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Albane au club libertin

Albane au club libertin



Albane a 18 ans et découvre petit à petit la sexualité. Elle souhaite devenir aussi salope que sa mère Agathe.

Depuis 6 bons mois, elle découvrait avec mon mari et moi ou avec Christophe tout les aspects du sexe dans des ébats parfois les plus délirant.

Albane est donc totalement ouverte à toute expérience voir carrément à l’affût d’histoires même dépravantes pour égaler ou surpasser sa mère. C’est donc ainsi que suite à l’épisode du Mac Do, je décidais de l’emmener dans un cercle libertin.

Ce groupe de libertins se rencontre une fois par mois. Et j’ai l’intention de leurs présenter Albane. Ce soir-là, sont réunis une vingtaine d’hommes et et une petite dizaine de femmes. Ce rendez-vous se déroule dans une maison bourgeoise dans le bocage Normand. La réception est fastueuse. Des serveurs en tenues légères s’activent parmi les convives pour qu’ils ne manquent de rien.

Des coupes de champagnes s’entrechoquent, le début de soirée est presque classique hormis les serveurs et serveuses. Ha si, un détail plutôt amusant. A l’entrée chaque femme devait relever sa robe sur le devant pour prouver à l’assistance qu’elle ne portait pas de culotte. Et elle doivent la laissé ainsi pendant la reception

Les hommes, quant à eux, doivent se balader la quéquette à l’air.
Albane et moi, nous promenons entre les groupes pour jauger les sexes des mâles. Nous remarquons que certaines s’enhardissent en soupesant les bourses de ses messieurs qui bien entendu ne se gêne pas non plus de tâter un sein ou vérifier l’humidité d’une fente. Les plaisanteries lestes et poses lascives s’enchaînent. Les boissons libèrent les quelques inhibitions éventuelles.

Au milieu de la pièce, trône une estrade où sont installé des sortes de portiques. Albane me demande :
« Michèle ça sert à quoi ces trucs là ? »
Je lui souris gentillement et lui dis :
« Tu le verra bien assez tôt ma chérie. »
La soirée se présente bien, le mystère et l’érotisme sont bien présent et je sais que les invités vont apprécier la viande faîche que je vais leurs proposer.

Un homme un peu plus âgé, le maître de maison, frappe des mains.
« Mesdames et Messieurs, assez bavardé, Nous avons de jeunes nouvelles dans notre groupe. Vous connaissez les usages ? Alors que les nouvelles montent sur l’estrade. »
Aussitôt, deux jeunes filles montent sur l’estrade. Albane ne bouge pas. D’une claque sur les fesses, je lui fait comprendre qu’elle doit rejoindre les autres. Le Maître de cérémonie reprend la parole :
« Bien mesdemoiselles déshabillez vous ! ».
D’un seul mouvement, elles se mettent nue et Albane amusée et un peu angoissée en fait de même.

« Présentez nous vos intimités ! »
Elles écartent les jambes et docilement offrent leur vulve dans un saisissant spectacle à l’érotisme provoquant.

Les hommes réagissent aussitôt et je vois leurs sexes se redresser devant ces jeunes minous.
Le Maître de cérémonie s’avançe sur l’estrade pour contrôler les postures des filles exposées.
«  Albane ! Fais comme tes amies ! Ecarte plus les jambes. On veut voir entièrement tout ton sexe ! »
Il passe les doigts le long des lèvres roses et constate qu’Albane commence à mouiller. Elle émet un feulement léger sous cette caresse intime, aussitôt réprimé par une tape sur ses fesses soyeuse.
« Oui, c’est bien, comme ça, tu es superbe ! Ecarte encore un peu plus ! »
Disciplinée Albane offre son sexe rose, aux regards.
«  Messieurs, au travail, ces dames attendent votre hommage. »
Des hommes s’alignent et caressent les croupes en attente, dociles et offertes. Les sexes gonflés de désir sont s’introduisent facilement entre les lèvres mouillées et vite lubrifiées. La scène est curieuse, Agathe affiche un grand sourire en sentant se membre en elle, mais les mâles ne bougent pas.

