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Mûres25/Maria, 76ans,pute à gros nichons

Mûres25/Maria, 76ans,pute à gros nichons



Une vieille pute avec de gros nichons qui ballottent, une salope mûrie comme un fruit au soleil, gorgé de mouille, qui aime toujours autant se faire fourrer, c’est quand même une valeur sûre pour bander, avouons-le.
Une partie de cette histoire est authentique, une partie seulement, contrairement aux autres qui le sont rigoureusement.
J’ai sympathisé virtuellement, par le biais d’un tchat anonyme, avec un homme dans la cinquantaine, un espagnol qui partage mon goût pour la chatte mûre à fourrer sans ménagement.
Mais lui, il est pire que moi: ses désirs sont, depuis leur éveil, imprégné par l’envie de jouir avec une grosse cochonne mûre, pour la bonne raison que sa mère en est une. Je ne crois pas que ce qu’il m’a confié relève du fantasme.
Il a vraiment surpris sa mère en pleine nuit, complètement libérée dans sa nature de grande gourmande de sexe, en train de se faire piner comme une chienne.
A quatre pattes avec les gros nichons qui ballotent à cause des coups de bite.
A genoux, la bouche remplie par une queue…avec des hommes différents, qui venaient très tard à la maison, ou en pleine nuit quand, croyait-elle , personne ne pouvait la voir.
sauf qu’il y avait une paire d’yeux dans le noir qui enregistraient toutes ces scènes de cul, un coquin malgré lui, qui avait le chic pour être réveillé au mauvais moment.
Putain, la trique en rentrant dans sa chambre: Mama qui suce la queue du monsieur, mama au gros cul généreux, empoigné par un lascard tout excité d’enfoncer son sabre entre ces deux immenses mottes de beurre
Aucun doute, ce n’était pas des amants, mais des clients, qui venaient voir Maria Dolorès pour se vider les couilles
Une forte nature, cette dame..énergique, sympathique, épanouie dans sa beauté typiquement espagnole.
De bons gros nichons, très peu dissimulés dans des blouses légères…
Il devait faire chaud, surtout à l’usine…un gros cul rebondi, des seins comme des melons, ça ne passe pas inaperçU auprès d’une gent bascule en rut perpétuel.
Elle ne ressemblait pas trop à une nonne, Maria Dolorès…on devinait la fente qui mouille facilement, et l’envie de jouir comme un vin lourd et sucré dans les veines.
Les prix devaient être raisonnables. Une bonne giclée dans la chatte de Maria, on pouvait se l’offrir.
C’est ce qui s’appelle joindre l’utile à l’agréable. Quand je dis « pute », c’est sans mépris. C’est pour faire durcir ma queue. Pute sans complexes, c’est mieux que ces femmes froides et prétentieuses qui s’appuient le même pisse-froid fortuné qu’elles appellent « mon mari », ce qu’on dit ordinairement quand un client paie assez cher pour évincer tous les autres.
a la moindre difficulté avec leurs femmes, les maris venaient se faire tirer des pipes pas cher par Maria, qui d’ailleurs aimait ça, sucer de la bite.
c’est très tard, ils n’ont qu’à heurter discrètement à la porte, pour ne pas faire de bruit. Ils entrent. Pas besoin de faire un discours, on paie, on baisse son froc, et voilà qu’on saute directement dans la scène de cul, l’homme debout qui flageole un peu du jarret quand il sent monter le foutre, tandis que sa bite coulisse entre les lèvres de Maria, la gentille dame agenouillée, qui fait de sa bouche une ventouse, chaude, efficace, une vraie dompteuse de serpents qui sait comment les faire cracher.
Une présence lointaine, discrète, improbable, qui distingue la scène…un témoin qui se masturbe…
s’il s’était avancé, la queue en avant, tout en continuant sa branlette, il aurait pu rajouter une couche de crème sur la joue de la cochonne…
l’homme et le jeunet, complices, qui crachent le foutre en même temps…
-non, arrête, c’est immoral….Maria l’aurait repoussé, le jeune intrus… Pas dans ma bouche, mais viens me la mettre entre mes seins…tu vois, c’est quand même bon, petit vicieux…tu pourras me le refaire demain…
