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Obéissante incompétente

Obéissante incompétente



Dix heure ce jour, la réunion commence,elle sera vite expédiée, nous partons avant midi à Toulouse ou se trouve notre usine de fabrication.Là Bas notre plus grand client vient cette après midi pour visiter l’infrastructure,voir la dernière collection et signer si tout va bien le plus gros contrat de l’année.
Vous vous êtes occupée de l’organisation,des commandes,des voitures,tout repose sur votre travail .
Notre client est asiatique,il n’est pas homme à accepter les dysfonctionnements. C’est un homme très à cheval avec les traditions de sa culture,chacun doit rester à sa place et respecter les coutumes.
Le contrat de cette après midi se compte en millions,ne pas l’avoir signifie une remise en question du développement de l’entreprise sur plusieurs mois,peut être même plusieurs années.
Onze heures notre voiture est là, départ pour le Bourget, le Falcon de la société nous attend. Je profite du trajet en voiture pour vous demandez les dernières grandes lignes de la réunion de l’après midi. J’ai une vue imprenable sur votre décolleté j’en profite pour constater que votre poitrine est à la hauteur des espérances qu’elle peut donner.Je vous écoute appeler votre mari avant de partir,vous lui parlez comme à un chien,vous pouvez être une sacré garce ! Quand je pense que vous vous faites butiner par un petit fonctionnaire de bas étage,je me demande ce que vous lui avez trouvé à ce tocard. Soit il était extrêmement beau ou vous particulièrement inconsciente.Si j’étais lui je vous collerais quelques claques de temps en temps ça vous apprendrait à parler correctement.
Onze heure quarante nous arrivons à l’avion, j’aime beaucoup ces petits avions avec lesquels il faut monter par un escalier, je peux intensément profiter de la vue de votre postérieur et de vos jambes beaucoup trop visible ce jour. Installé en face de vous je ne peux détacher mon regard de votre entrecuisse ou l’on distingue lors de chaque mouvement de votre part ,l’extrémité de vos bas et vos sous vêtements.
Une heure dix sera notre temps de vol vers Toulouse. Suite à mes remarques vous en profitez pour vous changez durant le trajet.Le client de cette après midi est très regardant,il ne faut pas le choquer.
Cette fois vous portez une robe,vous êtes toujours très sexy mais plus classe qu’avec la tenue précédente, votre parfum enivrant se répand dans la cabine.
Douze heure cinquante,l’avion pose ses roues sur la piste de Toulouse Blagnac, nous débarquons en zone VIP,pour l’instant le programme est respecté.
Je ne sais pourquoi, je décèle chez vous une inquiétude, depuis que nous sommes dans l’avion.
A peine posé vous étiez scotché à votre téléphone,il se passe quelque chose. Problèmes personnels,votre « boulet » qui déprime,que sais je . Ça ne me regarde pas après tout.
Notre voiture nous attend à la sortie de l’aérogare en route directe vers les bureau de l’entreprise nous mangerons rapidement sur place,la réunion est à quatorze heure.Nous rentrons ce soir à Paris il ne faut de grain de sable dans les rouages de cette journée.
Arrivée sur place,vous vous transformez en tornade,vous ne prenez même pas le temps de manger.
Je vous savais extrêmement active,mais là vous l’êtes un peu trop de mon observation,est ce le stress ?? Étrange vous ne m’y aviez pas habitué.
Treize heure cinquante le client arrive,il a fait seize de vol pour venir jusque là,il va falloir être à la hauteur. Malheureusement le bureau n’est pas tout à fait prêt,il manque une partie de la collection venant de l’usine de bretagne et vous non plus n’êtes pas là,je suis quelque peu agacé par se désordre de dernière minute, ça ne fait pas propre !!
Je reçois notre client et sa délégation ,en vous attendant,l’ensemble des directeurs et chefs de produits sont arrivés.Et vous que faites vous,toujours personne,et toujours pas de collection bretagne. Je demande à la secrétaire de vous faire appeler ,je commence à bouillir intérieurement.
