Inutile d’y couper, je ne pourrais pas travailler avant d’avoir rédigé cette nouvelle phase de ma vie libertine avec ma femme.
Vous pouvez consulter sur mon profil le récit de nos précédentes escapades libertines. Nous avons découvert un univers tellement chaud et agréable qu’il n’a jamais été question une seule minute, de ne pas y retourner un jour.
Ce jour est venu. Et comme à chaque fois, ce fut totalement différent. La dernière fois, nous avions rencontré quelques couples et mon épouse avait baisé avec des hommes, des femmes, des gens sympathiques toujours et je m’étais délecté de quelques épouses également, tringlant comme de bonnes salopes les chéries de maris qui eux même se faisait pomper avec ardeur par ma douce chérie.
Cette fois ci, les couples étaient très minoritaires. Peu de monde déjà, et surtout plus d’hommes que de couples, ces derniers préférant se cloitrer souvent dans de petites alcôves, sans partenaires de jeu, et à l’abri du regard d’hommes en rût. Bref, assez triste. Déçus mais pas dépités, ma femme et moi avons décidé de profiter quand même de la soirée : sauna, hammam, cocktail au bar… La suite a montré une nouvelle facette de notre vie sexuelle épanouie.
Direction le sauna, un type tout seul, à l’air bien malheureux, regardait le cul de ma femme s’ouvrir pendant que agenouillée, elle me sucait comme une grosse goulue de bite. La bouche pleine de pré-sperme, elle n’avait pas prêté attention à la présence de ce petit brun, à l’air timide, qui s’astiquait gentiment en cachant son érection. Je signale à ma douce la présence du jeune homme, elle le met à l’aise en allant vérifier « qu’il bande bien » et l’astique un peu avec la main. Mais la chaleur se fait étouffante et elle préfère sortir. Je fais signe au bonhomme qu’il pourra visiblement retenter sa chance plus tard, si le cœur lui en dit.
Nous filons au gré des pièces et ne trouvons guère de monde. Je décide alors de ne pas rester inactif et de la baiser dans une petite loge accueillante. A peine embrochée sa chatte au bout de ma queue que le jeune homme revient par ici. C’était un peu le but. Je ferme la loge, refoulant au passage deux types qui venait « faire la queue » et nous restons avec le petit brun à l’air timide. Je suis plein de compassion pour lui, je sais ce que c’est que d’avoir envie de baiser et pas de femme depuis longtemps, et demande à mon épouse si elle veut « l’éxécuter ». Elle ne se fait pas prier et lui suce la queue avec ardeur, lui allongé, elle à 4 pattes, me montrant son cul. La belle occasion : je l’enfile par derrière et lui démonte sa grosse chatte mouillée, elle est trempée, je crois qu’elle adore. Je lui dit : « une bite en bouche, une autre au cul, voila ce que tu aimes ». Elle ne dit pas non.
Je leur propose de changer de position et dis au jeune homme que c’est l’occasion pour lui de bien se vider les couilles dans la chatte d’une jolie petite blonde, en l’enfilant par derrière à son tour. Ma femme attends, le cul en arrière, la saillie, et je me fais sucer pendant que le petit brun lui lime la chatte, capote bien en place. Je fais mes paris et je gagne : en moins de 2 minutes, notre partenaire jouit très fort : le cul de ma femme offre une vision trop superbe pour ne pas succomber rapidement en cette position.
Le jeune homme semble dépité mais nous le rassurons en lui disant que nous n’étions pas ici pour un marathon, mais bien pour lui donner du plaisir, et en prendre au passage. Nous nous quittons, lui a l’air bien détendu soudain.
Nous errons ensuite dans le vaste club en recherche d’un couple partenaire, mais la soirée ne s’y prête pas : il ne faut pas insister. Nous baisons de droite de gauche sous le regard complice de certains, avec toujours des hommes aux aguets. Je décide de faire monter d’un cran le niveau en entrainant, pour son plus grand bonheur, ma femme dans une pièce que nous connaissons bien désormais : une sorte de « fauteuil » tenu par 4 chaines pendues au plafond, dans une pièce ou tout un chacun peut voir ce qu’il se passe et qui fait que toute femme installée ici offre de facto ses orifices à ceux qui le souhaite.
Avant de s’installer, trois hommes nous rejoignent. L’un d’eux est un blanc à l’air totalement frustré, un autre semble être un latin silencieux très poilu et le dernier un black, pas très grand, à l’air sympathique. Ma femme entreprends de sucer tout ce petit monde et la pine du black a sa faveur assez rapidement. Pas exceptionnellement monté, mais malgré tout un petit cran au dessus des autres, je constate encore une fois que le mythe selon lequel « la taille ne compte pas » en prends un bon coup.
Je cède volontiers ma place et regarde ma femme astiquer ces queues à la chaîne ! Ne souriez pas, votre femme en ferait exactement autant : quelques mois auparavant, ma femme tout ce qu’il y a de plus classique, voire pudique, n’imaginait absolument pas faire l’amour à deux hommes à la fois. Et elle y croyait ! Toute femme à en elle, avoué ou non avoué, ce besoin d’être baisée, et bien baisée. Certaines on le partenaire qui leur permet d’exprimer « tous leurs talents » en toute liberté, d’autres préfèrent (faute de choix ?) cocufier leur mari en douce, d’autres enfin sombre juste dans le refus du sexe ou la mauvaise humeur à la maison. Bref.
