Histoires de tromper Premières histoires de sexe

Marie, Henry et moi

Marie, Henry et moi



Cela fait maintenant quatre ans que, Marie et moi, nous rencontrons plus ou moins régulièrement. Nos rendez vous sexe sont devenus plus occasionnels que réguliers, mais restent d’une très haute intensité. Ma vie personnelle s’étant sentimentalement clarifié, elle, de son coté, tentait toujours de sauver son couple et essayait même « d’améliorer » les rares rapports qu’elle maintenait avec Henry.

Lors d’une sortie randonnée et sexe en nature, elle m’annonce avoir officialisé notre relation à son mari. La surprise n’a pas été qu’il soit cocu, mais qu’elle est choisie un homme beaucoup plus jeune qu’elle pour cela. Elle lui dit espérer déclencher chez lui, un minimum de jalousie, un esprit de revanche et surtout la motivation pour entreprendre la reconquête de la femme qu’il aime. Il se doutait bien qu’elle voyait quelqu’un et affirma qu’il la comprenait et même qu’il était heureux qu’elle ne l’ait pas quitté pour l’autre. L ‘autre, c’était moi, et nous savions tous les deux que notre vie n’aurait jamais rien de commun, surtout depuis que je vivais en couple avec Patricia. Marie savait qu’il n’y aurait jamais rien de plus que du sexe entre nous, même si je savais bien que ses rêves avaient été tout autres.

Malgré cette récente annonce, Henry n’avait pas vraiment changé sa façon d’être. Attentionné, mais sans geste tendre, à l’écoute, mais restant sourd, ou plutôt incapable d’appliquer les conseils et recommandations de sa femme, il restait le même homme mou et transparent qu’il était depuis de nombreuses années. Leurs rares rapports restaient sans intérêts et ne faisaient qu’augmenter le désamour de Marie pour Henry.

Un dimanche matin Marie et Henry étaient seuls chez eux. Tandis qu’elle changeait les draps de leur lit, en regardant le drap house maculé de semence masculine, traces de leur rapport de la veille, elle se dit qu’il faillait vraiment faire quelque chose. Elle ne supportait plus cette situation, elle aurait tellement préféré voir les draps souillés par le cocktail de leurs sécrétions. Elle appela son mari.

– « Henry, tu peux venir, s’il te plait » cria t’elle dans l’escalier.

– « J’arrive ma chérie, je descends tout de suite. » répondit-il en éteignant le téléviseur.

– « Tu veux que je t’aide à refaire le lit, ma chérie. »

– « Oui, enfin pas seulement, regarde » lui dit t’elle d’un ton autoritaire et montrant le drap taché.

– « Ben quoi, qu’est qu’il y a ? On a fait l’amour hier soir, c’est normal, non ? dit-il tout penaud.

– « Tu trouves ça normal toi ? Moi je n’appelle pas ça faire l’amour, moi, je dis simplement que tu m’utilises pour te faire du bien, pour te vider les couilles, mais c’est tout. Est ce que tu vois une trace, une seule trace de mon plaisir. Je crois même qu’en cinq ans dans cette maison, tu ne m’as jamais faite jouir. Tu trouves ça normal ? » dit-elle sur le ton de la colère et laissant échapper les premières larmes de ses yeux magnifiques.

– « Je suis désolé ma chérie, je ne suis pas à la hauteur, je ne te mérite pas, je suis une merde, mais je t’aime tant. Si tu veux mon amour, je suis prêt à accepter que tu fasses l’amour ici, avec qui tu le souhaites. Je voudrais tellement que tu ais du plaisir chez toi, dans ta maison, dans ton lit. Je t’aime tellement, si tu savais combien je t’aime et combien je suis désolé de la situation. » lui répondit-il en pleurant à chaudes larmes.

– « Aller, retourne à ta télé, laisse moi pleurer toute seule , tu m’énerves.»