«  Messieurs, à mon signal, commencez à besogner, faites votre travail, vous devez jouir en elles. Mesdames jouissez, profitez, criez si vous le souhaitez. Tout le monde est là pour jouir, je veux des orgasmes, c’est obligatoire. Je vais vérifier. »
Ils se mettent aussitôt à bourrer les jeunes filles qui se mettent à couiner de plaisir.
On entend les claquements de va et vient puissants, des râles. Les souffles des hommes s’accélèrent, des soupirs, des gémissements, des cris de plaisir. Albane doit se cramponner sous les coups de boutoir fougueux de son amant du moment.

Il éjacule dans son vagin, se retire en lui claquant les fesses et aussitôt alors qu’un autre prend la place. Il en va de même pour les deux autre jeunes filles. Le sperme coule à flot en jets puissants.

Celui qui saute maintenant Albane pétrit se seins durement.

Les filles se regardent se faire baiser et jouir. On peut voir leurs vagins débordant de liquide blanc.

Agathe me rejoint juste à temps pour voir sa fille jouir en se faisant remplir de sperme. Après cet examen de passage, les filles sont conviés à quitter l’estrade pour s’ébattre plus librement. L’orgie va pouvoir continuer et se prolonger toute la nuit. Tout le monde se dénude et les esprits sont chauds. Albane nous rejoint et pendant que je lui lèche sa chatte dégoulinante de sperme sa mère, très fière d’elle, lui caresse les seins. Je lui procure un orgasme qui la terrasse.

Les hommes se font sucer et, alors que je me gouine avec Agathe et qu’Albane affalée sur un canapé se remet de ses émotions, deux bite bien durent se présentent à nous. Dociles et heureuses d’être sollicités, nous nous mettons à genoux pour honorer ses magnifiques hampes. Nos bouches lèchent et sucent savamment les verges gonflées de désir. Nous flattons et pétrissonst de la main les bourses si sensibles. Les hommes grondent de plaisir.

Dans la position où nous nous trouvons, nos cul et nos chatte sont entièrement disponibles et ne tardent pas à être investies par des bites bien raides.

Les positions s’enchaînent. Tout est exploré, essayé. Nos seins sont léchés, empoignés, torturés.

Albane à peine remise est sollicité par des vieux. Avec une queue dans le cul, l’autre dans la chatte et la troisième dans la bouche, elle est épinglée comme un papillon.

Les orgasmes, les cris de plaisir fusent. On sent la volupté et le musc. Chacun recherche avec une intense application l’extase mutuelle. Une fantastique orgie à l’indécence torride.

Au fur et à mesure que les couilles se vident, les femmes comblées contemplent les hommes fourbus. Agathe et moi après plusieurs orgasmes et avoir été bien remplient par tous les trous sommes éreintées et dégoulinantes de sperme.

.Albane continue d’être basée et n’est plus qu’une jeune femelle qui se fait remplir et spermée. Elle est dans une demie inconscience tant elle a été utilisée.

Mais il reste encore un spectacle pour clore la soirée. Une des trois jeunes filles est tirée au sort pour être sauter par le maître de cérémonie et servir de spectacle dans une scène BDSM qui sera l’apothéose de la soirée. La chance pour nous est que c’est Albane qui est choisie.
« Ecartes tes cuisses ! » Lui dit-il.
Docile et anéantie, Albane les ouvre en grand. Le trop plein de sperme coule de sa chatte béante et de son anus rougi de trop de pénétrations.

Le Maître lui présente sa queue à sucer et elle l’engloutit sans sourciller. Le vieux sexe fatigué de son partenaire grossis et durcit pour avoir une taille et une dureté intéressante. Albane malgré son état de fatigue prend les fesses du vieille homme, glisse sa main vers l’anus pour l’exciter dans un geste indécent. L’autre main presse et masse délicatement les testicules du vieux.

L’assistance encourage. Le Maître de cérémonie ressort de la bouche d’Albane et exhibe fièrement sa rigidité luisante de salive. La jeune Albane bien éduquée, se tourne alors et offre sa croupe, jambe bien écartées.