Les différents intervenants, commencent leurs présentations,jusque là le client semble satisfait.
Les produits sont beaux et le meilleurs reste à venir avec la collection la plus innovante cette année,la collection bretonne.
Quinze minutes de retard,vous arrivez à moitié essoufflée en salle de réunion tous les yeux sont tournés vers vous. Vous vous dirigez vers moi sans un mot,sans même dire bonjour à notre client.
Je vois dans ses yeux que ce manquement lui déplaît,mais il n’en dira rien. Pendant que le directeur régional midi Pyrénées reprend son explication ,vous insistez pour me parlez seul.
Nous nous éloignons dans la pièce d’à coté.
Que se passe t’il Aurore ?? Vous avez vu l’heure. Et la collection Bretagne ??
Justement c’est ça dont je dois vous parler ! Quoi demandais je ??
La commande,la commande je l’ai zappé ! Quoi vous voulez dire que nous n’avons pas la collection Bretagne ??
Je suis désolé,je ne sais que dire, tout est de ma faute !
Mon sang à ce moment là ne fit qu’un tour, et ma main vous décocha la plus magistrale gifle que vous n’ayez jamais reçu.Votre main gauche se colla instinctivement sur votre joue brûlante,comme ci vous aviez besoin de vérifier qu’elle n’était pas tombée, tellement le coup fût violent.
Vous êtes une idiote Aurore ! Et en plus ça fait un moment que vous vous en êtes rendue compte !!
Vous ne m’avez rien dit avant,qui a t’il dans votre tête ?? A quoi servez vous dans cette entreprise ??
Vous allez expliquer à notre client votre erreur ! Je ne sais pas comment il va réagir,je ne sais même pas si nous sauverons le contrat avec vos âneries .
Je suis extrêmement déçu Aurore, attendez vous à des retombées !!Cette journée ne restera pas sans effet.
C’est plus que fébrile que vous rentrâtes avec moi dans la salle de réunion,sans parler de votre joue rouge écarlate,souvenir récent de notre entrevue .
Devant l’assistance je vous invita à expliquer la situation,à notre client et vos collaborateurs. Certains regards de vos collègues étaient assorties de petits sourires narquois ,votre déchéance ne déplaisait pas à tout le monde. Vos explications furent plus qu’incertaines et convainquirent assez peu votre auditoire du moment. Vous étiez tombée bien bas pour être obligée de vous justifiée de la sorte.
Le client commença à grommeler dans son langage des mots et phrases que même la traductrice peinait à retranscrire.Son mécontentement était palpable,de plus la faute d’une femme est d’autant plus dramatique dans une culture machiste comme la sienne.
Je vous sentais vous liquéfiez sur place et je due reprendre la main pour trouver une solution à cette catastrophe annoncée.
Je proposa à notre client d’aller dans mon bureau pour parler avec lui de la situation,des conséquences et des solutions que nous pouvions lui proposer.
L’assemblée quitta donc la salle de réunion dans un silence monacal.Tout le monde venait de prendre conscience que ce n’était pas que votre avenir qui était en jeu,mais celui d’une bonne partie de l’entreprise.
Notre client ,son interprète et moi priment place dans les cossues fauteuils de mon bureau.
Alors que vous vous démeniez à proposer les mains tremblantes une boisson à notre asiatique mécontent,je cherchais pour ma part un terrain d’entente avec lui afin d’effacer la honte de ce rendez vous manqué.
Il était inconcevable pour lui de réaliser des affaires dans un tel contexte. Hors mis le problème de la collection manquante,se posait celui de la négligence,de votre négligence Aurore.
Je m’activa tant et plus pour réussir à le convaincre de rester une nuit sur Toulouse afin d’acheminer dans ce laps de temps la collection manquante. L’interprète qui n’avait pas grand chose à gagner dans cette affaire y mis également beaucoup de volonté. Le palace,l’avion, la logistique tout serait fait pour effacer ce désastre. Notre samouraï n’était pas très flexible et il fallait trouver un déclencheur à sa bonne volonté. Vous, effacée, dans le coin attendiez à quelle sauce vous alliez être mangé. Pour ma part je savais déjà comment aller se passer le reste de votre après midi.