Henry s’exécuta et retourna s’installer dans le salon pour regarder la télé. Marie resta un long moment, seule, à pleurer dans sa chambre. Après s’être remise plus ou moins de ses émotions, un mélange de colère, de rancœur mais aussi de pitié, elle termina de remettre en ordre la chambre et remonta rejoindre Henry. Il était enfoncé dans le canapé, les yeux gonflés et brillants, reniflant sans cesse. Elle se mit debout devant lui et lui dit :

« Ok, je vais prendre du plaisir chez moi, dans ma chambre, dans mon lit, mais, devant toi. Je vais demander à Laurent de venir me faire l’amour ici, devant toi, dans notre lit. Tu vas voir ce que c’est que faire l’amour, faire jouir une femme, Ta femme. Peut-être verras tu tout le chemin qu’il te faudra parcourir pour me reconquérir. »

Après ce monologue, elle retourna tranquillement à ses tâches ménagères, soulagée et presque heureuse d’avoir réussi à vider son sac. Ces quelques larmes, seraient peut-être salvatrice pour elle, mais sa décision serait certainement très douloureuse pour Henry. Il était trop tard, plus possible de faire demi tour, elle était allée trop loin, au risque de faire exploser sa famille toute entière, elle était prête.

C’est quelques jours plus tard, vers la fin d’un après-midi coquin dans un petit hôtel où nous avions nos habitudes, qu’elle me fit part des grandes lignes de leur discussion. Au prime abord, très surpris qu’elle veuille que nos prochaines rencontres aient lieu chez elle, Marie n’ayant jamais voulu renouveler notre première relation sous le toit familial, je lui dis que pour moi, une chambre ou sa chambre, je n’y voyais aucune différence, donc se serait où elle le voulait. Elle me demande donc si ma chérie serait disposée à me libérer un samedi soir pour une nuit d’amour.

Je parle donc de cette soirée à Patricia, ma copine du moment, qui finira par devenir ma femme, qui accepte mais souhaiterait y participer. Je lui explique que l’occasion se présentera certainement, mais que je ne pensais pas que c’était le bon moment pour une rencontre à trois.

C’est ainsi que le rendez-vous coquin est fixé pour le samedi en huit entre Marie et moi, elle enverrait ses enfants chez sa sœur pour, comme elle disait, que nous soyons tranquille. C’était plus pour eux que pour nous, car nous, les cris de plaisir de Marie ne nous gênaient pas, il n’en aurait pas été de même pour ses enfants. Marie avait toujours été du genre chanteuse pendant les rapports, mais avec le temps ses performances vocales étaient devenues proches de celle d’une cantatrice. C’est donc le jour J, vers 20H30, que je sonne à l’interphone de sa petite propriété. La serrure électrique du portillon se libère, j’entre et me dirige vers la porte d’entrée. Je suis à deux mètre de la porte quand la porte s’ouvre.

Je m’arrête net, les deux marches qui me restent à gravir me semblent être une falaise infranchissable, un mur. Je suis figé, face à Henry qui m’accueille avec le sourire et qui me dit :

– « Bonsoir Laurent, comment allez vous depuis le temps ? Nous vous attendions. Entrez donc, Marie vous attend dans notre chambre, je ne vous montre pas le chemin ? »

– « Allez, entrez, ne restez pas planté là » rajouta t-il en me voyant statufié de surprise.

Mes jambes sont comme paralysées, mais avec énormément d’effort, je parviens à franchir l’obstacle et me retrouve dans la maison après avoir serré la main de mon Hôte. Henry a compris que Marie n’avait pas été très claire avec moi. Je suis là physiquement, mais mon cerveau est dans un épais brouillard, je ne sais pas quoi faire, quoi dire, comme absent. C’est Marie qui vient me sortir de ma torpeur en apparaissant dans l’escalier, elle est quasi nue, des bas noirs auto-fixant, des escarpins bleus, et un magnifique bustier noir et bleu push-up ouvert laissant les mamelons libres. A cette vue, mon sexe se transforma immédiatement en matraque et déforma mon pantalon de façon flagrante. Elle s’approcha de nous, Henry à ma droite, nous la regardions. A chacun de ses pas, ses fesses passaient à droite, puis à gauche dans une jolie danse sensuelle, ses seins tressautaient légèrement, bien coincés dans les balconnets pour participer au spectacle. Elle vient m’embrasser, nos bouches s’entrouvrent, nos langues se caressent, puis se quittent pour dire :