Le sexe du vieux ne peut que trouver sa place dans cet hôtel aux muqueuses veloutées et si graissées de cyprine et de sperme. Le vielle plonge son dard au fond de la jeune grotte et se met à la secouer dans un coït violent. Son souffle s’accélère. Il tient ferment les hanches d’Albane. Il a une vu imprenable sur sa taille fine, la courbure de ses fesses rondes et fermes. Il malaxe d’une main la poitrine oscille dans un va et vient ballottant. La jeune fille entrouvre la bouche, cherche aussi son souffle et entre en cadence suivant les coups de boutoir. Cela va encore durer car l’homme a eu déjà de nombreux orgasmes.

Le plaisir monte graduellement. Agathe est admirative de voir sa fille se faire saillir ainsi. Les spectateurs contemplent avec envie le couple. Chacun peut mesurer l’intensité du plaisir qui s’accentue. Le vieux sent que l’orgasme va bientôt arriver. Il le fait savoir à Albane :
« Je vais jouir petite pute ! »
Elle sent le sexe de l’homme qui palpite en elle. Elle sait que c’est l’affaire de quelques secondes. Le Maître pousse un râle d’extase d’homme primitif et explose dans le ventre d’Albane. Il reste un instant dans le doux conduit et ramollo ressort comblé.

Le Maître de cérémonie aide Albane à se relever. Elle tient à peine sur ses jambes. Il l’embrasse à pleine bouche et toute l’assistance applaudie. On lui offre une coupe de champagne avant de l’attacher pour le final. La salle est au comble du ravissement.
Des flashs crépitent pour éterniser la scène.

Puis le Maître de cérémonie arangue ses invités :
« Pour le final nous allons tirer au sort celui ou celle qui aura le privilége de zébrer la peau fine de cette jeune salope ! »
Albane est intériorisée. Elle s’était bien vue, dans ses fantasmes les plus fous, se faire fouetter mais là c’était la dure réalité. Le sort fait que c’est sa mère qui doit lui faire subir la punition finale. Agathe refuse de fouetter sa fille. Le Maître est agacé de cette rebellion.
« Puisque c’est ainsi tu sera fouettée avec ta fille ! Attaché moi cette pute ! »
Agathe se débat mollement et voilà la mére et la fille dans la même galère. Un autre convive est choisit pour mener à bien ce final et celui-ci ne se fait pas prier.

L’homme saisit un fouet et se met à l’œuvre sur les deux suppliciées qui hurle à chaque coup pour le plus grand bonheur de l’assemblée. Il fouette de telle façon à graduer la douleur des deux femmes. La sangle de cuir mord leurs seins, leurs ventres et leurs chattes.

A la vue de mes amis subir le fouet, je sent que je me met à mouiller. Une nouvelle fois, je me senti salope et machinalement je me doigte devant ce spectacle. En quelques mois, Agathe et Albane étaient passées de jeune fille sage et de bourgeoise hautaine, à salopes nymphomanes et masochistes. Quelle progression ! L’homme fait une pose et constate :
« Vous êtes vraiment maso ? Vous aimez être fouettées en public ? ».
C’est Agathe qui répond :
« Oui Monsieur ! Fouettez-nous. Nous sommes des salopes qui le méritent ! »
« Mais vous mouillez bande de putes ! »
Là c’est Albane qui répond honteuse :
« Oui Monsieur. »

Albane a à peine répondu que le fouet s’abat violemment sur ses fesses. Elle se cambre sous la douleur et pousse un gémissement sourd. Un deuxième, puis un autre, un autre encore se suivent à cadence rapide. Elle reçoit une dizaine de coups, sur les fesses et le dos.

Puis l’homme passe à Agathe. Albane qui respire fort contemple les marques de coups sur mon ventre et ses seins.

Avant de s’occuper d’Agathe, l’homme se retourne vers l’assemblée en disant :
« Voyez-vous, il y a deux sortes d’esclave, normal et masochiste. L’esclave normal ne doit être fouettée que lorsqu’elle commet une erreur. L’esclave masochiste adore être fouettée. C’est deux femelles sont de cette race. »
Sur ces mots, il se met à fouetter durement Agathe qui hurle et gesticule sous les coups. Il insiste surtout sur ses seins qui se pare de zébrures violacés.

Le spectacle se termine sous les applaudissements. Je monte sur l’estrade pour détacher mes amies et nous nous enlaçons en nous embrassant tendrement.

Une bonne douche leurs fait grand bien suivie d’une séance de massage pour apaiser les brûlures du fouet

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