Aurore approchez !
Oui Monsieur.
Allez à mon bureau ! Ouvrez le tiroir !
Oui Monsieur.
Sortez l’objet qui est dedans ! C’est chancelante que vous découvrîtes une cravache de très belle qualité. L’objet était composé d’un manche en bois précieux orné d’initiales en or,mes initiales.
Apportez la moi je vous prie !
Oui.
Je pris la cravache et la tendit à mon asiatique,qui esquissa un rictus de satisfaction .
Aurore,posez les mains à plats sur le bureau !
Oui Monsieur.
Cette position légèrement inclinée faisait ressortir vos fesses un peu plus qu’à l’habitude, cela rendait la cible parfaitement identifiable.
L’asiate se leva sans bruit et se mit à bonne distance de vous. L’interprète devint transparente dans ce moment de silence assourdissant . Pour ma part je restais en retrait afin de laisser notre ami régler ses comptes avec vous. Néanmoins j’avais une vue parfaite sur votre fessier qui allait commencer à morfler.
Un premier coup tomba net, en plein milieu de votre arrière train. Pas un bruit ne sorti de votre bouche, à peine une petite grimace fit son apparition sur votre visage.Puis vint le deuxième plus violent,puis le troisième,le quatrième,le cinquième,…
Aucun coup ne fût ponctué d’un cri, d’un grincement de dents,rien ne paru.Votre fierté était telle que vous ne laissâtes échapper la moindre émotion. Notre client lui paraissait suffoquer un peu plus à chaque trace qu’il laissait sur votre cul. Ce n’est qu’au bout du quinzième assaut qu’il renonça à continuer à vous battre. Il remit sa ceinture,et par l’intermédiaire de l’interprète ,m’informa qu’il serait là demain matin pour voir la collection. D’autre part il vous attendrai ce soir dans sa suite pour que vous vous offriez à lui.Il remit sa veste et s’apprêtait à partir,lorsque vous bougeâtes sans autorisation de la position que nous vous avions imposé pour venir le saluer.
En même temps,vous tentâtes de vous soustraire du bureau.
Aurore,restez là,je n’en ai pas fini avec vous.
Notre client fût raccompagné à son véhicule et emmener au plus belle hôtel de la ville.
Quant à vous Aurore,vos ennuis allaient commencer.
La porte refermée, je vous attrapai par l’oreille ,et vous couchai violemment en travers des fauteuils en cuir. Je remontai votre robe à hauteur de votre taille laissant apparaître votre tanga en dentelle noire. Je ne mis pas très longtemps à le baisser à hauteur de vos genoux laissant apparaître votre cul légèrement rosie par les coups du samouraï. J’attrapai le câble de la lampe de bureau et l’arrachai nerveusement. Je formai une boucle avec les deux extrémités afin de doubler le câble et commençai
mon ouvrage. Chaque coup déclenchait chez vous des cris de douleurs intenses,assorties de pleurs.
Votre majestueux fessier s’ornait de dessins rougeâtres elliptiques, du plus belle effet. Vous aviez su rester digne devant notre asiate,vous ne l’étiez plus du tout. Vos suppliques se faisaient de plus en plus audibles sous les coups répétés de mon instrument de torture. Tellement en colère contre vous à ce moment précis,je ne savais si j’arriverai à m’arrêter de vous frapper. Vous aviez mal et ça me plaisait. Plus vos gémissements étaient intenses plus je vous fouettai brutalement. La séance dura un bon moment,votre petit cul ,n’était plus que l’ombre de lui même,vous n’étiez pas prête de vous asseoir à nouveau. Je finis par lâcher mon câble, le seul bruit restant était celui de vos pleurs.