– « je vois bien que je ne vous fais pas le même effet. » en posant sa main droite sur la bosse de mon pantalon et la gauche sur l’entre jambes de son mari. Puis ajoute en regardant Henry dans les yeux:

– « Allez mon chéri, ça va bien se passer, ne t’inquiètes pas. »

Puis à nous deux :

– « Suivez moi »

Elle se retourne et repart en direction de l’escalier et de leur chambre. Henry lui emboite le pas, la tête basse, les bras ballants, comme un enfant attendant la punition. Je les regarde, et constate l’inadéquation flagrante de ce petit couple. Ils n’ont rien à voir, rien de commun, si ce n’est leurs deux enfants. Elle est vive, sexy, mince, bien faite, avec de belles fesses surmontant des jambes fines et fuselées, lui est mou, neutre et bedonnant.

Une fois dans la chambre, Marie donne les ordres. Elle demande à son mari de se déshabiller, Henry s’exécute. Il se retourne légèrement, par timidité certainement, pour retirer son slip. Il se redresse face à Marie, les mains devant son sexe.

– « Tu peux lever tes mains de là, s’il te plait, et tournes toi, je vais t’attacher les mains dans le dos »

Henry se retourne et se laisse attacher avec une cordelette. Marie lui demande de se placer debout contre le mur, face au bas du lit. Il devra rester là, sans bouger. Il se positionne et attend, le regard baissé, il sait que sa punition commence. Je regarde cet homme avec un peu de pitié, j’ai même de la compassion pour Henry, son sexe, dirigé vers le sol, est de petite taille, partiellement caché dans l’épais buisson de son pubis.

– « A ton tour. Déshabilles toi et assieds toi là » me dit-elle en me montrant le bas du lit.

Je retire mes vêtements rapidement et m’installe face à Henry. Il est à 2 mètres de moi, regarde sol et n’ose me regarder. Marie revient de son dressing avec d’autres cordelettes, m’attache les pieds au niveau des chevilles, puis aux pieds du lit. Elle installe une cordelette à chacun de mes poignets et une fois allongé, les relie à la tête de lit. Me voilà entravé sans être totalement saucissonné, elle m’a laisser un peu de latitude dans mes mouvements.

Marie semble satisfaite de la scène, elle me regarde, souriante et les yeux brillants puis regarde Henry en faisant une petite moue qui me fait penser à de la pitié. Puis elle lance :

– « Que la fête commence »

Elle monte sur le lit et vient se positionner en soixante neuf. Ses fesses sont hautes et encore insaisissables pour moi, c’est elle qui dirige, elle décidera de tout. Nous serons ses jouets d’un soir. Elle att**** mon sexe redevenu mou pendant les phases préparatoires. Marie commence à me masturber lentement sur toute la longueur. A chaque redescente de sa main, ma tige mole ploie tantôt à droite, tantôt à gauche entrainée par le poids de mon gland. Elle jette un regard à Henry et lui dit :

– « Mon chéri, c’est par ici que ça se passe, tu es la pour regarder, alors regarde. » passant d’un ton doux à un ordre clair.

Henry lève les yeux, jette un rapide regard vers moi, puis regarde à sa femme qui s’attèle à donner de la rigidité à ma virilité. Il écarquille les yeux en voyant la taille de l’engin que Marie manipule avec délicatesse. Elle me branle encore et encore, posant de temps en temps un doux baiser sur le gland, puis caressant du bout de la langue la tige grandissante. Henry la regarde d’un air admiratif, elle est appliquée et douce, je suis aux anges. Marie approche lentement son sexe vers ma bouche et vient l’y poser. Au contact, son corps s’électrise, elle pousse un long gémissement qu’elle étouffe en avalant mon gland et une bonne partie de mon membre. Henry est subjugué, il regarde le visage de Marie qui monte et descend, de plus en plus bas, vers mon pubis glabre. De mon coté, ma langue pioche dans son sexe à la recherche de la source qui alimente son délicieux torrent. Les petits mouvements avant arrière des fesses de Marie sur mon visage accentuent mes caresses, elle se frotte sur ma bouche et mon nez. Lorsque Marie vient poser son bouton d’amour sur la pointe de ma langue, un puissant gémissement étouffé se fait entendre, ses fesses m’écrasent et m’étouffent, mon nez s’enfonce dans ses chairs chaudes et ruisselantes. Elle pose ses mains sur mes cuisses, se relève, recrache mon vit gluant de salive et hurle sa jouissance en regardant Henry. Son premier orgasme est long et puissant, son corps tremble, ses hanches s’affolent sur mon visage, je suffoque.