Maria offrait peut-être le service bon marché, pour étudiants…elle se dégrafe pour quelques sous, ils coulissent leur bite entre les grosses collines de chair, et ils jutent comme ça, entre les nichons de la dame. La pipe et la baise, c’est un peu trop cher pour se le payer souvent.
a moi de fantasmer:
Je fais le déplacement tout exprès pour baiser Maria, qui est maintenant une vénérable salope de 76 ans.
On ne vas pas bâcler le plaisir: j’ai réservé une chambre dans un hôtel.
On va boire un verre, son fils me la présente. Elle est tellement sympa, ouverte, elle aime le sexe, la mamie…
Un peu flattée qu’un homme de trente ans de moins qu’elle fasse toutes ces démarches pour la baiser. Elle rigole en passant la main sous la table, pour me pincer la bite entre deux doigts.
bonne complicité, perspective d’une baise bien juteuse
Je la déshabille du regard. J’imagine ces formes de jouisseuse épanouie, sur lesquelles je vais m’étendre, le sexe tendu et réjoui
Ah! son gros cul quand elle monte l’escalier qui mène à la chambre
Je tremble en introduisant la clef.
Bordel, qu’est-ce que j’aime ça, les vieilles dames qui me regardent comme ça, la bouche entr’ouverte, en se massant les seins…les vielles dames qui ont faim de bite.
Oui, reste encore en soutien gorge, ne le dégrafe pas tout de suite.
Sa langue dans ma bouche, les globes de chair qui gonflent le mince tissu
Je me suis déshabillé à toute vitesse. Maria, les seins à l’air, porte encore sa jupe. Je suis debout, elle est assise sur le lit, bien entendu elle suce.
Il n’y a plus aucune chance pour que cette dame vénérable adopte jamais une attitude morale et modérée. Quand on aspire la bite comme ça, à 76 ans, on est vraiment pute dans le sang.
La langue de la vieille salope vibre maintenant sur mon gland. Je me prend le bout, me relève un peu pour l’inviter à descendre plus bas.
La vieille qui gobe les couilles. un moment toujours jouissif.
Je crois que je vais écrire une carte postale à Brigitte, la blonde prétentieuse à chignon, qui est à peine plus jeune. La vieille poupée blonde qui se tient bien droite, je veux dire dans les tea-rooms, pas quand elle se lâche sur moi au-dessus dans la baignoire en s’écartant la moule.
-« Meilleurs salutations de la ville de …,où je me fais bouffer les couilles par une salope aussi douée que toi. J’espère que tu maintiens ta souplesse en te chatouillant le clito les jambes en l’air, avec l’appareil que je t’ai acheté. J’espère bientôt sentir à nouveau ta langue de velours sur mon trou du cul. Au plaisir de t’enculer bientôt »
J’interromps la pipe de Maria Dolorès, car cette pute va me faire jouir. Elle se renverse sur le lit.
Ecarte bien les cuisses, vieille pute. ah, je te fourre! tu ne t’es même pas pommadé le vagin, il mouillait déjà?
Couché sur toi, je ne fais plus que de petits mouvements, la bite bien enfoncée, pour me concentrer sur tes gros seins, que je pelote et que je lèche.
Le sexe paraît si spontané, si naturel chez la vieille dame…
Je m’interromps.
-Maria, tu veux bien mettre cette combinaison en cuir? Cela va faire plus vicieux, plus obscène, comme un rituel…
Elle s’exécute en rigolant. Dès que le bustier noir souligne ses gros nichons qui débordent, elle fait encore plus pute que pute.
Je veux la voir dans cette tenue, la vieille dame en noir, les formes insolentes qui s’offrent, les cuisses ouvertes.
Elle a tout compris, elle relève même le bassin, en s’amusant à monter les jambes au maximum, ouverte comme la meilleure grosse pute du monde.
C’est dans cette position que je la fourre, et que je laisse mon sperme exploser dans son vagin de pute.
Je lui demande de rester allongée. je prends une douche, je me rhabille, elle me regarde, toujours nue, offerte.
Je l’embrasse en lui disant au revoir. Elle reste allongée…
Je sors de la chambre. Au fond du couloir, un petit salon…son fils attends.
-Va la retrouver, tout de suite…lui dis-je. Quand tu entre, déshabilles-toi sans dire un mot.

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