La voici donc en plein exercice de taillage de queues et au bout de trois minutes, je décide qu’il est temps qu’elle ramasse les coups de bites qu’elle mérite. A son initiative elle s’installe dans la « chaise suspendue » et c’est moi qui ouvre la voie en montrant à ces messieurs comment sa grosse chatte bien ouverte avale avec facilité les queues les plus grosses.
Un point est important : je n’ai pas à rougir de la dimension de ma pine (sans être exceptionnelle) et j’ai surtout des facilités d’érection qui manquent, c’est notre grande surprise, à bon nombre d’hommes. J’ai plutôt donc l’impression de « dominer la situation » et je baise le trou de ma femme avec ardeur et elle branle deux des types en même temps.
Je décide de laisser la place au black en premier : le premier black qui va tringler ma femme. Le mythe en prends un peu un coup : certes il a une assez jolie queue mais on ne peut pas dire qu’il soit un excellent baiseur. Il enfile gentiment mon épouse qui est prête pour quelque chose de beaucoup plus intense. Il se fait plaisir, lime, lime, régulièrement, tel un métronome, ma femme apprécie mais sans plus. Et surtout je vois le latin d’à côté, finalement aussi largement bien monté, qui attends son tour et ma femme le branle avec envie : il bande plus fort, il a une jolie queue et semble savoir y faire. Je fais la circulation et c’est donc lui qui va avoir l’honneur de bourrer le sexe offert de ma chérie.
Révélation : celui ci, le corps musclé, velu, défonce littéralement ma femme, alternant les grands coups de bite et les séquences plus dure. Son sexe grandit encore, ça devient très plaisant pour tout le monde. Il est peut être arabe, espagnol ou portuguais, italien ou que sais je, mais une chose est sûre, il sait baiser et ma femme prends son pieds, se faisant ouvrir le minou dans les grandes largeurs par ce pieu viril.
Je demande au type s’il va pouvoir jouir et un hochement de tête semble confirmer son aptitude à envoyer la sauce au fond de la chatte de ma femme (capote, toujours !). Il la fourre comme la belle salope en laquelle elle s’est tranformée et jouit comme un gros cochon, se retirant sans plus de précautions et disparaissant dans la nature sans un mot. Il a pris ma femme pour ce qu’elle est ce soir : un sublime trou, un beau corps, une bouche faite pour les queues.
Le dernier tente sa chance : fatalitas, la queue est petite, l’érection incertaine, l’air peu assuré. Tant pis, il y a droit quand même mais après ce que ma femme vient de vivre, il faut peu illusion. Le black est resté à nos côtés et surprise, lui aussi à du mal à bander ! C’est le mal du siècle avec le mal de dos ou quoi ! Je peux affirmer sans me tromper que ma femme est très jolie, mince, un petit cul d’enfer, suce et branle comme une reine. Cette soirée, en plus des précédentes, confirme donc que beaucoup d’hommes sont vites destabilisés et « perdent » de leur dureté 🙂
Le dernier lime donc avec peine quelques courtes minutes, avant que je ne reprenne la main et fourre à mon tour (le black n’aura pas les moyens physiques de réessayer) le sexe bien ouvert de ma charmante épouse. Elle s’est faite fourrer à la chaîne, branlant ici, suçant là. C’est officiel, elle a réalisé son premier gang bang. Modeste, mais quand même.
Je la lime et je suis bien dur. De nouveaux spectateurs sont arrivés et je prends plaisir à faire ressortir mon beau dard de sa chatte béante pour que chacun voit bien le plaisir qui coule de son énorme orifice. Seule la sodomie semble interdite ici, ça s’y prête peu, alors qu’à la maison, son fion a bien souvent ma faveur.
Nous changeons de place et nous régénérons : bain à bulle, bar, sauna… Mais la soirée semble plutôt sur la descente. Je décide donc d’en terminer. j’entraîne ma belle dans une autre petite pièce ou chacun sera libre d’entrer, mais c’est moi et moi seul qui ferais l’amour à ma femme parfaite. Elle s’allonge, elle est magnifique, et je la prends en douceur. J’admire cette femme idéale, qui sait devenir l’instant d’un soir la pute une vraie chienne en chaleur, et sera à nouveau, demain, une femme normale et pudique. Elle me dit que c’est ma queue qui lui convient le mieux, toujours, et je lui dis que rien n’est comme lui faire l’amour. Nous fusionnons et je sens que l’orgasme n’est pas loin pour elle. Elle miaule, je connais si bien sa jouissance, et sa montée en plaisir me fait moi aussi venir.
Nous jouissons de concert devant un homme, spectateur patient à la bite tendue, témoin de notre plaisir intense. Nous nous enlaçons, trainons sous la douche et voyons ces corps qui défilent. Un magnifique couple, beaucoup plus jeune que nous, se douche devant nous. Lui grand, type européen du nord, musclé et avec une queue énorme, elle blonde poupée parfaite… ils ne nous regardent pas. Ils ne regardent personne… quel sera leur plaisir ?
Nous rentrons fourbus. Cette soirée à « manqué de femme » mais j’ai aimé voir ma femme telle une créature de sexe et d’envies, désirable et désirée, et moi qui mène la danse, en profite. C’est ma femme, les autres ne comptent pas, ils sont loin et inconnus. Nous avons jouit très fort et ne parlons plus de ça… je sais que le sujet sera de nouveau évoqué quand l’envie de sexe reviendra, très vite.
Que nous réserve la prochaine soirée ? Je n’en sais rien, mais je sais que ce sera bien.
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