plus gros que mon majeur et un autre juste un peu moins que ma queue en érection
Le lendemain je ne travaillais pas et dès que la maison a été vide je me suis vite levé pour tester mes nouveaux objets.
Je fis faire un tour à Vega sur la grande place devant chez moi afin qu’elle fasse ce dont elle a besoin tous les matins puis je rentrai vite à l’appartement, je fis une toilette de sa vulve, ça l’excitait déjà puis je l’emmenais dans l’entrée, la, elle savait qu’elle aurait son plaisir et se frottait tout de suite à moi.
Je la caressai sur le dos juste avant la queue puis avec mes 2 mains de chaque côté de ses cuisses ; elle tortillait du cul et levait bien la queue pour me montrer sa vulve toute enflée et mouillée, je passais mon bras gauche sous elle en étant sur son coté et je commençais à lui branler le clito, elle se cambrait et elle en jouissait à chaque fois.
J’avais préparé ce qu’il me fallait au sol près de moi, le lubrifiant et les 2 godes , j’enduis bien de lubrifiant mon majeur et lui enflait bien dans le vagin , cela rentra tout seul, je sentais bien les contractions de son vagin autour de mon doigt, alors je pris le plus petit gode mais malgré tout beaucoup plus gros que mon doigt, je l’enduis de lubrifiant et je lui enfilais celui-ci et à ma grande surprise il passa aussi assez facilement, elle adorait cela, du coup j’essayais le deuxième gode bien enduit et la ça a commencé à bloquer un peu mais ce qui me surpris c’est que dès que j’ai forcé un peu Vega se mit à osciller du cul comme un mâle au début quand il commence à pointer la vulve d’une chienne, j’avais l’impression qu’elle avait un puissant orgasme, cela dura presque 1 minute, j’arrêtais quelques minutes le temps qu’elle se lèche bien la vulve puis elle revenait vers moi pour en redemander.
Je lui enfilais à nouveau le gros gode en la tenant bien avec mon bras gauche sous le ventre et pour cette deuxième tentative je réussis a lui enfiler entièrement c’est a dire environ 15 centimètres, juste un petit cri au passage dur mais insignifiant, je réussis a faire quelques va et vient en douceur et cela allait très bien ; j’avais la queue en feu dure comme du bois et elle mouillait comme jamais.
Je me décidais a essayer de lui enfourner ma grosse queue, je la pris avec mes 2 mains par les flancs, elle levait bien sa queue et j’avais sa vulve toute découverte, pas besoin de lubrifiant pour ma queue tellement elle dégoulinait de mouille au bout, je l’approchais près de l’entrée magique et je commençais à l’enfoncer un peu, je ressentis la chaleur de l’entrée de son vagin , c’était trop bon , j’insistais un peu pour aller plus loin mais ça bloquait un peu, je décidais donc ce jour de ne pas aller plus profondément, je fis juste quelques va et vient enfoncés de 3 ou 4 centimètres ce qui me fit vite gicler la queue dans un plaisir exceptionnel, il y avait plus de 10 ans que je n’avais saillis une chienne.
Le soir même je baisais comme un dingue avec ma femme pour finir par la prendre en levrette et bien lui remplir la chatte ;ce que j’avais fait avec ma chienne avait décuplé ma libido
Le week-end suivant j’ai travaillé les 2 jours donc j’étais en repos lundi mardi et mercredi, je savais donc que j’allais pouvoir prendre du plaisir avec Vega pendant 2 jours car le mercredi je m’occupais de mes 2 fils.
Dès le lundi matin je me levais aussitôt que mon épouse fut parti avec les enfants, et pas besoin d’aller promener Véga car quand je rentrais tard du travail ma femme se chargeait de le faire pour me laisser me reposer.
Je n’ai même pas pris mon café, j’ai réuni tout ce qui me fallait pour m’occuper de ma jolie chienne en chaleur (les 2 godes, le lubrifiant, du lait concentré et un gant a pour bien lui laver la vulve), je me suis dirigé vers l’entrée de l’appartement et elle m’a suivi sans que je lui demande, j’étais complètement nue,
Elle est tout de suite venue se frotter à moi pour que je la branle en tournant du cul et en levant bien son fouet, je lui prodiguait quelques attouchements ça l’excitait très fort, je bandais déjà avec une bite dur comme pas possible, je lui présentais ma queue pour qu’elle me la lèche, elle le fit un peu mais sans être très enjouée, c’est la que le lait concentré avait son utilité, j’enduis bien mon gland de cette crème et lui présentais à nouveau, elle se mit à me lécher le bout avec sa langue douce et très souple, elle me nettoya le gland en 2 minutes, j’étais au tout près de gicler mais j’arrêtais ce jeu à ce moment car ce que je voulais c’était la saillir et sentir ma queue se faire serrer dans son vagin brulant .
Je lui ai bien nettoyé la vulve et comme la fois précédente avec mon bras gauche sous son ventre et moi à genoux sur le côté je lui enfilais le petit gode bien lubrifié qui rentrait très facilement, elle tortillait du cul avec la queue el l’air, puis je pris le plus gros gode et je lui enfilais progressivement et avec quelques à-coups également et au moment ou c’était un peu plus dur elle recommença a arrondir le dos et à osciller comme un mâle , elle avait une grande jouissance, j’arrêtais un peu ce jeu et je repris le gode pour bien lui mettre à fond, je l’ai bien enduit, pas besoin de l’appeler dès que je me mettais à genoux elle venait toute seule vers moi, elle était incroyablement demandeuse d’une bite qui la remplisse.
Elle levait bien sa queue pour me présenter sa chate gonflée et humide, à ce moment je lui ai enfilé le gros gode à fond, je suis resté une ou 2 minutes comme ça et j’avais trop envie mois de la saillir, j’ai retiré le gode et me suis placé derrière elle en la saisissant par les flancs et présentait ma bite toute dure au bord de sa vulve, ma queue coulait tellement j’étais excité, je fis une légère pression et lui enfilait facilement le gland, c’était déjà très bon tellement elle était chaude, j’ai continué la pression pour lui mettre entièrement ma bite, c’était un peu dur mais je pus l’enfoncer entièrement , à ce moment je ne bougeais plus et j’appréciais son vagin brulant qui me serrai à intervalle régulier, elle avait le dos un rond , je me voyais ainsi avec toute ma bite dans sa chate, c’était divin, je me suis mis à bouger un peu et sincèrement j’ai lâché tout mon foutre tout au fond de son vagin au bout de 2 minutes, je me suis retiré doucement , moment toujours délicat avec les chiennes.
Elle se lécha bien la vulve puis je la remmenais à la cuisine en la félicitant.
Je suis allé prendre une bonne douche et évidemment ranger et cacher tous mes petits accessoires.
Après mon petit déjeuner nous sommes allés faire une longue balade au bord de la Marne , elle le méritait bien, j’étais content car enfin j’avais retrouvé une jolie chienne à saillir, ma jolie chienne.
Une fois mon déjeuner terminé je me suis à nouveau déshabillé, elle a tout de suite compris et est allé vers l’entrée, je lui ai bien branlé le clito, elle a adoré puis directement je lui ai enfilé ma bite ( pas besoin de lubrifiant tellement je mouillais) et à nouveau au moment ou c’était un peu plus dur elle s’est remise à osciller, j’ai réussi à rester un peu en elle mais je n’ai pas pu la suivre car elle avançait en même temps, je la félicitais puis lui pris les flancs , cela l’excitait et lui faisait tourner son cul vers moi, à ce moment je pus à nouveau lui enfiler ma bite toute raide et prendre un plaisir incommensurable.
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