Ma main se promena sur vos fesses blessées le spectacle porta mon excitation à son paroxysme.
Mes doigts entre vos cuisses mesurèrent l’humidité de votre sexe et continuèrent leurs observations assez profondément. Toujours couchée sur ce fauteuil,vos râles de douleurs se transformèrent en gémissements de satisfaction. Je continuai ma visite en remontant ma main le long de votre dos.
Arrivé à vos cheveux défaits maintenant, je les attrapai sèchement et vous sortis de cette posture délicate pour vous installez à mes genoux.
Enlève ta robe petite chienne !!

Vous vous exécutâtes, sans un mots. Vos yeux rougis étaient embuées de larmes et votre visage
mouillé couvert de maquillage dégoulinant était à l’unisson.
Enlève ton soutien gorge aussi !
Maintenant vous étiez complètement nu devant moi,à genoux. Telle une esclave vous répondiez à chacun de mes ordres sans aucune discussion.
Je déboutonnai mon pantalon laissant échapper ma bite en érection.
Prends la dans ta bouche !!
Une fois encore vous obéîtes sans rechigner. Mettre mon sexe dans votre bouche me donnait encore plus d’idée sur la suite de votre punition. Vous n’étiez plus que l’objet de mes fantasmes.
Après avoir abondamment profité de ma queue dans votre bouche je vous relevai en vous tirant les cheveux pour vous positionnez penchée sur le bureau. La vue de votre cul lardé de coups de fouet,m’excitait grandement. Je sortis de ma poche un plug en or massif orné d’un très beau rubis et l’enfilai sans ménagement dans votre anus offert. Un petit cri se fit entendre,un peu sec peut être ?? De ma main je profitai pour masser votre vulve offerte et passai la quasi totalité de ma main dans votre sexe béant. J’allai vous baiser sauvagement sur le bureau,telle une pute que l’on s’offre un soir de réveillon.Une fois ma main retirée je vous pénétrai sans ménagement,vous infligeant des coups de bites d’une v******e indescriptible.
En plus tu y prends du plaisir petite salope ! Je vais te faire gueuler pour quelque chose !
Chaque assaut était de plus en plus fort à tel point que le bureau se déplaçait,vos cris fendaient le silence assourdissant de cette salle de torture vous étiez en train de jouir. Je ne voulais pas que tu n’aies que du plaisir, c’était trop simple.

Je me retirai avant que tu n’arrives au paroxysme de ton orgasme. Je vais te souffler le chaud et le froid, tu ne jouiras complètement que si je le décide.
Te retournant sur le bureau pour t’allonger sur le dos,je saisis la cravache qui était dans le tiroir.
L’objet était composé d’un manche en bois précieux orné d’initiales en or,mes initiales. Avec une précision chirurgicale,je commençai à fouetter ton sexe qui avait beaucoup trop profité des minutes précédentes. Tes cris de douleurs cette fois,ne firent que raviver mon excitation. Je m’aperçus avec angoisse que j’aimais te voir souffrir,que ça me donnait du plaisir. Ma cravache se dirigea ensuite vers tes seins pointant vers le ciel. Là aussi mon œuvre eut un effet immédiat sur ton discours de gémissement tu souffrais tellement bien,je ne pouvais m’arrêter.
Te retournant pour te mettre à plat ventre sur le bureau, je ne pus qu’admirer le bel objet que je t’avais précédemment enfoncer dans l’anus. Il était grand temps d’aller voir s’il y avait assez de place pour ma queue.Te chevauchant sur le bureau,je te sodomisai sans préavis, ni lubrifiant. Cette fois tu criais comme j’aime. Avec acharnement je faisais en sorte que tu te sentes aussi bien que mal.
Te baisant comme l’on baiserai une chienne, je te fis hurler à tel point que l’insonorisation du bureau fut mise à mal, la secrétaire à coté tapant à la porte pour savoir si tout allait bien.Rassurant la jeune intérimaire,je te tirai par les cheveux et te remis à genoux devant moi.
Je vais jouir dans ta bouche,suce moi bien !
Comme toujours vous vous exécutâtes sans discussion.Mon jet fut si important que votre bouche arrivait à peine à le contenir.
Avale maintenant !!Tout
En quelques seconde,la pression retomba, vous, allongée sur le tapis,moi debout regardant le travail accompli.
Vas te mettre au coin, à genoux les mains sur la tête ! Ta journée n’est pas terminée.
Je renfilais mon pantalon et repris un air humain,avant de rouvrir la porte du bureau.
Anaïs, un café !
Oui monsieur le président tout de suite.
Lorsque la jeune secrétaire rentra dans la pièce ,elle ne put que vous remarquer. Elle fit mine de ne rien voir malgré ses coups d’œil peu discret en votre direction.
Voilà ce qui attend,les mauvaises employées !! Lui glissais je avec un petit air satisfait.
Elle ne décrocha pas un mot,autant effrayé qu’interrogative sur ce qui venait de se passer.

Quelques heures passèrent et je vous renvoya vous laver et vous apprêter. Notre contrat n’était toujours pas acquis, et vous aviez encore quelques comptes à rendre à Mr Yamagushi .
L’asiatique n’est peut être pas un grand performeur néanmoins je le soupçonne d’être extrêmement sadique.
Une robe en cuir ce soir fera l’affaire, elle sera du meilleur effet ,face à notre asiatique grognon .
Je m’attend à ce qu’il vous punisse encore,à ça manière, les coutumes n’étant pas toujours les mêmes d’un pays à l’autre.
L’heure approchait, je vous fis venir dans mon bureau, afin d’inspecter votre tenue et m’assurer que vous vous étiez correctement rafraîchis.
Relevez votre robe Aurore !!
Je ne pus que constater que vous aviez changé de tenue. Vos dessous fuchsia étaient parfaitement assorties à vos fesses devenues multicolore.
Baissez votre culotte !
D’un doigt expert j’allai inspecter votre sexe et m’assurer que celui-ci avait été parfaitement récuré .
Aurore, vous avez commis des fautes, vous en avez payées le prix aujourd’hui. Il ne vous reste plus maintenant qu’ à ratt****r les dégâts causés .
Oui Monsieur.
Je connais bien Mr Yamagushi, il est rancunier et extrêmement sévère. La séance de cette après midi n’est sans doute qu’un aperçu de ce qu’il peut vous faire subir,soyez en consciente.
Oui Monsieur le président.