Sentant que je m’agite sous elle, Marie me donne un peu d’air, puis me libère complètement dès qu’elle a retrouvé un peu de ses esprits. Elle vient s’étendre tout contre moi pour m’embrasser tendrement. Elle lèche lentement ses sécrétions qui recouvrent la presque totalité de mon visage puis m’embrasse à nouveau. Ce baiser est long et m’embrase, nos langues dansent, nos salives aromatisées de sa cyprine se mélangent en un délicieux cocktail d’amour.

Après quelques petites minutes de répit, Marie m’enjambe, passe sa mains droite entre nos corps et se saisi de ma queue. Elle la soulève légèrement et dirige mon gland en direction de son puits d’amour. Le gland bien calé dans son entrée, marie se soulève et entame une descente lente et régulière jusqu’à la rencontre de sa vulve et la racine de ma queue, en poussant un gémissement d’une puissance croissante tout au long de la pénétration. Henry regarde le sexe de Marie s’ouvrir, se déformer et se distendre jusqu’à l’absorption totale de mon vit puis s’écrit :

– « Mon dieu, ma chérie, comment peux-tu t’enfiler un engin pareil, ça doit te faire drôlement mal, non ? »

– « Tu as l’impression que je souffre, là, vraiment, non, ne t’inquiète pas, aucune souffrance, que du plaisir, regarde bien comment je vais jouir mon chéri. » lui répondit-elle en le regardant par dessus son épaule.

Elle vient me poser un baiser, nos lèvres se collent, ses hanches se soulèvent et marie commence une longue et délicieuse cavalcade autour de mon pieu. Elle monte et descend lentement, la danse dure de longues minutes. Elle jette, de temps à autres, de rapide coup d’oeil à Henry et constate qu’il est littéralement hypnotisé par la scène. Il est en pleine érection, un sexe d’une quinzaine de centimètre, tendu à exploser, rouge sur toute la longueur et le gland violacé. L’érection paraît douloureuse, une goute de liquide séminal perle de son urètre. Il admire et grimace. C’est le moment que choisit Marie pour augmenter la cadence. Elle s’active, ses mouvements sont ample, ses fesses claquement violement sur mes cuisses. Ses gémissements s’intensifient et deviennent des cris, la chanson douce devient une musique lyrique. Marie part dans un second orgasme qui la liquéfie. Elle jouit et chante son bonheur à tue-tête. Sa source ne tarie pas, je sens son jus ruisseler le long de ma verge jusqu’à en recouvrir mes bourses. Son corps est secoué par le plaisir, traversé par le bonheur de jouir, un bonheur amplifié par le fait que tout se passe dans le lit conjugal devant son mari subjugué par le plaisir de sa femme.

Marie se relâche, son corps s’écrase sur mon torse, les durs tétons que je voyais jusque là, danser devant moi au rythme du coït, viennent me poignarder les pectoraux. Le contact de ses bouts tendus et douloureux contre ma peau la fait sursauter de surprise. Elle s’immobilise et pose son visage sur mon épaule et miaule un :

– « humm mm, c’est trop bonnnnn.. »

Elle reste plaqué à moi un long moment, nous sommes tous silencieux, et attendons un signe de Marie. Toujours fiché en elle, je reste immobile. La belle reprend vie. Quelques petites ondulations du bassin réveillent en elle un désir intarissable. Elle tourne la tête vers Henry et dit :

– «Mon chéri, maintenant à toi de jouer. »

Le visage crispé par la douleur de son sexe prêt à exploser s’illumine tout à coup. Puis lui ordonne :

– «Viens t’agenouiller derrière moi et lèche moi le cul pendant que je profite encore un peu de Laurent en moi »

– « Mais, ma chérie, c’est dégueulasse ce que tu me demandes. » répondit-il dégouté et déçu par la demande de Marie.