Vous dirigeant vers la sortie, j’admirai votre cul que j’avais tant maltraité cette après midi,en me disant qu’il n’avait pas fini d’en voir.
Vous regardant monter dans la voiture, je ne pus m’empêcher d’avoir une petite pensée pour ce que vous alliez subir ce soir.
Au palace votre arrivé était attendu,un personnel de l’hôtel vous guida jusqu’à la suite présidentielle de Mr Yamagushi,ou vous fûtes reçue par l’interprète.
Celle-ci très en beauté ce soir,elle avait arboré un petite robe blanche couverte de fleurs roses du plus bel effet « japonais » . Elle vous invita à rentrer et alla prévenir votre hôte.
Vous fûtes appelé à rentrer dans le bureau,notre samouraï était assis dans un somptueux fauteuils,un verre de ce qui ressemblait à du whisky dans une main,un havane dans l’autre. A ses cotés deux hommes asiatiques étaient également assis.
Après les salutations d’usages que vous n’oubliâtes pas cette fois,l’interprète vous demanda de rester debout face aux trois hommes. L’ancien vous dévisagea sans parler,tirant sans complaisance sur son barreau de chaise et libérant des volutes de fumée asphyxiant dans la pièce.
Il marmonna quelque mots incompréhensible à l’interprète qui s’empressa de vous les retranscrire.
Enlevez votre robe !!
Déjà, si tôt ,vous ne vous attendiez pas à une si rapide entrée en matière.
Un peu de conversation,quelques reproches peut être,mais là c’est très rapide .
L’interprète vous ordonna de mettre les mains sur la tête.
Vous vous exécutâtes sans mot dire ,vous retrouvant presque nu devant les trois asiatiques.
Posant son verre sur la petite table, notre client se leva dans un silence de mort . Approchant de vous le cigare à la main ,il fit le tour du propriétaire. Il constata rapidement que les quelques coups de ceintures dont il vous avez fait bénéficiés dans l’après midi n’avait pas été la seule sanction du jour.
En effet votre cul ne laissait que peu de doute sur le traitement qui lui avait été infligé.
D’un geste habile, il laissa tomber le résidu de son cigare dans un cendrier,laissant l’extrémité de celui-ci devenir rouge vif. Il approcha son havane jusqu’à votre poitrine généreuse,vous marquant le sein gauche avec la cendre brûlante. Vous ne putes, éviter de crier,la douleur étant tellement intense.
Il marmonna quelques mots immédiatement traduis.
Enlevez votre soutien gorge, et taisez vous !!
Faisant tomber à terre votre tenue, et reprenant la position,votre poitrine était en première ligne pour une nouvelle morsure de feu. Vos yeux commençaient à s’embuer et vos jambes tremblaient.
Le maître s’approcha à nouveau de vous et réitéra sa torture sur votre sein droit, déclenchant chez vous un hurlement bestial tellement la douleur était intenable .
A ce moment là, votre corps se dérobait sous vos pieds, vos yeux étaient proches de l’aveuglement.
Il n’y avait rien pour ratt****r encore un traitement comme ça et vous tombez.
Il ne fallut que peu de temps pour que la troisième brûlure n’ arrive,sur le ventre cette fois.
Dans un fracas assourdissant vous vous laissâtes tomber presque inconsciente .

Le parrain alla s’asseoir à nouveau et but une gorgé de son breuvage,pendant que vos gémissements de douleur et vos pleurs se faisaient entendre dans toute la suite.
Il marmonna quelques mots aux deux hommes assis à coté de lui,ceux-ci se levèrent immédiatement.
Ils amenèrent en face de la table du patron un banc en cuir assez bas faisant pratiquement votre taille. Ils vous soulevèrent sans égard pour vous y attacher à plat ventre à l’aide de petites cordes.
A ce stade vous ne saviez vers quel destin votre soirée s’orientait,vous qui pensiez que l’usage de vos charmes feraient l’affaire,nous en somme bien loin.
Notre hôte sortit d’un placard une baguette en bois et la tendit à l’un des hommes en marmonnant quelques rudiments asiatiques.Celui ci s’approcha de vos mollets et commença à les frapper avec énergie. Ce traitement quoi que moins intense était en revanche beaucoup plus durable,notre homme semble endurant et prend le temps. Vous vécurent les premiers coups avec facilité,la suite devient un enfer. Le bas de vos jambes commence à avoir la même couleur que votre joue rouge vif.
Vous suppliez rien y fait,votre hôte vous regarde à peine,buvant son whisky avec délectation.
D’un mot il stoppe votre supplice et ordonne à ses sbires de s’occuper de vous différemment.
Vos gémissements,vos râles sont terriblement bruyants,il vont vous faire taire.
L’un après l’autre ceux ci se déshabillent,l’un grimpe sur vous et vous encule sans ménagement,pendant que l’autre vous fourre sa bite dans la gorge.
Attachée,bloquée vous tentez de vous soustraire,mais rien n’y fait vous êtes prises des deux cotés.
Pendant près de dix minutes vous allez être en apnée entre ces deux mousquetaires. La libération viendra de leurs décharges respectives,vous qui n’aimiez pas manger asiatique vous êtes servie.
Le parrain lui se contente pour l’instant du spectacle qu’il a lui même initié.
Nos deux ouvriers soulagés et une fois rhabillés, s’empressent de vous détacher .
Vous tirant par les cheveux il vous amène au pied de leur maître.
Ouvre sa braguette ordonne l’interprète.
Vous vous exécutâtes,passant votre main dans le slip du vieil homme, pour faire apparaître son sexe à moitié mou.

Suce le !
La bouche encore pleine du foutre de l’autre asiatique , vous commençâtes à œuvrer .
Un peu inquiète vous vous rendîtes compte que l’on s’affairait derrière vous. La réponse à cette question arriva rapidement. Les deux hommes chacun armé d’un fouet commencèrent à vous flageller pendant la fellation du maître. Votre corps au bord de la rupture ne laissait guère de place à des marques supplémentaires,pourtant votre dos était encore bien blanc au goût de nos asiates, ça n’allait pas durer.
Les coups de lanières tombaient sur votre dos dans un mouvement métronomique imperturbable, vous faisant glousser de douleur malgré votre bouche pleine.
Le maître les yeux fermés,peinait à jouir malgré votre bonne volonté ,motivée par les coups de fouets. Cette turlute allait être très longue.
A force de persévérance et quelques dizaines de coups de fouets plus tard votre hôte vous éjacula dans la bouche dans un râlement explicite de soulagement.
Les deux hommes cessèrent de vous battre,Vous arriviez à la limite du tolérable.

L’ancien ordonna que l’on vous emmène dans une autre pièce,l’interprète allait vous soigner.
A quatre pattes vous rampâtes,jusqu’à la pièce voisine.L’on vous allongea sur un lit blanc immaculé. Votre corps meurtri de part et d’autre était d’une sensibilité exacerbée. Notre jeune asiatique pris divers huiles et pommades et commença à vous masser sensuellement et sans tabou. Elle retira sa robe pour être plus à l’aise et vous chevaucha.
Avec une gestuelle d’une extrême grâce,elle vous caressa dans chaque recoin de votre anatomie.
Elle se retourna et se mit à vous lécher le clitoris avec une douceur à laquelle vous n’aviez pas été habituée aujourd’hui . Vous étiez proche de l’effondrement physique néanmoins votre masseuse vous motiva à lui faire du bien vous aussi. Votre mouillure,la sienne nappait vos bouches respectives.
Cette journée se termina dans la douceur et l’harmonie de cette relation lesbienne,teintée d’un silence ampli de plénitude.
Une heure plus tard on vous remettait dans une voiture en direction de votre hôtel,vous étiez épuisée.
L’histoire ne dira jamais si le contrat fût signé, en revanche vous ne pouviez faire plus.
Quelques heures plus tard,l’avion repartit en direction de Paris,votre gentil mari vint vous chercher à l’aéroport.Vous eûtes la migraine pendant quelques jours ,il ne sut jamais pourquoi.

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