– « Henry, ne m’oblige pas à répéter, dépêches toi » ordonnât-elle.

Henry bouge enfin, s’agenouille, les mains toujours attachées dans le dos, et approche sa bouche des fesses offertes et de l’anus de Marie. Il pose enfin sa bouche contre la fleur, le menton posé sur mes couilles, il commence à lécher la raie de sa femme qui gémit doucement. Elle me regarde de ses grands yeux brillants de bonheur et m’embrasse langoureusement. Après ce délicieux baiser, elle att**** la nuque d’Henry et lui écrase la bouche contre son cul. La langue d’Henry pénètre l’orifice et Marie le remercie par un délicieux gémissement d’encouragement. Elle se laisse lécher et pénétrer longuement par la langue de son mari puis lui ordonne brusquement de reprendre sa place. Elle se relève et libère mon sexe prisonnier de son vagin depuis plus d’une demi heure. Elle regarde mon sexe et me sourit. Elle semble satisfaite de mon érection toujours aussi vigoureuse et parfaite pour la suite des évènements. Elle vient se plaquer contre Henry, écrasant son sexe, intérieurement meurtrit, entre leurs ventres et lui pose un baiser sur la joue. Elle passe sa mains entre les jambes de son homme, lui caresse délicatement les couilles et remonte lentement jusqu’au gland. Henry souffre de plaisir, mais résiste à la douce torture en gémissant. Elle termine sa caresse en passant son index sur l’urètre, recueille la petite goute de liquide séminal et en souriant vient la déposer sur la langue d’Henry.
L’excitation d’Henry est à son apogée, l’éjaculation est toute proche, mais le bougre résiste en serrant puissamment les dents. Elle le libère de ses liens, lui ordonne de na pas bouger. Le même sort m’est réservé, libéré, mais devant rester immobile. Nous restons deux sexboys.

Marie m’enjambe en me tournant le dos, faisant face à Henry, elle admire les efforts réalisés par son mari. Constate qu’il lutte pour le plaisir de sa bien-aimée. Elle passe ses deux mains dans son dos et fléchit légèrement ses jambes. La première att**** ma bite et force pour la redresser contre son gré en direction de ses fesses. La seconde caresse délicatement son anus lubrifié et écarte largement les deux globes de ses merveilleuses fesses. En une petite flexion supplémentaire, elle fait pénétrer mon gland dans son fondement. Marie joue de ses sphincters et adresse une merveilleuse caresse à mon gland. La succession de contractions et décontractions des ses muscles me mène tout près de l’extase. Elle me laisse à la porte du bonheur, pose ses mains sur mes genoux joints et fait glisser mon pieu jusqu’au fond de ses intestins dans un hurlement. Un hurlement de plaisir que je connais parfaitement chez Marie, mais inconnu de son homme. Henry, un peu affolé, la regarde d’un air inquiet, l’envie de s’approcher de sa femme lui traverse certainement l’esprit, mais il reste immobile, son étendard au garde à vous.

C’est quand j’ai vu les yeux exorbités d’Henry, au moment ou Marie a basculé en arrière, posant ses pieds sur mes genoux, que j’ai compris. Henry venait de comprendre, Marie s’était elle même sodomisée. Lui qui s’était déjà inquiété des douleurs potentielles de sa femme lors de la pénétration dite classique, était cette fois complètement angoissé à l’idée de voir les dégâts occasionnés par le passage d’un engin hors norme dans le rectum de son épouse.

Mes mains enfin libres, je profitais de cette nouvelle position pour venir caresser les seins de Marie. A travers le tissu soyeux de son bustier, puis la peau douce du haut de sa poitrine. Mes doigts se promènent lentement et délicatement, faisant de petits cercles concentriques et prenant la direction des tétons tout aussi bandés que mon membre planté entre ses fesses. La rigidité de ses petits tétons exprimait l’état d’excitation dans lequel se trouvait Marie. Quand mes doigts ont atteint ses deux boutons hypersensibles, elle a gémit, mais quand, d’une pression, j’ai appuyé mes doigts et enfoncé les deux bourgeons, comme les valves d’une bouée après le gonflage, Marie s’est mise à vibrer, à trembler, à jouir, elle a été traversé par un nouvel orgasme. Un orgasme différent, d’un genre nouveau, moins profond, moins puissant, mais plus soudain, totalement inattendu. J’ai gardé ses tétons enfoncés dans ses chairs pendant toute la durée de l’extase, espérant prolonger ce moment nouveau. Marie était inerte, ma bite fichée dans le cul, les tétons écrasés sous mes doigts, elle profitait de son troisième orgasme de la soirée. Henry était béat d’admiration devant les plaisirs à répétition de sa femme. Il l’admirait et la trouvait magnifique. Elle paraissait heureuse, et cela suffisait à son bonheur.

Marie pose ses mains sur les miennes, puis se relève légèrement pour venir les poser dans son dos, sur mes muscles pectoraux. Les pieds toujours posés sur mes genoux, elle entame un petit va et vient. Elle soulève légèrement ses fesses, puis les repose délicatement avant de recommencer. Le mouvement sont lent et l’amplitude courte, au rythme de sa respiration, elle gémit doucement. Marie alterne les mouvements de coulisse et les ondulations circulaires du bassin. Ma queue caresse tout l’intérieur de son ventre à travers la fine paroi intestinale. Le massage interne semble être appréciable, Marie entame une nouvelle prestation vocale de haute volée. La position ne favorise pas les mouvements rapides, et quand elle vient de nouveau poser son dos sur mon torse, je comprends qu’elle souhaite que je prenne la direction des opérations. Marie lève ses jambes gainées et ses pieds chaussés vers le plafond. Je la saisi pas l’intérieur de genoux, les repli pratiquement au niveau de ses seins et commence un pilonnage délicat sous elle. Ses remerciements ne tardent pas, elle donne de la voix. Mes mouvements s’accélèrent peu à peu, tout en augmentant l’amplitude de la pénétration. Henry s’étonne de la facilité avec laquelle ce gourdin glisse dans le cul de sa femme, et aperçoit la taille impressionnante de l’ouverture anale lorsque le pieu s’échappe totalement et replonge violement en elle. C’est entre deux couplets que Marie lance à Henry :

– «Mon chéri, vite, viens me bouffer la chatte, vite, j’ai le cul en feu ».

Henry, étonné par les paroles qui venaient de sortir de la bouche de femme, resta figé. Jamais il n’avait imaginé que son épouse, habituellement si délicate, soit capable de tant de grossièreté. Mais avant que Marie ne la rappelle à l’ordre, Henry s’agenouille et plonge, langue en avant, vers le sexe de sa femme. La vulve de Marie s’entrouvrait et se refermait à chacun de mes coups de boutoir. La langue de son homme titille son bouton d’amour et fait ruisseler son sexe de bonheur. Le liquide qui s’écoule lubrifie mon sexe qui glisse facilement en elle. Marie att**** Henry par les cheveux et le presse contre son sexe gonflé. Sa langue visite cette grotte et lèche les renflements des grandes lèvres. Mes couilles viennent s’écraser sous le menton d’Henry à chacun de mes assauts. Marie hurle son plaisir :

– «c’est trop….., bonnnn….., prenez moiiii…., prenez moiiii…., je…. vais …..jouuuiirrrrr »

Henry, prenant ces mots pour un ordre, s’échappe de l’étreinte, se relève et attrapant d’une main, Marie par une cheville, présente son sexe douloureux à l’entrée du vagin de sa femme. Un coup de rein violent, au moment où je m’introduis, Henry entre dans la chorale en hurlant de plaisir, crache tout son amour en se répandant au fond de Marie. Conscient de sa faute, il se retire aussitôt, en pleurant, se confondant en excuses et finissant d’éjaculer, sur le ventre et le pubis de sa femme adorée, quelques beaux jets de sperme trop longtemps retenus. Marie débridé par cette courte double pénétration et surtout l’éjaculation de son homme, en et sur elle, part dans un quatrième et fulgurant orgasme. Son corps est secoué par la puissance du plaisir, ses membres s’agitent, ses muscles se contractent, son anus m’emprisonne et me presse comme un fruit dont il voudrait en extraire le jus. Cette pression sur ma verge a raison de moi, je me joins au concert et me vide longuement dans le cul de Marie qui reçoit avec bonheur plusieurs puissants jets de spermes brulants dans son intestin accueillant. D’une main j’att**** mon sexe et le retire, débouchant l’orifice comprimé et libérant le flot de sperme qui se déverse comme une coulée de lave blanche par le cratère du volcan qu’est Marie. Henry, en essuyant ses larmes, regarde, subjugué, le spectacle de l’anus de sa femme, ouvert et dilaté par plus d’une demi heure de pilonnage, crachant le trop plein de mon plaisir.

Marie, toujours allongée sur mon torse, la tête basculée sur le coté, retrouve peu à peu une respiration régulière. Henry les yeux rivés sur mon sexe encore rigide, posé entre la cuisse et l’entre-jambes dégoulinant de se femme, s’extasie en s’écrit :

– « Ma chérie, c’est incroyable, il bande encore »

– «Oui, je sais, c’est souvent comme ça avec Laurent, maintenant, je vais le sucer. »

– « Tu na vas pas faire ça, quand même ? »

– « Bien sur que je vais le faire, j’en ai envie, donc je vais le faire »

Sur ces mots, Marie bascule sur le coté, me demande de remonter vers le haut du lit. Je pose ma tête confortablement sur un oreiller et la regarde s’installer à quatre pattes entre mes jambes et commencer à me lécher, les bourses, le pubis, l’intérieur des cuisses et enfin le sexe pour finir par le gland. Si j’avais perdu un peu de vigueur, Marie m’aide rapidement à la retrouver. Henry découvre, depuis le début de cette soirée, une femme nouvelle, une femme débridée et même délurée, capable de pratique inimaginable pour lui, des pratiques dignes des scènes de quelques films porno visionnés en cachette. Des scènes qui, à la vue du cul offert de sa femme, lui reviennent en mémoire. Des scènes qui l’avaient excité mais surtout dégouté en les regardant, lui donne aujourd’hui des envies incontrôlables. Henry ne peut résister à ce qui le dégoute le plus, incapable de la moindre retenue, il se jette à genoux pour dévorer, gober, lécher le sexe et le cul de Marie qui relève la tête de surprise. Satisfaite du comportement plus qu’inattendu de son époux, Marie reprend avec plaisir la fellation brièvement interrompue.

Henry lèche, suce, mordille l’entre-jambes de Marie, il la nettoie comme elle l’a fait avec moi. Il ne veut laisser aucunes traces, enfonce sa langue au maximum dans le vagin puis dans l’anus. Le ménage terminé, il s’attaque au clitoris de la belle qui ne reste pas insensible aux nouvelles dispositions de son mari. Les premiers gémissements se font entendre malgré mon sexe enfoncé en grande partie dans sa bouche. Ce sentiment nouveau l’excite et la chaleur annonciatrice d’un orgasme remonte lentement de son ventre vers sa tête. Marie se saisit de mon sexe à deux mains et dans un rythme très soutenu, me masturbe en aspirant puissamment mon gland resté en bouche. Je sens bouillir la lave dans mes couilles, je tente, le tout pour le tout, de retarder l’irruption. Marie s’agite et remue son fessier, Henry dépassé par ses vices à retrouver une petite érection. Il se lève, monte sur le lit, pose une main dans le creux des reins de sa femme et lui enfonce sa queue dans l’anus entrouvert. Henry s’accroche aux hanches de Marie et la sodomise avec des coups de reins secs et rapides. Il se déchaîne dans les fesses de sa femme et se déverse dans un râle a****l. Marie vibre et tremble de tout son corps, avale la semence que je projette dans sa bouche et sa gorge et s’effondre de tout son long, épuisé par le cinquième orgasme qui la terrasse. Henry reste debout, fier de lui, la queue pendante libérant les dernières gouttes de son exploit.

Marie et Henry se sont endormis, en chien de fusil, emboités un contre l’autre. Après un petit moment de repos, je me lève, prend une bonne douche, m’habille et les quitte en les regardant dormir…..

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